La suite...
Puis elle le sentit s'agenouiller devant elle, et il commença à lier chacune de ses chevilles à chaque pied de la chaise, lui faisant plier très légèrement chaque jambe, ce qui ouvrait davantage son intimité à sa vue.
Maintenant, chacun de ses membres était attaché solidement à la chaise et le fait qu'il lui ait plié légèrement les jambes faisaient en sorte que ses cuisses soutenaient davantage son poids, ce qui les faisaient légèrement trembler. Elle tenta de s'avancer pour réduire la tension mais sentit alors ses bras tirés de manière inconfortable.
A cet instant, elle sentit qu'il lui glissait une corde plus fine autour de la taille, l'amenant dans le dos du siège, puis revenant.......glisser la corde devant elle. Il la regarda un très court instant, écarta de ses doigts très légèrement ses lèvres intimes, joua quelques secondes avec le clitoris, les grandes lèvres, juste suffisamment pour l'affamer et la frustrer, mais l'excitant déjà bien plus encore, puis écartant les lèvres, il y glissa la corde, qu'il s'amusa à tirer légèrement mais d'un coup, la faisant hoqueter de surprise et de plaisir.
Il disposa lentement, consciencieusement, la cordelette de part et d'autre de son clitoris, laissant ainsi largement écartées les lèvres d'un sexe qui étaient moites.
Elle sentit son clitoris palpiter. Clairement. Pas assez pour enflammer son désir.
Il prit alors la chaise, la soulevant à demi, pour venir l'appuyer contre le mur. Afin qu'elle ne se sente pas déséquilibrée.
Et elle put alors le voir aller fouiller dans la malle, et revenir vers elle avec des pinces reliées par une chaîne très fine. Il tenait également une autre chaîne qu'elle ne connaissait pas, d'autres pinces, différentes.
Il prit un martinet et sans qu'elle eut pu anticiper, la frappa légèrement, ce qui fit jaillir d'elle un gémissement de surprise autant que de plaisir.
Retournant à la malle, il en sortit des boules de geisha reliées à une télécommande.
Elle le regardait faire avec convoitise, appréhension et une anticipation de mois en moins maîtrisable, sentant son sexe se contracter puis se dilater.
Enfin, il revint.. avec un bandeau.
Il plongea ses yeux dans les siens, et vit qu'elle avait le regard déjà un peu lointain. Il sourit et juste avant de lui bander les yeux, il la laissa regarder, si elle en avait envie, sa langue venir lui lécher, sucer chaque téton, les faire durcir et pointer davantage, la laissant émettre un son savoureux, surpris et noyé de plaisir, juste avant qu'il ne referme chaque pince sur les pointes de seins, lui arrachant un autre gémissement de surprise douloureuse.
Afin de compenser immédiatement, il a repris sa caresse de langue et de baisers tout autour des pinces, sur les mamelons et chacun des seins, effleurant le contour des seins de ses doigts.
Il a plongé ses yeux dans les siens, elle y vit l'envie et le plaisir. Le leur.
Et lui a bandé les yeux.
Elle a lâché un : - Ohhhhhhhh .... de douleur puis d'apaisement..
Il a continué ses caresses, la léchant, la frôlant sur toute la surface de peau libre, le haut des cuisses et l'intérieur, si sensible.
Puis elle l'a senti, délicatement prendre entre ses doigts une de ses lèvres intimes, parcourant d'un autre doigt la partie charnue et déjà gonflée. C'est alors qu'elle l'a senti proche de lui, et soudain il a fouillé sa bouche de sa langue, l'embrassant et enroulant sa langue de la sienne, l'égarant, pendant qu'elle sentait une douleur fulgurante plus bas, sur une de ses lèvres intimes. Elle n'avait jamais vécu cela.
Il a ennfoui presque violemment sa langue entre ses lèvres, enroulant sa langue à la sienne, pour couvrir la douleur et la mêler au plaisir, la baillonnant de son baiser qui éclata en elle comme s'il la pénétrait totalement.
Il la ballotait entre plaisir et douleur, en faisant un plaisir particulier, la laissant s'apprivoiser de toutes ses sensations divergentes.
Alors il fit de même, très délicatement, avec l'autre lèvre intime, lui mettant la pince tandis qu'elle rugissait à nouveau sous la douleur qui s'apaisa peu à peu.
De nouveau, sa langue à lui vint couvrir son gémissement et verrouiller son cri, la laissant sentir ses points de réveil sensibles mêlés à ses caresses légères, tendres, profondément excitantes et affolantes.
C'est alors qu'elle sentit davantage la palpitation de son sexe, comme si toutes ces caresses atténuaient la douleur pour laisser place à une perte de contrôle absolu.
Il tira très légèrement la chaîne reliant les pinces des tétons en même temps qu'il tirait celle qui pinçaient les lèvres de son sexe. Il le faisait avec espièglerie. Le plaisir devenait inimaginable.
Elle ne savait pas si elle souriait ou gémissait. Elle ne savait plus grand chose.
Elle sentit qu'il écartait légèrement la corde glissée au milieu de son sexe, et il y introduisit quelque chose de froid, et elle eut l'impression d'aspirer ces boules comme si elle était assoiffée de frâicheur. Ne lui laissant aucun répit, délibérément, il se glissa derrière elle, et introduisit habilement un doigt dans son passage pourtant bien clos, la submergeant de toutes parts.
Elle sentit confusément que quoi qu'elle tente d'anticiper, quoi qu'elle commence à apprivoiser, il provoquait en elle une autre sensation, inattendue, improbable, démulitpliant les précédentes, ou les ravivant.
Une stimulation de plaisir ou de délicieuse douleur d'un côté provoquait presque la même en écho et en vibration de l'autre côté, comme une danse infernale.
Tout l'amenait au bord de l'orgasme, jusqu'à le craindre tant la force de ces sensations la submergeaient, dans ce mélange de taquineries, de maux, de caresses et de stimulations.
Si bien attachée fut-elle, elle tentait de s'avancer pour que la corde vienne à frotter sur le clitoris, mais n'y parvenait pas. Elle suffoquait d'envie de venir, de se laisser partir de plaisir inconscient.
Elle réalisa alors qu'il avait tout fait en ce sens. L'emmener, la mener, sans cesse, sans arrêt, toujours à la crête et au bord.
Elle gémissait, s'entendit gémir. Puis elle l'entendit qui lui murmurait à l'oreille :
- Ssshhhh... mon petit amour... comment vais-je pouvoir dormir si tu fais tant de bruit ?
La terreur la prit. Dormir ? ? Mais combien de temps allait-il la laisser ainsi ?
A cet instant, il écarta la corde entre son sexe, retira doucement les boules et y enfouit ses doigts, contournant de son pouce le clitoris exaspéré. Tandis que ses cuisses tremblaient de manière incontrôlé.
Il la délia, retira délicatement chaque pince en la prévenant chaque fois de la douleur à attendre, la léchant dès leur retrait, puis la prit dans ses bras et la posa sur le lit, ne lui laissant que le bandeau, et la pénétra presque soudainement, fortement alors qu'elle était exténuée d'être si affamée de cela, de lui.
Il murmura à son oreille : - "Alors....petit amour... Est-ce que les plaisirs les plus simples ne sont pas les meilleurs ?"
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