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Vendredi 18 janvier 5 18 /01 /Jan 07:30
            Les jours passaient et Gwenn s’épanouissait d’avantage, acceptant petit à petit ce qu’elle refusait en bloc à la lecture de sa check liste le jour de son arrivée au château.
                        Ce soir la, j’avais décidé d’offrir à ma tendre Gwenn une soirée douce et agréable. Je voulais faire en sorte qu’elle soit bien, et heureuse, les jours précédents ayant étés éprouvant pour elle.
            Vers 18h00, je donnais l’ordre a Samuel, d’aller en ville récupérer dans la boutique de prêt à porté, une commande spéciale faite la semaine passée.
            Il ne fût pas long, et me remit une boite rectangulaire, blanche, en carton, entouré d’un ruban de satin bleu.
            « Allez déposer cette boite sur notre lit, et allez remettre cette lettre à Gwenn ».
Des instructions précises étaient données dans les moindres détails sur cette lettre, que Gwenn devait suivre au détail prêt.
            Vers 19h00, Gwenn apparue dans le bureau, plus belle que jamais !
            Elle portait l’ensemble que j’avais spécialement commandé pour elle contenu dans la boite blanche.
Gwenn revêtait ainsi une très longue jupe noire en satin, un corset à baleine et lacé dans le dos, bleu nuit, également en satin, une large ceinture en soie rouge ceinturait son corps, et elle portait autour des bras une étole dans le même tissu que la ceinture. Elle chaussait de superbes talons aiguilles noirs.
            « Gwenn, tu es resplendissante mon ange, je t’emmène au restaurant ce soir, Marc nous attends déjà sur le perron ».
            Je lui proposais mon bras, qu’elle agrippait doucement, s’installant tout les deux à l’arrière de la voiture, Gwenn posa sa tête sur mon épaule, et resta ainsi tout le long du trajet, sans rien dire, je pouvais distinguer un sourire sur ses lèvres.
Le repas, et la soirée était magique, une infinie tendresse émanait de notre couple, nous parlions à voix basse, et Gwenn ne lâchait pas ma main.
Vers la fin du repas, un ami fit son apparition dans le restaurant, et certainement sans mauvaise intention, vint s’assoir à notre table pour nous saluer.
Gentiment, et connaissant le personnage à caractère envahissant, je lui demandais de bien vouloir nous laisser pour ce soir, car nous souhaitions rester seul.
« Mais non, cela ne me dérange pas, Monsieur peut rester s’il le désir » …
Avec cette phrase, Gwenn venait purement et simplement de mettre un point final à notre soirée !
« Non, tu peux rester ici Régis, nous partons ! »
Mon ton fût sec, Gwenn comprit aussitôt qu’elle avait tout gâché, et sans dire un mot, baissant les yeux, elle se levait pour me suivre.
Le retour fût beaucoup plus pesant, je ne disais rien, et repoussait la main de Gwenn quand elle voulu me prendre la main.
De retour au château, je pris Gwenn par le bras, et l’emmenais à la cave.
Pendant que l’on descendait les escaliers, Gwenn, la voix tremblante, se confondait en excuses, prétextant qu’elle ne pouvait pas savoir que je ne voulais pas voir Régis.
Nous étions arrivés au fond de la cave, la partie la plus sombre, la partie que Gwenn n’aimait pas…
« Déshabille-toi ! » « Dépêche-toi ! » « Je te veux complètement nue ! »
Gwenn n’osait plus me regarder, elle gardait la tête basse, et ne disait plus rien, elle se déshabillait rapidement.
De mon côté, je rassemblais quelques cordes.
« Veillez accepter mes excuses Monsieur le vicomte » dit-elle d’une vois tremblante et à peine audible. Elle était nue, et gardait ses bras croisés sur sa poitrine… Je connaissais cette position, elle avait peur de ce qui allait se passer, mais savait qu’elle n’aimerait pas !
Rapidement, je lui mis les bras dans le dos, et lui attachais les mains, pus ce fût au tour des coudes, pas trop serrés tout de même, je savais qu’elle n’était pas assez souple.
Je fis ensuite un « string de cordes » comme aimait l’appeler Gwenn, prenant soins de faire plusieurs nœuds à la corde, afin que ces derniers puissent frotter les lèvres du sexe de ma soumise dès le moindre mouvement.
Je l’allongeais sur le sol en pierre, gelé, et à l’aide d’une troisième corde, je lui attachais les chevilles, les jambes croisées, l’obligeant ainsi à écarter au maximum ses cuisses.
Et pour finir, je fis un hogtied. Comme si cela ne suffisait pas, j’attachais une corde à chacun de ses genoux, et attachait chaque extrémité des cordes à deux anneaux scellés de pares et d’autre de Gwenn. Ainsi, elle ne pouvait plus se basculer sur le côté, et était obligée de rester allongée sur le ventre.
Je me saisis de deux petites pinces crocodile en argent, et soulevant ma soumise j’en plaçais une sur chaque tétons. Gwenn émit un gémissement, mais ce ne fût rien à côté du râle de douleur qu’elle se mit à pousser quand je la reposais sur le sol, en appui sur ses pinces, qui s’enfonçaient maintenant dans chaque seins.
Afin de finir ce bondage, je plaçais un ball-gag dans sa bouche, sachant parfaitement qu’elle ne le supportait pas, puis un bandeau en cuir sur les yeux.
A ce moment la, la plus grande souffrance de Gwenn n’était pas tellement les pinces, ou la position de hogtied, mais l’absence de satin !
Mais c’était sans compter l’huile d’eucalyptus que je badigeonnais sur les nœuds de la corde entre ses jambes, et dans son vagin.
Aussitôt Gwenn se mit à se tordre dans tous les sens, gémissant derrière son ball-gag, l’huile faisait son petit effet, Gwenn avait maintenant la sensation que tout son sexe brulait !
Me plaçant à ses côtés, je lui pris les cheveux, tirant sa tête en arrière, et lui dit sèchement, mais a voix basse : « Quand je dis quelque chose à quelqu’un… Ne me contredis jamais devant lui ! »
Puis presqu’en criant à ses oreilles, d’un ton sec, je dis aussitôt : « Compris ? » ce qi eu pour effet de la faire sursauter. Elle secouait la tête de haut en bas, afin de me répondre.
La relâchant alors, je m’éloignais rapidement, en faisant du bruit volontairement, mais sans rien dire.
Une fois dehors, je pris un seau, que je remplissais, puis retournait près de ma prisonnière, mais cette fois ci sans faire de bruit… Gwenn sanglotait, je pouvais distinguer des larmes qui coulaient sur le sol.
Toujours sans rien dire, je vidais d’un seul coup et sans ménagement le contenu du sceau sur ma soumise, qui eu un cri de surprise.
Cette fois, j’abandonnais ma captive.
Samuel, me voyant remonter les escaliers rapidement comprit que la soirée ne s’était pas finie comme je l’avais prévue.
« Surveillez la du coin de l’œil Samuel, vous pourrez la libérer dans trois heures, d’ici une heure, vous lui retirerais ses pinces de tétons, et remettrez une couche d’eucalyptus toutes les heures ».
Un « Oui Monsieur » fût lâché sur un ton désapprobateur, mais résigné.
C’était la première fois que je punissais ma soumise, elle, si parfaite ne m’en avait jamais donné l’occasion.
Je m’étais installé dans mon fauteuil au coin de la cheminée, je fumais nerveusement des cigarettes, en buvant une vodka sèche.
J’essayais de lire, de travailler, mais je n’étais pas concentré, j’étais mal à l’aise…
Je décidais d’aller faire un tour dans le parc, tirant sur mes cigarettes, mais je revoyais encore les larmes de Gwenn couler sur le sol, ses sanglots, les traits de son visage déformés par la douleur…
La punition de ma soumise était aussi ma punition, en tout cas, je la vivais tel quel.
Cela faisait maintenant plus d’une heure que Gwenn vivait un calvaire, et j’étais rongé par le remords.
Au bout d’une heure trente, je décidais d’aller discrètement dans la cave, Samuel était assis dans un fauteuil, non loin de Gwenn qui pleurait, ses sanglots étouffés par son bâillon.
D’un signe de la main, j’appelais mon major d’homme, et lui dit à voix basse de libérer Gwenn, ne lui laissant que ses mains liés dans le dos et son bandeau, et de la conduire dans le petit salon, lui ordonnant de s’agenouiller au centre, tourné face au miroir, et de la laisser ainsi.
Samuel eu un sourire, approuvant ma décision, et s’exécuta.
Je m’éclipsais à nouveau dans le salon, pour reprendre un verre de vodka et un cigare.
Au bout d’une demi-heure, je rejoignais Gwenn, elle était la, à genoux, face au miroir, les mains liées dans le dos, les yeux bandés.
Je retirais son bandeau doucement, et la laissait se regardait dans le miroir, comme je l’avais prévu, elle baissa la tête ne supportant pas l’image qu’elle reflétait à ce moment la.
« Regarde-toi dans le miroir ! Et dis-moi ce que tu vois ? »
Gwenn ne disait rien, à nouveau des larmes coulaient sur ses joues… Puis d’une voix faible, et tremblante, entrecoupée de sanglots, elle dit : « Je vois une mauvaise soumise qui a comprit la leçon Monsieur… ».
« Alors si tu vois ca, c’est que tu as bien compris ! Lève-toi ! »
A faisant s’allonger sur l’accoudoir d’un canapé, j’administrais à ma soumise une dizaine de coups de badine sur ses fesses.
Pas un mot, pas un cri ne sortait de sa bouche, seul les larmes et les sanglots trahissaient sa douleur.
Posant ma badine sur un meuble, je me plaçais derrière elle, et doucement, lui frictionnait les fesses, les massant lentement. Enfin, au bout de cinq minutes environ, je pris ma soumise dans mes bras, puis je la couchais doucement dans notre lit, et lui détachais les mains…
Je lui caressais doucement sa nuque, Gwenn me dit alors une chose à laquelle je ne m’attendais pas : « Merci Monsieur Le Vicomte, Je vous aime ».
Pour toute réponse, elle eu un massage plus doux, plus harmonieux de la nuque…
J’étais incapable de dire quoi que ce soit, car cette fois-ci, les larmes qui coulaient, venaient de mes yeux.
C’est ainsi que doucement, pendant que je lui caressais les cheveux, ma douce et aimante soumise s’endormait.
Je ne tardais pas à en faire autant.
Le Vicomte
Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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