Suite(2/2)...
les jambes fléchies, j'ai remonté ma jupe, baissé ma culotte regardé mes lèvres luisantes , les ai entrouvertes et j'ai glissé le godemiché dans mon con - ,je me suis adossée sur le mur et je me suis branlée en écoutant deux femmes discuter devant les lavabos, mes jambes tremblaient un peu, j'étais toute molle, j'aurais pu jouir très vite mais vous savez que j'aime l'attente -
merci pour vos présents, je vous offrirai le vôtre à l'appartement
laissez vos jambes disjointes, un peu écartées
le serveur voit mon jeu de jambes
vous aimez qu'il regarde ?
oui, sous vos yeux - vous savez que j'aime ça non ? en fait, chaque parcelle de mon corps jubile dans l'attente de vous ,- vous croyez que cela peut le faire bander ?
peut-être - en tous cas vous lui donnez une vision plaisante et l'assurance de votre immoralité
vous aimez avoir votre sexe rempli, ici ?
amoralité, je préfère, c'est plus juste
oui j'aime ne pas sentir la vacuité de ma fente lorsqu'elle pleure son désir de sexe
cela m'électrise, c'est infernal, si nous étions seuls je me frotterais sur le fauteuil pour le faire coulisser un peu entre mes chairs énervées et trempées - mais le savoir immobile en moi, juste là, fiché dans ma fente, et vous face à moi, sans pouvoir rien faire, c'est encore mieux, proche de la volupté
bien....que voulez-vous faire ?
aller à la messe de Noêl
vous pratiquez ? vous m'étonnez
non...mais j'aime les messes de Noel
écartez un peu plus vos jambes que je distingue mieux votre culotte
vous croyez en Dieu ?
pas vraiment en ce Dieu, mais je crois en toutes les histoires mystiques , je dois être polithéiste, les récits d'histoires fabuleuses de la mythologie m'ont donné le gout des rites et des pouvoirs qui nous échappent
c'est une foi très ...fantaisiste - mais cette idée de messe de noel est une très bonne idée-
elle s'est levée, à mis son manteau en se dandinant un peu, sans doute pour réajuster l'objet en elle
j'observais son visage lisse, ses yeux sereins, ses cheveux noirs tirés en arrière
nul témoignage sur son expression de cet objet de perdition fiché en son intimité qui exacerbait son désir
cette absence de trace de concupiscence me ravissait, je l'aimais infiniment dans ces instants de grâce
nous sommes rentrés dans l'église bondée, des chants de Noel s'élevaient dans la nef
elle a voulu s'asseoir dans les travées latérales
elle suivait la messe avec une ferveur étrange et unissait sa voix si rauque, si unique, aux chants religieux
je fus saisi d'une envie très païenne de prendre là sur ce banc cette dévote engodée à la culotte trempée qui m'est si chère- il faudra que je lui dise qu'ainsi recueillie elle me fait bander - je sus donc dans ce pic de désir violent que ce serait ici qu'elle recevrait le complément de son cadeau de Noel
je pensais m'ennuyer dans cette église mais la contemplation de mon amante était mon cadeau de Noel et je fus pret à renier mon athéisme forcené -
elle chuchotait dans mon cou
c'est beau vous ne trouvez pas ?
oh que si....je trouve que c'est très beau - allez-vous aller communier ? vous n'etes pas aller vous confesser depuis des lustres je parie
ne vous moquez pas, je vais y aller malgré tout, je me confesse directement à Dieu
ce sont des petits arrangements avec votre conscience - peut-on communier la fente remplie d'un godemiché ?
il n'est écrit nulle part que c'est interdit que je sache, cela n'ote rien à ma dévotion, je suis habitée un peu de vous et vais l'etre du corps du Christ, en toute humilité, je me sens en état de grâce
elle partit donc l'âme en paix défiler dans l'allée centrale pour recevoir la communion
je saisis la petite télécommande dans ma poche et selectionna la première puissance pour envoyer à ma scandaleuse amante une première vibration
je la vis se figer, baisser la tête comme si elle cherchait sur son ventre quelque chose qui lui échappait
le godemiché caressait très légèrement ses chairs humides irradiant de ses ondes et de ses frottements son ventre et ses reins
elle restait droite et fière immobile , les fidèles qui la suivaient la bousculaient un peu
elle tourna la tête vers moi, les yeux agrandis et incrédules
elle approchait de l'autel le visage toujours lisse, l'âme apparemment sereine , le con trempé- je redoublais l'intensité masturbatoire au moment où le prêtre glissa l'hostie entre ses lèvres
peut-être voulais-je rivaliser avec le Christ et revendiquer la conquête de mon territoire , lui en bouche, moi en con
elle revint vers moi la tête un peu penchée ,les joues en feu, ses mains l'une dans l'autre posées sur son ventre dévasté - je reconnus dans ses yeux l'étincelle ténébreuse du plaisir indicible - je fus clément et calmai un peu du bout du doigt dans ma poche le va et vient de l'objet
le regard qu'elle leva vers moi avant de s'agenouiller sur le repose- pied m'avouait son égarement, son indécente complaisance
sa bouche entrouverte sur l'hostie qui fondait sur sa langue me baisait l'âme
silencieuse , à genou, les jambes un peu disjointes, sa nuque courbée en offrande dévoilait ses petits cheveux fous si noirs
elle appuya ses mains jointes sur le bois rugueux comme si elle aquiessait à l'assaut final - je mis la puissance maximum, elle creusa à peine les reins pour mieux préter sa chatte gonflée au plaisir et releva son visage de Madone vers la voute céleste- ses doigts se crispaient, son jus coulait sur ses lèvres gonflées, poissait sa toison, maculait sa culotte- son parfum de femelle excitée se mélait à celle de l'encens
les gens s'étaient relevés et chantaient à nouveau
elle resta agenouillée, le regard extatique
sa jouissance toute sacrée fut longue
elle se contraignait à l'immobilité absolue - seul son sexe emprisonnait l'objet infernal dans ses chairs en fusion en proie à un séisme dévastateur
son périnée se crispait, les pétales froissés de son anus s'ouvraient en corrole, c'était l'apocalypse
je percus les soubresauts et les tremblement de ses jambes
elle baissa la tête en resserrant les jambes avant de se relever très digne, le sourire de la Joconde au coin des lèvres
nous sommes sortis sans attendre
elle trembait encore
vous sentez-vous toujours en état de grâce ?
sans me répondre elle m'entraina vers un square désert et noir, se plaqua contre mes jambes les doigts sur ma braguette, elle défit fébrilement chaque bouton, posa un doigt sur l'emplacement de mon sexe, s'accroupit lécha le renflement du coton de mon boxer jusqu'à ce qu'il fut trempé
elle dégagea mon sexe dur, posa son doigt sur le gland tout humide de mon excitation divine , sa langue délicate lapa ce jus clair avant de me faire disparaitre dans sa bouche chaude, j'eus la sensation de pénétrer un lieu sacré
elle recula, se releva , gesticula sur sa culotte qu'elle fit valser au loin et m'enlaca de ses bras d'ébène le nez dans mon cou
sa main glissa entre ses cuisses, elle en rapporta l'objet blanchi de son jus qu'elle planta dans sa bouche en se hissant sur ma queue happée par ce marécage comme des sables mouvants
je l'empoignais par les hanches, elle noua ses jambes autour de moi et je la baisais avec ferveur
"joyeux noel", me chuchota -t-elle
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