C'est volontiers que je laisse ici la parole à qui la demande... Peut être ai je réussi à créer un espace de liberté pour tous ceux et celles qui ne peuvent raconter "tout cela" ailleurs ? ! Alors, à Toi, Cindy...
Je m'appele Cindy, et c'est ma deuxième vie ! Mais non, amis lecteur, je n'ai pas à ce stade du récit d'ors et déjà pété mes plombs, et n'entend certes pas vous parler de métempsycose !
Si j'ai une deuxième vie, c'est que la précédente ayant sombré, je l'ai refaite.
Deux mots de tout cela vous intéresserait-il ?
Juste deux mots alors !
Résumons 13 ans de mariages : 1 an d'amour fou, 12 ans d'ennui, ma vie sexuelle réduite au minimum vital. Mon ex a profité de ma première et éphémère liaison adultère pour demander le divorce qui fut prononcé à mes torts (merci encore madame la juge !). Pécuniairement j'étais proche de la misère, affectivement aussi, dans ces moments-là seuls les vrais amis restent, et je vous assure qu'il n'y en a pas beaucoup.
A cette époque le chômage battait son plein, et trouver un petit boulot y compris par intérim était une gageure. J'ai donc pensé à vendre la seule chose qui me restait : mon corps ! Ce ne fut pas l'enthousiasme, mais l'idée me vint très vite de me spécialiser dans " les masos " Je devins donc Maîtresse Dolorès, (Maîtresse Cindy c'était déjà pris !) Et j'ai ainsi amassé quelques pécules en humiliant, fouettant, attachant, pinçant, un nombre imposant de bonhommes qui de toute façon adoraient cela. Ça tombait bien, moi aussi ! L'activité me laissait mon intégrité corporelle, et je me faisais l'illusion de me venger ainsi de ce monde dominé par les mâles. Cela ne m'empêchait pas d'entretenir de temps à autres des relations plus classiques. C'est bien beau le SM, mais il n'y a pas que ça dans la vie. J'ai fait ce truc presque deux ans, et un jour vint Emile !
J'ai du lui faire trois séances à l'Emile, je commençais à savoir ce qu'il souhaitait et les relations devenaient à la fois plus simples et plus sympathiques. Mais ne voilà t-il pas que pour cet opus 4 l'Emile, justement formule des exigences bizarroïdes :
- J'aimerais qu'on partage !
- Qu'on partage quoi ?
- Le plaisir !
- Mais il EST partagé !
- Non tu ne comprends pas ! Je voudrais que l'on alterne les rôles !
- Tu voudrais me dominer ?
- Oui, un petit peu !
- Non !
- Tu n'aime pas cela ?
La question était bonne mais hors de propos ! De toute façon, qu'importe la réponse, je n'étais pas d'accord.
- C'est une question de principe, personne, n'est à l'abri d'un coup de folie ! Je ne peux pas te laisser faire ça ! Désolé !
- Tu le fais bien, toi !
- Mais c'est MON métier !
- Je ne t'attache pas, je ne te bâillonne pas, je ne te bande pas les yeux, et j'arrête quand tu me dis. Est-ce que dans ces conditions tu serais d'accord ?
Allez donc savoir pourquoi, j'ai fini par dire oui, il se dégageait un tel charisme chez cet homme, une telle confiance que je me suis laissé faire et il m'a flanqué une fessée plus symbolique qu'autre chose d'ailleurs.
Le climat de confiance ainsi créé déclencha un déclic. Soudain nous n'avions plus envie de nous séparer, on s'est mis à parler de tout et de rien, de notre vie. Lui aussi avait divorcé, cherchait l'âme sœur et me laissa comprendre que j'étais peut-être celle-ci. On a finit par faire l'amour " pour de vrai ", puis on est allé au restaurant, on s'est ensuite promené dans les rues, et il m'a emmené chez lui, on a refait l'amour.
Je n'ai pas quitté Emile depuis, dominateur dans ses jeux érotiques, il l'est beaucoup moins pas dans la vie courante, et s'est révélé un être très sensible et souvent respectueux. Souvent, mais pas toujours, un certain machisme se réveille parfois, mais j'y suis attentif et il le sait. Il m'aime, je l'aime ! Ce ne sera jamais la super passion grandiose et délirante, mais c'est de l'amour malgré tout ! Je l'aime mon Emile, il ne s'appelle pas Emile, d'ailleurs et peu importe son vrai prénom ! Il gère une mini pizzeria dans laquelle je travaille à présent comme serveuse.
Le lundi c'est fermé, et le lundi c'est le jour de nos escapades, de nos folies. Mais le délire n'est pas toujours au rendez-vous ! Ce serait trop beau, ou se serait monotone, tout dépe
nd comment on voit les choses.
Emile m'a révélé mes penchants exhibitionnistes, j'adore me montrer, provoquer, susciter le désir et l'envie. Il y a à la sortie de la ville un petit bois. Le bois de l'étang, ça s'appele. Cela doit faire des siècles qu'il s'appele comme ça même si l'étang s'est depuis longtemps bien asséché. Il est fréquenté, du moins une partie, par les voyeurs et les exhibitionnistes. C'est parfois assez intéressant, d'autre fois, il ne se passe rien du tout, ça dépend des jours, du temps et de plein d'autres choses
Avec Emile nous faisons un premier parcours en voiture, il semble qu'il y ait un peu de monde ce soir, plusieurs voitures sont garées sur les bas côtés, ainsi que deux poids lourds, nous regardons si d'aventure un autre couple n'aurait pas eu la même idée que nous ! Hélas, non ! Pas de couple pour l'instant !
Tant pis, nous nous garons derrière l'un des poids lourds et nous descendons de voiture. Nous nous plaçons à gauche du véhicule, côté route. Personne ! Les voyeurs sont soit bien planqués, soit occupés ailleurs. On décide d'attendre et on discute un peu en fumant une cigarette. Je me suis habillé assez simplement, une petite jupe grise avec un gilet assortis, j'ai mis en dessous tout cela un petit ensemble culotte et soutien gorge noir. Je n'ai mis ni bas ni collants, il fait assez chaud comme ça !
On se roule un patin, comme ça en plein milieu de la route, toujours personne, mais nous savons par expérience qu'ils finiront par venir. Toutes ces voitures appartiennent bien à quelqu'un, non ?
- Tu me fais pisser ?
C'est l'un de ses jeux à Emile, ça tombe bien, j'adore ça ! Je commence par déboutonner mon haut, puis j'ouvre la fermeture éclair de la braguette de monsieur, il faut ensuite se débrouiller et farfouiller pour trouver le bord du slip et extraire le mâle organe ! Comme si ce ne serait pas plus simple de descendre tout cela ! Mais, non il parait que c'est plus érotique de faire sortir zizi de sa braguette, moi je veux bien, je ne suis pas contrariante... Ça y est la bête est sortie. Monsieur pisse un petit peu sur le bitume de la petite route tandis que je lui caresse la verge. J'approche ma bouche, il interrompt sa miction, je le lèche un petit peu, je ne déteste pas le goût du pipi quand il jaillit de sa source. Ce cochon le sait bien et me gratifie de quelques gouttes que j'avale avec gourmandise. Puis, je le libère, mais dirige maintenant son jet sur la chaussé ou je m'amuse à lui faire faire des petits ronds rigolos. Il avait une grosse envie. J'ai soudain envie d'en prendre un peu, je le fais. Glou-glou, c'est vrai que c'est super bon !
Tiens ! J'ai vu quelque chose bouger, ça y est les voyeurs arrivent. Emile leur fait signe qu'ils n'ont pas besoin de se planquer, mais c'est toujours pareil, ce sont de grands timides, chacun attend que ce soit l'autre qui commence.
Je me mets carrément à genoux devant Emile et entreprends de le sucer ! Un truc que j'aime bien, c'est de prendre sa bite encore à moitié molle et la faire durcir dans ma bouche, grâce à un savant jeu de lèvres et de langues. Ça va d'ailleurs assez vite, la voilà toute dure, la bite à Emile... Et moi me voilà toute excitée. Je lui suce le gland. J'essaie d'adapter la fellation de façon à ce que les voyeurs puisent en profiter. Et alors qu'à la maison j'ai tendance à engloutir, ici je ménage les aspects extérieurs, évitant de la prendre totalement en bouche, attaquant l'extrémité du gland de la langue, lapant la verge, léchant les couilles.
A suivre...
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