Eros et autres plaisirs
Exhibée et livrée à des inconnus dans une chambre d’hôtel, voilà ce que j’appelle une bonne soirée… surtout quand je partage tout ça avec Marie-Jo, ma compagne d’infortune !
Ce soir là, tout à commencé au restaurant. Nous sommes quatre à la table de ce superbe restaurant très classe, dans les environs d’Aix en Provence. Il y a là, bien sûr, mon mari et Maître, mais aussi la belle Marie-Jo et Maître Alain, son Éducateur. En nous observant, nous, les soumises, je nous trouve particulièrement sexy ce soir… Il faut dire que nous portons toutes les deux une superbe robe de soirée, et des sous-vêtements à faire pâlir le mâle le plus blasé.Puisqu’on est belles et sexy, on croit pouvoir se permettre quelques libertés avec nos Maîtres ; on s’amuse ainsi à les allumer.
Petites réflexions coquines par ci, propositions à peine déguisées par là… on s’amuse beaucoup.
Je suis sûre qu’ils bandent tous les deux sans oser l’avouer, prestige du Maître oblige. Mais curieusement, ils ne réagissent pas… seul un petit sourire en coin chez mon Maître me donne à penser qu’on risque d’être servies au delà de nos espérances !
Et bien sûr, j’avais raison. A peine le repas terminé, ils nous conduisent à la voiture, et démarrent.
Nous sommes à l’arrière, et nos Maîtres nous intiment l’ordre de retirer nos sous-vêtements. Je fait donc glisser ma culotte sur mes cuisses, tandis que Marie-Jo fait de même. Nous retirons ensuite tant bien que mal nos soutien-gorges. Nous voilà nues sous nos robes de soirée. " Jambes écartées, toutes les deux derrière ! ".
L’ordre de Maître Alain ne laisse aucune place à la discussion, et nous ouvrons donc bien largement nos cuisses… du moins aussi largement que nous le permettent nos robes. Mon Maître nous conseille de nous " chauffer " un peu, le temps du trajet. On va en avoir besoin, paraît-il.
Il ne faut pas nous le dire deux fois… l’entrecuisse de Marie-Jo m’accueille avec volupté, tandis qu’elle penche sa tête en arrière et se laisse aller à mes caresses… sont sexe ne tarde pas à être trempé.
Quand au mien, Marie-Jo saura y glisser deux doigts experts dans l’art de m’attirer les foudres de mon Maître.
Car je n’ai bien sûr pas le droit de jouir, et pourtant les doigts de Marie-Jo pourraient y parvenir en quelques secondes à peine. Je lutte contre l’orgasme, tandis que mes doigts désormais trempés fouillent le sexe de ma camarade, sous sa belle robe de soirée.
Toute cette agitation à l’arrière, et les grognements sourds qui l’accompagne, ne manquent pas de finir d’exciter nos Maîtres. Heureusement, nous sommes arrivés. Un quart d’heure de plus en voiture, et ils auraient du nous punir sévèrement tellement l’orgasme nous guettait toutes les deux !
Nous levons la tête et regardons dehors. Il faut dire que nos coquins de Maîtres savaient ce qu’ils faisaient : en nous ordonnant de nous " amuser " sur la banquette arrière, ils étaient sûrs que nous ne regarderions pas la route durant le trajet. Nous découvrons donc ce qu’ils ont prévu pour nous ce soir : un parking désert.nfin, pas si désert que ça, puisque deux inconnus attendent. Manifestement, c’est nous qu’ils attendent. L’ordre de mon Maître tombe : " en piste ! The show must go on ! "… bref, c’est à nous de faire bander les deux inconnus.
Et ça, on sait faire. Sortant de la voiture, on vient se placer devant les phares. Les deux voyeurs ne bougent pas… tout juste mettent-ils une main dans la poche.
On commence à onduler langoureusement, puis on dévoile une épaule… puis l’autre. Notre robe tombe sur la poitrine. Mes seins coquins se dévoilent tous seuls… les tétons déjà dressés, et je peux vous dire que ce n’est pas à cause du froid !
A côté de moi, la superbe poitrine de Marie-Jo ne veut pas laisser passer la robe ! Qu’à cela ne tienne, je l’aide, en pinçant ses tétons au passage, un petit signe de connivence féminine, en quelque sorte !
Les voyeurs ont les yeux rivés sur notre poitrine. L’un d’entre eux dézippe sa braguette et sort son sexe… Cela nous motive, et nous remontons la robe sur nos hanches. La vue de notre sexe fait un bel effet aux deux inconnus. Le mien est joliment rasé pour l’occasion, tout beau, tout lisse et appétissant. Quant à Marie-Jo, ses lèvres ourlées se découpent à la lumière des phares. Du grand spectacle, croyez moi !
Mais nos Maîtres ont décidé d’arrêter là notre petit show. Nous sommes ramenés dans la voiture manu-militari, et conduites rapidement dans une superbe résidence hôtelière, où un appartement nous attend.
Il n’est pas le seul à nous attendre, l’appartement. Comme par hasard, les deux voyeurs y sont aussi. Et ils n’ont pas débandé entre temps !
Nous voilà conduites dans la chambre, et mise entièrement à nu par Maître Alain. Les deux inconnus, eux, sont cachés dans l’entrebâillement de la porte, et ne veulent pas perdre une miette du spectacle, qui s’annonce très chaud. Comme on ne veut pas les décevoir (et par là, décevoir nos Maîtres), on se donne à fond. On se caresse, on se lèche, on se pénètre de nos doigts gourmands.
Bien sûr, tout ça est placé sous la supervision de Maître Alain, qui d’un coup de cravache occasionnel nous remet dans le droit chemin, ou rectifie la position afin que nos deux spectateurs ne ratent rien de nos chattes accueillantes.
A suivre...
Sam 10 fév 2007
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