Eros et autres plaisirs
Le but de cet essai est d'aider les personnes qui désirent pratiquer la fessée entre adultes consentants à se sentir plus à l'aise avec leur centre d'intérêt. Toute référence à la discipline, aux châtiments corporels, aux corrections, aux punitions ou à toute autre activité liée à la fessée n'est entendue que dans le cadre d'une pratique entre adultes consentants.
L'auteur de cet article abhorre l'usage de toute contrainte physique qui ne soit pas consensuelle et croit que la fessée devrait se pratiquer uniquement entre adultes qui recherchent de tels soins.
Ceci est un article sérieux destiné à ceux qui ne fantasment pas sur la fessée mais ont une partenaire qui aimerait recevoir des fessées disciplinaires. Peut-être que votre femme ou votre petite-amie vous a finalement parlé de son intérêt de toujours pour les fessées punitives. Peut-être que c'est quelqu'un de nouveau dans votre vie qui vous a tout de suite fait cette confession. Quelque soit la manière dont vous avez découvert le fantasme de votre partenaire, cet article est fait pour vous. Il est bref, agréable, et il va droit au but. Il a pour but de décrire certains sentiments communs que de nombreuses femmes qui ont besoin / veulent des fessées disciplinaires ressentent. Deux mots d'avertissement. Premièrement, dans un article court comme celui-ci il est impossible de passer en revue toutes les situations auxquelles vous pourriez avoir à faire face. Deuxièmement, les sentiments individuels de chacun sont – justement – individuels. Cet article ne tente pas de les décrire tous – juste les plus communs parmi ces femmes que nous décrivons affectueusement comme des « sales gamines » (1). La mise-en-condition. Lorsque vous vous apprêtez à faire l'amour, l'environnement est important pour la plupart des femmes : de même, le contexte dans lequel prend place une fessée est important pour la plupart des « sales gosses » (c'est à dire des femmes adultes qui veulent recevoir des fessées disciplinaires, soit dans le cadre d'un jeu-de-rôles, soit pour des « infractions » réelles). Pour la plupart des femmes, l'aspect mental de la fessée est bien plus important que l'aspect physique. Ca commence avec les regards. Vous n'avez pas besoin de dire grand-chose. Tout est dans la voix, dans l'apparence, dans le comportement. Les « sales gamines » veulent vous pousser à bout jusqu'à ce que vous posiez des limites et leur fassiez payer le prix de leur comportement. Si c'est de cette manière que votre amie veut « jouer », ne vous préoccupez pas de ce qu'elle dit pendant que vous la sermonnez et lui indiquez quel type de fessée vous allez lui donner. Continue-t-elle à tester vos limites ? Fait-elle la moue ? Vous écoute-t-elle lorsque vous la sermonnez ? Commence-t-elle à vous dire qu'elle est désolée ? Si elle agit de la sorte, vous avez commencé la mise-en-condition. Ne vous pressez pas. Prenez votre temps. Gardez toujours le contrôle de la situation, en donnant des ordres (comme d'aller chercher la brosse-à-cheveux en bois ou tout autre instrument de correction). Si elle ne vous obéit pas, ajoutez immédiatement une autre punition. Vous pouvez par exemple ajouter des coups de pénalité (c'est-à-dire des coups administrés après la fin théorique de la punition). Vocabulaire. Les « sales gamines » aiment certains mots quand ils sont liés à la fessée. Habituez-vous à les employer, de manière à ce qu'ils aient l'air naturels lorsque vous les utiliserez pour la menacer. Des termes comme « méchante », « cul nu », « comportement », « jeune fille » et « mademoiselle » sont tous des mots-clefs pour les « sales gamines ». Bien entendu le mot fessée retient généralement leur attention. Certaines phrases sont également importantes. En voici quelques-unes :• « Est-ce que je me suis bien fait comprendre, jeune fille ? »
• « Je vais te donner une bonne raison de pleurer. »
• « Mettez-vous en position ! »
• « Amenez ce vilain fessier par-ici. »
Essayez juste de vous rappeler l'époque ou vous étiez enfant ou adolescent, et souvenez-vous de toutes ces phrases que les détenteurs de l'autorité utilisaient pour vous ramener dans le droit-chemin. Ces mots l'aident à la oublier ses responsabilités d'aujourd'hui et à vous laisser le contrôle. Le « préchauffage ». C'est peut-être l'élément le plus important de toute fessée disciplinaire. Ca arrive tout le temps : la femme ou la petite-amie essaye de conduire son compagnon à lui donner une bonne fessée, et recherche parfois spécifiquement une relation de ce type, puis, après avoir reçu la fessée, elle se plaint. Pas sur le mode de la « sale gamine », mais sur le mode réel. Elle dit que c'était trop fort. Ce qu'elle vous dit c'est probablement que vous ne lui avez pas donné de « préchauffage » (2) . Tout d'abord, qu'est-ce que le « préchauffage », puis commencer le donner. Un « préchauffage » est une fessée légère qui s'étale sur une période de plusieurs minutes ou même d'une heure ou plus. Prenez votre temps et fessez doucement durant de longues minutes. Prenez le temps de chauffer l'ensemble du fessier. La jeune femme aura parfois tendance à s'agiter encore davantage parce qu'elle commence à recevoir le traitement qu'elle recherche mais que ce n'est pas assez fort. C'est tout particulièrement le cas quand une jeune femme reçoit sa première dose de correction sur les genoux. Elle pense (à tort) que ça ne fait pas aussi mal qu'elle le pensait. Contentez-vous de sourire et de continuer à chauffer son postérieur. Progressez en intensité jusqu'à ce qu'elle change d'attitude. Ne pensez pas qu'il vous faut frapper plus fort. Durant le « préchauffage », il est important de distribuer les claques, les coups de brosse ou les coups de paddle (commencez toujours par la main !) partout sur son postérieur. Concentrez vous sur la zone de rencontre entre les cuisses et le fessier. Ne frappez JAMAIS plus haut. Arrêtez-vous toujours 3 centimètres environ en-dessous du haut de son fessier. Souvenez-vous que vous risquez de la blesser si vous frappez trop haut et qu'en plus elle n'en ressentira pas les effets quand elle s'assoira. Continuez à la fesser pendant que vous la réprimandez. Laissez vos mains sur ses fesses qui chauffent pour permettre à sa peau de s'habituer à la chaleur de la fessée. Un passage au coin peut être approprié à la fin du « préchauffage ». Bien sûr, ne lui dites pas que c'est un « préchauffage » ou que c'est la raison pour laquelle vous l'envoyez au coin, mais cela fonctionne de toutes façons. Le « préchauffage » est important à la fois pour la mise-en-condition et pour préparer la peau à la véritable correction. La règle du pouce (ou de la paume) veut que plus le « préchauffage » dure longtemps, plus la demoiselle pourra encaisser de claques par la suite. Souvenez-vous que cela augmentera la durée de sa fessée – quelque chose qu'elle a attendu pendant longtemps. Le rituel. Le rituel c'est tout. La fessée sur un genou (avec une main sur ses jambes si nécessaire) ou sur les deux (plus confortable si vous êtes assis sur un canapé, afin qu'il n'y ait pas trop de pression sur son estomac) est de loin la position la plus appropriée avec les « sales gamines ». La position courbée sur le canapé est souvent associée aux fessées à la ceinture ou à la strap. La position courbée sur l'arrière d'une chaise est souvent perçue comme une position acceptable pour les coups de pénalités (voir plus haut). Le rituel signifie aussi que vous devez rester dans votre posture de « chargé de discipline » (3) . durant toute la durée de la « punition ». Les jeux sexuels ou les doigts baladeurs ne sont généralement pas appréciés durant une fessée disciplinaire, même s'il s'agit de votre femme ou de votre petite-amie. Il y aura tout le temps pour ce genre d'activités une fois qu'elle aura « payé le prix » de ses fautes. Tenir son menton pendant le sermon, la forcer à vous regarder dans les yeux quand vous lui adressez des reproches (souvenez vous d'y incorporer les « mots-clefs » de la fessée), utiliser divers instruments de punition (la cuillère en bois, la brosse-à-cheveux en bois, la ceinture en cuir, etc ... tout cela après un « préchauffage » à la main) ajoutent également au rituel. La récompense. Pour nombre d'entre nous (ceux qui sont connus comme les « amateurs de fessées »), donner une fessée disciplinaire est en soi une récompense. Mais en tant que conjoint d'une « sale gamine », vous êtes récompensé au moins deux fois. Tout d'abord, et avant tout, vous saurez que vous remplissez un rôle très particulier dans la vie de votre partenaire. De nombreuses femmes passent leur vie entière à désirer recevoir une bonne fessée traditionnelle sans jamais avoir le cran de révéler ce besoin. Cela vous rendra plus proches. Et puis il y a toujours cette autre récompense que la plupart des « sales gamines » donneront à leur époux ou leur petit-ami après avoir reçu une fessée sur les genoux. Et qui sait, peut-être que vous apprendrez à aimer l'activité en elle-même. C'est déja arrivé. Bonne chance !
Traduction : Monsieur No
Notes du traducteur :
(1) J'emploie ici et dans la suite de cet article l'expression « sales gamines » pour traduire (de manière imparfaite) le terme anglais « brats », qui désigne une sorte de femme-enfant plutôt coquine, capricieuse, voire insupportable ... en un mot : qui mérite une bonne fessée ! (2) Là encore ma traduction est bancale. Le terme anglais « warm-up » renvoit à la fois à l'action de faire chauffer, d'exciter, et de démarrer progressivement. (3) Le terme « disciplinarian » désigne la personne qui, dans les écoles anglaises ou américaines était (ou est) chargé de corriger les étudiant(e)s puni(e)s.
tres bonne article.. J'aimerais te l'emprunter.. :P
passe un bon samedi..
pleins de becs
ça c de l'histoire super sympa
yes she want it
must ! ! ! !
she ask me to do it
see you soon