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Dimanche 23 mars 7 23 /03 /Mars 07:30
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Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Dimanche 23 mars 7 23 /03 /Mars 07:30
Voilà déjà fort longtemps que mon « fétichisme » a pris naissance. Car au fond cette passion on peut l’appeler comme on veut, certains aiment la soie, d’autre la fourrure pour jouir dessus et avec, moi se sont les draps blancs en coton ainsi que tout ce qui est blanc (lingerie, tenue d’infirmière etc.…).

Ce fétichisme m’est apparu assez jeune. A cette époque ce n’était pas le mercredi qui était jour de congé scolaire, mais le jeudi, et donc très souvent je me rendais chez une de mes tantes qui travaillait comme infirmière dans un grand hôpital de la proche banlieue parisienne où mes parents vivaient alors. Elle avait 29 ans et était très mignonne, mais célibataire. Et dès qu’elle rentrait, on allait souvent dans Paris pour faire des emplettes. Mais en l’attendant il fallait bien que je m’occupe, la télé ça allait bien un peu et il n’y avait que 2 chaînes encore.

Donc un jour l’idée m’est venue de fouiner un peu dans ses armoires. Et que trouve-t-on dans les armoires d’une jeune femme célibataire et infirmière ? De la lingerie et ses tenues d’infirmière et ses vêtements. Cela m’a impressionné pour ne pas dire excité, alors j’ai commencé à me masturber et pour ne pas laisser quelques traces que se soit je l’ai fait avec un torchon. Ma jouissance était bien physique mais sans éjaculation. Se n’est que quelques mois plus tard que l’ors d’une masturbation j’ai senti ma bite se contracter et mes couilles durcir et là, oh surprise des jets de sperme fusèrent sur le torchon, j’en fus un peu troublé mais si heureux.

Et donc chaque jeudi que je passais chez elle le torchon recevait mon sperme. Au début je faisais cela debout dans le salon, puis assis mais l’excitation n’était pas toujours forte et puis un jour j’eu l’idée d’aller dans sa chambre et surprise je vis son lit de draps blancs défait, alors l’idée me vint de m’asseoir sur ce lit et de me masturber avec le torchon. Une fois encore j’éjaculais dans le torchon, mais la vue de ses draps blancs m’excitait et la fois suivante je décidais de me masturber avec le drap. Je me mis nu, et m’allongeais sur le lit, je me frottais sur le drap c’était très bon et très doux. Ma bite grossie et durcie à m’en faire mal, alors j’eus l’idée de la mettre en arrière entre mes cuisses et là miracle je sentis la jouissance arriver, mais il ne fallait pas souiller le drap car elle le verrait alors très rapidement je mis le torchon sur le drap et finis de jouir dessus une plus grosse quantité de sperme, j’en déduisis que cela venait de cette excitation de faire cela sur les draps blancs de son lit.

Désormais chaque jeudi chez elle se passait ainsi, même rituel et même plaisir, même jouissance. Et un jour en entrant dans la chambre, je vis de la lingerie traîner sur le lit, une culotte blanche et un soutien gorge blanc. Quelle ne fut pas mon idée, et si je les enfilais. Il ne me fallut que quelques minute pour me retrouver travesti de cette lingerie très douce. Et me voilà sur le ventre allongé sur le drap blanc à me frotter énergiquement comme si je baisais une fille et le résultat arriva très vite, si vite que je n’eu pas le temps de faire ce qu’il fallait pour protéger le lit, j’étais si excité que je jouis à gros jets dans la culotte et bien sur c’était si copieux que mon sperme traversa la culotte et mouilla le drap. Heureusement ma tante n’arriva que deux heures plus tard j’eus donc le temps de sécher cette trace avec le sèche cheveux et de cacher la culotte dans un coin de l’armoire.

Mais le plaisir avait été si fort que je pensais à la fois prochaine.

Et c’est ainsi que de jeudi en jeudi, mon petit fétichisme grandit. Dès que j’arrivais je mettais le soutien-gorge et la culotte et je me faisais jouir sur le drap prenant soin de le protéger. Et puis un jour j’eus l’idée de jouir sur le drap directement mais pas au milieu, elle le verrait, alors je le fis vers le fond du lit ainsi elle ne le verrait pas. Et effectivement jamais elle ne le vit. Mais une fois de plus toujours faire ainsi, me lassa et je voulus passer à une autre étape et du coup j’enfilais une de ses tenues d’infirmière, dans les années 60/70 le port de la blouse et du tablier était de fait. Blouse sous les genoux et tablier de même longueur, c’est ainsi que je m’apparu devant le miroir de l’armoire. Mais il me manquait quelque chose et je le compris très vire, des bas.

Alors en fouinant je découvris ses bas et ses porte-jarretelles et je les mis avec passion. Ainsi travesti je me fis jouir à mort, je me sentais fille et offerte et quand j’éjaculais c’était divin. Se fut le début d’une passion pour la lingerie, les draps blancs et les tenues d’infirmières. Je vécu cela longtemps. Laissant quantité de sperme sur les culottes et les draps blancs de ma tante qui bien entendu un jour me surpris ainsi travesti. J’eus droit à une très belle engueulade, le terme est plus que juste. Mais ce jour là aussi voyant ma bite encore raide dépasser de sa culotte, elle me prodigua ma première fellation et éjaculation dans la bouche d’une femme. De puis ce jour là comprenant ce que je ressentais, c’est elle qui me préparait toute la lingerie et les tenues à mettre, et quand elle arrivait elle contrôlait les draps et ma culotte pour voir combien de fois j’avais éjaculé. C’est elle qui me dépucela en me faisant jouir dans son ventre. Puis un jour j’eu la joie de jouir dans son anus. Sa bouche elle, était souvent utilisée soit pour me faire durcir soit pour recevoir mon sperme qu’elle avalait. Côté pénétrations on a jamais utilisé de préservatif, que se soit vaginalement ou analement elle aimait que je lui jouisse dedans et sentir mon foutre en elle et le voir couler sur les draps.

Certains vont dire, mais pourquoi les draps blancs… ? Et bien je ne sais pas, sans doute parce qu’à cette époque là 99% des draps de lit étaient blancs et en coton, les draps couleurs et fantaisies n’arrivant que doucement fin des années 70, ma tante en acheta d’ailleurs quelques-uns roses ou bleus pales sur les quels nous avons jouis aussi bien, alors pourquoi les draps blancs, je ne peux l’expliquer. Tout aurait pût continuer encore quelques années, mais ma tante décéda d’un cancer. Se fut pour moi une double perte, d’abord ma tante que j’adorais en tant que telle mais aussi, une perte sexuelle énorme.

Ce n’est que deux ans plus tard que je rencontrais Martine, une jeune infirmière de 24 ans. J’étais à quelques semaines de finir mon service national et ma fiancée choisit de me plaquer littéralement deux mois avant le mariage. Le choc fut tel que je fus hospitalisé dans l’hôpital militaire de Clamart. C’est là que je fis la connaissance de Martine. Cela faisait 8 jours que je venais d’être admis, mes parents venaient de me rendre une petite visite et allait repartir à l’heure du service des repas et cette jeune femme vint près de moi et passant ses bras autour de mon coup dit à mes parents :

« Je vais bien m’en occuper rassurez-vous ».

Sur le moment je ne prêtais pas attention à cette remarque, mais au fil des jours je compris vite ce que cela voulait dire. Souvent elle venait me voir dans la chambre et s’asseyait sur le lit pour discuter. Au début je ne faisais pas trop attention à ses attitudes, et puis un jour, m’étant fait un copain dans le même cas de situation que moi, on se retrouva dans une petite cour intérieure à discuter avec Martine, elle assise en haut d’un petit escalier et nous assis sur le bas des marches et là il me fit remarquer le jeu de jambes de Martine, écartant légèrement ses cuises pour que l’on aperçoive sa petite culotte. Et puis un jour elle écarta franchement ses cuisses et me dit

« Ça t’excite ».

Quelle idée, bien sure que ça m’excitait, alors on rentra dans la chambre et là discrètement elle me remontra sa culotte en écartant légèrement l’élastique afin que je vois sa chatte. Inutile de vous décrire ma réaction. Elle, elle la vit bien, et accentua ses gestes, n’en pouvant plus je m’asseye à coté d’elle sur le lit et aussitôt elle sorti ma bite du pyjama et commença à me branler doucement avec son tablier. Tellement excité que dix ou quinze va-et-vient me firent jouir et j’éjaculais avec force et quantité sur son tablier blanc qu’elle s’empressa de porter à ses lèvres pour lécher toute ma semence. Cette situation se répéta de nombreuses fois dès que c’était possible.

Arriva un soir où elle était de service de nuit et pendant que les autres patients regardaient la télé elle me rejoignis dans ma chambre et là sur le lit elle releva bouse et tablier et écarta sa culotte pour que je m’enfonce en elle jusqu’à la jouissance. J’éjaculais tout mon sperme dans sa chaude chatte. Elle remis sa culotte en place et retourna à sa place au foyer non s’en m’avoir largement embrasser d’un baisé très amoureux. Là encore cette situation se répéta de nombreuses fois avec quelques variantes dans les positions amoureuses et quelques fois elle me laissait sa petite culotte pour la nuit. Nous n’utilisions jamais de préservatif elle n’en voulait pas du tout. Notre relation amoureuse et sexuelle dura plus d’un mois durant mon séjour hospitalier. Et quand on me signifia que je pourrais sortir, elle me donna son adresse pour que je la rejoigne. Mais cela sera l’occasion de vous narrer la suite.


MERCI A DRAPS BLANCS
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Samedi 22 mars 6 22 /03 /Mars 07:30
The Lovers-I
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Samedi 22 mars 6 22 /03 /Mars 07:30
...la dilatation s'effectue patiemment et avec doigté, Mesdames... Prudence et douceur...
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Vendredi 21 mars 5 21 /03 /Mars 07:30

La jambe

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Vendredi 21 mars 5 21 /03 /Mars 07:30

Intime

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Jeudi 20 mars 4 20 /03 /Mars 07:30
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Jeudi 20 mars 4 20 /03 /Mars 07:30

La revanche (Un pipi de Dame)


Encore tourmenté par de lointains remords,
Un esprit d’évasion, des rêves d’adultères,
Je cherchais vainement à réparer mes torts
En offrant à Justine l’occasion de ‘’bien faire’’.

Mais peut-on effacer les marques du passé ?
Les jeter dans l’oubli sans laisser une trace ?
Elle a trop enduré et bien trop supporté :
Ma fourberie, mes masques et mes belles grimaces.

Que faire donc ? Ma foi, lui offrir une chance,
Un dessert raffiné qui comblerait sa faim
De désirs refoulés, mais empreints de décence,
Son orgueil pourfendu du jour au lendemain ?

Je lui ai suggérée, ce jour-là, cette ‘’chose’’,
Cette faveur suprême, aux dires de certains ;
Mais elle a plaisanté en disant quelque chose
Que je n’ai pas compris, peut-être : ‘’On verra bien’’.

Et le temps a passé. J’étais très humilié.
Mais n’était-ce pas là, la rançon du fautif ?
Le dédain affiché par la dame trompée
N’avait-il pas ce but ? Je restais donc pensif…

Un soir (c’était Noël), elle m’a invité.
Nous étions tous les deux devant sa cheminée.
Une table garnie, joliment arrangée,
Présidait au milieu de la salle à manger.

Elle avait revêtu sa robe de velours,
Mis de longs escarpins et des bas noirs résilles ;
Ses cheveux fins, peignés mais toujours aussi courts
La seyaient cependant comme un plat de myrtilles.

Son parfum ‘’Organza’’ sublimaient sa parure
Ainsi que ses bijoux savamment disposés :
Un camée à son cou et des bagues en or pur,
Un bracelet ancien à son poignet de fée.


Son maquillage, enfin, était bien réussi :
Des paupières nacrées d’ambre doré, discrètes ;
Des cils bien allongés et de très beaux sourcils,
Des créoles aux oreilles… mais la bouche secrète…

Tous les plats semblaient bons, et les vins : un délice.
J’attendais patiemment de boire le champagne
Lorsqu’elle décida, en véritable actrice,
De prononcer ces mots dignes d’une compagne :

- Maintenant c’est assez ! Finissons-en, indigne !
Oui, ta proposition m’est revenue en tête !
Ce que je te réserve, tu en es vraiment digne !
O homme de ma vie, ça va être ta fête !

Allez ! Mets-toi tout nu devant la cheminée !
Ne te retourne pas sans recevoir mon ordre !
Tu vas voir à présent ce que ‘’femme humiliée’’
Réserve à un amant coupable de désordres !...

Face aux flammes, penaud, j’attendais la sentence,
Le ventre cramoisi par la chaleur ambiante,
Quand un coup sec, soudain, s’abattit en silence
Sur mes reins dévêtus comme une simple plante.

Pourquoi me rebiffer ?...Je l’avais mérité.
Nulle excuse en effet n’obtiendrait son pardon.
Que dire de sensé à la femme bafouée ?
Je subis donc ses foudres au-dessus des tisons.

Je ne pourrais pas dire ô combien j’ai souffert.
Mes fesses étaient en feu sous le fouet vengeur.
Après maints coups puissants, j’ai perdu mes repères
Et le goût pernicieux de jouer les menteurs.

- Allonge-toi ici ! Me dit-elle, radieuse ;
Là, sur le carrelage, au milieu de la pièce !
Sur le dos s’il te plaît ! En ajoutant, rieuse :
- Cela fera du bien à tes petites fesses.

Je la vis s’approcher dans sa robe superbe
Et elle s’arrêta à quelques pas de moi.
Ce qu’une femme veut…dit enfin le proverbe,
Dieu le veut, c’est certain (eût égard à la foi)…

De ses deux mains agiles, elle plissa sa robe,
Retira lentement sa culotte de soie,
Me la jeta dessus, ‘’- O l’infâme microbe !’’
Avec l’air décidé d’accomplir son plein droit.

M’enjambant jusqu’au buste, elle me montra, cruelle,
Ses dessous merveilleux en dentelles moirée,
Et puis s’accroupissant, elle visa, sensuelle,
Mon visage ébahi par ses senteurs poivrées.

Je ne vis que sa vulve gonflée de désirs,
Sa rose dilatée suintant de rosée,
Son urètre pointé et tout prêt pour le tir,

Et un jet prodigieux dignement préparé.

La douche parfumée et ses vapeurs intimes
Arrosait tout mon corps et ma bouche en folie.
J’avalais goulûment cette liqueur sublime,
Heureux de la faveur qui m’était consentie.

J’appréciais sans façon cet auguste breuvage
Au goût particulier, âcre, salé et chaud…
Je buvais le jet dru comme un enfant bien sage
Qui attend patiemment la tournée des cadeaux.

Combien de femmes ignorent que leurs pluies bienfaisantes
Procurent à leurs amants un bonheur sans pareil ?
Pourquoi leur refuser cette faveur plaisante
Qui les mène un instant au pays des merveilles ?

Elle se vida le ventre gorgé de nectar,
Se purgeant sans façon pour mon plus grand plaisir
Et m’obligea, en plus, sans remettre à plus tard,
A bien lécher les gouttes du précieux élixir…

Je croyais maintenant en avoir terminé :
N’était-ce pas le fruit de ma proposition ?
Mais Madame en avait autrement décidé
Et poursuivit le jeu de cette punition.

D’un mouvement rapide, elle fit demi-tour
En effleurant mon corps de ses dessous câlins,
Et, présentant son cul et ses plus beaux atours
Dit : ‘’Que je l’ai mijoté ce suprême festin !’’

Je ne la compris pas. Toutefois, dans l’instant,
Dans ma situation, j’augurai quelque chose…
J’observais, silencieux, son œillet ravissant,
Attendant le produit promis par cette pause.

J’étais vraiment coincé sans pouvoir me dédire,
Enivré par ce trou dont la dilatation
M’expédia un grand vent comme pour me maudire,
Qui embauma mon nez et mes exultations.

-Tu iras jusqu’au bout ! Prends-en pour ton argent !
Ces mots jaillirent d’elle, avec un ton rageur.
De bonnes grâces, puni, je m’inclinai, patient,
Décidé, sans broncher, d’agir avec ardeur.

- ‘’Tu pensais, mon ami, qu’un simple jet d’urine
Allait tout effacer du jour au lendemain ?
Non, tu ne connais pas la rancœur qui me mine
Et me pousse, mon cher, à t’humilier enfin’’.

Je la sentis pousser, en éclatant de rire,
Au ras de mon visage écarlate et songeur,
Et je vis s’approcher ce qui prête à sourire :
‘’Le meilleur des festins’’ embaumant de senteurs…

Je n’ose vous avouer ce qu’elle m’a donné :
Le nombre des étrons, je ne le comptai pas.
J’étais ivre de honte, damné, et relégué
Au niveau des humeurs de ce curieux repas.

Repu de ce ‘’festin’’ soudain improvisé,
De ses matières fécales et ô combien intimes,
Je terminai mon œuvre, en parfait ouvrier,
En lui léchant le cul et ses parties divines.

Apparemment comblée par ce supplice étrange
Qui honora son âme et tout son fondement,
Elle se releva, comme aurait fait un ange,
En jetant ses regards dans mes yeux, fixement :

-‘’Tu as maintenant droit au breuvage des dieux.
Nous allons, de ce pas, déguster la bouteille.
Nous trinquerons ensemble au bonheur d’être deux
Et oublierons bien vite cette soirée de veille.’’

J’appréciais vivement de me rincer la bouche
Encore parsemée de boulettes fumantes,
Des matières formées par ma sainte nitouche
Depuis la veille au soir par sa fureur ardente.

Je n’osais regarder son visage ravi,
Piqué jusque dans l’âme et dans mon amour-propre,
Mais je sentis sur moi son sourire épanoui
Me rappelant soudain que j’étais son bien propre :

-‘’ Il est temps maintenant de déguster ces plats
Tous ces évènements m’ont mise en appétit.
Tu l’as bien mérité ! N’en fais pas tout un plat !
Et tu pourrais surtout me dire un grand merci’’.

Que j’étais subjugué par ses mains délicates !
Ses doigts fins et menus, et ses ongles taillés !
Je subissais la loi de ma précieuse chatte
Qui m’avait possédé, humilié et raillé.


Moi, je ne mangeai rien…J’en avais eu assez.
Elle le remarqua, et dit d’un ton précieux :
- Allez ! Fais un effort ! Prends donc une bouchée !
Je puis te l’assurer, c’est vraiment délicieux.

Elle ajouta, sérieuse : ‘’Voilà le résultat !
Quand on va voir ailleurs, on manque le meilleur.
Si tu pouvais te voir ? Mon dieu, mais quel état !
Veille donc à présent à faire tout mon bonheur’’…

Serai-je vraiment quitte ? Et mes erreurs passées
Seront-elles oubliées ? Nul ne le sait, ma foi.
Et je pense souvent que pour être lavé,
Il faudra me prêter à son jeu bien des fois.

Est-ce pour me déplaire ? Mais non, bien au contraire.
Que j’aime ma Justine et ses nombreux appâts !
Et je veux lui offrir ces instants pour lui plaire
Et pour fuir mon passé en dégustant ses ‘’plats
’’…
merci à Armand
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mercredi 19 mars 3 19 /03 /Mars 07:30
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Mercredi 19 mars 3 19 /03 /Mars 07:30

Vous avez vu la délicieuse Prune avant hier, en cours de "séance".. La voici au début de ladite séance...

Un peu moins dévêtue...Quoique...

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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