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Mercredi 26 décembre 3 26 /12 /Déc 08:01

Les saisons de Malika : il y a peu, Malika nous proposait des souvenirs de vacances ensoleillées et aujourd'hui, elle nous invite à la découvrir dans des circonstances plus... saisonnières...

Bon courage à toi, ma belle ...bbrrr ! !

Et vous.... Le Père Noel vous a apporté quoi ? ? (de coquin)

Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Mardi 25 décembre 2 25 /12 /Déc 07:33

En cette période de fêtes, mes soeurs et frères, lisons z'ensemble quelques extraits du Cantique des Cantiques de ce bon Roi Salomon, un Roi Grand et Sage ... et ... un peu coquin aussi, peut être...

«Qu’il me baise des baisers de sa bouche! Car tes baisers sont meilleurs que le vin» («baiser» signifiait «caresse» dans le texte Hébraique original).

«Tes seins sont comme deux faons, jumeaux d'une gazelle»

«Ta poitrine comme les raisins mûrs»

De nombreux sous-entendus dont il n’est pas difficile d’en deviner le sens:

«… et de mes mains a dégoutté la myrrhe, et de mes doigts, la myrrhe limpide, sur les poignées du verrou»

«Bois l'eau de ta propre citerne, l'eau jaillissante de ton puits» (allusion à la femme fontaine?), etc…

"Que vos mamelles sont belles ma seur, mon epouse, vos mamelles sont plus belles que le vin, et l’odeur de vos parfums passe celle de tous les aromats."

Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 07:30


Je te salue, Ô merveillette fente,
Qui vivement entre ces flancs reluis ;
Je te salue, Ô bienheureux pertuis,
Qui rend ma vie heureusement contente !

C'est toi qui fais que plus ne me tourmente
L'archer volant qui causait mes ennuis ;
T'ayant tenu seulement quatre nuits
Je sens sa force en moi déjà plus lente.

Ô petit trou, trou mignard, trou velu,
D'un poil folet mollement crespelu,
Qui à ton gré domptes les plus rebelles :

Tous vers galans devraient, pour t'honorer,
A beaux genoux te venir adorer,
Tenant au poing leurs flambantes chandelles !


Ronsard - 1552


 

Tendre et féroce


Tendre et féroce alternativement,
Miss Léona, la maîtresse créole,
Comble tantôt son esclave espagnole
De tendres soins, tantôt cruellement
La fait fouetter pour la moindre parole.

Puis, dans ses bras la pressant tendrement,
Par de doux mots l'apaise, la console,
Baise sa lèvre et mord son cul fumant,
Tendre et féroce.

Parfois, tandis que tombe souple et molle,
Zébrant le cul, l'impitoyable gaule,
Miss Léona, dans le même moment,
Mord le bouton qui pleure en sa geôle,
Mélant ainsi le plaisir au tourment,
Tendre et féroce.
 
Anonyme

Bouche dont la douceur m'enchante doucement
Par la douce faveur d'un honnête sourire,
Bouche qui soupirant un amoureux martyre
Apaisez la douleur de mon cruel tourment !

Bouche, de tous mes maux le seul allégement,
Bouche qui respirez un gracieux zéphyr(e) :
Qui les plus éloquents surpassez à bien dire
A l'heure qu'il vous plaît de parler doctement ;

Bouche pleine de lys, de perles et de roses,
Bouche qui retenez toutes grâces encloses,
Bouche qui recelez tant de petits amours,

Par vos perfections, ô bouche sans pareille,
Je me perds de douceur, de crainte et de merveille
Dans vos ris, vos soupirs et vos sages discours.

Catherine des Roches 1587

 


 

Les amants

Poitrine contre poitrine
Comme deux canards mandarins amoureux
Qui s’ébattent dans l’eau,
Tête contre tête
Comme un couple tendre de phénix
Qui construit avec zèle son nid de brindilles,

Elle presse ses lèvres vermeilles sur la joue de l’amant,
Il tient entre ses mains vigoureuses la tête penchée de l’amante
Dont les jambes gainées de soie cherchent appui sur les épaules de l’ami
En dévoilant ainsi les deux arcs d’une faucille de nouvelle lune.

Les agrafes d’or se défont sur sa tête
Et sa chevelure s’épand sur les coussins
Comme un nuage sombre.

Il profère des serments profonds comme la mer,
Puissants comme les montagnes
Et ses caresses mille fois variées
Dispersent les dernières craintes
Comme le vent disperse les nuages.

Assaillie de tendresse impétueuse
Elle pousse un cri de bonheur
Sa bouche s’emplit de suave salive
Et, luxurieuse, elle darde sa langue sous le plaisir.

Dans chaque artère, dans chaque veine
De son corps souple et élancé
Elle sent rouler lourdement
Un sombre flot de volupté.

Mais le souffle de ses lèvres vermeilles
Halète et va s’affaiblissant,
Sur ses yeux descend la nuit.
Sa peau se mouille de perles fines,
Scintillantes.
Sa gorge lisse palpite
Comme les vagues de la mer.


Ah les voilà consommées
Toutes les délices de l’amour volé :
Deux amants ont parfait leur étreinte.

Siao-Siao Cheng 1593

 


 

Baise m'encor, rebaise-moi et baise

Baise m'encor, rebaise-moi et baise
Baise m'encor, rebaise-moi et baise ;
Donne m'en un de tes plus savoureux,
Donne m'en un de tes plus amoureux :
Je t'en rendrai quatre plus chauds que braise.

Las ! te plains-tu ? Çà, que ce mal j'apaise,
En t'en donnant dix autres doucereux.
Ainsi, mêlant nos baisers tant heureux,
Jouissons-nous l'un de l'autre à notre aise.

Lors double vie à chacun en suivra.
Chacun en soi et son ami vivra.
Permets m'Amour penser quelque folie :

Toujours suis mal, vivant discrètement,
Et ne me puis donner contentement

Si hors de moi ne fais quelque saillie.

Louise Labbée 1566



Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Mardi 18 décembre 2 18 /12 /Déc 07:30
La découverte de soi… De l’autre.
  
Mois après mois, les auto-bondage de Gwenn se faisaient de plus en plus souvent.
Son amie venait de moins en moins, et cette absence commençait à peser, les autos bondage, c’était une bonne alternative, mais jamais Gwenn ne se sentait aussi prisonnière, aussi soumise qu’avec son amie.
De nombreuses questions se posaient, « suis-je folle, normale ? faut-il continuer ? se faire soigner… ? » Il lui fallait des réponses, et c’est naturellement qu’elle se dirigeait vers les forums.
Cette requête de questions sans réponse durait, et Gwenn se décourageait. Un soir, elle reçu une réponse à l’une de ses nombreuses questions, une réponse, sous forme d’invitation, une invitation pour une soirée BDSM.
Toute la semaine fut une vraie torture pour Gwenn, que faire ?
Puis, elle fini par se décider, elle devait y aller, pour enfin obtenir de vraie réponses.
C’est ainsi qu’elle décidait d’entrer directement dans le vif du sujet, Gwenn portait ce soir la une longue robe de soirée en satin, de couleur rouge vif, et était perchée sur de hauts talons.
Son cœur battait la chamade, deux ou trois fois elle failli faire demi-tour, mais finalement, elle était la, devant cette grosse porte en bois… Sonner deux fois, puis une fois, la porte s’ouvrait, elle remit son invitation, et elle fût conduite avec une infinie douceur, vers un comptoir.
« Bonsoir, vous êtes ? »
« Je suis Gwenn »
« Parfait remplissez ce questionnaire, puis glissez le dans l’enveloppe avec les 250 francs s’il vous plait »
 
Ce questionnaire était impressionnant de détails, tous plus indiscrets les uns des autres !!! Etait-elle soumise, Dominante, Aimait-elle ceci, ou cela, le fouet, cunnilingus, etc.
Après y avoir répondu, elle fût renseignée sur le pourquoi de ces questions, c’était en fait une check-list, ainsi, Gwenn avait posée ses limites, simplement en répondant à ces questions.
Elle se sentait finalement rassurée, mais aussi inquiète, qu’allait-on penser d’elle étant donné qu’à part le Bondage, elle n’avait ou n’aimait rien d’autre…
Puis ce fût la découverte de la salle, enfin, du Donjon à en croire son hôtesse, cela paraissait normale, il y avait une trentaine de personnes, soit, habillés pour certains de manière étrange, mais ils buvaient, discutaient, ou mangeaient, cela ressemblait à une soirée normale en fin de compte.
« Veuillez vous assoir là Mademoiselle, l’hôte de ces lieux va venir vous voir. Prenez une coupe en attendant, ainsi que des petits fours. »
Gwenn restait dans son coin, assise, trempant ses lèvres dans le champagne, les invités ne semblaient pas s’intéresser à elle.
« Mademoiselle Gwenn je suppose ? »
Gwenn sursauta ! « Eu... oui « ?
Un homme d’une quarantaine d’années se tenait devant elle, vêtu d’une chemise en soie noire, et d’un pantalon noir. Il était l’organisateur de la soirée, et c’est lui qui lui avait envoyé cette invitation.
« Voilà comment cela va se passer, tu vas rester observatrice, le temps que tu voudras, toute la soirée si tu veux, je ne veux pas te brusquer, juste que tu trouve des réponses à tes questions, quand tu te sentira prête, tu n’aura qu’à me le dire, tout simplement, je te mettrais entre les mains d’un ami, qui saura être « doux » avec toi, tout en respectant scrupuleusement ta check-list . Ca te convient « ?
Plutôt oui ! Gwenn ne rêvait pas mieux, observer, rechercher des réponses à ses questions, en trouver ?
La soirée avait commencée, et déjà quelques personnes étaient à l’œuvre… Une femme était ligotée en croix, et un homme la caressait doucement, puis sans crier gare, il se mit à fouetter la pauvre captive à l’aide d’un martinet, cette dernière semblait souffrir, mais en redemandait !
Dans un autre coin, c’est un homme qui était allongé sur une table, ses parties génitales étaient enserrées dans une espèce de cage en argent, et une femme promenait sur son corps une espèce de roulette a aiguilles… L’homme grimaçait, mais ne disait rien.
Des cris, des plaintes attirèrent son attention, dans une autre pièce, Gwenn découvrait avec stupeur une jeune femme, d’une vingtaine d’années environ, pendue par les bras, nue, qui se faisait fouetter, elle se débattait, tentait d’éviter les coups de fouets, mais sans résultat. De plus, à chaque coups, elle annoncait le nombre reçu sur un air plaintif… ce ne fût qu’au bout de quelques longues minutes que les coups cessèrent, la jeune femme, visiblement épuisée, souriait, et annonçait alors la couleur… « 30…. Merci Monsieur ».
Gwenn s’avançait alors vers un autre coin de la pièce, ou était rassemblé un petit nombre de personnes, se frayant un chemin, elle eu la surprise de voir un jeune homme, en train d’imposer un hogtie à une jolie jeune femme. Cette dernière portait un corset rouge, des portes jarretelles et des bas noirs qui disparaissaient dans de fins escarpins à talons aiguilles noirs…
La jeune femme souriait, elle discutait avec le jeune homme, annonçant de temps à autre les sensations que lui procuraient tel ou tel tour de corde, si c’était assez serré, ou pas assez… Puis, un petit murmure plaintif se fît entendre, elle était maintenant bâillonnée, avec un gag-ball rouge.
Elle était superbe, ce mélange de couleur entre le rouge et le noir, le blanc des cordes qui ressortaient, et la beauté de la jeune femme offraient un tableau merveilleux aux yeux de Gwenn… Une envie d’être à la place de la jeune femme montait en elle, cela devenait urgent…
Gwenn retrouvait alors son hôte, qui était très occupé à faire boire de l’eau à une femme liée sur un tabouret de bar.
« Oui Gwenn, tu veux me parler ? »
« Oui, s’il vous plait… » C’était un petit oui, annoncé presqu’à voix basse, mais le signe de tête était lui explicit.
Donnant des ordres à un homme habillé en soubrette, l’hôte de ces lieux invitait Gwenn à s’assoir autour d’une petite table.
« Alors ma belle ? tu veux sauter le pas, tu veux aller un peu plus loin ? »
« Oui, mais… Je veux dire… »
« Tu ne veux que du Bondage, pas de coups, enfin bref, que ta check-list soit respecté à la lettre, c’est ça ? »
« Oui c’est bien ça, mais qi me garantis qu’une fois attachée, je ne serait pas violée, rouée de coups, fouettée je ne sais quoi ? »
« Ecoute, je te le garantis, maintenant, tu ne me connais pas, rien ne t’oblige à continuer, tu es encore libre de choisir. »
« Je suis prête, je veux que l’on s’occupe de moi. » En disant ces mots, Gwenn se mit à rougir, son cœur s’accélérait d’un coup… elle avait chaud…
« Calme toi ma belle, tu verras, tout se passera selon tes désirs, tu seras heureuse, prends un verre d’eau pour te calmer, je reviens dans 2 minutes, attends moi là ».
 
J’étais assis à table, en compagnie d’amis, je sirotais une coupe de champagne, quand Franck, l’hôte de ces lieux vint me voir.
« Déjà ? Je ne pensais même pas la toucher de la soirée dis donc, elle est bien cette petite, elle sait ce qu’elle veut. J’aime bien ! »
« Hé Vicomte, vas y doucement, elle est à croquer, jolie comme un cœur, mais désemparée, elle ne sait vraiment plus ou elle habite, et actuellement, tremble come une feuille à l’idée de sauter le pas. »
« Je vais être doux Franck, ne t’inquiète pas… »
Il n’avait pas mentis le bougre, je me tenais debout devant une très jolie fille de 21 ans, ses longs cheveux bruns couraient sur sa robe en satin rouge, elle me regardait droit dans les yeux, soutenant mon regard, elle avait cet air plaintif et apeuré, ne sachant pas ce qui allait lui arriver.
Je mis ma main en avant, l’ouvrant, pour qu’elle me la prenne, chose qu’elle fît immédiatement, sans un mot, je l’emmenais avec moi, vers la pièce VIP, ou seul elle et moi serions, ainsi, elle pourrait s’abandonner totalement sans crainte d’éventuels commentaires d’un public pas toujours très fin !
Entre ma belle, je t’en prie, assieds toi sur le canapé. Claquant des doigts, une soumise vint aussitôt a mes pieds, je lui commandais du jus d’orange, de l’eau et des glaçons.
« Nous y voilà Gwenn, je vais t’expliquer comment je vais procéder, ce que j’attends de toi, et te poser quelques questions supplémentaires… Mais avant, donnes moi tes deux poignets ! »
Sans qu’elle n’eu le temps de réagir, je les lui attachais, solidement, mais de manière à ne pas trop serrer.
« Gwenn, tu restera les mains liées durant notre discutions, tu boiras ainsi, fumera si tu le veux, mais à chaque fois, tu devras te rappeler une chose, dès à présent, moi seul déciderais de ce qui suivra, à partir de maintenant, tu vas rentrer dans un rôle de soumise, et tu dois m’appeler « Monsieur le vicomte » à chaque fois que tu m’adressera la parole, dernière chose, tu ne dois plus jamais soutenir mon regard, à présent, tu baissera les yeux en ma présence. »
Je sentais Gwenn apeurée, mais étrangement, confiante, je lui servais à boire, et nous commencèrent à discuter. J’avais besoin de renseignements supplémentaire sur ses expériences, ses désirs, ses attentes, ses questions etc.…
Gwenn participait activement, répondant d’une voix douce à chacune de mes questions, ses gestes pour boire, étaient maladroit, cela l’amusait, et j’étais content de la sentir en confiance.
Au bout d’une heure, je lui proposais de passer au vif du sujet, et c’est ainsi que j’offrais à Gwenn mon premier bondage de la soirée.
Les mains dans le dos, je lui attachais les mains jointes, solidement, mais prenant soin de ne pas trop sérer la corde. A l’aide d’une seconde, je lui liais les genoux, puis les chevilles, Gwenn ne tentait pas de se débattre, elle bougeait doucement ses poignets, comme pour sentir son impuissance.
L’aidant à se mettre à genoux, j’attrapais une corde, qui pendait du plafond. Cette corde passait dans une poulie, et venait finir sa course sur un système à manivelle.
J’attachais donc avec cette corde, les poignets de Gwenn, déjà liés, puis enfin, à l’aide d’une dernière corde, j’attachais les chevilles de Gwenn déjà liés aussi à ses cuisses, prenant soin de bien serrer.
Le sol était recouvert d’une épaisse moquette bleue.
Me dirigeant vers la manivelle, je commençais doucement à faire quelques tours, la corde s’enroulait lentement autour du moyeu central relié à la manivelle, et du même coup, les poignets de ma captive furent tirés en arrière, obligeant cette dernière à se pencher en avant. Après quelques tours de manivelle, Gwenn avait les brais relevés dans le dos, elle était penchée, la tête basse, elle ne disait rien, mais je sentais que la douleur gagnait doucement ses bras…
Je lui demandais alors de me décrire ses sensations, je lui disais de ne pas résister, de se laisser aller, même si elle voulait pleurer, je voulais qu’elle se libère, non pas de ces liens, mais de cette honte qui la terrassait !
« Gwenn ! Réponds-moi ! Quelle est ta condition ? »
« Je suis soumise Monsieur Le Vicomte »
« En es tu fière ? »
La question semblait troubler ma douce soumise, elle ne répondait pas, je la sentais en pleine confusion…
« Je… Je ne sais pas Monsieur Le vicomte… » La réponse était enfin la, et moins pire que ce que j’attendais, ne le savait-elle pas, ou ne voulait-elle pas répondre ?
« Que ressens-tu maintenant ? La ! Tout de suite ! Réponds ! Vite ! »
« Je… Je ne sais.. Mais… Je… Je suis bien ! » Finit-elle par crier en éclatant en sanglots !
« Doucement, je me postais derrière elle, et lui caressais la nuque, puis les cheveux.
D’une voix douce, et posée, je lui dit-alors :
« Gwenn, pourquoi as-tu honte d’être bien ? Ecoute moi bien ma douce, Ecoute bien ce que je vais te dire, et tu réfléchiras sur ces mots après… Moi, Le Vicomte, je ne pourrais pas subir la moitié du quart de ce que tu subis actuellement… tu es beaucoup plus forte que moi, tu es soumise, et plus forte que moi qui suis Dominant, tu peux le croire ? Toi, tu es bien, tu subis, tu souffre et tu es bien , et tu as honte de ça ? Au contraire ma douce, au contraire, tu es soumise, tu es forte, tu es belle, tu es bien, sois fière de toi, sois fière de ta condition, accepte toi comme tu es… »
L’aidant a boire un peu d’eau, je laissais ma belle captive réfléchir à tout ca, la laissant dans cette position douloureuse, ce bondage qui la faisait souffrir, mais sans qui elle serait malheureuse.
Ce n’est qu’une heure plus tard que je revins, doucement, je détachais Gwenn, doucement, elle se déplia, et je l’invitais alors à venir s’agenouiller à mes pieds, alors que je prenais place dans le canapé.
Gwenn buvait doucement, je la regardais, j’étais fier de voir qu’elle avait un visage radieux, elle souriait. Une fois son verre fini, elle posa sa tête sur mes genoux, et d’une douce, voix, me dit alors :
« Merci Monsieur le vicomte, Merci, car maintenant, je sais ce que je veux, je sais qui je suis, je sais ou je veux aller, avec qui et tout ça, j’en suis fière ! »
Une soumise naissait, une soumise de valeur, une grande Dame de 21 ans. Un bonheur m’envahissait, un bonheur simple, mais intense…
Un ange s’offrait à moi…
 
Le Vicomte
Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Samedi 15 décembre 6 15 /12 /Déc 07:30
Un grand merci au "Vicomte " pour sa contribution joliment tournée à ce blog.
Je vous salue bien bas, Monsieur.
 
            Gwenn adorait le contact du satin, cette douceur qui glissait sur son corps, cette fluidité qui la mettait en valeur, cette légèreté qui accompagnait la fluidité de son corps et elle apportait au satin une prestance jamais vue alors.
 
            S’en était maladif, elle ne pouvait plus s’en passer, un foulard ne suffisait plus, elle portait de plus en plus souvent de robes en satin, des jupes satinées, des chemisiers, et ce, du matin au soir, et du soir au matin.
 
Ce qu’elle appréciait le plus, était la sensation de liberté de mouvements que lui offrait ce tissus, et le soir venu, elle se précipitait dans sa chambre, pour passer l’une de ses nombreuses nuisettes en satin, la plus longue possible, de façon a ce qu’elle puisse ressentir au maximum, le contact de ce qui devenait son « amant ».
 
            Elle était étendue sur son lit, drap en satin contre nuisette longue en satin, elle adorait cette sensation de glisse.
 
            Ce soir, c’était plateau télé, pas la force de quitter ce nid douillet, devant elle, les images d’une actualité brutale, faite de douleurs et de pleurs défilaient devant ses yeux tandis qu’elle engloutissait une bonne salade verte.
 
            La sonnette retentie, sa meilleure amie qui l’invitait à sortir…
 
 « Je suis trop fatiguée, je ne vais pas tarder a me coucher, mais entre prendre un café, j’allais m’en faire un ».
 
Elles étaient assise l’une en face de l’autre, dans le salon, discutant de choses et d’autres, de leur journées, et petit à petit, le sujet du satin vint rapidement, et les deux amies n’étaient pas totalement d’accord, car si Gwenn n’y voyait pas d’inconvénient, son amie en revanche en voyait un de taille… le satin… ça glisse !!!
 
En quoi le fait que le satin glisse pouvait être un inconvénient, pour elle, bien au contraire, c’était encore un avantage.
 
Mais Lise tint à lui prouver le contraire, proposant alors à son amie d’en faire un pari… A 10h00 demain matin, Gwenn avouerait que ce détail, serait un inconvénient.
 
Cette dernière accepta, et Lise avait carte blanche pour le lui prouver. Cette dernière lui proposa de l’attendre le temps pour elle d’aller chercher quelque chose.
 
1h00 après Gwenn ouvrait a nouveau la porte a son amie qui tenait un sac a dos sur l’épaule. Elles prirent toutes deux la direction de la chambre, et sans plus attendre, Lise dévoila le contenu de son sac.
 
De nombreuses cordes de coton étaient alignées sur le lit, Gwenn comprit aussitôt ou voulait en venir Lise, et après avoir hésite un long moment, fini par accepter de relever le défi, après tout, elle avait fait un pari et devait le gagner.
 
Apres les avoirs croisés dans le dos, Lise commençait a lier solidement ensemble les poignets de son amie. Puis, a l’aide d’une autre corde, lia ensemble le plus rapproche possible, les coudes de son amie. Vint ensuite le tour des jambes, juste au dessus des genoux, puis celui des chevilles. Apres quoi, elle entreprit de rassembler en les liants ensemble dans le dos, les chevilles et les poignets de Gwenn, cette dernière devant alors plier le plus possible les genoux, rabattant ses chevilles sur son fessier.
 
Les liens étaient serres, et cette position semblait être assez difficile à tenir.
 
« Voila chérie, si tu ne parviens pas a atteindre les nœuds, saches que je te laisse une paire de ciseaux, au milieu de ta table basse, dans ton salon, tu n’aura qu’a ramper jusque là-bas pour te libérer. C’est ainsi que tu admettras que le satin glisse, et que c’est un inconvénient ».
 
Apres avoir bâillonnée son amie, a l’aide d’une étole en satin, elle l’embrassa, et lui promit de revenir vers 10h00 le lendemain matin.
 
Gwenn ne s’attendait pas a ça, et une sensation d’angoisse jaillit aussitôt. Malgré ses cris étouffés, et ses gémissements plaintifs, Lise disparu, fermant a clef derrière elle, laissant alors sa prisonnière dans un état d’angoisses, et de panique qu’elle n’avait jamais connu au par avant.
 
Au bout de longues minutes, et après être débattu de toutes ses forces, dans l’espoir de pouvoir se libérer, elle du se rendre a l’évidence… Elle devait descendre de son lit, et ramper jusqu’au salon pour atteindre les ciseaux.
 
La première difficulté rencontre, fut de devoir descendre du lit. Or, sa nuisette satinée, contre ses draps de satins étaient une horreur… elle ne parvenait pas a se mouvoir… Elle glissait !!!
 
Gwenn se débattait tant bien que mal, essayait d’atteindre le bord du lit, mais elle était obligée de rouler sur elle-même pour le faire, et avait peur de glisser et tomber une fois au bord du lit.
 
Tout en livrant bataille contre ses liens, Gwenn vivait une nouvelle sensation qui lui faisait peur… La sensation de liberté qu’elle adorait en portant des vêtements en satin, contrastaient avec cette impuissance dû aux liens…Elle appréciait de plus en plus cette impuissance. Le fait de glisser sur ces draps, lui offrait une quasi jouissance… Jamais elle n’avait ressenti cette nouvelle sensation avant.
 
Elle était maintenant au bord du lit. Cela faisait déjà plus d’une heure qu’elle se débattait, mais il lui fallait descendre sur l’épaisse moquette blanche de sa chambre. Apres une rapide analyse de la situation, elle laissa glisser ses genoux en premier, et son corps fini par suivre. Elle chuta un peu moins lourdement qu’elle ne le redoutait, mais la douleur de cette chute avait quand même été rude.
 
Il lui fallait maintenant atteindre le salon, elle pensait que ce serait plus simple, mais ce fut tout aussi difficile, et elle devait s’aider de son menton pour avancer, car ses bras tires en arrière, ses coudes joints, n’offraient aucun point d’appuis. Elle devait ramener ses genoux vers l’avant, tant qu’elle le pouvait, et sa position de Hogtied ne lui laissait pas beaucoup de liberté de mouvements, puis après avoir ramenées ses genoux, elle devait à l’aide de son menton, se faire glisser en avant.
 
Sur le moment, cela lui semblait être une bonne idée, mais après quinze bonnes minutes, elle du se rendre a évidence, elle glissait trop, et retombait souvent lourdement sur le ventre. Elle prit alors la résolution de rouler sur elle-même, mais la aussi, la douleur de ses bras lies ensemble, et le poids de son corps sur ses poignets lies lui fit vite abandonner, pour ramper à nouveau.
 
Au bout d’une heure trente environ, elle fini par atteindre la table basse du salon. Epuisée, sa poitrine, son bassin, et ses genoux lui faisaient mal… Le fait de ramper avait endolori ces parties du corps en contact avec le sol.
 
Elle devait maintenant se mettre a genoux pour atteindre les ciseaux, places au milieu de la table basse…
 
Apres une brève réflexion, elle entreprit de se relever a l’aide de son canapé. Posant son menton le plus haut possible sur le bord du canapé, elle tentait de se relever, dans l’espoir de basculer à genoux… mais en vain. Elle s’aperçu rapidement, qu’hormis le fait qu’une fois de plus sa nuisette l’empêcher de se mouvoir tranquillement tant elle glissait, mais sa position de Hogtied, l’empêchait aussi de se mettre a genoux. Elle tentait alors de faire basculer la table basse, mais la aussi, l’espoir fut vain, car a cause du poids de la table, et du peu de liberté de mouvements, elle ne parvint même pas a bouger la table.
 
Elle eu plusieurs idées, elle fit plusieurs tentatives, mais finalement, épuisée, elle fini par rester allongée sur le sol, résignée.
 
Elle était résignée, bondagée, impuissante, et le contact de sa nuisette était d’une douceur jamais ressenti au par avant.
Mais dès qu’elle tentait de bouger, elle fut rapidement rappelée à l’ordre… Le contact du satin, sur les parties de son corps endolori, brûlait !!!
 
Et c’est a dix heures pile, que Lise réveilla son amie.
 
 Sur le coup, cette dernière fut surprise de ne pouvoir bouger… mais la soirée lui revint à l’esprit… Lise, les cordes, ce dur chemin parcouru de sa chambre au salon… Elle s’était endormie, épuisée par tant d’efforts, et Lise avait gagnée.
 
Mais Gwenn n’avait pas tout perdu, elle s’en rendait bien compte quand Lise la libérait…
 
Elle le ressentait de tout son être… Elle en avait peur, mais appréciait ressentait une déception a idée être libérée… Et ce n’est qu’au moment ou Lise voulu lui libérer les poignets, que Gwenn sauta le pas…
 
« Non, Lise, s’il te plait... Ne me détache pas les mains… Je pourrais le faire toute seule maintenant… Je vais aller me coucher sur mon lit… Tu avais tort, et j’avais raison… Le satin glisse, et c’est un avantage… Ainsi, j’étais deux fois plus impuissante… Soumise à ton expérience, et ce fut un régale.
 
Merci chérie, laisse-moi comme ça maintenant s’il te plait, et repasse demain soir… Avec tes cordes… »
 
Le Vicomte
Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Samedi 8 décembre 6 08 /12 /Déc 07:32
Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Jeudi 29 novembre 4 29 /11 /Nov 07:51

Cette blogueuse invétérée, ouverte à toutes les expériences, nous offre aujourdhui un petit retour en arrière estival... Que tout ceci est chaud.. Je pense que les "connaisseuses" apprécieront...

Chère Malika, que voici un instrument que j'aime utiliser...

 

Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 07:40

Vous commencez à connaitre Malika, cette Princesse d'ébène qui régulièrement nous fait participer à ses soirées personnelles....

Elle nous présente aujourd'hui deux amis avec qui elle semble s'amuser.... (en plus, Malika, tu as changé de coiffure me semble t-il. Cela te va à ravir...)

Comme tout ceci est bon enfant, n'est il pas vrai ?

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Vendredi 26 octobre 5 26 /10 /Oct 08:01

Régulièrement, cette Princesse d'ébène nous revient avec des clichés suggestifs de ces derniers exploits...

Ici, elle a apparemment mangé très salement et a renversé toute sa crème...... A moins que ce ne soit celle de quelqu'un d'autre...

Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Mardi 23 octobre 2 23 /10 /Oct 07:36

Une curiosité que cette photo... D'un gout que je laisse à chacun d'apprécier...

Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Pas de tabou ni de censure sur ce site, (vous me connaissez)... Vous pouvez tout me dire....

N'hésitez pas à m'envoyer tout ce qui vous passe par la tête ou le corps à l'adresse..... eros_plaisirs@yahoo.fr

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