Le sling ne cessait son mouvement, amenant le corps de s. d'un membre à l'autre, ils venaient la fouiller, l'amener au bord du plaisir sans jamais lui permettre d'atteindre l'orgasme. Quand son souffle s'accélérait, lorsque montait le plaisir, lorsque arrivaient les vagues qui devaient l'emporter, d'un geste de la main il faisait cesser tout mouvement. Les hommes reculaient et le sling tournait, juste le temps de faire baisser le feu qui la consumait, et pour l'offrir aux assauts d'autres membres. il ne cessait pas un seul instant son jeu de caresses et de brûlures sur ces seins, son ventre, à l'orée de son sexe.
Exsangue, haletante, elle perdait le sens du temps et de l'espace, elle se perdait dans ses sens électrisés. Elle avait la sensation enivrante d'un plongeon inversé et son corps nageait dans les remous du plaisir et de la douleur, porté par le courant bouillonnant qui coulait dans ses veines. Elle était ouverte, offerte, sans résistance, avec une faim inassouvie qui la faisait gémir, râler, se tordre dans les entraves. Parfois comme une naufragée remontant à la surface, elle cherchait à isoler son toucher à Lui au milieu de toutes les autres sensations comme elle se serait raccrochée à un radeau avant de replonger dans l agitation de la houle voluptueuse. Il lui semblait que son coeur allait éclater tant la violence des émotions, du ressentir la surprenait, la prenait toute, ne lui laissait plus de répit !
Il fit un signe et le sling s'immobilisa, d'un mouvement souple les liens qui enserraient le haut de son corps se tendirent la relevant doucement. Elle était désormais relevée, les liens écartaient largement ces cuisses. Haletante elle se maintenait aux chaînes, essayant de deviner ce qui allait arriver maintenant. Un des laquais s'avança, portant une sorte de tabouret de bar, à la différence que
le tabouret était orné d'un gode impressionnant, noir et luisant il semblait sorti tout droit de l'enfer. Le laquais disposa le tabouret sous s. le bout de l'immense plug se trouvait à présent a quelques centimètres de l'intimité de s. Doucement il s'approcha d'elle, fit descendre légèrement le sling de manière à ce que la verge de latex vienne caresser ces grandes lèvres, son clitoris et d'une main il la balançait doucement d'avant en arrière, frottant son sexe sur le latex noir.
Ses sens exacerbés hurlaient à chaque effleurement de l'impressionnant substitut sexuel. C'était une nouvelle torture qui la faisait chavirer, qui l'effrayait et l'excitait, attirance et angoisse mêlées douloureusement, chevillées dans son bas-ventre: Son corps, pourtant si sollicités, appelait, se tendait vers l'objet du délit, vers l'objet du délice. Elle n'était plus qu'un jouet désirant et désirant un autre jouet. Elle gémissait et ses gémissements étaient une supplique: qu'Il la délivre de sont tourment, qu'Il la laisse aller au supplice, au plaisir
Il cessa tout mouvement laissant le gode posé à l'entrée de son intimité puis se recula, observant la scène. D'une main il saisit la cravache, la soupesant, jaugeant la poignée, son équilibre dans sa main. Il la fit tourner doucement tout en marchant autour d'elle. Il avait une prédilection toute particulière pour la cravache, il aimait sa précision, la transmission directe des sensations a travers le manche vers son bras, son corps tout entier. Il s'approcha d'elle, faisant siffler la badine dans l'air. Du bout de la cravache il caressa sa vulve offerte, écartant ces lèvres et les disposant autour du mandrin noir qui menaçait son intimité. Il fit un geste vers l'homme qui contrôlait le sling et celui ci s'abaissa de deux centimètres écartelant son intimité, pénétrant du bout de son imposante longueur dans son sexe. Il fit le tour et reculant son bras le rabattit vivement sur elle. La cravache la cingla, laissant une marque rouge de son passage. Elle se cabra, laissant presque s'échapper le sexe artificiel, déjà la cravache retombait sur sa peau, marquant son autre fesse de striures. Il abattit sa cravache ainsi une dizaine de fois sur elle. Un signe encore et le sling s'abaissa d'une dizaine de centimètres, pénétrant son corps prenant son intimité.
Elle frémissait et palpitait, haletait et criait. Elle tremblait et pourtant elle brûlait. Le feu qui dévorait son bas-ventre était dans ses reins maintenant et se propageait, en ondes de douleurs, en ondes de couleurs, dans sa moelle épinière, dans toutes ses terminaisons nerveuses, dans sa vulve vibrante, volcanique. A chaque coup, son corps s'arque boutait et son intimité buttait sur le pieu qui la prenait, la retenait, la piégeait. Elle se tendait et se relâchait et l'énorme gode plongé en elle lui arrachait un feulement de surprise. Elle se noyait dans le sifflement de la cravache, dans la douleur qui irradiait, dans l'éblouissement de ses sens, n arrivait plus à trouver de langage articulé, voulait dire "Merci" voulait crier "Encore", ne savait plus que grogner, geindre, étouffer, râler et mordre ses lèvres. Jamais encore, Il ne l avait conduit si loin, si fort et le voyage lui semblait infini !
Il cessa d'abattre sa cravache un instant, avant de s'approcher d'elle. Il caressa doucement sa nuque laissa glisser sa main sur son dos, effleurant ces fesses douloureuses, caressant doucement ces cuisses, remontant sur ces seins dont il agaça les bouts un instants. Puis sa main fit un signe discret et le sling commença à descendre. Il la pénétra de quelques centimètres de plus et les sangles se relâchaient encore, elle s'agrippa de toutes ces forces aux chaînes qui la maintenaient pour que le pieu ne l'empale pas, se soulevant à la force de ces poignets, tentant d'échapper à la pénétration. Il revint se placer derrière elle, la cravache siffla de nouveau, s'abattant sur ces fesses ces épaules, son geste s'était fait plus vit, sa main plus lourde, et les stries se multipliaient sur sa peau.
Elle céda sous la morsure de la cravache, s'empalant dans un cri, la tête rejetée en arrière, les yeux clos, le corps secoué de longs frissons. Elle ne bougea plus ... pendant quelques minutes, possédée, laissant son intimité accueillir l'occupant, l apprivoiser, laissant les ondes de douleurs s'atténuer dans ses reins. Puis, ses mains se refermèrent sur les chaînes et, bandant ses muscles endoloris, elle se souleva un peu et entama de lentes ondulations sur le sexe de latex, laissant échapper des miaulements rauques à chaque va et vient, relâchant la tension de ses bras progressivement. Elle sentait le plaisir la submerger. La douleur avait vaincu toute résistance: Elle attendait Son ordre, Sa demande pour se laisser emporter par la vague de plaisir qui la faisait haleter, n en pouvant plus, souhaitant qu Il lui permette une délivrance trop longtemps repoussée
Il continuait à jouer de son désir, sa cravache s'abattant pour rythmer son va et vient sur le mandrin. il la faisait aller et venir, la poussant, la repoussant. Elle criait, sa tête allant et venant, sous les coups de la cravache et les coups de boutoir du gode qui la distendait, l'écartelait. il vint se placer derrière elle et déboutonna son pantalon sortant son membre dur et érigé. De ces mains il l'empala sur le membre de latex avant d'appuyer son sexe sur sa rosette, saisissant ces seins dont il tordit les pointes il s'enfonça dans ces reins, se frayant un passage contre le vit synthétique qu'il sentait à travers la fine cloison de chair en elle. Il entama alors un va et vient brutal en elle cognant sa chair contre la sienne, à grands coups de reins. Il approcha sa bouche de son oreille murmurant.
"jouis avec moi maintenant"
A ces mots, elle sentit le plaisir flamber en elle, atteindre le paroxysme. Les chairs incendiées, tout son corps possédé, elle répondit avec ardeur, avec fureur à ses coups de boutoir, se cambrant autant que le gode le lui permettait, donnant des coups de reins, sentant de façon aigu le vit de son Maître glissé dans ses reins, se frotter contre le sexe de latex à travers sa fine paroi de peau. Elle était emportée, transportée et le plaisir la submergea totalement : Elle hulula son orgasme sentant le sexe de son Maître palpiter, gonfler dans ses reins propageant de nouvelles ondes de plaisir dans tout son être. Elle cessa de respirer, un temps qui lui parut une éternité.
Il vint en elle, jouissant dans un cris, arc bouté contre sa peau, son sexe planté en elle. Son membre gonflé dans ces reins, ces dents plantées dans son épaules, les mains crispés sur ces seins, il vint en elle en longs jets brûlants, sentant ces jambes se dérober sous lui. Il resta un moment ainsi son sexe ramollissant doucement en elle, il sentait ces tremblements, ces vibrations autour de son sexe. Doucement il fit signe au laquais de remonter le sling la libérant de la pénétration. il la prit doucement dans ces bras tandis que les laquais défaisaient ces liens. Il la portât ainsi vers un des nombreux canapés qui décoraient l'endroit. Ils s'installèrent confortablement, leurs bouche l'une contre l'autre dans un long baiser. Il glissa doucement vers son oreille.
" Je t'aime Sofia, je t'aime ma soumise"
Dans un murmure voilé, elle lui répondit
"Je t'aime Dragon, je t'aime mon Guide !"
Puis ajouta d'une toute petite voix un peu tremblée mais avec un sourire lumineux en se serrant plus fort contre Lui
"Et j'ai grand soif !"
Commentaires