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Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 07:30
Les séances de Joy (4 - Professeur très particulière)
 
Après ce troisième rendez-vous, je fus quelque temps sans nouvelles de Carole jusqu'au jour où elle me passa un petit coup de fil. Elle avait en fait envie de papoter. Elle tombait bien, quand je suis décidée, je peux être une véritable pie. Incidemment, elle me demanda si je n'avais pas un jour de congé à prendre.
Hé ! Ce coup-là, elle va me le faire à chaque fois ou quoi ? Mais cela dit, pas un instant, je n'ai cherché à ruser, je le lui indique donc...
 
...et le jour en question...
 
- Allô Joy ! C'est Carole ! Tu veux qu'on s'amuse un peu cet après-midi ?
- Bien sûr !
- Bien sûr… qui ça ?
- Bien sûr ma maîtresse adorée !
- Humm ! J'aime quand tu me parles comme ça !
- Mais j'aime te parler comme ça !
- Tu va venir chez moi et tu apporteras un bouquin de poésie !
- Un bouquin de poésie ?
- Oui ! N'importe lequel, et grouille-toi, je te veux chez moi dans une heure !
Et elle raccrocha.
 
Complètement imprévisible, la Carole, je ne discutais même pas ! J'étais trop impatiente et trop contente d'avoir ce coup de fil. Toute la matinée, je trop impatiente, et trop contente d'avoir ce coup de fil. Toute la matinée, je l'avais attendu, je m'étais déjà habillée pour l'occasion d'une petite robe noire que je venais d'acheter, un truc tout simple, assez court et assez décolleté, le genre de fringue que les hommes remarquent. Je m'étais mis aussi une jolie petite culotte en dentelle noire, avant de me souvenir qu'elle m'avait ordonné de ne jamais en porter. Pas bien grave, m'étais-je dis, je la retirerais tout à l'heure ! Je m'étais dit que nous retournerions peut-être au restaurant, là où servait Suzy, la petite asiatique, et puis les heures passèrent... Toujours rien ! Elle jouait avec mes nerfs.
 
Un bouquin de poésie ! Oui, mais lequel ? C'est que j'en ai des livres de poètes ! Des Français ! Des canadiens ! Des anglo-saxons et même des arabes ! Et pourquoi lui apporter un bouquin ? Elle n'en a pas, elle ? Sur le rebord d'une planche traînait les "Fleurs du mal" ! Allons-y pour les "Fleurs du mal" ! Voici de toute façon un bon choix ! Pourquoi était-il donc sorti de sa rangée ? Ah ! Oui ! Un des mes complices internautes s'était amusé à m'envoyer un message vocal en récitant "les métamorphoses du vampire". J'avais bien rigolé en le recevant, c'était déclamé avec un mélange d'emphase et d'accent parisien au résultat assez cocasse.
- Allez, un coup de peigne, un petit coup de maquillage, un soupçon de parfum et très consciemment et sans le moindre état d'âme je partis me faire faire des tas de petites misères par ma belle et troublante maîtresse !
- Dans quel état vais-je encore revenir ?
 
Je sonne. Un peu fébrile, néanmoins, Carole est si imprévisible, elle peut très bien m'accueillir en me roulant un patin, comme en me foutant une paire de claques histoire de me signifier que la séance a d'ors et déjà commencé. En fait ce ne sera ni l'un ni l'autre, ce sera le petit bisou très "copine". Moi, j'aime bien les maîtresses qui me font des bisous ! Elle s'est vêtue d'une nuisette violette très vaporeuse en dessous de laquelle on perçoit nettement une guêpière en cuir. Les tétons de ses seins nus, eux, frôlent le tissu diaphane et sont érigés tel de gros bourgeons. Sa chatte rasée n'est protégée par aucune culotte.
- Bonjour ma chérie ! Rentre, j'ai follement envie de jouir cette après-midi !
Et moi donc ?
Je rentre dans le studio... Et là... le choc !
- Oh !
- Quelque chose ne va pas ?
Si ça va très bien, mais c'est tellement inattendu ! Un type est attaché au mur. Il est tout nu, il est noir, il est magnifique, ni trop musclé, ni pas assez, une peau splendide, un sexe qui sans être monstrueux est néanmoins de bonne taille. Il est bâillonné et son corps porte des marques de flagellation. Et toujours est-il que la situation commence à m'exciter, très, mais alors très sérieusement...
- Il est mignon? hein ? Me précise Carole. Il est venu me voir ce matin pour une domination. C'est un prince africain, paraît-il, il est en voyage au Québec pour quelques jours. Il m'a invité à aller lui rendre visite dans son pays cet été, je crois bien que je vais accepter. Son truc, c'est d'être attaché, et il voulait l'être le plus longtemps possible.
Puis elle réagit en regardant sa montre.
- Il va bientôt falloir que je le détache ! Faudrait-pas non plus qu'il profite trop des bonnes choses. Mais pour l'instant je vais lui remettre ses pinces.
Carole saisit alors deux pinces crocodiles et les accrocha après ses mamelons.
- Regarde comme il aime ça ! Rien que ça, ça le fait bander, ce salaud !
Je voyais bien qu'il bandait, je n'étais pas aveugle ! Mon dieu ! Ce sexe qui se dressait lentement... Et moi qui étais là comme une conne à ne rien pouvoir faire, sinon mouiller inexorablement l'endroit où aurait du être ma culotte si j'en avais mise une... mais... oups... je réalise à ce moment que justement, j'avais complètement oublié de la retirer ! Ca allait être ma fête !
 
Carole rajouta une pince à chaque testicule provoquant un râle chez l'homme perceptible malgré le bâillon.
- Tu sais ce que je lui ai fait ce matin ? J'avais un autre visiteur. Je les ai obligés à se sucer la bite mutuellement. Tu aurais vu comme il aime, ça, sucer... une vraie petite pute !
La simple évocation de ces moments eut pour effet de rendre à la verge du soumis sa raideur maximale ! L'engin était magnifique, une colonne de chair couleur chocolat à croquer, surmonté d'un gland luisant où perlait déjà une goutte de pré-jouissance. De jolies couilles, à la fois plissées et bien remplies ! Humm !
- Et attend, ce n'est pas tout, il va te dire lui-même comment ça c'est terminé cette affaire, ce matin !
Elle lui retira alors son bâillon.
- Allez, explique à ma copine ce que tu as fait après !
- Je me suis fait prendre, maîtresse !
Aussi sec, elle lui remet le bâillon, elle voulait juste l'entendre dire ça, puis Carole se baisse, prend l'engin dans sa main, imprime quelques mouvements de masturbation, avant de se le fourrer dans la bouche. Elle me regarde avec un coup d'œil complice. J'en ai marre, bon dieu, d'être passive. Je m'approche à mon tour de la verge de ce bel homme, mais Carole m'interpelle :
- Toi ! Pas touche ! Ce sera ton dessert si tu es sage ! Pour l'instant tu reste tranquille !
Drôlement frustrant cette affaire ! Mais où veut-elle en venir ? Elle va me rendre folle ! Et Carole qui continue à sucer l'autre ! Je pensais qu'elle se limiterait à un ersatz de fellation, juste comme ça pour me montrer, pour m'exciter. Non pas du tout ! Elle lui fait désormais un véritable pompier en règle. Et cela avec une ardeur qui fait plaisir à voir. Ses mouvements de bouches sont ponctués de clap-clap sonores. Elle veut donc le faire jouir ! La salope ! Elle m'avait pourtant dit que je pourrais y avoir droit tout à l'heure ! Quoique rien ne soit compromis... Le soumis râle soudain sous le bâillon, Carole retire vivement les pinces attachées aux testicules, puis les autres. D'un mouvement de bouche, elle essuie les dernières gouttes de sperme, se relève, s'approche de ma propre bouche et me roule une pelle, alors qu'elle n'a pas encore déglutit la semence du mâle. Je suis dans un état second. Elle peut à ce moment me demander n'importe quoi ! Elle le sait, et je sais aussi maintenant au bout de trois séances qu'elle n'en abusera pas, mais...
- A poil !
Ah ! Enfin ! C'est un choix que je peux réaliser assez vite... mais elle va se rendre compte maintenant que j'ai une culotte... Aïe ! Je fais quoi ? Jje prend les devants, je lui dis, je me cache, je fais l'idiote ? Si seulement elle pouvait regarder ailleurs ! Qu'est ce qu'elle a à me fixer pendant que je me déshabille ? Voilà que je me mets à avoir la tremblote !
- C'est quoi, ce truc ?
- Je suis désolée, maîtresse !
- Tu es désespérante ! File-moi ce chiffon !
Je lui tends.
- Tu m'as l'air dans un drôle d'état ! Me dit Carole, remarquant l'état de mon entrecuisse. Ne bouge pas je reviens !
Elle réapparaît quelques minutes après avec une paire de ciseau à la main. Cette cinglé va me bousiller ma culotte, elle n'est pas bien, ça coûte une culotte ! Mais d'un autre côté la punition n'est pas si sévère, elle aurait pu me jeter purement et simplement.
- Allez, destroye-la !
Je fous un coup de ciseau dans ma pauvre culotte, ça me servira de leçon, la prochaine fois je ferais attention, et je croyais en avoir fini avec cet incident, c'était bien mal connaître ma maîtresse !
- Va jeter les morceaux !
J'y vais.
- Tu fais quoi ?
- Ben, je cherche la poubelle...
- Je ne veux pas de ces saloperies chez moi, tu va me jeter ça dehors !
Ah ! bon et je fais comment, je ne vais tout de même pas jeter les débris par la fenêtre, alors je ramasse ma robe pour la remettre...
- Je ne t'ai pas dis de te rhabiller !
- Je ne vais quand même pas aller jeter ça dehors à poil ?
- Si !
Elle exagère, je ne peux pas faire ça ! Je m'apprête à lui dire que le jeu est fini, que je reprends mes billes ! Et puis, je ne sais pas, je me fais le film dans ma tête, trois étages à descendre, jeter ce truc sur le trottoir sans se montrer, remonter, il doit y en avoir pour environ deux minutes. Ce serai bien le diable si je rencontrais quelqu'un ! Et puis si je rencontre quelqu'un, qu'est ce que j'en ai à foutre, ce sera quelqu'un que je ne reverrais jamais. Lui prouver que je peux le faire...
- Bon j'y vais !
Je dégringole les marches comme une dingue, je traverse la hall comme une fusée, j'entrouvre la porte de l'immeuble, je jette la culotte au dehors, je remonte aussi sec, je suis en nage, je suis à l'affût du moindre bruit, pour l'instant tout va bien. La porte ! Horreur ! Elle l'a refermée ! Non mais c'est quoi, ce cirque ? Faudrait pas que ça devienne une habitude ces petites conneries sur le palier (voir le numéro 2). Je tambourine ! Pas de réponse ! Non, mais elle ne va pas me laisser toute seule à poil dans l'escalier. Je frappe encore, je frappe plus fort ! Et puis je me dis que c'est idiot, elle joue, elle sait très bien que je suis là ! Et puis si je me mets à tambouriner, je vais ameuter le voisinage, ce n'est pas ce qu'il y a de plus intelligent à faire. J'attends, mon cœur bat la chamade ! Ca fait cinq minutes que je suis là nue comme une grenouille. Et je vous assure que c'est long 5 minutes dans des conditions pareilles. Ne pas craquer, surtout ne pas craquer ! l'attente est interminable !
Enfin la porte s'ouvre !
J'ai dû la bousculer pour entrer encore plus vite. Elle a l'intelligence de ne pas s'en offusquer.
- Pardon maîtresse !
Je me retiens, j'ai peur que mes nerfs tombent. Elle change tout de suite de sujet :
- Bon, alors qu'est ce que tu m'as apporté comme bouquin ?
- Les "Fleurs du mal"
- Tu ne t'es pas trop cassée, je vois !
- J'ai pris le premier qui venait !
- Tout à l'heure, toi aussi tu va prendre le premier coup qui va venir... Dans ce bouquin, est ce qu'il y a des poèmes que tu aimerais apprendre par cœur ?
- Oh ! Mais j'en connais déjà plusieurs, maîtresse !
Clack !
Et une gifle ! Une ! Il y avait longtemps ! Je me disais aussi !
- Dis donc, petite nullité, je ne t'ai pas demandé de répondre à côté de la question !
- Oh ! Pardon maîtresse ! Mais je n'ai pas dû bien comprendre !
- Je veux que tu en apprennes un par cœur, là tout de suite, un que tu ne connais pas encore. Allez, je te laisse choisir !
Mais c'est quoi de cirque ? Je n'y comprends rien. Il est où le fantasme derrière cet ordre absurde ?
- Il faut que je choisisse un poème et que je l'apprenne par cœur, c'est cela ?
- C'est exactement cela !
- Bon, d'accord !
- Et tu as choisi quoi ?
- Pourquoi pas les "Métamorphoses du Vampire" ?
- Hum, fait voir que je le lise d'abord !
Elle le lut assez vite.
- C'est bizarre ton truc, mais ça me plait bien, tu as fait un bon choix. Maintenant tu va te foutre au coin et tu as dix minutes pour le savoir par cœur, et sinon ça va barder !
C'était donc cela !
- Et interdiction de te retourner ! Me précise mon imprévisible maîtresse.
Allez apprendre un poème en dix minutes, vous ? Je ne dis pas que c'est impossible, faut voir ce que certains acteurs de théâtre arrivent à s'ingurgiter, mais bon, faut quand même un certain entraînement...
 
- Retourne-toi !
Déjà dix minutes ? C'est passé trop vite ! Evidemment je ne suis pas prête ! Mais ça, ça fait partie du jeu. Je le sais très bien... mais...
- Oh !
Je ne peux m'empêcher de rigoler. Carole s'est changée pendant que j'essayais de mémoriser cette foutue poésie. Un tailleur très chic, un chemisier blanc boutonné jusqu'au col, d'épaisses lunettes en écailles, les cheveux relevés en un chignon par ailleurs assez approximatif. Elle tient une règle à la main, une règle très basique, très scolaire, en bois, carré, d'environ 50 cm de long.
- Récite !
- Je ne suis pas prête !
- Récite !
- "La femme cependant de sa bouche de fraise - En se tordant ainsi qu'un serpent sur la braise - Et pétrissant ses seins tout imprégnés...
- Stop ! Tu mélange tout !
- Oui, je recommence !
- Donne-moi tes doigts... non pas comme ça... Tu réunis tous les bouts de tes doigts... voilà !
Et shlack ! Un coup de règle !
- L'autre main !
- Whaah ! Ca fait vachement mal ce truc là !
- Ah ! Tu trouve ? Mais c'est peut-être un peu normal, c'est à la domination que nous sommes en train de jouer, pas au scrabble !
Je tendis la main, ce truc ne me disait rien qui vaille, mais puisque ça faisait parti du jeu...
- Allez ! Deuxième tentative !
- Je ne suis pas prête, Carole !
- Je ne suis pas prête, qui ça ?
- Je ne suis pas prête, Maîtresse !
- Récite !
- "La femme cependant de sa bouche de fraise - En se tordant ainsi q'un serpent qui la baise...
J'avais pris cette fois le parti de carrément la provoquer, c'était plus fort que moi !
- Rhabille-toi et fous le camp !
- Non ! Maîtresse ! Vous voyez, je ne suis pas sage, j'ai vraiment besoin d'être dressée !
Clack !
La gifle dut magistrale ! Une larme perla au coin de mes yeux !
- La prochaine fois tu y réfléchiras à deux fois avant de te foutre de ma gueule. Maintenant, redonne-moi tes doigts, je vais te donner dix coups sur chaque main
- Non !
- On dit : "Oui, maîtresse" !
Je lui tendis mes mains. Carole frappait avec un sourire sadique, après les dix coups j'avais les doigts complètement engourdis. Elle me tendit alors la règle. Je la pris, interloquée sans savoir ce que je devais faire de cet objet. Devrais-je à mon tour lui taper sur les doigts ?
- Tu la pose par terre, et tu va t'agenouiller dessus, et tu va continuer à apprendre ton poème.
Ah Bon ? C'est tout ? Oui c'est tout ! Mais je conseille à ceux qui ne connaissent pas cette petite plaisanterie d'essayer ! Le faire sans poser les mains au sol est d'ailleurs pratiquement impossible ! Carrément l'enfer ! C'est inconfortable comme ce n'est pas permis, cette saloperie de règle marque les chairs du poids de notre corps. J'ignore combien de temps elle me fit rester dans cette position, toujours est-il que d'une part cette poésie me semblait apprise et qu'autre part j'en avais ma claque !
 
- Récite !
Un jeu est un jeu. Je me doutais bien que même si je faisais une erreur, elle trouverait quand même à redire. Je récitais...
- Tu as fait trois fautes !
C'était peut-être vrai ! C'était peut-être faux ! Comment savoir ? Carole m'ordonna alors de coucher mon buste sur la table, puis d'écarter un peu les jambes de telle façon que les fesses soient bien dégagées. Le premier coup de règle carré me surprit, le contact avec la peau n'a rien à voir avec celui d'un martinet ou d'un autre instrument de flagellation. Non ça n'a rien à voir, il s'agit d'un coup sourd, moins sec, moins cinglant, mais peut-être plus frappant. Le coup en lui-même porté avec une force moyenne n'est pas bien terrible, c'est sa répétition et ses accumulations qui sont les vraies sources de la douleur. D'ailleurs au bout d'une cinquantaine de tapes, Carole eut l'extrême fantaisie d'apporter un miroir. Je ne me souviens pas avoir eu un jour les fesses aussi rouges !
- Récite !
Une nouvelle fois, je récitais ce poème, essayant de m'imaginer quelle sorte de punition m'infligerait encore l'esprit pervers de ma diabolique maîtresse !
- Tu vois quand tu veux ! Je n'en peux plus, moi ! Déshabille-moi ! Déshabille ta maîtresse !
Je ne me le fis pas dire deux fois, je lui retirais alors sa veste de tailleur, puis sa jupe, le chemisier...
- Maintenant; à chaque pièce de vêtement que tu vas m'enlever, je veux que tu m'embrasse !
Oh ! la la ! Que ce n'est pas du tout un problème ! Je l'embrassais sur le ventre, sur le cou, dans le dos, sur les bras. Dégrafant les bas du porte-jarretelles, lui embrassant les cuisses, les mollets, puis le pied, allant même jusqu'à me permettre de lui sucer un peu l'orteil. J'enlevais ensuite le soutien gorge et lui embrassait les seins.
- Et Joy de sa bouche de fraise...
- Si tu me vampirise, gare à toi ! Répondit-elle amusée.
Je me prenais d'une telle frénésie en suçant ses tétons que j'en oubliais le reste.
- Finis de me déshabiller, Joy !
Oh ! Que oui je vais finir, je retire le porte jarretelles, puis la culotte puisqu'elle en a mis une, j'embrasse bien sûr ses jolies fesses bien galbées. Je pense d'abord ne pas trop m'attarder par ici, mais je me ravise. Ce petit trou tout près me tente de trop et je ne résiste pas au plaisir d'y fourrer ma langue. Il s'ouvre légèrement à ce contact humide. Putain ! Je n'en peux plus ! Mais qui va s'occuper un peu de moi ? Juste un peu ? Carole a pivoté, offrant son sexe à ma bouche. Elle s'assoit carrément sur la table, je trempe ma langue dans son humidité, ça coule de partout, j'adore ce goût très légèrement sucré du plaisir féminin qui se répand. Je joue un peu à lui sucer la chatte m'enivrant de son odeur. Déjà sa respiration se saccade, je lui porte alors l'estocade, mettant en contact le piercing de ma langue avec son clitoris. Elle explose, bruyamment comme d'habitude !
Ah ! Ce sourire lorsqu'elle reprend ses esprits ! Rien que ce sourire valait la peine de venir ici !
 
Alors Carole me prit par la main, et me conduisit vers le beau mâle toujours attaché. Et tandis que ma maîtresse le délivrait, j'enfournais enfin son merveilleux sexe dans ma bouche, me régalant de la texture de cette peau si douce, de cette raideur pleine de promesse. Et puis soudain je n'y tint plus. Après tout, elle me devait bien cela la Carole. Fermement je lui demandais :
- Je veux qu'il me prenne !
- On va s'occuper de toi tous les deux ! Répondit alors Carole. Et toujours le même sourire. Mon dieu, elle va me faire fondre celle-ci !
 
Elle me fit installer sur la table, sur le dos, me fit relever les jambes, tout en les écartant un peu, et tandis que ma maîtresse approchait sa bouche de ma chatte, le sexe de l'homme noir prenait délicatement le chemin de mon intimité la plus étroite...
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Lundi 19 novembre 1 19 /11 /Nov 07:33
Pour renouer avec notre rubrique "avant, pendant et après", voici Margaux..
Par EROS - Publié dans : Avant, pendant, après...
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Lundi 19 novembre 1 19 /11 /Nov 07:30
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 07:31
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 07:30

Quelques exemples de baillons que vous pouvez utiliser lors de vos jeux... A retirer juste au moment de l'orgasme afin de libérer tout le plaisir et toute l'énergie accumulée ! !

 

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 07:31
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 07:30

... toujours plus coquine...

Les séances de Joy (3 - La femme au puma)
 
Je n'avais pas d'autre rendez-vous avec Carole. Elle m'avait demandé mon numéro de portable, dit qu'elle m'appellerait, et m'avait précisé que de mon côté, je n'essaie pas de la contacter.
 
Ces deux séances avaient été pour moi des moments merveilleux où le plaisir, la peur et la volupté s'étaient mélangés dans une délicieuse symphonie charnelle. Rien que d'y repenser, hummmm !
 
Cela-dit, je n'étais pas spécialement pressée de la revoir. Carole m'avait fabriqué des souvenirs, c'était déjà énorme ! Et je pensais aussi que s'installer dans un rituel de séances à répétitions ne pourrait qu'engendrer une certaine monotonie. Du moins j'étais dans cet état d'esprit les premiers jours qui suivirent notre deuxième délire commun.
 
Une semaine passa, et c'est un matin en me rendant au travail, que je croisais sur mon chemin une femme qui ressemblait - d'assez loin d'ailleurs - à Carole ! Sans doute connaissez-vous ce phénomène qui est un des mystères de la mémoire ? Vous croisez un visage et c'est un autre qui apparaît dans votre cerveau et souvent avec un degré de précision surprenant. J'avais à présent Carole dans mon esprit, et je désirais son contact, je désirais sa chair, je désirais son sourire diabolique et sa voix de magicienne ! Comme ça tout d'un coup, je frissonnais, mon corps se révoltait. A l'abri des gens je me serais volontiers masturbé en invoquant son corps. Je me contentais de laisser mon sexe réclamer ce que je ne pouvais lui offrir de suite...
 
Sa présence continua à me hanter toute la journée. Si seulement elle pouvait m'appeler ! A chaque coup de fil je sautais "- Si c'était elle ?" Avant de me raisonner, je ne lui avais pas donné le numéro du magasin, et mon portable, lui, restait muet, désespérément muet.
 
Vers midi, n'y tenant plus, je me rendis aux toilettes et me masturbais comme une malade, les doigts d'une main astiquant mon clitoris tandis que l'autre pinçait mes tétons avec une inaccoutumée violence. Je jouis en m'efforçant de ne pas crier, en m'évertuant de ne pas hurler le prénom de Carole. Cette diablesse m'avait-elle donc envoûté ? Je sortais de là-dedans à moitié pantelante. Heureusement, personne ne me voyait !
 
Et puis le portable sonna ! "- Mon dieu !" Je me précipitais, le cœur palpitant, la gorge sèche !
 
- Allô ! Carole ?
 
Et bien non, ce n'est pas Carole, mais une vieille copine qui me demande si elle ne me dérange pas. J'enrage, je fulmine ! Si ! Elle me dérange, mais je ne suis pas devenue si associable au point de le lui dire, et me voici en train de l'écouter me raconter des trucs et des machins dont je me contrefous à un point qu'elle ne peut même pas imaginer. Et puis j'entends un son dans mon portable ! C'est quoi ce truc ? Un coup d'œil sur l'écran, un appel en attente !
 
- Excuse-moi quelqu'un d'autre m'appelle ! Rappelle-moi tout à l'heure si tu veux !
(Ouf)
- Allô ! Carole ?
- Joy ? Mais comment as-tu deviné que c'était moi ?
- Un sixième sens !
(Tu parles !)
- Ce serait bien si tu aurais un jour de congé, on pourrait en faire des choses ?
(Mon dieu !)
- Demain je suis en congé !
- Ok, je t'emmène au restaurant !
(Au restaurant, pourquoi faire ? Ce n'est pas de cela dont j'ai envie, mais bon, ce ne sera pas une corvée...)
- Avec plaisir !
- On m'a donné l'adresse d'un bon restaurant vietnamien, t'as quelque chose contre ?
- Non, ça me convient parfaitement !
 
Elle est très belle ! Elle s'est mise une robe noire assez simple, mais aussi assez décolletée et plutôt courte et moulante.. Elle arbore un sourire magnifique !
 
On s'installe, une serveuse asiatique vient nous présenter la carte. Elle est mignonne cette serveuse, un visage tout en douceur, et une voix mélodieuse avec un accent très prononcé. Elle me regarde bizarrement. Je ne comprends pas pourquoi ! Qu'est ce que j'ai de bizarre ? Je me suis habillée d'un petit chemisier parme et d'une petite jupe très classique (mais pas trop longue non plus), mon porte-jarretelles est pour le moment invisible, tout comme mon absence de culotte. Alors quoi ? La coiffure, le maquillage ?
- J'ai quelque chose de spécial ou quoi ? demandais-je à Carole une fois la serveuse repartie.
- A mon avis, tu lui as tapé dans l'œil !
- C'est la meilleure, ça !
- Laisse-toi faire, ça peut être marrant !
- Mais je n'ai pas envie, j'ai envie d'être avec toi, rien qu'avec toi !
- J'ai bien compris mais rien n'empêche de s'amuser...
 
On choisit, la serveuse revient, cette fois ci j'ai droit à un large sourire dont je me demande s'il est ou non une invitation à quelque chose. Je décide de ne pas rendre ce sourire et arbore un masque ronchon comme le sais parfois le faire..
- Joy, nous sommes au restaurant ensemble, et je vais t'expliquer pourquoi je le souhaitais. Tant que nous sommes là, je ne suis pas ta maîtresse, nous sommes simplement deux femmes qui sont heureuses d'être ensemble, tu comprends ?
- Oui, il n'y a aucun problème !
- Je vais cependant te donner un seul ordre, un seul !
- Oui... maîtresse !
- Je veux que la prochaine fois qu'elle se pointe, tu répondes à ses avances.
 
Mais elle est folle ! C'est quoi le but du jeu ? Mais bon admettons !
- Elle ne va peut-être plus m'en faire avec la tronche que je viens de lui tirer ?
- Bien vu ! Alors quoiqu'elle fasse quand elle va revenir, tu lui fais un grand sourire très, très langoureux ! OK, Joy ?
- Oui Maîtresse !
 
La conversation n'arrivait pas à démarrer vraiment, et se limitais à de pâles considérations météorologiques sur le temps pourri... cela faisait deux semaines qu'il pleuvait presque sans discontinuer sur Montréal.
La serveuse revint avec les apéritifs. Ma trogne de tout à l'heure n'avait pas eu l'air de la désarmer, et elle me resservit le plus beau sourire de sa panoplie. Si bien que je me demandais si plutôt qu'une avance il ne s'agissait pas plutôt d'un tic nerveux. Cette fois comme le demandait Carole, je lui rendis la pareille en insistant lourdement et en papillonnant des yeux. Elle disparut, elle avait l'air de s'amuser comme une petite folle !
- A nos amours ! Me proposa Carole !
Je ne sais pourquoi cette proposition me transporta d'enthousiasme et c'est rayonnante que je levais mon verre à mon tour.
- A nos amours, Carole !
- T'es vraiment, craquante, toi !
 
Qu'elle arrête, mon dieu, qu'elle arrête, je vais fondre, moi, j'ai déjà tendance à m'exciter pour un rien ces derniers temps, alors là...
 
- Tu vois, Joy, quand tu domine une inconnue, c'est vraiment génial, parce que justement tu ne connais rien de la personne avec qui tu fais ça, tout doit se faire en nuances, sans se tromper, en tenant compte de toutes les limites de l'autre, de ses désirs, mais aussi de ce que je veux faire, moi ! C'est un jeu, c'est excitant et passionnant !
Je me contentais d'approuver, elle était manifestement partie pour une longue tirade :
- On n'a jamais le temps de tout faire la première fois, d'abord parce que c'est matériellement impossible, mais aussi parce qu'on manque de recul, après la séance, on se dit " - tiens, j'aurais du faire ça et ça et encore ça" C'est à cela que sert la deuxième séance, ce n'est jamais que le complément de la première, l'inconnue, reste une inconnue, tu comprends Joy ?
- Bien sûr !
- Seulement la troisième fois l'inconnue l'est beaucoup moins, mais en fait, on ne connaît rien d'elle, sauf des réactions, des désirs, des sensations. C'est à la fois beaucoup et rien du tout. C'est une situation bâtarde. A ce stade autant se connaître mieux, le jeu ne pourra qu'en être plus excitant. Donc, c'est pour cela qu'on est là, pour se connaître mieux !
 
Ouf ! Voilà qui me rassure, je me demandais si on n'était pas là pour se farcir la serveuse, - adorable au demeurant cette serveuse - mais bon, ne mélangeons pas tout !
 
Alors on a parlé, on a parlé beaucoup, la serveuse était aux petits soins pour nous, nous apportant les plats, nous resservant le vin, tournicotant autour de notre table, présente mais discrète et bien sûr l'échange de sourires coquins ne se tarissait pas et était devenu un jeu, une complicité même !
 
Je parlais de moi à Carole, pas de tout, ma vie familiale ne la regarde pas, et certains détails de ma vie sentimentale non plus, puis de fil en aiguille, je lui parlais de mes passions, la lecture, le jazz, le dessin, la sculpture...
- Ah oui ! Tu dessine ?
Je lui expliquais ce que je faisais, lui indiquais que je créais par périodes d'inspiration, lui parlais de mon époque ou je dessinais des feuilles d'automne directement avec la souris de mon micro ordinateur.
- Moi aussi je peins, j'ai même exposé, je vais te montrer.
Et la voilà qui sort de son sac à main un album photo de poche, ce sont des prises de vue des ses toiles. Une panthère noire, des femmes panthères, des femmes léopards, des femmes jaguars, des corps, des visages, et à chaque fois ce mélange de femmes et de félins. C'était très bien fait, un peu inquiétant toutefois.
- C'est très chouette ! Tu es vraiment obsédé par les félins !
- Plus que tu crois ! Tu te rappelle l'affaire du Puma ?
- A vrai dire, je ne vois pas...
- C'était il y a 5 ou 6 ans, ce magnifique puma abattu par la police en pleine rue !
- Oui ça me dit vaguement quelque chose !
- C'était moi ?
- Pardon !
- Le puma, c'était le mien !
- Ah ?
- Un rêve de gosse, dans mes fantasmes j'étais une reine égyptienne, très dominatrice, mais aussi très douce, et au pied de mon trône il y a avait une magnifique panthère noire. Je me suis renseignée pour savoir si on pouvait avoir une bestiole comme ça chez soi. Alors quelqu'un m'a dit qu'il avait un puma, et qu'on pouvait le garder à la maison à condition de lui limer les griffes et les dents, et de ne pas le sortir même en laisse et muselé ! J'ai réussi à m'en procurer un, une brave bête, pas agressive du tout. Au bout d'un mois, je me suis dit qu'il n'y aurait aucun mal à lui faire faire un petit tour tous les jours. Il fallait voir la tête des gens !
- Ils avaient peur ?
- Certains, oui ! D'autres étaient simplement étonnées. Et puis l'enfer a commencé, on a dû me suivre, repérer mon adresse et mon identité, alors j'ai eu droit aux lettres anonymes débiles, aux pétitions, aux menaces et pour finir aux dénonciations à la police. J'ai été mise en demeure de laisser la bestiole chez moi, sinon on me la confisquait, alors j'ai obtempéré. Mais la pauvre bête avait pris goût au sirop de la rue, elle poussait de véritables hurlements devant la porte. J'ai essayé de résister, mais elle s'énervait, alors j'ai pété les plombs, j'ai fais une véritable crise de nerfs, j'ai ouvert la porte et j'ai dis au puma "- tu veux te barrer barre-toi !" Je n'y ai pas cru, en un éclair il était dans l'escalier, j'ai couru pour le rattraper, mais il avait disparu. Tu connais la suite...
Carole avait les larmes aux yeux, je ne la croyais pas capable de tant de sensibilité.
- Il l'ont abattu comme un chien avec des balles réelles, comme s'il ne pouvait pas foutre une cartouche anesthésiante, surtout que les mecs qui ont fait cela se sont ventés d'être des tireurs d'élite. Il y a eu photo dans le journal et tout ça ! Dégueulasse ! Quant à moi je me suis farci un procès avec une amende impossible à payer... Bon je passe, je t'emmerde avec mes trucs ?
- Non pas du tout, au contraire, tu avais besoin de parler !
- T'es gentille (puis tout d'un coup son regard change) je crois que je vais bien m'occuper de toi tout à l'heure !
Je lui souris, je ne demande que ça, qu'elle s'occupe de moi tout à l'heure, mais elle continue...
- J'ai voulu me venger des hommes, je suis devenu dominatrice professionnelle ce n'est pas trop crevant, deux ou trois clients chaque matin, j'ai toutes mes après midi de libre. Mais bon, je ne me suis jamais vraiment remise de cette affaire !
- Ne sois pas triste, je vais t'aider à te changer les idées, si tu veux !
- Volontiers, mais je vais te redire une chose, Joy, quels que soient les ordres que je te donne, même s'ils te paraissent complètement farfelus, je te demande d'avoir toujours confiance en moi, on se connaît mieux à présent, je veillerais à ce qu'il ne puisse rien t'arriver de fâcheux ! OK ! Dis-moi que tu as confiance !
(Pourquoi cette diatribe ? Mais je ne voulais pas la contrarier)
- J'ai confiance, Carole !
 
- Vous voulez un dessert ?
Tiens, la serveuse qui revient ! Et cette fois c'est de la provocation pure et simple, elle me regarde carrément dans les yeux, elle va me faire rougir cette conne.
Carole intervient :
- Elle a l'air de vous faire de l'effet ma copine ?
- Hummmm ! Si vous saviez !
- Je peux, vous la prêter si vous voulez ?
Non, mais elle n'est pas bien la Carole, je ne suis pas un objet !
- Hummmmm, ce serait avec grand plaisir !
- Mais ce n'est pas gratuit !
De mieux en mieux, je ne suis pas sa pute !
- Dites votre prix, on peut peut-être s'arranger ?
- Disons que vous nous faites cadeau de notre repas !
Bon, je me casse, je n'ai pas vocation à me vendre à une lesbienne en chaleur pour 12 nems et deux canards laqués. Je me lève, attrape mon sac à main, sort un billet pour payer ma part. Une main se pose sur mon bras !
- Joy !
(Partir, ne pas répondre, sinon, je vais encore me faire avoir !)
- Quoi ?
- Je croyais que tu avais confiance en moi ?
- Oui, mais...
- Il n'y a pas de mais
- Je ne suis pas ta pute, Carole !
- Joy, regarde-moi dans les yeux, je suis ta maîtresse, tu as confiance en moi, n'est ce pas... on dit oui maîtresse !
- Oui maîtresse !
Je suis la reine des connes, mais après tout qu'est ce que je risque, si quelque chose se passe de travers, je romprais toute relation avec Carole et c'est tout ! Elle veut que je joue à la pute, et avec une femme en plus ! Allons-y ! Un sentiment trouble m'envahit à ce moment, je commence à mouiller, est ce que je deviens folle ? Non en fait, je suis parfaitement lucide ! Et je m'adresse à la serveuse :
- Ok ! C'est quand tu veux !
- Après mon service, mais j'ai besoin de me calmer, suis-moi, petite salope !
Et elle me traite de petite salope, en plus ! Je vous dis, il n'y a plus de respect ! Je la suis, on traverse l'étroite cuisine dans l'indifférence générale, elle ouvre une porte, on se retrouve dans une minuscule remise. Elle retire carrément sa culotte, la balance dans un coin, et s'assied sur ce qui doit être un congélateur hors d'usage, elle remonte sa jupe, écarte ses cuisses.
- Viens me lécher !
Je ne m'imaginais pas que les asiatiques avaient la chatte aussi poilue, je me fraye un chemin parmi tout ce fouillis, j'écarte ses lèvres, c'est carrément trempé, j'approche ma bouche, ça sent assez fort, un mélange de mouille et d'urine, mais ça n'a rien de désagréable, j'humecte tout cela de ma salive, c'est bon, je m'en enivre, je suis maintenant excitée comme une folle. J'ai vraiment envie de faire durer le plaisir. Je ne veux pas que ce contact se limite à cela. Mais mademoiselle en a décidé autrement :
- Je n'ai pas beaucoup de temps ! Mais tout à l'heure, on prendra notre temps !
Ben voyons ! Du coup je prends son clitoris en bouche et je l'aspire, je donne des coups de langue, je lèche, je suce, et je relèche et je resuce ! Elle ne tarde pas à éclater !
- Ben dit-donc, t'es bonne, toi ! me dit-elle dans un soupir.
- Tu peux m'appeler " Joy " !
- Alors moi c'est Suzy ! Vous pouvez partir, votre repas est payé, tu as eu ton dessert !
- Et pour la suite on fait comment ?
- Ici dans deux heures, j'aurais fini mon service, tu me demande, et on ira chez moi, ce n'est pas très loin !
- Et si je ne reviens pas ?
- Tu reviendras, allez file !
 
Je regardais Carole, la narguais !
- J'ai pris mon dessert, tu n'en prends pas toi ?
- Non, mais j'espère que tu t'es régalé en prenant le tien ?
- On fait quoi, Carole ? J'ai envie de jouir, tu ne peux pas savoir !
- Pas de bol, je viens d'avoir un coup de fil, j'ai une démarche à faire, un truc chiant mais faut que je le fasse, si tu veux, on peut se retrouver chez moi dans... dans disons 2 heures et demi !
- Théoriquement j'ai rendez-vous dans deux heures avec la serveuse !
- Tu ne vas pas y aller, non ?
- Je n'en sais rien, j'ai tendance à dire que je ferais ce que tu me diras de faire !
Et j'ajoute in petto "pour l'instant et pour aujourd'hui parce qu'en ce moment je m'amuse, mais je suis une femme libre"
 
- Laisse tomber, et retrouve-moi chez moi dans 2 h 1/12
- D'accord !
 
Et me voilà comme une conne, la chatte toute mouillée, je repense à cette pauvre Suzy, elle sera déçue sûrement de ne pas me voir. Je n'aime pas ne pas tenir mes promesses, ce n'est pas mon genre. Je décide de réfléchir un peu à tout cela, et ayant décidément la bouche très salée, je vais commencer par m'envoyer un dessert beaucoup plus sucré que le précédent chez un glacier du coin !
 
Tout reste possible, je pourrais aller voir Suzy, mais pas Carole, ou le contraire ou personne, mais en fait je me mens à moi-même, il est évident que je piaffe d'impatience de me retrouver dans les griffes de Carole.
 
Après avoir tué le temps un peu en faisant un brin de shopping, je me retrouve chez ma maîtresse à l'heure indiquée. Elle m'ouvre, me sourie, elle est vêtue d'un large kimono qu'elle retire immédiatement dévoilant une tenue tout latex noir, un pantalon lui moule audacieusement les fesses, mais ne découvre rien, contrastant avec le haut ou le seul "vêtement" est constitué d'espèces de lanières qui lui entourent les seins. Elle est grimpée sur des godasses pas possibles, et s'empare tout de suite d'une cravache :
 
- A poil salope !
C'est ce qui s'appelle commencer dans le vif du sujet, j'obtempère.
- Plus vite !
 
Je fais ce que je peux, je suis à peine déshabillée que cette charmante personne m'entoure le kiki d'un collier d'esclave auquel est reliée une laisse.
- A genoux !
Ca ça va j'ai l'habitude !
- Tu es contente de toi, petite salope, tu va voir ce que tu va prendre !
- Je ne comprends pas maîtresse ?
- Et ça tu comprends ?
Zlouf ! La gifle ! Il y avait longtemps ! Elle ne peut pas s'en empêcher, et moi je ne peux pas m'empêcher d'y trouver un plaisir inavouable. N'empêche que je ne comprends pas plus ! Jouons donc le jeu !
- Que me reprochez-vous ? Maîtresse !
- Ah ! Ah Ah ! Qu'est ce que je te reproche ! D'être une mauvaise pute ?
- Je ne comprends encore pas maîtresse !
Et re-zlouf ! Un peu limite celle-ci, elle m'a fait mal pour de vrai !
- T'aimes ça les gifles ?
- Je le mérite, je suppose, maîtresse, mais je ne comprends toujours pas !
- Je viens de te le dire, t'es une mauvaise pute !
- Oui maîtresse !
- Parce que les bonnes putes, ils tiennent leurs promesses !
 
 Bon d'accord, elle est en train de me reprocher de ne pas avoir été au rendez-vous de Suzy. Comme c'est un jeu, il est inutile que je lui précise que c'est elle-même qui m'a dit de ne pas y aller. Continuons à jouer le jeu !
- Oui maîtresse, d'accord maîtresse, punissez-moi maîtresse !
- Tu sais ce qu'on leur fait aux mauvaises putes ?
- Dites-moi maîtresse !
- On les brûle avec la bougie !
Whaaah, non pas ce truc là ! Ca me fait peur ! Je fais quoi, je ne vais pas passer mon temps à me révolter, je n'avais qu'à mettre le doigt dans cet engrenage, mais elle ne m'aura pas une autre fois. Alors je crâne :
- Comme vous voulez, maîtresse !
- Et que crois-tu qui va se passer à présent ?
- Vous allez me punir maîtresse !
- Non !
 
Je ne comprends plus bien ! Elle reprend :
- Non, moi je vais regarder, c'est ta cliente qui va te punir !
 
Et voici Suzy qui apparaît ! Je rêve ou quoi ! Elle est belle cette femme, elle est entièrement nue, si ce n'est un soutien gorge noir qu'elle s'empresse de retirer dévoilant une poitrine de bonne taille, moi qui croyais que toutes les asiatiques avaient les seins menus, cette magnifique paire doit être au moins un bonnet D. Elle est magnifique cette poitrine avec des bouts très noirs et très proéminents. Hummm que j'aimerais les sucer ! Mais comment a-t-elle trouvé l'adresse de Carole ? Ah je comprends, dès que nous nous sommes séparées, Carole à été la voir pour le lui indiquer ! Quel machiavélisme !
 
Sans un mot, les deux femmes tendent une bâche plastique sur la grande table en bois et Carole m'ordonne de m'y coucher sur le dos. Une fois installée, on me lie les poignets à une barre d'écartement, puis on fait subir le même sort à mes chevilles, il me sera donc impossible ni de me relever, ni de me protéger, peut-être éventuellement pourrais-je gigoter un petit peu mais ça ne servirait pas à grand chose.
 
Suzy a allumé deux longues chandelles, elle s'avance vers moi, sur le côté de la table, au niveau de mes avants bras. Je retiens ma respiration, j'ai peur ! Sans un mot Suzy penche la chandelle. Une goutte de cire atterrit sur ma chair, c'est supportable, mais c'est chaud, une seconde goutte tombe. L'impression est bizarre, on surfe carrément au niveau où la douleur peut se transcender. J'attends la suite ! Ca ne vient pas ! Qu'est ce qu'elle fabrique ? J'en veux encore de la bougie ! J'aime ça, j'ai peur, j'ai mal mais j'en veux ! Ca y est ! De nouvelles gouttes tombent dans le haut de mon bras maintenant, puis sur l'épaule ! Je crois deviner le circuit, les seins ne sont plus loin à présent. Effectivement, Suzy s'amuse à les entourer, à les cerner de gouttelettes de cire ! Ca commence à chauffer sérieux ce truc là. Une nouvelle pause ! On ne peut pas dire que Mademoiselle est pressée, ça tombe bien, moi non plus !
 
Une goutte tombe sur le galbe de mon sein gauche !
- Aîe !
La petite pluie de cire à repris sa danse infernale, ce n'est plus le sein qui est cerné ce sont mes tétons. Je serre les dents, attendant le moment inéluctable ou ils vont... Mon dieu ça y est... les gouttes atterrissent, ça chauffe ! ça chauffe, mais qu'est ce c'est bon, je mouille comme une éponge ! C'est spontanément et sincèrement que je crie :
- Encore, encore, c'est bon !
Mes tétons sont à présent englués dans un magma de cire déjà solidifié, j'en ai partout, le résultat est comique. La bougie descend maintenant vers mon ventre, remplie de cire mon nombril, mais je sais très bien que son but ultime est plus bas, à nouveau j'ai peur. Qu'elle fasse vite, bon dieu, quelle fasse vite ! Et bien non, elle prend son temps. Elle joue avec mes nerfs. Et puis tout d'un coup ça dégringole ! Sur le pubis d'abord, puis sur les lèvres. Je hurle ! Je hurle mais c'est trop bon, je suis décidément complètement maso. Une goutte atteint mon clito, une seconde, c'en est trop, je hurle encore mais de plaisir cette fois-ci, je n'en peux plus, je suis épuisée.
 
Les deux femmes avec d'infinies précautions retirent de mon corps les agglomérats de cire, elles s'amusent à m'embrasser tendrement les parties ainsi dégagées, je suis aux anges. La douceur, l'infinie douceur, la tendresse après la peur et la douleur ! Que c'est bon !
 
- Alors petite Joy ! Ca t'as plu ? Demande Suzy !
 
Mais cette voix, pourquoi a-t-elle changé de voix, est ce bien Suzy ? Oui il n'y a pas de doute ! Mais elle n'a plus cet accent asiatique qu'elle avait au restaurant ! Ou ais-je entendu cette voix ?
- Tu as été merveilleuse !
 
Ca y est, je me souviens maintenant, la femme de l'ascenseur, celle que je n'ai jamais vu parce que j'avais les yeux fermés sur le palier (voir épisode précédent). Mais alors, ça veut dire que tout était manigancé dès le départ. Et je me suis laissé avoir, j'ai été leur jouet à toutes les deux !
Ce n'est pas grave, je suis très joueuse !
 
- Merci ! Merci à toutes les deux ! répondis-je simplement
- Bon quand vous aurez fini les politesses, vous viendrez vous occuper un peu de moi, intervint alors ma maîtresse, ma belle maîtresse, ma si belle maîtresse, ma maîtresse adorée !
 
Et tandis qu'elle retire son pantalon, je découvre pour la première fois tatoué sur sa fesse droite le dessin d'un magnifique puma prêt à bondir !
- C'est nouveau tu ne l'avais pas la dernière fois ?
- Bien sûr ! J'ai fais quoi cet après midi d'après toi ?
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Vendredi 16 novembre 5 16 /11 /Nov 07:31
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Vendredi 16 novembre 5 16 /11 /Nov 07:30

Voici de quoi occuper vos longues soirées d'hiver..... Enfin, la première partie de ces soirées, car nul doute qu'ensuite, une mise en pratique de ces lectures s'impose... La nuit sera donc, finalement, trop courte...

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 07:40

Vous commencez à connaitre Malika, cette Princesse d'ébène qui régulièrement nous fait participer à ses soirées personnelles....

Elle nous présente aujourd'hui deux amis avec qui elle semble s'amuser.... (en plus, Malika, tu as changé de coiffure me semble t-il. Cela te va à ravir...)

Comme tout ceci est bon enfant, n'est il pas vrai ?

Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
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Pas de tabou ni de censure sur ce site, (vous me connaissez)... Vous pouvez tout me dire....

N'hésitez pas à m'envoyer tout ce qui vous passe par la tête ou le corps à l'adresse..... eros_plaisirs@yahoo.fr

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