Eros et autres plaisirs

Ils avaient à peut près le même age et s'était connu à la faculté.

Elle, pas très jolie mais très agréable à regardée. A part un jeans et deux ou trois pantalons, elle ne mettait que des robes, jupes ou shorts pour lui faire plaisir. Adepte du percing, elle avait trois petits anneaux à l'oreille droite et un diams sur l'autre. Un anneau au nombril venait embellire son petit ventre plat et par amour pour lui, elle s'était fait mettre un anneau sur une des lèvre de son sexe.

Lui, fort sans être brutal, élégant sans être vraiment beau, de taille moyenne et très passionné par elle. Il aimait par dessus tout son coté dynamique et l'avait surnommé sa "Lara Croft à lui". Par amour pour elle et en échange de l'anneau qu'elle avait en bas, il en avait un sur le prépuce.

D'un tempérament sportif ils faisaient souvent du VTT ou de longues randonnée dans les bois. En hiver, du ski comme tout le monde et en été, de la plongée. Essayant tout les sports de l'extrême comme le parapente, le rafting ou le saut à l'élastique. Ils vivaient ensemble mais restaient indépendant tout de même.

Sexuellement parlant, ils s'accordaient parfaitement jusqu'à aller dans des camps de nudistes ou, carrément, dans des soirées échangistes. Ils se faisaient l'amour n'importe où et n'importe quand dés qu'ils en avaient envie. Bref, c'était un couple harmonieux que leurs amis appelaient les "frères et sSur".

Depuis quelque temps, tous les jours, il lui dit

- "Je vais te donner une fessée, je ne sais pas encore quand mais, Je vais te donner une fessée ".

- "La fessée que tu vas te prendre. tu vas t en rappeler".

Au début, elle lui répondait "C est plutôt toi qui en mériterais une" mais aux fils des jours, elle prenait cette menace de plus en plus au sérieux.

- " Tu vas l'avoir ta raclée, je sais pas encore quand mais, tu vas l'avoir ".

Un matin, en la réveillant, il lui demande "tu les as préparées? " Dans un demi sommeille elle lui demande quoi, qu est ce qu elle a préparé et sa réponse fut "tes fesses bien sur, sont-elles prêtes à recevoir ce qu elle méritent".

Les autres jours c était

- "Tes fesses seront tellement rouges que tu ne pourras pas t'asseoir pendant longtemps" ou encore "En as-tu parlé à tes fesses de ce qu'elles vont subir ?"

- "Une fois sur mes genoux, tu pourras bien crier, hurler que je ne m'arrêterais pas".

Tous les jours, sans exception, elle avait droit à une de ces petites phrases. Au début, ça l'amusait plutôt pensant qu'il plaisantait mais, au fil des jours&

- "Même ton père ne t en a pas donné des comme celle que tu vas recevoir"

A la question " et pourquoi me fesserais-tu ?" Il ne répondait que "parce que tu la mérites" ou encore "c'est le sort des salles gamines".

Les deux vraies questions étaient "pourquoi ?" et "le fera-t-il ?"

Inlassablement, dés qu'il en avait l'occasion, ces phrases revenaient.

- "Je vais te caresser les fesses à main nue, je ne sais pas encore quand mais, je vais te les caresser".

- "Tu vas voir quand tu vas te retrouver à plat ventre sur mes genoux".

- "Toutes tes plaintes et supplications ne m'empêcheront pas d'aller jusqu'au bout".

Mais qu'avait-elle donc fait pour mériter ça ! C'est bien la question qu'elle se posait.

Plus il lui prodiguait ce genre de discours et plus, quand elle l'entendait, elle avait un nSud à l'estomac. Elle commençait à imaginer qu'il en viendrait à l'acte se faisant des plans. S'imaginant sur ces genoux. Dans sa tête, elle entendait les claques sur son postérieur. Imaginant les cris qu'elle pousserait ainsi que la douleur des coups. Quelquefois même, elle en pleurait d'avance mais à chaque fois elle se sentait humide de l entre jambe.

Certains matins, au levé du lit, il lui demandait "Crois-tu que c'est pour aujourd'hui ou pour demain ?". Il voyait qu'elle commençait à le croire, Il lisait son émotion ainsi que son inquiétude.

Souvent, dans la salle de bain, il lui assénait une grande claque sur son joli petit cul en précisant "Et ça, ce n est rien" ou "Tien, un petit acompte"

Un soir, il lui fit un cadeau, lorsqu'elle ouvrit le colis, elle fut surprise d'y trouver un coussin. "Qu'est ce que c'est ?" lui demanda-t-elle, "Un coussin pour tes fesses" lui répondit-il. Elle lui balança à la figure mais il l'attrapa par les deux poignets en lui jetant un regard noir. Ils se fixèrent quelques instants sans bouger. Elle fût saisi de petits tremblements et crut que son heure était arrivée. Lorsqu'il la lâchât, il lui dit en s'en allant "parle en bien à ton postérieure, il va être bientôt déculotté, je sais pas quand mais bientôt". . . "très bientôt". Ce jour là encore, elle avait mouillée.

Un après midi, alors qu elle était à son bureau, en pleine réunion avec un fournisseur, le téléphone sonne. En décrochant, elle entendit sa voix lui murmurer "Tes belles petites fesses bien rouge, c est pour bientôt! " et il raccrochât. Elle se senti rougir, mal à l aise. Elle en avait serré ses jambes et le représentant en face d elle senti que quelque chose se passait. Avait-il entendu ? Toute honteuse elle lui avait prié de l excusé et alla aux toilettes reprendre son souffle et se passer de l eau sur le visage. Le soir, en entrant dans la maison, elle avait son coeur qui s accélérait. Elle tremblait en se demandant en fin de compte que, si elle rentrait tous les soirs, c est peut-être qu elle n attendait que ça. Non?

Réflexions faites, elle comprit que souvent, l un comme l autre, lorsqu ils faisaient une maladresse, ils disaient toujours "Ce serait un gamin, on lui foutrait une branlée".

En rentrant la maison était vide, il n était pas là mais elle le cherchait partout un nSud au ventre et le cSur battant. Sans faire de bruit, comme un enfant en faute, doucement comme pour ne pas se faire prendre, elle montait à l étage. Ouvrant les portes délicatement. Personne, personne, personne.

En préparant le repas, elle n était pas dans son état normal. Ses jambes flageolaient, ses mouvements moins sur que d habitude, Lorsqu il entra, elle sursauta avec un petit cri mais ce soir là, il n y fit même pas allusion.

Imaginez un instant dans quel état elle pouvait se trouver. Le fera-t-il, ne le fera-t-il pas, c est les questions qui l angoissait de plus en plus.

Un jour qu elle avait sa robe légère, il l a plaquât contre un mur et, en lui passant ses mains sou sa robe, il lui frottait les fesses, glissant ses doigts sous son slip, il lui dit "Elles vont certainement adorer".

Un autre soir, s apprêtant à se coucher vêtu de sa nuisette presque transparent, dévoilant ses petits seins bien ronds et fermes ainsi que ce petit triangle brun, il l attrapa rapidement, la culbuta sur ces genoux, soulevant le fin tissus sur ses reins et mimant de la fessée, il lui dit après lui avoir envoyé une magistrale claque sur chaque rondeur "Non! Pas ce soir mais tu ne payes rien pour attendre". Après ses deux cris "Aïe! Aïe!" et ses yeux plein de larmes "mais, ça vas pas la tête, pourquoi tu tiens tant à me donner une fessée, que t ais-je fait pour que tu sois comme ça? ". Il l a pris contre son épaule et lui expliqua qu il la fesserait pour leurs plus grand bien à eux deux. Ce soir là, ils firent l amour encore plus ardemment que d habitude.

Ce jeu continuât encore quelques jours et, un week-end, elle l emmena dans une petite ferme qu une de ces collègue lui avait prêté pour les deux jours. Sur d être en tête à tête avec lui et dérangé par personne. Il firent un feu dans la cheminée, c était la fin du printemps et elle avait mis sa petite robe noire et courte qu'il aimait. Elle tira une chaise au milieu le la pièce et le fit s asseoir face à la cheminé. Lorsqu il fut installé, elle descendit sa petite culotte de coton blanc, s assit à cheval sur ces genoux en lui massant le sexe d un mouvement de va et vient tout en l'embrassant goulûment. Il bandait et lorsqu il commençait à descendre sa braguette pensant à ... d un signe de la tête elle lui fit non. Elle se releva, et s installa à plat ventre sur ces genoux retroussant sa robe lui offrant un magnifique petit cul et lui dit "Je suis prête, puisque tu dois le faire, fait le! Fesse-moi comme je le mérite et ne t'arrête pas malgré mes cris et supplications". Elle se prit une volée magistrale à ne pas pouvoir s asseoir pendant tout le W-E. Ce qu ils firent après

Lun 12 mai 2008 1 commentaire
jolie histoire. J'aurais préféré qu'elle ne lui demande pas. lol
lucy - le 14/08/2008 à 02h21