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Jeudi 6 septembre 4 06 /09 /Sep 07:30
La maison est calme ce soir. La musique est douce, elle me tourne doucement la tête. Peut être les quelques verres participent aussi à transformer ma vision en carrousel. J'erre, de canapé en fauteuil, seul, un peu triste, pourquoi pas aprés tout. Je revendique cette tristesse puisqu'elle celle de l'homme qui connait aussi le bonheur. En bon juge j'ai le droit de ne pas être heureux.

C'est bien l'été, les oiseaux ce sont tus avec le soir qui est venu. La lumiére de la ville éclaire les arbres du jardin, là juste à portée de main à cette fenêtre. L'été, les corps qui sont chauds, la sueur qui colle. Je la trouve, cette sueur, dérangeante et trés érotique à la fois. En la touchant, je parcours un peu l'album de mes souvenirs. Les corps défilent, sans noms, juste un peu de bruit, du plaisir, curieusement, pas le mien. Quelques minutes dans la brise extérieure et les images intérieurs et mon état d'esprit à changé. Triste toujours, mais l'idée qui est mienne maintenant me transforme de victime en chasseur.

Je veux un corps pour me faire frémir, je veux une langue qui me goute et des ongles qui me griffent. Je veux qu'elle dise encore, je veux qu'elle soit vulgaire quand je vais la baiser. Oui c'est bien de cela qu'il s'agit. On ne parle pas de romantisme là, on parle de sexe, de plaisir partagé, de parenthéses de plaisir dans une vie qui n'en améne pas toujours.

Laisse moi quelques minutes, tentation, que je me prépare. La douche m'appelle, besoin d'être parfaitement apte à me montrer. Enlever les quelques poils qui sont encore présents. L'eau coule, je suis trempé, mes cheveux sont perlés de gouttes mélangées au gel qui les tenait.

Pourquoi faut il toujours que ce soit là, à ce moment que la sonnette fonctionne. Pourquoi cette coalition des éléments pour chasser le plaisir et le ramener à la réalité si terre à terre. 21.30 on sonne, c'est surement parce que la vieille n'a plus de beurre ou que mes talents de bricoleurs soient réclamés par je ne sais qui…

Charitable, presque parfait dans l'abnégation, je ceints ma taille d'une serviette et vais ouvrir. Les gouttes sur mon torse, mon diamant dans le nombril font de moi un homme curieusement asexué mais plaisant pour autant.

J'ouvre cette porte sur la vraie vie. Elle est là, elle est jolie comme cela au premier abord. Je ne la connais pas, mais elle m'explique qu'elle loue ce meublé là en face de moi et que venant d'arriver, elle s'ennuie et voulait saluer ces voisins.

Et bien c'est fait, salut alors. Vilain mâle, tu la regardes, tu la détailles, tu en es presque clinique d'analyse. Les résultats de ces analyses sont rapides, elle n'est pas que jolie, elle est splendide, et en plus elle le sait, et sait que tu le sais.

"Oh comme ton appartement à l'air grand par rapport au mien qui est si petit, je peux voir ?"

Voyons donc, ca n'engage à rien. Un café peut être ? Nespresso oblige il sera bon. Les lumiéres du salon incitent au délassement, sur un canapé elle se pose. Son bavardage est doux, simple et léger, comme il se doit. Je sens qu'elle est profonde mais que ce moment n'est pas le bon pour refaire le monde.

Tu me connais, nous en venons rapidement à la séduction, aux rapports hommes femmes. Une conclusion s'impose, nous sommes dans le même état d'esprit. Il faut du plaisir maintenant pour recharger nos batteries vides.

En parlant, toujours, je la regarde faire, elle caresse doucement son ventre, les yeux ouverts, me fixant, cherchant le trouble dans mes yeux ou sous ma serviette. Pour moi, une femme qui se connait se caresse. Une femme qui se caresse, me donne envie d'elle, j'ai envie d'elle.

Alors face à face, à trois mêtres l'un de l'autre nous nous donnons envie. Elle est splendide, elle respire un peu plus fort, s'interrompt parfois au milieu d'une phrase. Je fais le fier mais je suis troublé.

Elle le sait, se léve, vient se planter devant moi, et doucement retire sa culotte, enfin le micro bout de tissu qui recouvre son intimité. Là sous sa jupe, courte, elle est nue, devant moi. Elle recommence à se caresser en me demandant d'une petite voix: "je voudrai que tu me léches, j'aime la douceur d'une langue entre mes cuisses, entre mes fesses. Je suis trempée, et je veux que tu me goutes, que tu me pénétres avec ta langue. Lèche moi bien et je t'appartiendrai……."

Comme une vrille dans mon cerveau, utiliser ma langue, pas pour parler, j'aime tellement cela. J'aim fouiller une femme, gouter à ces sucs. Agacer ses lévres, son clitoris, descendre jusqu'au bout du sillon de ses fesses. Curieusement, les femmes et les hommes aiment, pour la plupart qu'on les léches entre les fesses, et pourtant c'est un tabou. Pas pour moi. J'aime le plaisir, et tant qu'il n'est pas produit à travers la violence ou l'avilissement, alors il est plaisir.

Cette femme doit lire mes pensées, elle se tourne, souléve sa jupe, se penche en avant pour s'appuyer sur la table alors si basse, et m'offre sa croupe, sans pudeur aucune. Ses lévres sont luisantes, douée pour les caresses et surement excitée autant que moi. J'ai, sans doute par omission, oublier de signaler que la serviette qui m'habille est déformée par, comment dire, un sexe préte à l'assaut...

Prenant ces fesses à pleines mains, je les écarte et darde de ma langue chaque millimétre de sa chair. Chance, technique, savoir faire, allons savoir, mais l'effet est au dela de mes espérances, elle commence à gémir, et à s'agiter, donne des coups de cul qui enfonce un peu plus ma langue. Elle s'exprime dans un langage trés clair et en exprimant chacun de ses désirs. En homme galant et prévenant, j'exécute chacune de ses demandes. Ajoutant parfois un peu de plaisir personnel. Tu sais mon gout pour les fesses, tu sais combien je suis sodomite, je t'assure que ce petit cul sera mien avant la fin de la nuit.

L'intérieur de ses cuisses ruisselle, elle a des jambes splendides, que les talons assez haut des ces chaussures d'été mettent encore un peu plus en valeur. Je crois que j'aime autant donner qu'elle semble aimer recevoir. Mes mains se mélent à la féte. Elle est visitée, fouillée, caressée, sa danse s'accélére et je sais qu'elle joui car elle déchire l'ai d'un cri quasi animal. Je ne savais pas que j'étais capable de cela.

A genoux, affaibli face à moi, elle demande une douche. Je lui offre bien volontiers, malgré mon envie folle et visible de m'occuper de mon excitation. Mais son regard et sa promesse de tout à l'heure, mélangés, font que je sais que l'instant s'approche que le retarder va le rendre meilleur.

Cette femme, dont j'ignore tout est la perfection entamant, au son de la musique, merci à la fonction repeat, un strip tease vers la douche digne des plus grands club de Las Vegas. Arriver à exciter un homme sans être vulgaire est un challenge qu'elle reléve sans problème. Même dans les moments où elle criait en me demandant de la lécher plus profond ou de prendre son cul, elle le faisait avec tant de grace qu'elle en restait parfaite. Un secret que seules les femmes savent partager.

Sous la douche elle est seule, elle me dit se préparer. Elle me dit que c'était bon, et que parce que c'était bon, elle va encore jouir et elle va me donner son corps pour que j'en joue. Elle me laisse croire que je suis un bon amant, chose tellement flatteuse pour un homme. Oui je sais, c'est facile, mesdames, c'est un secret de polichinelle mais ca marche, et à tous les coups.

L'eau s'arréte de couler, elle revient, ruisselante est nue. Elle s'arréte, me demande si je la trouve belle, prenant ses seins dans ses mains, cambrant ses reins, elle est divine. Dingue de parler de divin dans un moment pareil. Pourtant son talent atteint des sommets qui ne sont pas humains. Ne reste donc que le divin pour les qualifier.

Assis sur ce putain de tabouret où je joue de la batterie, prés de la fenètre, elle s'approche. Enléve ma serviette, apprécie son effet. Oui je bande mais ne pas le faire serait lui faire affront et surtout est au delà de mon possible.

Alors elle m'enfourche, s'asseois sur moi, plantant mon sexe au plus profond du mien, sans préambule, comme cela, d'un coup. Ses seins pointent, son sexe est de miel. Dois préciser que je suis bien ? Elle commence ses demandes: léche moi les seins, oui comme cela les pointes maintenant, mords moi, mais doucement. Tu aimes ma chatte, elle est trempée pour toi, et si tu veux, j'ai préparé mon cul pour toi.

Ce discours affole mes sens, elle danse doucement sur moi, ses yeux dans les miens. sa main caresse mon sexe quand elle le libére et le sien le reste du temps. Elle prend mes mains et les pose sur ses fesses. Demande silencieuse cette fois ci. Le miroir renvoie l'image de son dos, de sa cambrure, elle est tellement ouverte que ces fesses ne se touchent plus. Alors je tente la douceur pour la caresser. Et cette oppositon entre la violence de ses mots et la douceur de nos gestes fait le nécessaire. Elle tremble et mouille mon sexe. Une femme fontaine, rare et précieuse. Elle a joui encore sur mon sexe. Je suis trempé.

Emmene moi dans ton lit dit elle, sans même s'arrréter un instant de danser sur moi. Je l'y conduis avec peine, me séparer de la chaleur de son sexe est pénible. Mais sa surprise devant le baldaquin et la moustiquaire sont tels que je sais que nous allons encore nous amuser.

Elle s'allonge pousse les draps, se caresse, et me demande de faire des photos d'elle. Je ne sais pas comment elle sais mais je ne sais même pas si je suis capable.

Un tiroir d'un de mes placards est ouvert. Dedans, ceintures et foulards. Une idée vient. Elle à la même. Une grosse ceinture autour des seins; les bras attachés aux montants du lit par des foulards, nue pour tout le reste. Son sexe si bien épilé est trés beau. La lumiére est belle. Je la shoote, elle bouge, elle vit cet instant, me demande de lui détacher une main, j'obeis, je sais que je ne suis pas le patron là. Sa main repart elle hurle et me demande des photos de tous ces cris. L'expression de son visage est plaisir, ses seins vivent sous la ceinture, ses doigts luisent. Je fais de la photo porno chic et ca m'excite. Je m'approche pour un gros plan de son visage. Nu aussi, ca fait longtemps que je ne sais même plus ou est ma serviette. Et là elle ouvre les yeux, doucement, me fixe et me declare de sa voix rauque: "je veux que tu me prennes, je veux que tu me sodomises, je veux que tu exploses dans mon cul parce que je vais jouir comme jamais".

Est ce un cadeau, une envie, un mensonge, je ne sais. Mais en la détachant je sais que je m'en fous, je vais faire ce qu'elle veut car ses idées sont brillantes et mon désir trop fort pour tenter la moindre résistance.
Elle se couche sur le dos, en me regardant, prend ma queue dans sa main et la guide vers l'entrée de ses reins. Elle est trés ouverte et je n'ai aucunement l'impression de la violer ou de la dominer. Elle prend du plaisir et en donne en même temps. Nous sommes faits pour nous entendre. Elle me regarde, se caresse encore, m'offre ses doigts à lécher. Elle m'avoue que sous la douche elle s'est préparée à me recevoir et je sais alors que le nom de parfaite salope lui va comme un gant et la flatte infiniment quand je la qualifie ainsi.

Elle joui encore, je n'ai pas compté mais je sais que je devrai me prendre pour un surhomme. Enfin je la rejoins. Inondant ses fesses de mon plaisir si longtemps retenu.

Elle s'endort là dans mon lit quasi instantanément. Je vais me doucher, et la rejoins. Regardant son corps de reine, je la rejoins au pays des merveilles endormies. Dur de quitter cette si belle réalité. Mais je sais que le matin sera parfait....

Epicure et Marc Dorcel sont les deux seuls mâitres de ma vie ;-)
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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