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Samedi 28 juin 6 28 /06 /Juin 07:30


...reviens me voir quand tu veux, ma Belle...
Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Mardi 24 juin 2 24 /06 /Juin 07:30
Merci à la sublime (et coquine, je crois..) Océane pour sa contribution à ce blog.



Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Mercredi 7 mai 3 07 /05 /Mai 07:59
Il y a quelques jours, je vous proposais un petit questionnaire afin de mieux connaitre vos orientations et péférences érotiques et sexuelles. Ma soumise s'est soumise (évidemment) à ce petit test et voici ses réponses. Je prend note de tout ce qu'elle n'a pas essayé afin de remédier à cela. (je note surtout ce qui ne l'attire pas du tout... afin de lui faire changer d'avis.....) Je vous tiens au courant de la suite...

 

BONDAGE

Bâillon (général) non

Bâillon (boule) non 3

Bâillon (gode) jamais essayé

Bâillon (tissu) oui 1

Bandeau sur les yeux oui 5

Bondage du sein non

Bondage longue durée (plusieurs heures) oui 5 

Ceinture de chasteté (court terme) jamais essayé

Ceinture de chasteté (long terme) jamais essayé

Collier (porté en privé) oui 5

Collier (porté en public) oui ' 

Etre enchaîné(e) oui 4

Ficeler le corps oui 4

La suspension (debout) oui 4

La suspension (horizontal) oui 4

La suspension (inversée) oui 4

Harnais en cuir oui 3

Liens (léger) oui 3

Liens (multiples) oui 3

Liens (plusieurs jour) oui 4

Liens (public, sous les vêtements) oui 2

L'immobilisation oui 0

Strapping (momification avec plastique alimentaire)  non jamais essayé

Port de menottes oui 5

FESSEE ET ....

Cravachage (général) non

Cravachage (fesses) oui 4

Cravachage (Cuisses) oui 4

Cravachage (dos) oui 3 

Cravachage (seins) oui 2

Fessée (dure) oui 3

Fessée (légère) oui 5

Fessée à la brosse à cheveux oui 4 

Fessée avec raquette en bois oui 4

Fessée avec ceinture ?

Fessée sur les genoux oui 4

Fessée devant public initié non

Fessée aux orties jamais essayé mais NON

Fouet oui 3

Gifles sur le visage non

Martinet sur les fesses oui 5

Martinet sur la poitrine oui 5

Martinet sur le sexe oui 3

SEXE....

Analingus (donner) oui 5

Analingus (recevoir) oui 5

Avaler sperme oui 4 (**) c'est mon ancienne vie lol 

Le cunnilingus (faire) oui 5

Le cunnilingus (recevoir) oui 5

Fantasme de viol oui 5 (*)

Fellation (donner) oui 5

Fisting (anal) en cours

Fisting (vaginal) oui 5 (*)

Gode anal (public, sous des vêtements) non

Le gode anal (grand) oui 2

Le gode anal (petit) oui 3

Le gode vaginal oui 5

Les boules de geisha oui 5

Homosexualité oui 5 

La dilatation oui 5

La pénétration double non

La pénétration triple non

La privation sexuelle (à long terme) non

La privation sexuelle (court terme) oui 1

Le refus d'orgasme oui 1

Le sexe anal oui 3

Rapport sexuel oui 5

L'échangisme oui 3

Le vibrateur sur parties sexuelles oui 5

Masturbation (donnant) oui 5

Masturbation (recevant) oui 5

Masturbation forcée oui 5

Objet sexuel oui 5

Partouzes         jamais essayé

TORTURES....

Aiguilles dans le sein jamais essayé

Aiguilles dans les fesses jamais essayé

Aiguilles dans le sexe jamais essayé

Etre mordu oui 3 

La cire chaude (général) oui 3 

La cire chaude (sur la poitrine) oui 4

La cire chaude (sur le sexe) oui 3 

La cire chaude (sur les fesses) oui 4
La cire chaude (autre partie du corps) oui

Poids aux seins oui

Poids au sexe non

Les glaçons oui 4

Pince de sein oui 5

Pince sur le sexe oui 3

Tirer les cheveux oui 4

APPARENCE ....

Anneaux sur le sexe non

Anneaux sur les seins non

Avoir les vêtements choisi pour vous oui 4

La lingerie (porter) oui 5 (**) mais j'en suis interdite

Porter des vêtements de cuir jamais essayé

Porter du latex jamais essayé

Marques non 

Piercing (permanent) non non non non

Piercing (temporaire) non

Porter des talons hauts oui 5

Rasage (corps) oui 5

Rasage (tête) non non

Scarification non même si jamais essayé

Tatouage (permanent) non

Tatouage (temporaire) oui

COMPORTEMENT

Adoration des bottes non

Adoration des pieds non

Avoir la nourriture choisie pour vous oui 3

Danse erotique (en public) oui 2

Danse erotique (en privé) oui 5

La nudité forcée (publique) oui 1

La nudité forcée (privée) oui 5

La privation sensorielle non

La servitude forcée oui 4

La vidéo porno (enregistrements de vous) non

La vidéo porno (voir) oui 2

Le chiot humain (général) jamais essayé

Le chiot humain (être promené en laisse) oui 4

Le chiot humain (manger à 4 pattes) oui 2

Le massage (donner) oui 5

Le ménage (faire) oui 3

Le sexe au téléphone (pour le Dom) oui 2

Le sexe au téléphone (pour d'autres) non

Léchement (non - sexuel) oui 5

Les corvées (domestiques) oui 2

Subir un interrogatoire jamais essayé

Les règles restrictives sur le comportement oui 4

Les restrictions de discours oui 3

Les rites d'initiation oui 5

Les rituels oui 4

Les scènes de prison jamais essayé

Les scènes extérieures oui ? 

Les scènes médicales oui  3

Les scènes religieuses non 0

L'exhibitionnisme (devant amis) non

L'exhibitionnisme (devant étrangers) oui 3

L'exposition publique non

L'humiliation (privée) oui 5

L'humiliation (publique) non 

L'humiliation verbale oui 4

Mise en cage (enfermée dans) jamais essayé

Mise à genoux oui 4

Mise au coin oui 3

Modèle pour des photos érotiques non

Nourriture forcée oui 4

Restrictions de contact visuel oui 3

Servir comme mobilier oui 3 

Servir comme cendrier non

Servir comme serveuse oui 5(**) en privé !! 

Servir comme une femme de chambre oui 5(**) en privé !! 

Suivre des ordres oui 5

Trouver nouveaux partenaires pour le Dom non

Voyeurisme oui 3

Non : cracher sur le visage

Non : scato

Non :zoophilie

Non : photos sur le net

Non :video visionner public ou autres

 

 

Merci à toi pour cette franchise.

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Samedi 26 avril 6 26 /04 /Avr 07:30

 

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Dimanche 2 mars 7 02 /03 /Mars 07:30
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Mercredi 13 février 3 13 /02 /Fév 07:20
 
 
            Déjà un an que le contrat avait été signé, ce « mariage » BDSM et mes espoirs s’étaient concrétisés… Gwenn était bel et bien celle que j’attendais.
 
            Ma soumise adorée, rayonnait drapée dans ses satins, elle avait la faculté de toujours rendre une situation difficile : accessible…
 
            Pourtant ses limites de départ étaient faibles, elle n’avait découvert le Bondage, puis ce qu’elle aimait appeler la douce souffrance depuis peu de temps.
 
            Un matin, alors que je m’étais réveillé plus tôt qu’elle, je la regardais dormir, allongée sur le côté, elle avait machinalement mis ses mains dans le dos, comme espérant les retrouver liés au petit réveil. Mais en la regardant, je n’avais pas envie de la bondager une fois de plus, ce matin allait être un matin « ordinaire » à ceci prêt que j’allais m’occuper d’elle.
 
            Je me levais dans l’idée de lui préparer un petit déjeuné, et ce ne fût qu’au bout d’une demi-heure que je remontais portant un plateau rempli de douceurs, couronnés par une rose.
 
            Gwenn dormait encore, la soirée avait été difficile pour elle, une fois de plus elle avait mit toute sa ferveur a m’honorer, me rendant une fois de plus encore plus fière de la dominer.
 
            Doucement, je déposais ce plateau à ses côtés sur la table de chevet, et avec une infinie tendresse, je la réveillais, déposant sur ses lèvres chaudes un doux baiser.
 
            Sa longue chevelure recouvrait une partie de son visage, et eut un moment entre somnolence et réveil avant de se rendre compte de la situation, j’étais levé avant elle, pour la première fois en un an de vie commune.
 
            Brusquement, elle se mit à genoux, se cambrant aussitôt, la tête haute mais les yeux baissés… gardant les bras dans le dos, elle bafouillait une excuse pour ne pas s’être réveillée avant moi.
 
            Mais devant mon insistance pour se rallonger, elle fini par se laisser faire et par se taire. Ses yeux me fixaient, dévoilant une crainte de l’inconnu, quelle allait être ma réaction ?
 
            Je la rassurais en lui glissant quelques mots doux, et déposais sur ses genoux son plateau, qu’elle regardait avec un air étonné et ravi.
 
-         « Merci Monsieur Le Vicomte » dit-elle d’une voix douce et délicate.
 
Pendant qu’elle prenait son petit déjeuné, je m’étais installé à côté d’elle, nous avons discutés de choses et d’autres durant de longues heures.
 
Enfin, je décidais d’aller travailler un peu, me retirant ainsi dans mon bureau.
 
J’avais dû rester trois heures environ enfermé dans mon bureau, et je n’en ressortais alors qu’à l’heure du déjeuné.
 
En arrivant dans la salle à mangé, ou Samuel avait dû préparer le déjeuné, j’eu la surprise de ne trouver qu’un couvert, Gwenn n’était pas là, et Samuel, s’empressa alors de me rassurer, me faisant promettre de ne rien dire, ni même de chercher la raison pour laquelle ma soumise n’était pas à table avec moi.
 
Samuel était bien le seul à pouvoir me faire promettre une telle chose, et je décidais de lui faire confiance une fois de plus.
 
Puis, le restant de l’après midi se passait ainsi, sans aucune nouvelle de ma soumise.
 
Mais sachant que Samuel était son complice dans ce mystère, je décidais de ne pas m’en faire, et de terminer mon travail.
 
Ce n’est que vers les dix sept heures que Samuel vint m’interrompre, m’annonçant que le thé était servit.
 
En arrivant dans le petit salon, le spectacle qui s’offrait à mes yeux était d’un ravissement sans aucune comparaison !
 
Gwenn était là, debout au milieu de la pièce, vêtue d’une longue robe de satin de couleur bleu nuit, elle connaissait déjà bien mes goûts et mon attirance pour cette couleur, sa robe, donnait l’impression de glisser sur sa peau, laissant apparaître ses formes. Elle était face à moi, mais je devinais que ses poignets étaient liés ensemble dans le dos, ses yeux étaient bandés avec un large foulard de soie noir. Elle ne disait rien, ne bougeait pas, elle restait parfaitement immobile, devinant pourtant ma présence dans la pièce.
 
Pour donner le change, je m’installais face à elle, et pris le temps d’avaler quelques biscuits et mon thé.
 
-         « Mademoiselle Gwenn voudrait vous remercier pour la bonté dont vous avez fait preuve ce matin, et à préparé quelque chose pour vous, une fois votre collation finie, si vous voulez bien nous accompagner Monsieur »…
 
Samuel était bien son complice, mais qu’avaient ils préparés ?
 
Je les suivais pendant que Samuel tenait le bras de Gwenn, la guidant à travers les pièces du château. Puis notre chemin se termina à l’arrière de la propriété, au milieu de la pelouse, un poteau devant faire au moins deux mètres avait été dressé, et un anneau situé au moins à un mètre quatre vingt dix du sol y été scellé.
 
            C’est à cet anneau que Gwenn fût liée, ses bras toujours en arrière, mais tirés vers le haut, Samuel avait dû recevoir des indication de la part de ma soumise, car il tirait sur la corde, obligeant sa prisonnière à se pencher au maximum en avant étant au bout d’un instant obligée de se placer sur la pointe des pieds, tenant ainsi en équilibre.
 
Samuel prit alors un grand plateau en argent, recouvert d’un tissu satiné qui portait les initiales de ma soumise.
 
Retirant délicatement ce tissu, j’aperçu une badine que je ne connaissais pas, accompagné d’une enveloppe qui renfermait une lettre que je mis à lire.
 
 
 
 
Monsieur,
 
 
Vous m’avez offert ce matin un réveil accompagné d’infinies tendresses, d’amour et de joies.
 
Je vous ais toujours refusé à ce jour l’utilisation de la badine, car vous le savez, j’en ai peur, et pense ne pas pouvoir la supporter.
 
Vous avez toujours accepté ce refus, et n’avez jamais essayé de profiter de cette peur ou d’en abuser.
 
Pour vous remercier, pour vous prouver ma confiance en vous, ainsi que mon amour pour le grand homme et Dominant que vous êtes, pour vous offrir une fois de plus ma soumission, je vous supplie, Monsieur, de bien vouloir m’offrir de nombreux coups de badine.
 
Je vous appartiens corps et âme, je m’abandonne une fois de plus à vous, et remets entre vos mains mes peurs, mes craintes et la douleur que vous allez m’offrir.
 
Monsieur, par pitié, apprenez moi à aimer cette badine, que je suis allé acheté aujourd’hui et que je vous offre, comme preuve de mon attachement pour votre instrument préféré.
 
Veuillez l’accepter et faire de cet objet, partie intégrante de ma soumission que je vous offre.
 
Soyez une fois de plus remercié pour tout ce que vous m’avez apporté ce matin, et je voudrais vous remercier d’avance pour la souffrance que vous voudrez bien m’infliger à l’aide de ce qui va devenir ma nouvelle amie.
 
 
 
Gwenn, votre dévouée et aimante soumise.
 
 
 
 
 
 
A la fin de cette lecture, je regardais Samuel, qui tenait encore ce plateau d’argent, je prenais en main la badine, faisant signe des yeux à Samuel, que je le remerciais et le libérait pour la soirée.
 
En me tournant vers Gwenn, je voyais ses bras tendus qui tremblaient, de peur ? De froid ? L’équilibre et la tension de la corde ajoutée à ces éléments devaient en être responsables.
 
Il y avait ce silence, pesant, prenant, et ces mots lus quelques secondes au par avant résonnaient encore dans ma tête.
 
Gwenn gardait la tête le plus haut possible, me prouvant ainsi sa fierté d’être ainsi offerte à son Dominant, sa fierté d’être soumise !
 
Je ne disais rien, elle non plus, je l’entendais simplement respirer calmement, elle s’efforçait de rester le plus immobile possible, et son dos ainsi que sa croupe étaient devant moi, m’invitant à étrenner ce nouveau « jouet ».
 
Je ne bougeais pas, j’observais ce silence, ce moment intense, je pouvais ressentir la peur de ma soumise la douleur de ses bras tirés en arrière, je devinais la morsure qu’elle s’infligeait sur la langue, elle attendait, épiant le moindre de mes bruits, elle appréhendait l’instant de la première morsure sur ses fesses, sur son dos… Elle se devait d’être forte, elle se devait d’être à la hauteur de son offrande… Elle se devait de rester égale à elle-même, fière, forte, belle et soumise.
 
Cela devait au moins faire une quinzaine de minutes que nous étions tout deux sans bouger, je regardais cette badine, m’imprégnais de la forme du manche, parfaite, la texture du cuir était un ravissement, et son odeur oh combien agréable. Sa souplesse que je mettais à l’épreuve était d’une qualité irréprochable, sa finesse annonçait de longs et merveilleux moments. La pointe de cette badine faite de crins de cheval d’une longueur approximative de trois centimètres me laissais imaginer les différentes caresses, douces, douloureuses, ou les deux à la fois que j’allais offrir à ma soumise.
 
Je décidais de commencer par retirer le bandeau de ma jolie soumise, le foulard de soie laissait apparaître deux yeux d’un bleu mystérieux, apeurés, mais aimant et confiant…
 
Jamais je n’avais aperçu cette peur dans les yeux de Gwenn, mais jamais non plus je n’avais pu lire cette confiance et ce bonheur dans ce regard si doux….
 
Gwenn m’offrait alors un visage contrasté entre la douleur présente, la peur, la crainte de la douleur à venir, mais ce visage était en train de m’avouer tout l’amour, toute la confiance qu’elle pouvait m’apporter et m’offrir.
 
J’étais placé face à elle, Gwenn gardait les yeux baissés, mais sa respiration s’était accélérée, laissant une fois de plus trahir sa crainte, sa peur, mais son envie de continuer, de se dépasser, de s’offrir, de se soumettre…
 
Je lui ordonnais de me regarder, et après l’avoir rassuré du regard, je déposais un baiser sur ses lèvres avant de disparaître derrière elle.
 
Sa respiration se faisait encore plus rapide, mais elle se mit à tendre au maximum son corps, se cambrant ainsi au maximum, s’offrant encore un peu plus à moi.
 
J’avais simplement posé le bout de la badine sur le bas de son dos, Gwenn avait sursauté, tout ses sens étaient en éveils, elle ne bougeait plus du tout, elle avait fermé ses yeux, et sa bouche restait entrouverte…
 
Elle ressentait chaque mouvement de la badine que je faisais glisser le long de son dos, Le satin de sa robe offrait une sensation de glisse encore plus agréable, et devait offrir a Gwenn une nouvelle sensation qu’elle n’avait jamais explorée jusqu’alors…
 
Les crins de cheval de la badine glissaient, et laissaient échapper un petit bruit sourd que ce silence pesant laisser entendre.
 
Je déplaçais doucement la badine sur le dos et les fesses de ma soumise, leur laissant ainsi le temps, à l’une comme à l’autre de faire connaissance…
 
Soudain, dans un mouvement rapide, brutale, sec mais précis, la badine se décolla du bas du dos, pour se rabattre tout aussi rapidement avec une violence et une force non simulée sur sa fesse droite ! Une fois collée sur cette fesse, recouverte par cette fibre de tissu brillant et doux, contrastant avec la dureté du coup qui venait de s’abattre, la badine ne bougeait plus, comme pour marquer le coup, comme pour laisser son emprunte dans une chair tendre et rougie par ce coup sec…
 
Gwenn avait eu un bref sursaut, mais avait réussi à se contrôler, pas un son n’était sorti de sa bouche…
 
Je décollais doucement la badine de son corps, et venait me placer face à elle…
 
Ma soumise avait les yeux fermés, une larme, que je devinais brûlante glissait du coin de l’œil gauche, coulant sur sa joue tout doucement, elle se mordait la lèvre inférieur, et avait du mal à conserver la tête haute…
 
Face à ce spectacle douloureux et touchant que m’offrait ma douce soumise, je fus saisi par un sentiment de pitié, de fierté et d’amour…
 
Doucement, je défis les liens qui la soutenaient à l’anneau, la laissant se relever laissant échapper une grimace de douleur, certainement occasionnée par la position inconfortable qu’elle tenait depuis plus d’une demi-heure…
 
Lui laissant les poignets liés, je lui pris le bras, et l’accompagnais vers notre chambre, je devinais son étonnement sur son visage d’ange, un seul coup, un seul, pas plus d’un seul… déçue ? Non, je la voyais pour le moment ravi, mais elle se demandait encore ce que je lui réservais…
 
Arrivés dans notre chambre, je l’allongeais sur le ventre, lui laissant toujours les poignets liés dans le dos, prenant même soin de vérifier les nœuds.
J’avais sortis de la salle de bain une pommade anti-inflammatoire, que je badigeonnais sur une longue et fine marque rouge qu’elle allait garder pendant quelques jours.
 
Rabaissant sa robe sur ses jambes, j’observais ma soumise, qui épuisée par ce trop plein d’émotions, et la délicatesse de mon massage, avait fini par s’endormir.
 
Je remontais les draps sur elle, déposant au passage, sur ses lèvres, un doux baiser, le baiser d’un Dominant fière et heureux d’avoir une aussi « bonne » soumise.
 
 
Le Vicomte
 
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Mardi 12 février 2 12 /02 /Fév 07:30

Vous avais je déjà proposé cet ustensile pour jouer délicatement...?

Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 07:28

... crument, sans retenue.... Dans un état comme seul le Désir amoureux et l'Erotisme qui va avec, peuvent en créer...

Un long vas et viens, me rentre dedans ...
De toute façon, je n’attendais que ça ...
Que tu m’enfiles..Sans arrêt ...
Je suis a toi, a ta queue, a ton plaisir ...
Ma chatte bave ...gémis de plaisir...
Tes doigts s’engouffrent ...
Que dire ...mon cul est pris ...
Ma fleur habitée...et mes lèvres cherchent encore ton contact...
Je me balance au rythme de ton membre...
Savourant chaque pilonnement.......
Je vais..tu viens...
J’implore..arrête..je suis au bord de la jouissance...
Je quémande ...encore ...plus fort...
Ma corolle palpite .... Elle aime se faire défoncer...
Je supplie ...encore...plus vite.....
Tes mains glissent sur mon cops en sueur....
Je sens chaque pression de tes doigts.....
Je les sens me parcourirent ..m’investirent...
J’aime...oh oui j’aime ça......
A moitié sur terre..a moitié dans les airs....
Je voudrai arrêter le temps .....Cette seconde...la.....
Ton souffle chaud contre ma nuque...
Je peux plus ....je gémis ....
Viens..viens mon B....
Envoie moi ta sauce..ton jus ....
Je coule entre tes doigts ...rien ne peut plus arrêter ce flot de jouissance...
Mon corps agité par des soubresauts se laisse aller...
Sentir ton jus ....sentir tes jets ...prendre possession ...
Je meurs entre des doigts...entre ta queue...
Sur ton corps.....
Une si belle mort ..j’en rêve encore..............
Dieu que je t’aime....rien ne peut l’effacer....

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Vendredi 18 janvier 5 18 /01 /Jan 07:30
            Les jours passaient et Gwenn s’épanouissait d’avantage, acceptant petit à petit ce qu’elle refusait en bloc à la lecture de sa check liste le jour de son arrivée au château.
                        Ce soir la, j’avais décidé d’offrir à ma tendre Gwenn une soirée douce et agréable. Je voulais faire en sorte qu’elle soit bien, et heureuse, les jours précédents ayant étés éprouvant pour elle.
            Vers 18h00, je donnais l’ordre a Samuel, d’aller en ville récupérer dans la boutique de prêt à porté, une commande spéciale faite la semaine passée.
            Il ne fût pas long, et me remit une boite rectangulaire, blanche, en carton, entouré d’un ruban de satin bleu.
            « Allez déposer cette boite sur notre lit, et allez remettre cette lettre à Gwenn ».
Des instructions précises étaient données dans les moindres détails sur cette lettre, que Gwenn devait suivre au détail prêt.
            Vers 19h00, Gwenn apparue dans le bureau, plus belle que jamais !
            Elle portait l’ensemble que j’avais spécialement commandé pour elle contenu dans la boite blanche.
Gwenn revêtait ainsi une très longue jupe noire en satin, un corset à baleine et lacé dans le dos, bleu nuit, également en satin, une large ceinture en soie rouge ceinturait son corps, et elle portait autour des bras une étole dans le même tissu que la ceinture. Elle chaussait de superbes talons aiguilles noirs.
            « Gwenn, tu es resplendissante mon ange, je t’emmène au restaurant ce soir, Marc nous attends déjà sur le perron ».
            Je lui proposais mon bras, qu’elle agrippait doucement, s’installant tout les deux à l’arrière de la voiture, Gwenn posa sa tête sur mon épaule, et resta ainsi tout le long du trajet, sans rien dire, je pouvais distinguer un sourire sur ses lèvres.
Le repas, et la soirée était magique, une infinie tendresse émanait de notre couple, nous parlions à voix basse, et Gwenn ne lâchait pas ma main.
Vers la fin du repas, un ami fit son apparition dans le restaurant, et certainement sans mauvaise intention, vint s’assoir à notre table pour nous saluer.
Gentiment, et connaissant le personnage à caractère envahissant, je lui demandais de bien vouloir nous laisser pour ce soir, car nous souhaitions rester seul.
« Mais non, cela ne me dérange pas, Monsieur peut rester s’il le désir » …
Avec cette phrase, Gwenn venait purement et simplement de mettre un point final à notre soirée !
« Non, tu peux rester ici Régis, nous partons ! »
Mon ton fût sec, Gwenn comprit aussitôt qu’elle avait tout gâché, et sans dire un mot, baissant les yeux, elle se levait pour me suivre.
Le retour fût beaucoup plus pesant, je ne disais rien, et repoussait la main de Gwenn quand elle voulu me prendre la main.
De retour au château, je pris Gwenn par le bras, et l’emmenais à la cave.
Pendant que l’on descendait les escaliers, Gwenn, la voix tremblante, se confondait en excuses, prétextant qu’elle ne pouvait pas savoir que je ne voulais pas voir Régis.
Nous étions arrivés au fond de la cave, la partie la plus sombre, la partie que Gwenn n’aimait pas…
« Déshabille-toi ! » « Dépêche-toi ! » « Je te veux complètement nue ! »
Gwenn n’osait plus me regarder, elle gardait la tête basse, et ne disait plus rien, elle se déshabillait rapidement.
De mon côté, je rassemblais quelques cordes.
« Veillez accepter mes excuses Monsieur le vicomte » dit-elle d’une vois tremblante et à peine audible. Elle était nue, et gardait ses bras croisés sur sa poitrine… Je connaissais cette position, elle avait peur de ce qui allait se passer, mais savait qu’elle n’aimerait pas !
Rapidement, je lui mis les bras dans le dos, et lui attachais les mains, pus ce fût au tour des coudes, pas trop serrés tout de même, je savais qu’elle n’était pas assez souple.
Je fis ensuite un « string de cordes » comme aimait l’appeler Gwenn, prenant soins de faire plusieurs nœuds à la corde, afin que ces derniers puissent frotter les lèvres du sexe de ma soumise dès le moindre mouvement.
Je l’allongeais sur le sol en pierre, gelé, et à l’aide d’une troisième corde, je lui attachais les chevilles, les jambes croisées, l’obligeant ainsi à écarter au maximum ses cuisses.
Et pour finir, je fis un hogtied. Comme si cela ne suffisait pas, j’attachais une corde à chacun de ses genoux, et attachait chaque extrémité des cordes à deux anneaux scellés de pares et d’autre de Gwenn. Ainsi, elle ne pouvait plus se basculer sur le côté, et était obligée de rester allongée sur le ventre.
Je me saisis de deux petites pinces crocodile en argent, et soulevant ma soumise j’en plaçais une sur chaque tétons. Gwenn émit un gémissement, mais ce ne fût rien à côté du râle de douleur qu’elle se mit à pousser quand je la reposais sur le sol, en appui sur ses pinces, qui s’enfonçaient maintenant dans chaque seins.
Afin de finir ce bondage, je plaçais un ball-gag dans sa bouche, sachant parfaitement qu’elle ne le supportait pas, puis un bandeau en cuir sur les yeux.
A ce moment la, la plus grande souffrance de Gwenn n’était pas tellement les pinces, ou la position de hogtied, mais l’absence de satin !
Mais c’était sans compter l’huile d’eucalyptus que je badigeonnais sur les nœuds de la corde entre ses jambes, et dans son vagin.
Aussitôt Gwenn se mit à se tordre dans tous les sens, gémissant derrière son ball-gag, l’huile faisait son petit effet, Gwenn avait maintenant la sensation que tout son sexe brulait !
Me plaçant à ses côtés, je lui pris les cheveux, tirant sa tête en arrière, et lui dit sèchement, mais a voix basse : « Quand je dis quelque chose à quelqu’un… Ne me contredis jamais devant lui ! »
Puis presqu’en criant à ses oreilles, d’un ton sec, je dis aussitôt : « Compris ? » ce qi eu pour effet de la faire sursauter. Elle secouait la tête de haut en bas, afin de me répondre.
La relâchant alors, je m’éloignais rapidement, en faisant du bruit volontairement, mais sans rien dire.
Une fois dehors, je pris un seau, que je remplissais, puis retournait près de ma prisonnière, mais cette fois ci sans faire de bruit… Gwenn sanglotait, je pouvais distinguer des larmes qui coulaient sur le sol.
Toujours sans rien dire, je vidais d’un seul coup et sans ménagement le contenu du sceau sur ma soumise, qui eu un cri de surprise.
Cette fois, j’abandonnais ma captive.
Samuel, me voyant remonter les escaliers rapidement comprit que la soirée ne s’était pas finie comme je l’avais prévue.
« Surveillez la du coin de l’œil Samuel, vous pourrez la libérer dans trois heures, d’ici une heure, vous lui retirerais ses pinces de tétons, et remettrez une couche d’eucalyptus toutes les heures ».
Un « Oui Monsieur » fût lâché sur un ton désapprobateur, mais résigné.
C’était la première fois que je punissais ma soumise, elle, si parfaite ne m’en avait jamais donné l’occasion.
Je m’étais installé dans mon fauteuil au coin de la cheminée, je fumais nerveusement des cigarettes, en buvant une vodka sèche.
J’essayais de lire, de travailler, mais je n’étais pas concentré, j’étais mal à l’aise…
Je décidais d’aller faire un tour dans le parc, tirant sur mes cigarettes, mais je revoyais encore les larmes de Gwenn couler sur le sol, ses sanglots, les traits de son visage déformés par la douleur…
La punition de ma soumise était aussi ma punition, en tout cas, je la vivais tel quel.
Cela faisait maintenant plus d’une heure que Gwenn vivait un calvaire, et j’étais rongé par le remords.
Au bout d’une heure trente, je décidais d’aller discrètement dans la cave, Samuel était assis dans un fauteuil, non loin de Gwenn qui pleurait, ses sanglots étouffés par son bâillon.
D’un signe de la main, j’appelais mon major d’homme, et lui dit à voix basse de libérer Gwenn, ne lui laissant que ses mains liés dans le dos et son bandeau, et de la conduire dans le petit salon, lui ordonnant de s’agenouiller au centre, tourné face au miroir, et de la laisser ainsi.
Samuel eu un sourire, approuvant ma décision, et s’exécuta.
Je m’éclipsais à nouveau dans le salon, pour reprendre un verre de vodka et un cigare.
Au bout d’une demi-heure, je rejoignais Gwenn, elle était la, à genoux, face au miroir, les mains liées dans le dos, les yeux bandés.
Je retirais son bandeau doucement, et la laissait se regardait dans le miroir, comme je l’avais prévu, elle baissa la tête ne supportant pas l’image qu’elle reflétait à ce moment la.
« Regarde-toi dans le miroir ! Et dis-moi ce que tu vois ? »
Gwenn ne disait rien, à nouveau des larmes coulaient sur ses joues… Puis d’une voix faible, et tremblante, entrecoupée de sanglots, elle dit : « Je vois une mauvaise soumise qui a comprit la leçon Monsieur… ».
« Alors si tu vois ca, c’est que tu as bien compris ! Lève-toi ! »
A faisant s’allonger sur l’accoudoir d’un canapé, j’administrais à ma soumise une dizaine de coups de badine sur ses fesses.
Pas un mot, pas un cri ne sortait de sa bouche, seul les larmes et les sanglots trahissaient sa douleur.
Posant ma badine sur un meuble, je me plaçais derrière elle, et doucement, lui frictionnait les fesses, les massant lentement. Enfin, au bout de cinq minutes environ, je pris ma soumise dans mes bras, puis je la couchais doucement dans notre lit, et lui détachais les mains…
Je lui caressais doucement sa nuque, Gwenn me dit alors une chose à laquelle je ne m’attendais pas : « Merci Monsieur Le Vicomte, Je vous aime ».
Pour toute réponse, elle eu un massage plus doux, plus harmonieux de la nuque…
J’étais incapable de dire quoi que ce soit, car cette fois-ci, les larmes qui coulaient, venaient de mes yeux.
C’est ainsi que doucement, pendant que je lui caressais les cheveux, ma douce et aimante soumise s’endormait.
Je ne tardais pas à en faire autant.
Le Vicomte
Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Lundi 7 janvier 1 07 /01 /Jan 13:25

Malika m'envoie cette image en même temps que ses meilleurs voeux.....mais comme je ne suis pas égoiste, je veux vous en faire profiter. Je sais que, homme ou femme, vous appréciez cette Princesse d'ébène...

Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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