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Mercredi 28 mars 3 28 /03 /Mars 07:36
- Pose cette feuille Andréa.
Elle m'a regardée, je voyais la lumière du soleil à travers ses cheveux blonds. Ses yeux noisette ont mis un moment à s'apercevoir que j'avais quelque chose dans la main.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Je t'avais dit que cela arriverait...
Je me glissais dans le lit, tout près d'elle, après avoir traversé la pièce rapidement. Juste pour la surprendre. Elle me regardait comme un lapin fasciné par un chat qui rampe vers lui. Combattre ou fuir.
 
Elle m'a répondu par défi :
- Je ne t'ai jamais dit encore que je te laisserais faire.
 
Elle disait cela en me fixant, mais je sentais qu'elle se demandait ce que j'avais dissimulé dans ma main.
Dehors, les cardinaux du matin se sont envolés depuis la cime des arbres, et j'ai aperçu leurs ombres passer sur le corps d'Andréa.
 
- Aucune importance.
 
J'ai alors vu une indécision dans son regard, un doute. Je lui avais déjà parlé comme je le faisais maintenant, tranquillement. Et je voyais qu'elle pensait me connaître assez bien, après tous ces mois de relation.
 
- Hmmm... En tout cas, laisse-moi d'abord prendre une douche.
 
C'était un bon stratagème, repoussant ainsi le moment et sans doute espérait-elle qu'ensuite rien ne se produirait.
Elle a commencé à se glisser de dessous la couette, pour sortir du lit, et a laissé échappé un bruit de surprise lorsque j'ai attrapé son poignet.
 
Elle n'a pas lutté tout de suite, et s'est rebiffée lorsque d'un geste vif je l'ai retournée sur le ventre. Elle portait encore une petite chemise de nuit en coton, très courte, que je lui avais quasi déchirée durant la nuit.
Elle aimait ne pas être nue, mais surtout, appréciait assez que je joue avec ses seins et que je tète ses tétons à travers le vêtement pour commencer. Le frottement du tissu l'excitait. Elle portait aussi un string et j'ai tiré simplement sur le côté, d'un geste un peu dur, la petite bande de tissu, afin de pouvoir accéder là où j'en avais envie. Pour l'instant, je décidais qu'elle resterait vêtue.
  
- Aïe ! arrête !
 
Je l'ai plaquée sur le lit, prenant ses poignets pour les ramener dans son dos, et les croisant. C'est à ce moment qu'elle a poussé ce cri. Lorsque la corde blanche a enserré ses poignets minces, les liant étroitement. Méticuleusement. Lorsqu'elle a senti véritablement que j'irais juqu'au bout, elle a crié un :
- Non !! Mais arrête ! tu es fou !
 
J'ai balancé ma jambe que j'ai calée sur son dos, juste pour le maintenir contre le matelas et afin de pouvoir attraper ses chevilles qui se débattaient dans le vide, tellement fort que j'ai dû agir plus rapidement afin de les attraper pour pouvoir les lier ensemble. J'ai donc enroulée assez vite la corde pour bloquer ses ruades avant de pouvoir nouer ses chevilles plus confortablement.
 
Alors que je voulais la replacer pour la mettre dans une position plus confortable, elle m'a jeté un coup d'épaule, en grognant un : - Laisse-moi partir !
Et elle a rageusement lancé ses jambes maintenant liées, que j'ai repliées pour nouer ses poignets à ses chevilles. Quelques noeuds supplémentaires et mon Andréa était dans uen très belle position de hogtied.
 
Puis je me suis reculé un peu, assis sur le lit, me penchant pour savourer la fureur et une surprise particulière sur son visage. Elle tentait encore de lutter, remuant inutilement son corps en tous sens.
Caressant ses cheveux pour l'apaiser, puis passant la main sur son dos, je me suis penchée très près de son oreille pour lui dire, assez bas :
 
- Je vais t'attacher encore, un peu plus serré, puis je vais prendre les pinces et les poser sur tes seins. Ensuite, je t'introduirai un petit objet vibrant, et je vais ensuite te donner une fessée, une vraie belle fessée. Jusqu'à ce que tu en pleures.
 
J'ai vu ses yeux s'écarquiller, puis se plisser, un regard que j'avais rarement vu auparavant, et son souffle s'est fait plus court, presque sifflant, lorsqu'elle a dit :
- Délivre-moi. Immédiatement.
 
Alors j'ai claqué sèchement son cul magnifique et j'ai répondu : - Non.
 
Elle a poussé un son de rage, se tortillant pour essayer de se mettre sur le côté afin de protéger ses fesses.
- Je ne plaisante pas. Délivre-moi sinon je hurle.
J'ai adoré son regard alors. Il m'a donné encore plus envie.
J'avais fantasmé cette scène depuis un moment, mais toutes les images et les idées que j'avais pu me faire au sujet de cette scène n'étaient rien comparé à ce que j'étais en train de vivre.
 
De la manière dont elle était attachée, je voyais le tissu de la petite chemise de nuit tendue de sorte que ses tétons pointaient ainsi que la forme de ses petits seins à travers le coton.
Par dessus le tissu, mon pouce a commencé à durcir plus encore la pointe de ses seins. Elle a tenté de m'éviter mais elle n'avait guère de marge de liberté et la replaçant à plat sur le matelas, la plaquant à nouveau, j'ai glissé ma main de sorte qu'elle vienne emprisonner fortement un de ses seins. Je l'ai pressé un peu plus, le contenant tout entier dans ma paume.
Elle a jappé. Se débattant encore. Légèrement. Coincée par sa position. Pas à dire, le hogtied est une chose merveilleuse.
 
Toujours en maintenant ce sein, jouant avec le téton, j'ai plié une jambe sur le bas de son dos, afin qu'elle soit exactement immobile, et j'ai commencé à lui donner une fessée, régulière, ample, généreuse.
 
Je lui ai dit :
- Je vais te laisser attachée. Comme tu l'es maintenant. Et puis plus encore, tout à l'heure, je te mettrai un collier, et puis une chaîne.
Peut-être même que je t'enfermerai dans la grande cage que tu as vue en bas. Parce que tu sais, ce n'est pas une cage pour les animaux....
 
Elle a commencé à crier, gémir de saisissement à l'idée de tout ce que je lui disais. Je la sentais malgré elle, imaginer ce que j'avais annoncé.
Et sa révolte a repris le dessus, j'entendais et je l'ai écouté quelques secondes, tempêté, exprimer colère, crainte, honte, et autre chose d'indéfinissable. Me disant que si elle continuait, les voisins s'inquièteraient, je suis allée chercher un foulard et l'ai baillonnée avec.
J'ai senti immédiatement une forme de relâchement. Et j'ai repris ma fessée.
En tout cas, si l'envie de se rebiffer la reprenait, ses menaces et colères ne seraient pas entendues et quant à moi, rien ne me dissuadait d'aller jusqu'au bout.
 
J'avais liée mon Andréa, j'aimais terriblement ce tableau, et je l'avais indiscutablement fessée, même si du coup, je ne l'avais pas fait autant que j'en avais eu l'intention.
 
J'avais voulu la mâter, jouer à ce jeu de maîtrise, et ses réactions étaient inestimables. Elle semblait se calmer.
 
- Je vais t'envelopper dans une autre corde, si serrée que chaque veine de ton corps palpitera, que tu sentiras chaque nerf jusqu'à ce qu'il s'endorme enfin, jusqu'à ce que tu apprennes à t'abandonner.
Je vais te prendre autant de fois que j'en ai envie, te détacher juste assez pour te fouetter, te fesser, te faire sentir ton corps malgré toi, entendre ton cri devenir gémissement à travers le foulard qui te baillonne.
Je vais couvrir ton corps de goutelettes de cire, chaque goutte séchant sur ta peau, puis je te fouetterai pour détacher les confettis de cire, rougissant ta peau encore un peu plus.
Je vais pincer tes tétons, puis les lèvres si douces et sensibles, d'ailleurs, peut-être y mettrai-je une chaîne avec un cadenas, que moiseul ouvrirai lorsque j'aurai envie de toi.
Je vais te ligoter et t'emmener, et puis je t'attacherai à un tronc d'arbre, dans une forêt, et je t'y laisserai, jusqu'à ce qu'un chasseur te trouve.
 
Elle avait totalement cessé de lutter. Je la regardais, ses yeux étaient immensément écarquillés, elle avait les joues rouges, peut-être à cause du foulard, ne sachant prendre un souffle régulier, et elle était superbe dans ces expressions diverses que son visage exprimait.
 
Doucement, je l'ai soulevée pour la placer sur le côté, et j'ai giflé légèrement ses seins.
 
- Je vais te poser un collier que tu ne pourras plus ôter. Je t'y attacherai à un anneau. Peut-être durant des jours. Je vais te suspendre, jambes écartées, et je te flagellerai intimement jusqu'à ce que ton bouton soit gonflé et que ce magnifique endroit soit rose cerise.
 
Elle ne disait plus rien. Ecoutant. Reniflant. Oubliant de lutter. J'ai continué à lui raconter tout ce que je lui ferais, ronronnant à son oreille, pendant que mes mains glissaient le long de sa hanche, de son dos, de ses cuisses serrées.
 
- Je vais te mettre dans un colis et t'envoyer par la poste à ma propre adresse.Combien cela prendra-t-il pour que le colis me soit retourné afin que je puisse inventer d'autres douces tortures ?
Je vais t'attacher à ce lit et faire venir un ou deux hommes et tu ne sauras plus lequel te fait quoi.
Je vais faire tout cela et tu n'y pourras rien.
 
Elle s'est mise à secouer la tête, a recommencé à se remuer en tous sens, et je voyais le doute dans ses yeux. J'ai giflé à nouveau ses deux seins, pas trop fort. Et puis je suis allé chercher une autre corde, pour lier chacun des globes séparément. Je les voulais pourpres.
.... .... ... ...
 
- Qu'est-ce qui semble t'exciter autant ?
Elle souriait en me disant cela, un peu étonnée, attendant ma réponse.
Le soleil du matin m'éblouissant, je me suis tourné vers elle. Sous les draps, une de mains s'est posée sur la preuve de mon excitation, qu'elle a prise à pleine main, s'amusant avec, frottant doucement, remontant, descendant.
Elle a cherché mes lèvres furtivement, puis se serrant davantage contre moi, a repris sa caresse d'une manière plus précise, plus attentive.
 
- Je voulais aller acheter le journal et le pain mais là.... heu.. je suis un peu curieuse..
 
J'ai fermé les yeux, me laissant porter par sa caresse sur mon érection. Un magnifique début de dimanche. Je lui ai dit :
- Un jour, très bientôt, nous allons avoir une petite conversation.
 
Elle a cessé de me caresser, me regardant autrement. Questionnante.
 
- Ne t'inquiète pas Andréa... Rien de grave. Juste une petite conversation.
Et puis, jetant un oeil sur la forme de mon érection visible, j'ai ajouté :
- Une chose est sûre... Tu es totalement responsable de tout cela....
 
Elle a souri, puis a repris sa caresse, sensuelle, douce. Si bonne.
 
J'ai fermé les yeux à nouveau et j'ai pensé :
 
Un jour..... Oh oui.. Un jour.... Je dirais :
- Pose cette feuille Andréa.
Elle me regarderait, je verrais la lumière du soleil à travers ses cheveux blonds. Ses yeux noisette mettraient un moment à s'apercevoir que j'aurais quelque chose dans la main.
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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