...suite...
Ça y est le premier rigolo est sortie de sa cachette ! Il s'est approché à environ cinq mètres de nous et se touche la braguette. C'est dingue ce que j'adore ce genre de situation. J'enlève maintenant mon haut, mais je garde pour l'instant mon soutien gorge, il faut savoir graduer les plaisirs. Je retire aussi ma jupe, et tout en continuant ma fellation, je mets la main sur ma motte toute humide de mon excitation !
Emile se libère de mon éteinte buccale et enlève son pantalon ainsi que son tee-shirt. Le voici en slip et en chaussettes, comme tout bon exhibitionniste il adore être à poil. Il s'est choisi aujourd'hui un slip que l'on va qualifier de léopard sauf que le fond n'est pas fauve mais blanc ! Je sais qu'il ne l'enlèvera pas, sa bite bien bandée restant sortie par le côté. Il me prend dans ses bras et me dépose sur le capot de la voiture.
- On fait un envol de culotte ? propose t-il
- Pas assez de monde, je la garde à la main !
J'enlève donc la chose, en fait une boule et la met de côté. Emile m'écarte alors les cuisses et me colle son visage sur la chatte, il me lèche, il est servi, elle est trempée, il se délecte, il adore ça !
Je finis par avoir un premier orgasme tant il me lèche bien, il se tourne alors et nous pouvons voir que la situation a évolué. Mon voyeur n'est plus tout seul, ils sont six à présent, et deux autres sont derrière un peu en retrait. Deux d'entre-eux se branlent carrément en nous regardant. C'est beau et c'est excitant ! Du coup j'envoie ma culotte dans le groupe, elle atterrit au pied de l'un des types, il la ramasse et la renifle. La dernière fois le gars se l'était carrément enfilée, mais toutes ces fantaisies ne se déroulent jamais de la même façon !
Emile ouvre la voiture et prend quelque chose à l'intérieur, je crois savoir ! Oui c'est bien cela, il tient un gode à la main et me le passe, je joue avec, simule une fellation, puis me l'introduit dans la chatte. En reculant Emile rejoint alors le groupe des voyeurs et s'y intègre. Il m'a déjà fait ce numéro là il y a quelques semaines, et si c'est aussi bien que cette fois là, on va bien s'exciter.
- Il y a beaucoup de bisexuel parmi les voyeurs, en tout ça beaucoup plus que dans le reste de la population, m'avait précisé mon amant.
A ses côtés, il y a un des mecs dont la bite est sortie, il y aventure une main, le type se recule, il ne veut pas. Ce n'est pas grave, le but de la manœuvre était de montrer au groupe qu'il recherchait une relation bi. A présent le reste devrait venir tout seul. Effectivement il y a un petit flottement dans la petite assemblée, un des hommes s'éloigne un petit peu, l'un de ceux qui étaient en retrait se rapproche tant et si bien qu'il est maintenant à côté de mon mari, il se branle, puis lâche sa queue, signifiant ainsi implicitement qu'elle est disponible. Emile ne se le fait pas dire deux fois. Il lui attrape sa queue et la masturbe. Elle est bien belle cette queue, je m'en occuperais volontiers, mais j'évite à ce stade d'avoir des rapports avec des inconnues. On accepte des trucs avec un, et ils se croient tous autorisés à se radiner, il ne faut pas charrier tout de même ! Emile s'est maintenant baissé et suce l'inconnu à pleine bouche, goulûment. J'entends des sortes de slurp-slurp qui me font tordre de rire ! . Un troisième s'est positionné et semble attendre son tour. A mon avis il peut toujours attendre, je sais qu'Emile ne s'attardera pas.
Effectivement, il abandonne sa proie et revient vers moi, laissant les deux "bi" qui ont maintenant fait charnellement connaissance se débrouiller ensemble. Il me pénètre, mais la situation est inconfortable, je le lui dis
- Pas confortable ? Elle n'est pas confortable ma bite ?
Ça y est, sous prétexte qu'il est excité, il va faire dans la vulgarité.
- Ben non comme ça, elle n'est pas confortable !
- Alors tourne-toi, je vais t'enculer !
- T'es vraiment un poète !
- Pouet-pouet !
Il n'y a pas ! La bête s'est réveillée, mais il n'est pas méchant Emile ! Je me retourne, offrant la vue de mon gros cul à tous ces mâles voyeurs, et je me laisse pénétrer, j'ai maintenant l'habitude. Il me pilonne, l'inconvénient c'est qu'on ne voit plus nos mateurs... Il me pilonne dare-dare et finit par jouir dans mon fondement. Toutes ces fantaisies sous cette chaleur torride finissent par fatiguer et donner soif
Les badauds sont toujours là, il y en a même deux de plus. Un peu en retrait un des types se fait sucer contre un arbre, les " bis " de tout à l'heure ou d'autres ? Je n'en sais rien et je m'en fous ! .
Emile revient avec une bouteille de mousseux, sortie toute droite de la glacière du coffre, la débouche et s'en envoie une lampée !
- Donne !
- Non ! Toi tu ne l'as pas méritée ! Dit-il en rigolant.
- Salaud !
Il s'assoit sur le capot, retire ses chaussettes et s'asperge les pieds de mousseux !
- Tiens, lèche !
- C'est nouveau ?
- Ben oui ! C'est nouveau !
- Ben non, je ne fais pas ça !
- Arrête ! Ils sont propres mes pieds !
Je fais un effort, mais non, il faut pas charrier, je veux bien lui lécher les pieds quand il sort de la douche, mais là ça a macéré toute la journée dans ses basquets, faut pas déconner.
- Et bien, non ! Je ne te suce pas les pieds !
- Salope !
- Je sais ! un point partout !
- Et une bonne fessée ça te dirait ?
- Mais avec grand plaisir !
Il descend du capot, va chercher le martinet dans la bagnole !
- Tourne ton cul, grosse salope !
- Pourquoi grosse ?
- C'est une expression, allez tourne-toi !
- Parle-moi autrement !
- Tourne-toi, salope !
- Non !
- Tu ne veux plus jouer ?
- Si ! Mais parle-moi autrement !
- Ma petite Cindy, adoré de mon cœur, j'aimerais tant fouetter ton joli petit cul, mais pour cela vois-tu, il faudrait que tu te retournasses !
- Tu vois quand tu veux ! Et pas trop fort au début !
- Oui Salope !
J'avais déjà pivoté et lui présentais mes fesses, mais du coup je refais volte face, et le regarde droit dans les yeux.
- Je t'ai dis de me parler autrement !
- Mais enfin, Cindy, on joue !
- C'est possible, mais tu es en train de perdre ton contrôle, tel que tu es parti tu va me frapper trop fort.
- Bon d'accord, on arrête tout et on rentre !
- Non on ne rentre pas, je sais que tu es capable de te reprendre, il est 19 heures 30, je t'accorde un quart d'heure, un quart d'heure où tu va pouvoir me faire ce que tu as envie ! Pour te montrer que j'ai confiance en toi ! Que je suis capable de m'abandonner ! Mais il faut que tu sois conscient que c'est en toute liberté que je fais cela, et que ma liberté je peux la reprendre à tout moment !
Il hésite un moment, de toute façon, il ne va pas hésiter longtemps, s'il refuse, c'est le retour à la maison, la crise et sans doute le début d'une dynamique qui nous conduirait à la rupture. Il n'est pas complètement idiot, Emile.
- Bon d'accord, mais je ne comprends pas bien, ce n'est quand même pas la première fois que je te dis des mots grossiers pendant nos jeux !
- Ce n'est pas une question de mots grossiers, c'est la façon dont c'est dit, c'est l'image que tu donnes de toi, de nous à ces gens là ! Je ne veux pas qu'à leurs yeux je ne sois que ta salope ! Tu comprends ça, Emile ?
- Ce que je comprends c'est que je ne bande plus !
- Ça va revenir, allez Emile tu as droit à un quart d'heure de folie, de folie... maîtrisée n'oublie pas !
- Tourne-toi, Cindy !
A suivre...
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