Eros et autres plaisirs
Chanette se venge... Suite...
Elle le fait en maugréant, plus pour éviter des baffes que par soumission - Vous êtes vraiment des salopes ! - Bien sûr ! Sauf que maintenant elle a mes seins sous le nez ! Son regard se trouble. Il se troublera encore plus quand quelques secondes plus tard, j'entrepris de faire durcir mes tétons en les faisant rouler entre mon pouce et mon index - Tu devais te déshabiller, non ? - Qu'allez-vous me faire ? Vous ne vous rendez pas compte des risques que vous prenez ? Hé ! Hé ! La réflexion de trop, elle aurait du rester dans son rôle de victime fière, hautaine. Elle est en train de fragiliser sa position. - A poil salope ! - Je peux encore m'expliquer ? Sa défense s'est complètement lézardée ! - A poil ! on verra après ! Elle se déshabille complètement. Elle est belle Anna-Gaëlle. J'aime ces gros seins laiteux terminés par une petite pointe rose. Exprès je la regarde avec envie. Je recommence à me faire durcir les tétons et soudain c'est les siens que j'agrippe - Non ! Non ! Arrête ! Salope ! Arrête ! C'est trop bon ! Arrête ça ! Tu n'as pas le droit ! Je continue et augmente ma pression - C'est trop fort ! Arrête ! Elle va tomber dans le piège dans une seconde, j'en mouille à l'avance - C'est vrai c'est trop fort ? - Oui : c'est trop fort ! Je baisse ma pression - Et comme ça va ? - Oui ! ça va continue Salope, tu es en train de m'avoir ! Tant pis pour moi ! Je relâche tout - Tu m'as traité de quoi ? - De salope Chanette ! Tu es une salope ! Mais moi aussi ! J'ai gagné ! Un frisson me surprend. Ma chatte coule! - Alors j'écoute ! et après on ferra peut-être la paix - Tout ce que j'ai dis est vrai, j'ai d'abord fait un premier article ou je vous présentais toutes les deux sous un jour favorable, le chef de rubrique n'en a pas voulu, j'en ai refais deux autres après de plus en plus neutres. Ça n'allait toujours pas. Alors je lui dis que je laissais tomber, il a tout rectifié mais il a laissé ma signature. J'ai pensé à te prévenir, mais j'ai laissé tombé, je me suis dit que sans doute vous ne verriez jamais l'article, et que finalement ce n'était pas si important que cela… - Tu as pensé à me prévenir et après tu as changé d'idée. Et pourquoi donc ? - Je viens de le dire ! - C'est si difficile un petit coup de fil ? - Il y une autre raison ! Tu veux vraiment la savoir ? Chanette ? - Oui ! - C'est que je ne voulais pas me donner l'occasion de retomber dans tes griffes ! J'avais jusqu'ici une sexualité presque normale ! J'ai compris en venant ici l'autre fois que mes fantasmes avaient besoin d'êtres assouvis. J'ai eu peur de ne plus pouvoir me passer de ce que j'ai connu ici ! Tu comprends Chanette ? Oh pardon Chanette ! Pardon Corinne ! Et la voici à nouveau en larmes ! - Et maintenant ? - Maintenant tu as gagné ! Salope ! J'ai envie de toi, j'ai envie de vous deux ! - Et tu ne crois pas que tu devrais être punie d'abord ? - Chanette, je voudrais que nous soyons régulières toutes les deux, tu me punis mais après, je voudrais tant que nous fassions l'amour… - C'est à toi de prendre le risque, si tu ne veux pas le prendre, tu peux partir tout de suite, on ne t'en empêchera pas, et je trouve que ce serait pas mal comme punition. Alors ? - Je reste ! - Allons-y tu l'as mérité et puis tu aimeras peut-être On emmène la journaliste dans la petite salle que Corinne a emménagé, on la suspend à une barre. Corinne lui place des pinces sur les tétons et sur les lèvres de sa chatte. Elle hurle, puis se calme. Je tourne autour d'elle le martinet à la main, et applique le premier coup - Aie ! J'avais prévu 50 coups, mais tout d'un coup ça me semble énorme, au 15e je décide de m'arrêter à 20. Anna-Gaëlle, manifestement souffre, elle crie, elle gigote, mais ne me dit pas d'arrêter - Plus fort ! Marque-moi ! Ça me paraît complètement invraisemblable, mais je m'apprête à le faire, quand soudain Corinne arrête mon bras - Elle veut que tu la marques pour pouvoir faire un constat de coups et blessure ! Je n'y avais pas pensé ! Je continue à frapper mais normalement - Ecoutez moi une minute ! l'autre jour j'ai trahi votre confiance, je veux la regagner, c'est pour cela que je veux que tu me marques, comme ça tu pourra constater que je n'aurais pas donné suite à mes menaces de tout-à l'heure ! Je regarde Corinne, elle à l'air comme moi de penser qu'on peut prendre ce risque. Alors de toutes mes forces, je vise le joli cul rebondi de la journaliste et je lui zèbre les fesses de longues traînées rouges, je le fais 4 fois, à ce stade on a comptabilisé 20 coups. Je stoppe. Nous avions envisagé de la faire sodomiser par Phil pour finir en beauté, mais moi non plus je ne tiens plus en place. Phil s'est lui déshabillé et s'apprête à enter en scène ! - Non pas maintenant, mais va plutôt t'occuper de Corinne, elle est toute mouillée la pauvre Il n'en fera rien, ça n'a jamais été l'amour fou entre eux deux. Je détache Anna-Gaëlle, Je l'enlace, et me faisant tomber, l'entraîne dans ma chute, je l'embrasse avec fougue, je lui caresse le corps, lui pétrit les seins, les fesses, les cuisses, je lui mets mes doigts partout, dans la chatte, dans la cul… Elle non plus n'est pas en reste et veut m'embrasser partout. Elle me serre les tétons comme je les ai serré tout à l'heure - Toi aussi tu aime ça ! - Bien sur - T'es vraiment une salope ! Encouragée, elle réussit à me faire hurler, je lui rend la pareille, nous devenons folles tandis que nos corps ruissellent de sueur et de mouille. Je veux la boire, on change de position et nous voici en 69. Je la bois et elle me bois. Ma langue lèche maintenant sa chatte au goût de miel, tandis qu'elle me suce le clitoris. J'ai du mal à me retenir de pisser et puis à quoi bon me retenir, je me laisse aller. Anna-Gaëlle lape mon urine comme un chat laperais une source de lait. J'ose espérer qu'elle me rendra la pareille, je la sens qui force et tout d'un coup elle libère à son tour sa source dorée qui s'écoule dans mon gosier. Son urine à un goût unique, (elle m'expliquera bien plus tard qu'elle avait l'habitude de boire du thé au jasmin). Ça y est ! La source est tari, elle à repris ses mouvements de lèvres et de langue sur mon clitoris, je l'imite, je ne vais pas tenir longtemps, un geyser de cyprine s'écoule de ma chatte tandis que je suis atteinte de soubresauts nerveux, j'essaie de me reprendre au plus vite pour la faire jouir à son tour, elle le fera quelques minutes plus tard, en poussant un hurlement de tigresse. Nous nous enlaçons à nouveau et nos bouches qui ont connu tous les liquides se soudent à nouveau. Je me relève fourbue ! Corinne est assise dans un fauteuil les jambes écartées et s'envoi un vibro dans la chatte en poussant des petits cris. Phil s'est masturbé en nous regardant et nous a probablement arrosé de son sperme, mais nous ne nous en sommes pas aperçus - Je peux téléphoner ? - Bien sur ! - Allô Jean-Lou ! Quoi ? Qu'est-ce que tu dis ? Un fax urgent à me faire porter ? Et le coursier n'a pas trouvé l'adresse ? Il est nul ton coursier, et il y avait quoi dessus ? Ah bon ! Ce n'est pas si important que cela ! Je ne passerais pas au bureau de la journée En raccrochant, Anna-Gaëlle ne comprit pas pourquoi nous étions de nouveau éclatés de rire - Vous m'expliquerez ? - C'est promis ! A ce moment-là Anna Gaëlle s'approche de moi et me prend la main - J'ai une proposition à faire, on va se prendre une bonne douche toutes les deux, et après je vous paye le restaurant à tous !! Epilogue : Quelques jours après en relevant mon courrier, je découvre une enveloppe provenant du palais de justice. Je l'ouvre stupéfaite et découvre qu'une dénommé Anna-Gaëlle de machin chose portait plainte… contre son journal pour extorsion de signature et abus de confiance. Le téléphone sonna quelques moments après. - Tu vois j'ai porté plainte ! - C'est malin ! Ça va être classé sans suite ton truc ! - Même pas ! C'est un faux ! - Tu mérite encore une fessée ! - Je sais, je peux passer la prendre tout de suite ?
Mar 6 mar 2007
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