Eros et autres plaisirs

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 C’est alors que mon époux adoré, jamais à court de bonnes idées, fait irruption dans la pièce et nous ordonne de nous mettre à quatre pattes sur le lit, la croupe tendue et offerte au regard de notre public, toujours haletant derrière la porte. On leur doit bien ça, les pauvres. D’ailleurs, à la vue de ce superbe panorama, nos deux touristes du cul se sont rapprochés, le sexe cette fois ci bien dressé, hors de la braguette. Il faut dire que leur libido a été mise à rude épreuve depuis le début de la soirée. Allez, encore un petit effort, mes canards, et vous serez largement récompensés !     Nos Maîtres veulent maintenant se faire honorer respectueusement, devant nos invités. Nous tombons donc immédiatement à genoux, comme notre dressage nous l’a enseigné, et nous nous emparons chacune du pieu de notre éducateur respectif. Nous voilà donc entrain d’aspirer, de lécher, de branler… bref, de remplir notre office de soumise.   Et après avoir rempli notre office, nos Maître ont estimé qu’il était temps de remplir nos orifices. Pour mener à bien cette tâche, nous avons bien sûr deux volontaires très motivés. Mon Maître nous place un collier de chienne et une laisse à chacune, et nous amène, à quatre pattes, vers le salon, ou nous attendent deux beaux sexes turgescents. A peine placées en levrette par mon Maître , nous voilà saillies. Nos intimités sont explorées, fouillées sans ménagement, à notre plus grand bonheur.       Le temps de dire " ouf ", et je me retrouve avec le sexe d’un inconnu dans la bouche. Un regard à mon Maître, et je comprend ma mission : faire exploser cet inconnu. Je pompe donc avidement cette nouvelle tige, longue et fine. Je le sens qui se contracte, se retient pour faire durer le plaisir. Mais une bonne prise en main de ses couilles et une aspiration du gland le font céder… il gémit et me jouit en rafale dans la bouche. J’avale avec une certaine répugnance… mais avec, surtout, le plaisir du devoir accompli.      Hélas, pendant ce temps, Marie-Jo ne se sent pas au mieux de sa forme. Toujours attentif, Alain, son Maître, la conduit dans la chambre. " Game Over " pour ma compagne, et c’est donc à moi de satisfaire les hormones sur vitaminées de nos deux voyeurs (qui ont tout de même quitté depuis longtemps le rôle de simple voyeur pour passer à l’action !). Je me retrouve forcée à me pencher en avant sans plier les jambes. Une queue vient se planter à nouveau dans ma bouche, tandis que derrière moi, je sens une bite vigoureuse venir me pénétrer sans ménagement. Me voilà bien occupée ! Hélas, mes deux étalons ne sont pas totalement à la hauteur des caresses que je prodigue. Celui dont je pompe goulûment le dard n’arrive plus à bander. J’ai beau m’appliquer, rien à faire… lui aussi est " Game Over ". Derrière, par contre, ca s’active dur. Les coups de butoirs me défoncent en rythme. Vu ce que je sens de la bite en question, il ne me semble pas prêt à débander !   Il lui faudra une bonne série de violents aller-retours au cœur de mon sexe en feu avant de jouir. Ses mains se crispent sur mes reins, il donne un dernier coup très violent, se plaque contre mes fesses et gémis à n’en plus finir. Vu de l’intérieur, c’est le raz-de-marée. Il m’inonde copieusement la chatte, et j’adore ça.   Voilà, j’ai épuisé tout le monde, Marie-Jo se repose, et c’est donc " Game Over " pour moi aussi.     Pas pour longtemps, remarquez, car sitôt de retour à la maison, mon Maître a voulu me sodomiser. Lui seul a ce privilège, et c’est justement ce qui manquait à mon bonheur dans cette soirée. Allez, bande de coquins, rideau et à la prochaine !
Dim 11 fév 2007 Aucun commentaire