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Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 07:31
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 07:30
Les séances de Joy (2 -Mes Hésitations)
 
Après cette étonnante rencontre, je mes précipitais à la maison où je me sautais littéralement sur la personne de mon compagnon. Ce dernier savait bien sûr mon appétit sexuel, mais n'en fut pas moins abasourdi :
- Mais qu'est ce qu'il t'arrive ?
- Ne t'inquiètes pas je te le dirais, mais patiente un petit peu !
 
Ce mardi matin, à mon travail, je m'étais dit que cette aventure pourrait m'entraîner on ne sait où, et y compris dans des voies pas très claires. On avait bien déliré. On s'arrêterait là ! L'après midi j'étais déjà moins sûre.
 
Et au moment de la sortie du boulot, ne sachant plus, je me dis que je ne prendrait ma décision qu'au dernier moment. Malgré tout je passais un très long moment à m'assurer que mon miroir me rendrait la meilleure image, je réajustais mon maquillage, assurait ma coiffure, je voulais être belle au cas où... Je me rendis donc au carrefour, mais auparavant, me remémorant les instructions de Carole, je fis une halte à une toilette publique dans laquelle je retirerais ma petite culotte.
 
Déjà, dans ma tête, je me faisais mon scénario, la première chose qu'elle me demanderait ou qu'elle vérifierait ce sera justement cette absence de culotte. Mais sans doute cela ne lui plairait-il pas d'apprendre que je venais juste de l'enlever, Alors elle me punirait. Et cette perspective était loin de me déplaire...
 
C'est de loin et du trottoir d'en face que je constatais que la voiture bleue de Carole était bien là à m'attendre :
- J'y vais ? J'y vais pas ?
Je rebroussai chemin une cinquantaine de mètre essayant de raisonner, de peser le pour et le contre. Non, je me mentais à moi-même, j'étais à ce carrefour et sans culotte, il me suffisait de traverser la rue... ou de ne pas la traverser... je soupira un bon coup, la traversa. La portière s'ouvrit, je m'installa sur le siège, scotchée et paralysée par la beauté du visage de Carole qui arborait un sourire radieux. Et puis ça a dû être un réflexe, nos lèvres se collent et nous échangeons un long, un très long baiser...
 
Je suis excitée, c'est clair, ma respiration n'est pas tranquille, mon cœur non plus, et ma bouche est sèche. Carole s'est habillé d'une petite robe bleue clair assez simple et un peu moulante, elle me parle comme si nous nous connaissions depuis longtemps, des banalités, le temps qui est trop humide, la circulation qui est impossible, des banalités quoi, puis elle me parle de moi, me dis qu'elle me trouve jolie aujourd'hui, je rougis. J'essaie de lui parler d'elle, mais mes mots sont malhabiles, je bafouille. Elle a le tact de bien le prendre et de me rassurer d'un gracieux sourire.
- Tu sais, j'ai une envie folle de bien m'occuper de toi !
Un éclair me traverse l'esprit, j'espère simplement qu'elle ne me laissera pas dans l'état ou elle m'a laissé la dernière fois, mais je n'ose rien lui dire.
- Je veux que les choses soient très claires, reprend-elle ! Si tu as trop peur, part maintenant, ou alors on va boire un pot et on se sépare. Mais sinon si tu reste aie confiance quoiqu'il arrive...
- J'ai confiance !
Ça y est, j'étais dans le trip, il n'était pas question qu'elle me pousse vers je ne sais quelle sortie.
- Bon alors à partir de maintenant, tu es mon esclave et je suis ta maîtresse. De combien de temps dispose-tu ?
 
Je le lui dis, ça lui convient.
- Je t'avais demandé quelque chose, pour aujourd'hui je crois !
- Oui maîtresse, la culotte, je n'en ai pas !
- C'est bien ! Tu es une petite esclave obéissante.
 
Mais c'est dingue, elle ne vérifie même pas, elle ne me demande pas non plus depuis quand je l'ai retiré ! Et puis, je comprends, elle n'a besoin d'aucun prétexte pour me dominer, elle fait ce qu'elle veut, je suis son jouet. Alors d'accord, allons-y pour le jouet !
 
Elle démarre, nous ne prenons pas le même chemin que la veille. On dirait qu'elle cherche quelque chose. Elle s'engage dans une rue peu fréquentée, et stationne. Il y a peu de monde aux alentours, mais ce n'est quand même pas une rue déserte.
- Tu descends, tu soulève ta jupe, tu compte dix secondes, et tu reviens !
- Quoi ?
Zlouf ! la gifle fuse
- Tu m'as juré obéissance, alors écoute petite conasse, c'est la dernière fois que je te le dis, si tu n'es pas contente, tu te barre. Cela dit quelle que soit la solution que tu choisiras, tu es obligée de sortir de la bagnole, ce n'est quand même pas moi qui vais t'ouvrir la portière.
Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi dire, comme un automate, je sors du véhicule, je regarde autour de moi, la première personne qui me croisera est à 50 mètres. Je soulève ma jupe, je compte jusqu'à 10, et me rengoufre dans la voiture. Le type m'a vu, il n'est plus très loin, je le vois dans le rétroviseur, il s'est arrêté et fait semblant de consulter ce qui doit être un petit carnet. Je suis toute tremblante.
- -Tu recommence ! Tu as compté trop vite !
La salope ! Mais c'est dans ces moments là qu'on se dit qu'on ne se connaît jamais soi-même. Je sors sans hésiter de la voiture, je fixe le bonhomme dans les yeux, je compte jusqu'à 10 et je rentre n'écoutant pas les propos qu'il se met à me débiter !
- Ah ! Bien joué ! Viens là que je t'embrasse !
C'est juste un petit bisou, mais j'en suis toute retournée, elle démarre en trombe. J'ai fait plaisir à ma maîtresse, je suis dingue, et toute cette connerie m'a fait mouiller, je vous dis complètement dingue, mais bien !
 
Le studio
 
- Bon allez, désape-toi, et complètement ! Petite pute !
J'obtempère !
- Je crois que je n'ai rien entendu ?
Et zlouf, deuxième gifle de la journée, un frisson me parcourt le corps, voilà que cela m'excite de recevoir des gifles à présent !
- Tu as dis ?
- Merci maîtresse !
- Je préfère ! Tu va t'allonger sur le canapé... sur le ventre pour commencer.
 
Je m'y installe comme elle le souhaite, elle s'en va à côté chercher je ne sais quoi, un martinet, je suppose ou un autre instrument flagellant. Ça y est, je recommence à avoir peur. Mais enfin bon je me suis mise moi-même dans cette situation là, elle ne va pas me tuer, malgré tout j'ai un peu d'appréhension, les petits jeux de fessées coquines sont une chose, la domination sévère en est une autre. Mais bon dieu, qu'est ce que j'ai à gamberger. Je la voulais cette expérience. Elle est là ! On ne vit qu'une fois ! Alors résignée, je tends les fesses, mes jolies petites fesses qui dans un instant vont rosir sous les coups et j'attends comme une petite fille sage !
 
Ça y est madame revient. Elle s'est entièrement déshabillée, pas trop fétichiste la dame, mais sa nudité m'excite ! Je ne vois pas d'instruments, elle tient dans les mains un pot de crème corporelle. Je ne comprends pas bien. Elle s'assoit à mes côtés sur le bord du canapé, ouvre le pot, s'imprègne les deux mains du produit et entreprend de m'en appliquer sur le dos.
 
Ça alors, un massage à la crème ! Evidement ça n'a rien de désagréable, mais je m'attendais à tout sauf à cela. Mais je suppose qu'il s'agit d'un cérémonial, une petite séance toute douce, toute gentille, toute mignonne, toute friponne et puis sans doute se déchaînera-elle ensuite ! Wait and see...
 
En attendant le contact de ses doigts est un ravissement, des frémissements de plaisir me parcourent tout le corps, elle masse tantôt avec toute la paume, tantôt avec le bout des doigts, ça sent bon son truc, c'est parfumé à la noix de coco et peut-être à autre chose d'indéfinissable. Elle prend son temps Carole, et un peu sur les épaules, et un peu sur le dos, et un petit peu sur les bras, puis sur les flancs, et on recommence. Je préfèrerais qu'elle me tripote ailleurs, ça commence à être frustrant son truc. Mais elle devait lire dans mes pensées, voici qu'elle me tripote le cul à présent, ses doigts me malaxent les globes fessiers... Hummm j'adore qu'on me tripote les fesses, surtout quand c'est aussi bien fait. Elle s'amuse à passer le flanc de sa main entre mes deux hémisphères, elle m'écarte, un doigt s'aventure très près de l'anus ! Mais qu'elle le fasse, bon dieu ! Qu'elle le fasse ! Son doigt furète autour du petit trou dans ses chairs plissées, ça y est, elle le fait passer au-dessus mais sans pénétrer, je m'efforce de m'ouvrir, ça y est, le doigt rentre, mais il ressort presque aussitôt. Encore un truc frustrant !
- Tourne-toi, petite peste !
 
Et, voilà ! Le doigt dans le cul, ce sera pour la prochaine fois... De toute façon si elle me laisse tout à l'heure comme elle m'a laissé hier, je ne reviendrais plus, je n'ai pas envie de devenir folle !
 
Elle me travaille mon "devant" un peu différemment, elle passe de la crème assez rapidement sur mes jambes, sur mes cuisses, puis sur le ventre et enfin sur le pubis, mais sans insister. Non, son dessert ce sont mes seins. Sans préalable elle me les caresse de ses mains crémeuses, mes tétons s'érigent presque instantanément. Si elle pouvait me les pincer. Non, on dirait qu'elle se retient, je patiente, tout cela ne fait que commencer. Je suis excitée comme une folle, mais je crois qu'elle aussi, ses yeux brillent, ses lèvres sont sèches, j'implore son regard, mais elle ne me le rend pas, Je suis son jouet d'accord, je l'ai accepté, mais il faudrait peut-être qu'elle n'oublie pas que je suis un être humain, et du sexe féminin en plus !
- Voilà c'est fini ! Debout !
 
Hein ! Quoi ? Qu'est ce qui est fini ? Je me relève !
- Regarde-toi dans le miroir !
Ah ! Bon ! Et qu'est ce qu'il y a à voir ? Je suis toujours la même, sauf que cette satanée crème a donné un très joli luisant à mon corps.
 
- Qu'en penses-tu ?
- C'est très bien maîtresse, vous m'avez bien massée !
- Tu as vu comme ta peau brille !
- Oui maîtresse !
- Ce sera tellement mieux pour la photo !
 
La photo ? Non, mais ça ne va pas ? Cette fois ci je me révolte.
- Ah non ! Pas de photo !
- Pas de photo, qui ?
- Bon, écoute, je ne joue plus, tu veux m'emmener trop loin, il vaut mieux que je parte !
- Je t'avais pourtant dit d'avoir confiance...
Je ne l'écoute pas, je rassemble mes vêtements, je me rhabille en haut, en bas je ne mets que la jupe, je m'en fous... et l'autre qui continue à déblatérer
- ... tu ne sais même pas avec quoi j'allais te photographier !
Je ne réponds même pas, je n'ai plus que mes chaussures à enfiler, et salut Carole ! Je vais pour ouvrir la porte.
- Joy !
- Allez salut !
- Juste un mot ! C'est avec mes yeux que je voulais te photographier, uniquement avec les yeux !
Oups ! Mais je suis la reine des connes, qu'est ce qui me prend d'être aussi impulsive ?
- Oh pardon maîtresse !
- Casse-toi ! Petite conne !
- Non maîtresse ! Punissez-moi, mais ne me jetez pas comme ça !
- Casse-toi ! J'ai dis !
 
Je me mets à genoux, je l'implore,
- Pitié maîtresse, je ne me rebellerais plus, c'est promis !
- Comment veut-tu que je te croie, tu n'arrêtes pas !
- Si ! Il faut me croire !
- Si tu ne te décide pas à te casser, je vais te faire sortir d'ici par la peau du cul, t'as compris cette fois-ci ?
 
Oui j'ai compris, j'ouvre la porte. C'est fini, l'aventure est terminée, comment pourrais-je la revoir à présent ? Je descends les escaliers, je suis dans la rue, j'ai des larmes plein les yeux, je commence à m'éloigner.
 
Un cri surgit soudain d'une fenêtre
 
- Joy !
 
C'est Claire ! Mon dieu ! Je pile sur place, j'en ai un frisson dans le dos, que va-t-elle me sortir comme vacherie ?
- Remonte ! Tu as oublié quelque chose !
 
Je ne réfléchis même pas, le seul fait de me retrouver nez à nez en face d'elle, et un immense espoir renaît, j'y vais, je fonce, je cavale.
 
Je n'ai pas la patience d'attendre l'ascenseur et je monte les escaliers quatre à quatre, sa porte est déjà ouverte, je vais pour rentrer
- Stop !
C'est Carole, bien sûr, elle ne s'est pas rhabillé et s'est juste passé une espèce de kimono
- Je...
- A genoux !
 
Là sur le palier ? Elle est folle ! Mais je le fais !
- Pardon maîtresse !
- C'est mon dernier pardon, Joy ! Tu entends bien ! Mon dernier, je vais te punir et ça va être dur pour toi. Maintenant je te laisse décider. Tu as le chois, entrer chez moi à genoux ou te barrer en courant !
 
Vous vous imaginez bien que si je m'étais barrée en courrant, je n'aurais plus grand chose à raconter. Je m'avance donc à genoux vers le seuil.
- Stop !
C'est une manie !
- A poil ! Tout de suite !
A poil sur le palier, elle m'aurait demandé cela tout à l'heure j'aurais encore protesté, mais il n'est plus temps à présent, je prends le parti de me dire que cette femme sait ce qu'elle fait, je me déshabille donc assez vite, et c'est à ce moment là que j'entends la machinerie de l'ascenseur s'enclencher. Quelqu'un est en train de monter. Quelqu'un va peut-être descendre à cet étage ! Et Carole qui ne dit rien, un sourire sardonique aux lèvres. Je tremble de tous mes membres je suis paralysée par la peur !
 
Et l'ascenseur stoppe à l'étage ! Je fais quoi ? Je suis incapable de dire quoi que ce soit, les sons ne traversent plus ma gorge, je ferme les yeux. J'entends la porte de l'ascenseur qui s'ouvre, quelqu'un qui en sort. Je vais défaillir.
- Salut Carole, tu es bien occupée, je crois !
- Ben oui, je suis en train de mater une esclave récalcitrante !
- Je vais te laisser alors, je passais juste te ramener tes cassettes
- Tu peux rester, il va y avoir du spectacle !
- Pas le temps, mais rappelle-moi si tu refais une séance avec elle, elle a l'air charmante !
- Promis !
Elle disparaît, je ne sais pas qui sait, je n'ai pas ouvert les yeux. Carole savait donc qui était dans l'ascenseur. Ouf ! Ca va mieux, mais quelle trouille !
 
Ça y est, je suis rentrée, après ce coup-là je me dis qu'il ne pouvait rien m'arriver de pire.
 
- Bon, tu va te mettre à poil et à genoux devant la fenêtre !
 
Donc quand ce n'est pas sur le palier, c'est devant la fenêtre, au moins là, personne ne me verra, à moins qu'elle s'amuse à tirer les voilages, ses réactions sont tellement inattendues... Je me colle donc où elle m'a dit, le nez sur les carreaux.
- Je vais t'attacher les poignets !
Aïe ! Je lui avais bien spécifié la veille que je ne souhaitais pas être attachée ! J'ai peur ! Mais comme sur le palier je prends le parti de lui faire confiance, que faire d'autre de toute façon sinon partir et cette fois ci sans espoir de retour... Elle me les attache dans le dos, les coudes pliés, de façon je suppose à laisser les fesses bien dégagées.
- Maintenant tourne-toi, je veux voir ton visage quand je vais te faire souffrir !
- Oui maîtresse
Elle se livre alors a des préparatifs qui ne me disent rien qui vaillent, Elle fait passer une corde par-dessus la tringle des doubles rideaux. Puis elle va chercher sa petite casette à matériel où comme hier elle extrait les mêmes pinces à seins. Je suis un peu surprise, j'attendais plutôt du fouet. Deux jours la même chose, voilà qui manque d'originalité me dis-je. Elle me fixe les pinces sans aucun ménagement. Puis elle fait rejoindre chacune des pinces par une petite chaînette, laquelle chaînette rejoint l'extrémité la plus éloignée de la corde (vous suivez, oui ?) Le mécanisme est tout simple, c'est une poulie improvisée en fait ! Carole s'empare alors de l'autre extrémité du cordage et commence à tendre. La geste est très mesuré, madame a tout son temps. Pour l'instant rien n'est tendu, Ah, si ça commence ! Mes tétons sont tirés vers le haut par le mouvement de la corde. Ce n'est d'ailleurs pas désagréable, j'adore qu'on me torture les seins, et ce genre de truc, personne ne me l'avait encore fait. Carole tire à nouveau, le téton ne peut plus suivre sauf en emmenant carrément le sein dans son mouvement. C'est le sein tout entier qui est entraîné par le haut, ça reste supportable, mais ne va pas le rester longtemps. Elle continue.
Ce n'est plus possible, ça va trop loin il y a bien ce fameux mot de sécurité mais je l'ai complètement oublié et allez réfléchir, vous, dans des circonstances pareilles ! Elle tire encore. Je ramasse alors ma jambe droite et met un pied à terre
- 20 coups de martinet pour avoir fait ça !
- Bien maîtresse, d'accord maîtresse.
 
Carole n'a pas d'autre réaction, cela me surprend, Je m'aperçois alors que mon geste ne sert à rien du tout, la pression sur mes seins reste exactement la même, il ne me reste qu'une solution, me mettre debout
- Qui t'a autorisé à faire ça, petite punaise !
- Personne maîtresse !
J'attends la gifle, mais ce ne sera pas une mais quatre. Les larmes me viennent aux yeux. Mais ce qui m'inquiètes le plus c'est la suite car Carole à repris sa traction sur la corde. Je suis debout certes, mais mes tétons montent entraînant les seins dans leur mouvement. Quand la tension va devenir insupportable, je vais faire comment ? Et voilà c'est fait, je pleurniche un petit :
- Non !
- Non qui ?
 
Je lui réponds du " non maîtresse " d'usage mais je sais très bien que cela ne sert à rien. Putain, c'est quoi ce mot de sécurité ? J'essai de me raisonner, à moins d'être tombé sur une folle, elle ne va quand même pas me faire subir des sévices irréversibles. Elle tire encore ! La seule chose, l'ultime mou que je puisse donner réside dans mes pieds, j'en lève la pointe. Après je ne sais plus ce qu'il faut faire ? Elle tire encore ! Elle ne pourra pas aller plus loin. Et pourtant elle le fait, un instant juste un instant
- Aïeeeeee !
Puis baisse très légèrement la tension, je suis néanmoins obligé de conserver la position "pointe des pieds". Carole bloque alors la corde à un anneau et me laisse là.
 
J'ai la trouille, je tremble, mes tétons sont comme dans un étau, je suis prise dans un maelström de sensations différentes ou je n'arrive plus à démêler quoique ce soit, la douleur, le plaisir, la crainte, je ne sais plus rien, ma seule certitude en ce moment est l'humidité de mon entre cuisse.
 
Carole revient avec un tabouret elle s'assoit et me fait face
- Alors Joy ? la punition se passe bien
- Je la mérite maîtresse, mais je souffre !
- J'espère bien que tu souffre ! Petasse ! Tiens, j'ai un petit creux je reviens.
Ce n'est pas vrai, elle ne va pas se mettre à bouffer en me laissant plantée là ! La voici qui s'en va dans sa cuisine, qui revient avec un yaourt aux fruits et une petite cuillère ! J'avoue ne pas comprendre. Elle en prend une cuillerée puis une seconde.
- Finalement je n'aime pas ces cuillères !
Dit-elle en se dirigeant vers sa casette. Elle en sort alors un gode, me le montre et le trempe dan son yaourt avant de le sucer. J'ignore pourquoi mais l'insolite de la situation m'excite alors un maximum. Elle retrempe le dildo dans le yaourt et le tend vers ma bouche. Je l'ouvre goulûment, je suce, je lèche. Mon dieu je donnerais cher pour avoir une vraie bite en ce moment, j'en voudrais partout, dans la bouche, dans la chatte, dans le cul, des blanches, des noires, des jaunes, des petites des grosses, des kilomètres de bites.
 
Les yeux de Carole se font troubles, sa respiration s'accélère. Elle débloque la corde, relâche complètement la pression, mes seins reprennent leur place originale, elle me retire une pince, je hurle, elle me détache les bras, je retire moi-même la dernière pince. Je n'en peux plus, nos lèvres se rapprochent, nos langues se combattent, nous nous retrouvons vite sur la moquette, enlacée l'une à l'autre, nos jambes en ciseaux, nous frottant nos sexes l'un sur l'autre, c'est devenu glissant de toute cette mouille accumulée, j'ai les nerfs à fleur de peau, un frisson caractéristique s'empare de moi, je hurle mon plaisir à ce point que Carole est obligée de me mettre sa main sur ma bouche. Je m'affale de tout mon long, comme un pantin qui se désarticule, j'ai joui, je suis bien, je suis heureuse, mes tétons me font mal, mais je m'en fous. Je ne suis plus là, j'ai changé de galaxie, j'ai remonté le temps, je suis le cousin germain de la mère du bing bang, je suis...
- Oh Joy ? Ca va ?
- Oh qu'oui !
 
Mais sans attendre ma réponse, Carole s'était accroupie, sa chatte sur ma bouche, quémandant son propre plaisir. Je lui devais bien cela !
 
Une vingtaine de minutes plus tard, alors que nous allions nous séparer par un tendre baiser :
- Au fait Joy, je te dois 20 coups de martinet ?
- Oui !
- Euh, tu les veux tout de suite ?
- Oui !
Merci à Eddy Stockien
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Vendredi 9 novembre 5 09 /11 /Nov 07:32
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Vendredi 9 novembre 5 09 /11 /Nov 07:30

Merci à Joy de cette belle confession....

Les séances de Joy (1 - Une inconnue blonde)

 Je ne sais pas moi-même combien d'épisodes aura ce feuilleton dont je serais la coquine héroïne. Autant donc que vous sachiez à qui vous allez avoir affaire au fil de toutes ces lignes

Je me prénomme Joy, j'approche de la quarantaine, (mais je ne les fais pas) et je travaille, disons dans le commerce. Mes mensurations sont 90C 60 90, Mes tétons sont bien roses et aiment toutes les caresses, des plus tendres jusqu'aux plus agressives. Ma peau est légèrement bronzée... partout. Je mesure 1,64 m pour 49 kg, mes jambes sont longues et mes petites fesses bien musclées attirent le regard, mon petit minou est joliment rasé de près et s'orne d'un petit tatouage représentant un glaive avec une rose, vie et mort, force et douceur. Ah ! Mon visage, j'ai les cheveux longs.bouclés, châtains clair, les yeux noisettes, l'un pale et l'autre foncé, mais j'ai aussi un petit secret, un joli petit piercing sur la langue, et j'aime m'amuser à m'en servir partout ou ma langue aime fureter, et croyez-moi, elle aime ça fureter

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le jour de cette première aventure je m'étais vêtue un peu comme tous les jours d'une petite jupe noire, d'un chemisier beige, mes jambes étaient gainées de bas noirs, non, non pas des bas auto-fixants, des bas avec un porte-jarretelles, j'adore porter des dessous affriolants qui affirme ma féminité.

 

 

 

 

 

J'aurais très bien pu vouloir traverser cette rue avant ou après ce carrefour ! Allez donc savoir pourquoi, j'avais décidé de le faire ici, avant de m'engager, je regarde machinalement en direction d'une voiture en stationnement. Deux amants sont installés sur les sièges avant. Ils s'embrassent fougueusement ! Peut-être d'ailleurs ne font-ils pas que s'embrasser ?

 Le petit démon voyeur qui devait m'accompagner ce jour là m'aiguillonna ! Et si je pouvais en voir un peu plus ? Juste un peu plus ? Justement ça tombe bien, ma journée de travail est terminée, je ne suis pas pressée, alors je ne traverse pas. Je prends le pas le plus lent possible et rebrousse chemin.

 J'ai le temps, ainsi de mieux regarder. Et là ! Surprise ! Je m'y reprends à deux fois, je regarde mieux ! Non il n'y a pas de doute, ce sont bien deux femmes qui se roulent une pelle ! Ah ! Ben ça je n'en reviens pas ! La situation m'émoustille ! J'aimerais en voir davantage et pendant plus longtemps ! Après tout, je suis à un coin de rue, je vais faire la fille qui attend quelqu'un, qui a un rendez-vous, je fais donc les cent pas devant leur voiture. Le jeu est quand même gonflé, leur bisou ne va pas durer tout l'après midi et elles risquent de se rendre compte que quelqu'un les observe. Et alors ? Ce n'est pas interdit, si elles ne veulent pas qu'on les regarde, elles n'ont qu'à se planquer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Enhardie par ce raisonnement simpliste, je me baisse, et fais un geste, comme si quelque chose me gênait dans ma chaussure, je peux alors constater que leur ardent baiser est accompagné d'un pelotage en règle. Je ne sais plus ou me foutre tellement je suis excitée !

 Clac !

 La portière s'ouvre ! Puis l'autre ! Je tombe en arrêt ! Je ne bouge plus ! Une fée vient d'apparaître. Grande élancé, le visage d'un ovale parfait, des grands cheveux blonds nattés en arrière lui donnent un air un petit peu sévère. Elle est vêtue d'une petite jupe droite en cuir et d'un petit haut à manches courtes, un machin blanc à gros pois rouges qui aurait été quelconque s'il n'enveloppait pas une superbe poitrine dont la naissance déborde fièrement de son décolleté.

 Et... elle me regarde... droit dans les yeux.. Je ne sais plus ou me foutre, mais avant que je baisse les yeux, voilà qu'elle me sourit ! Je suis rouge de confusion, je voudrais me faire toute petite, rentrer sous terre comme une petite taupe. Je songe à partir, puis me ravise. Après tout, je jouais le personnage de quelqu'un qui a un rendez-vous, pourquoi en changer, je regarde ma montre pour me donner une contenance, pour continuer mon rôle.

 Les deux femmes discutent quelques courtes minutes, puis se font un petit bisou et se séparent. Je comprends que la grande blonde est la propriétaire de la voiture. Le flash va finir, elle va se mettre au volant et disparaître de ma vue.

  pas du tout, elle regarde dans ma direction, elle me toise, je me demande ce qu'elle cherche. Elle sourit, je réponds cette fois au sourire. De toute façon, c'était ça ou baisser les yeux ! Elle ouvre sa portière, pénètre dans son véhicule, c'est fini, je me prépare à quitter les lieux mais attend néanmoins qu'elle démarre, afin de donner le change.

 mais voilà qu'elle ouvre l'autre portière et qu'elle m'interpelle :

 - Mademoiselle !

 Je ne réfléchis même pas je m'approche, me disant qu'elle a sûrement besoin d'un renseignement.

 - Vous avez cinq minutes ?

 - Euh ! Je ne sais pas ! Pourquoi ?

 - Rien de bien méchant, je voudrais vous parler !

 Ce n'est pas vraiment une réponse !

 - Euh parler de quoi !

 Elle se fait chatte...

 - Hé, Hé, venez, je vais vous dire !

 - Bon, je vous écoute !

 - Installez-vous 5 minutes, on serra mieux !

 Je m'assois sur le siège passager à côté d'elle, je la distingue mieux, elle est sans doute un tout petit plus âgée que ce que je croyais, la quarantaine sans doute, elle est très belle, plus que belle, elle est craquante !

 - Je m'appelle Carole !

- Euh... Joy !

 - On ne va pas rester là, je vais me garer un peu plus loin !

 Non mais ce n'est pas vrai, et elle démarre ! Elle m'enlève ou quoi ? Puis soudain :

 - Alors il t'a plu le spectacle ?

 Aïe ! Elle m'avait vue ! Que dire ? Je n'en sais rien ! Que faire ? Rien, la voiture roule ! Je balbutie un truc :

 - Je suis désolé, ça m'a amusé !

 - Amusé ou excité ?

 Quelque chose me dit que je devrais jouer cartes sur table, cette nana est peut-être dangereuse, il s'agit déjà de ne pas la contrarier. Je décide donc d'attendre le prochain arrêt de circulation pour m'extirper de la bagnole et foutre le camp.

 - Excité, oui !

 - J'en étais sur ! Excité parce que c'est insolite, ou excité par ce que c'est deux femmes qui s'embrassaient ?

 - Les deux, en fait !

 La voiture s'engage dans une rue faiblement fréquentée, elle ralentit, j'attends le moment où je vais pouvoir sortir. Un coup de volant, elle se gare.

 - N'ai pas peur, je ne vais pas te bouffer !

 - Je n'ai pas peur !

 - Menteuse ! Regarde-moi dans les yeux !

 Je ne sais pas trop à quoi elle veut jouer, je ne sais pas trop non plus pourquoi j'accepte de le faire, mais nos visages sont maintenant très prés l'un de l'autre, et son visage, son joli visage, sa jolie frimousse avec ses yeux qui me regarde, sa bouche qui s'entrouvre. Mon dieu ! Je vais craquer ! Un simple détail un simple mot, et tout peut basculer. Je ne sais pas encore à ce moment là si je le souhaite ou pas !

 - Je te trouve vachement mignonne, tu sais ! Me dit carole !

 Et voilà ! L'estocade, je n'ai plus de défense, je fonds, sa bouche cherche la mienne, je n'offre aucune résistance, je l'accueille, mes lèvres rencontrent ses lèvres, sa langue atteint la mienne... Qui est cette nénette pour rouler une pelle à deux filles différentes en un quart d'heures de temps ? Mais je m'en fous, je me sens toute chose, j'ai envie de vivre ce moment, de le faire durer. L'idée incongrue que l'on peut nous voir m'amuse l'espace d'une seconde, à chacun son tour ! Et puis soudain, presque brutalement, Carole se détache !

 - J'ai bien envie de t'emmener chez moi !

 Ca je ne vais pas dire non ! Mais l'invitation n'est pas directe !

 - Pourquoi pas ?

 - Ça te plairait, hein ?

 - Je crois, oui !

 - Mais tu ne me connais pas ?

 - Ce n'est pas grave, on fera connaissance !

 - Ça m'embête un peu...

 Bon, ben si ça l'embête, on n'ira pas, j'en ferais pas une maladie, mais alors pourquoi m'allumer comme ça ?

 - Bon, ben tant pis ! Je vais te laisser ! proposais-je

 - Je peux te poser une question ?

 - Pose, pose !

 - Parce que je m'amuserais bien avec toi...

 -Qu'est ce qui t'embête alors ?

  Moi rien, c'est pour toi !

 - ????

 - J'aime bien parfois dominer, être très autoritaire, tout le monde n'aime pas cela !

 Si elle savait !

 - Du moment que ça reste un jeu !

 - Tu as déjà fait de la domination ?

 - Hummm, des fessées, des pinces, des trucs comme ça oui ! Mais sans exagération... Je suppose que tu n'as pas l'intention de m'abîmer !

 - Abîmer une petite frimousse comme ça, il faudrait être folle !

 - Qu'est ce que tu veux me faire !

 - Te faire du mal et te faire du bien !

 - Hummm... J'ai bien envie d'essayer !

 - Allez viens !

 Je suivis Carole dans son vaste studio, je pensais au départ que c'était un local de "professionnelle", non, ça ressemblait bien à un appartement très classique avec la cuisine et la salle de bain où rien nulle part ne ressemblait à un instrument de domination.

 - Euh, j'aurais dû t'en parler en bas, je ne veux pas que tu m'attache, je ne veux pas de bandeau sur les yeux et pas de bâillon, non plus !

 - D'accord, mais pourquoi as-tu peur ? Tu ne risque rien, tu es toute tremblante !

 - Je crois que je vais m'en aller !

 - Moi je crois que tu ne sais pas ce que tu veux !

 Et en disant cela elle m'asséna une gifle sur la joue, oh, pas trop forte, mais une gifle quand même ! J'allais réagir quand une seconde arriva, sur l'autre joue, une petite larme perla au coin de mes yeux !

 - Tu veux jouer ou pas ? Me demande-t-elle avec un grand sourire !

 Il n'y aurais pas eu ce sourire j'aurais sans doute dit non, mais je ne sais pas pourquoi, je m'accrochais...

 - Oui mais si je te dis d'arrêter, tu arrêteras ?

 - Si tu me dis d'arrêter, je n'arrête rien du tout, je ne connais pas ce mot là, je ne sais pas ce qu'il veut dire... mais si tu me dis "crapaud pointu", j'arrête !

 Ca me paraissait tellement idiot que j'éclatais de rire !

 - Ce n'est pas drôle !

  Oh si !

 - Bon alors cette fois on se décide pour de bon, on joue ou alors on se dit au revoir !

 Je me lançais :

  On joue !

 - Bon, reste comme tu es et ne bouge pas !

 Carole s'approcha de moi et très lentement déboutonna mon chemisier, son visage était tout près du mien et m'enivrai, j'avais une envie folle de l'embrasser, je me passais la langue sur les lèvres, le vêtement tomba sur le sol, ma jolie petite poitrine enfermée dans son soutien gorge de dentelle lui faisait maintenant face. D'un doigt elle pénètre le soutif, cherchant le téton, elle le trouva et s'amusa à passer plusieurs fois dessus. Un frisson me parcouru. Je me dis que si c'était là toute sa domination, je ne m'en tirerais pas trop mal, bien au contraire ! Finalement elle tira sur les le bas des bonnets dégageant ainsi mes seins pas le bas. Sans transition elle m'attrapa mes deux tétons roses et entreprit de me les serrer.

  C'est bon !

  C'est bon qui ?

 - C'est bon, maîtresse !

 Elle pinçait vraiment très fort, à un moment, je sentis le bout de ses ongles, je me mis à paniquer

 - Ne laisse-pas de traces !

 La gifle fut immédiate !

 - Pour qui te prend-tu pour me donner des ordres ? Mets-toi les mains sur la tête et attend-moi, je reviens !

 Elle partit farfouiller dans un placard et revint avec une petite cassette qu'elle ouvrit pour en retirer des pinces articulées. Sans aucun ménagement ni précautions elle me les accrocha à mes mamelons.

 - Aïe !

 - Qu'est ce qu'on dit ?

 Et qu'est ce qu'elle voudrait qu'on lui dise ?

 - Merci Maîtresse !

  Elle s'amusait avec les pinces, les enlevait les remettait, les tournait. Elle fouilla de nouveau dans sa cassette et en ressortit des poids, elle en accrocha un à l'extrémité de chacune des pinces. Ca commençait à me tirer sérieusement sur les tétons entraînés par le poids.

 - Enlève-moi tout le reste, je veux te voir complètement nue !

 Je n'avais pas compris toute la perversité de cet ordre d'apparence anodin, en enlevant ma jupe, puis ma culotte, j'étais obligé de faire des gestes de mon corps en tout sens, ce qui faisait atrocement ballotter les poids de mes seins. Je terminais, repris la pose attendant que les poids stoppent leur balancement. Carole semblait hilare.

 - Mets-toi à quatre pattes, petite pute en chaleur !

 Elle m'ordonna ensuite de marcher dans cette position jusqu'à la fenêtre puis de revenir. Les poids n'en pouvait plus d'aller et venir de droite et de gauche ! Ca faisait mal mais provoquait en même temps un plaisir trouble, je me surpris à constater que mon entre cuisse commençait à mouiller.

 - Bon, viens là, on va faire un break !

 Ouf ! Elle me retira alors les pinces !

 - Aïe !

 Bon dieu que ça peut faire mal quand on les enlève ! Je criais, puis repris ma respiration

 - Tu vas te calmer, oui ?

 - Oui maîtresse, je suis calmée !

 - Bon ! Alors je vais pouvoir te les remettre !

 - Non !

 - Non qui ?

 - Non maîtresse !

 - Et tu crois sans doute que je ne vais pas le faire, rien que parce que tu dis non.

 Je cherche dans ma tête le mot de sécurité, Sabot tordu ? Chapeau fendu ? Chameau pointu ?

  Aië !

 Trop tard, elles sont déjà mises !

 - Supporte les encore un petit peu, tu seras bientôt récompensée !

 - Oui maîtresse !

 - Va dans la cuisine, tu va prendre une bouteille de vin blanc dans le frigo, tu trouveras un tire-bouchon dans le tiroir et deux verres dans le petit buffet. Allez ouste...

 - Oui maîtresse, bien sûr, maîtresse !

 - Et à quatre pattes ! Du moins pour l'aller, parce que pour le retour ça risque d'être difficile.

 Je revenais avec tout ça !

 - Débouche la bouteille !

 Pour enfoncer le tire-bouchon ça va encore, mais pour extraire ensuite le bouchon avec ce vieux modèle, il faut tirer comme une dingue, l'extraction provoque alors un mouvement de mon corps qui fait rebondir les poids des pinces accrochés à mes seins, puis les fait redégringoler ensuite en tirant sur mes chairs.

 - Aïe !

 De nouveau Carole me retire les pinces. Ca pour déguster, je déguste, mais cette sensation de douleur se mêle à un plaisir trouble qui ne m'est pas du tout désagréable, que voulez-vous, on est maso ou on ne l'est pas !

 Carole se tourne alors, je ne la vois que de dos, elle retire son haut et sa jupe !

 - Dégrafe le soutif !

 Ce n'est vraiment pas une corvée. Elle pivote, Sa belle poitrine nue me nargue. Elle est splendide, légèrement mate, reluisante, les aréoles très brunes, le téton presque noir et distendu ! Hummmmmmmmmm !

 - Ca te plairait d'y toucher, hein ? Petite pute !

 - Oui maîtresse ! Bien sûr, maîtresse !

 - De la caresser ?

 - Oui maîtresse !

 - De m'en pincer les bouts ?

 - Oui maîtresse !

 - De me les lécher, de me les mordre...

 - Oui maîtresse !

 - Un de ces jours peut-être... si tu es sage

 La salope !

 Elle retire elle-même sa culotte, sa chatte n'est pas rasée, je veux dire pas rasée complètement, ses petits poils châtains clairs me fascine la vue.

 - A genoux !

 Je me demande ce qu'il va encore m'arriver quand je la vois remplir les deux verres de vins. Une petite pause désaltérante ne pourra que nous faire du bien.

 - Tu as soif ?

 - Oui maîtresse !

 - Oui maîtresse, oui maîtresse, tu ne sais dire que cela !

 - Oui maîtresse !

 - Tu ne te fouterais pas un peu de ma gueule, non par hasard ?

 Elle rigole, ce qui est bien chez elle c'est que malgré le fait qu'elle domine assez durement, elle ne perd pas son humour, elle joue, elle joue réellement.

 Elle trempe alors deux doigts dans le verre, et me les mets dans la bouche

 - Suce ! Suce comme si c'était une bite !

 - Bien maîtresse !

 - T'aime ça, sucer des bites ?

 - Oui maîtresse !

 - Et les culs aussi ?

 - Oui maîtresse !

 - On va voir ça !

 Elle prend le verre de vin s'en fait couler sur les fesses, l'étale un peu partout avec la main afin de bien s'en humecter le trou du cul. Puis elle me le tend !

 - Allez lèche-moi tout cela, que je sente bien ton piercing !

 Pour la première fois je peux poser vraiment mes mains sur son corps, je commence à lécher les globes fessiers, apparemment elle me laisse faire ça à ma façon, je vais la gâter, la blonde ! Hummm c'est bien bon tout cela ! Je m'approche de plus en plus du petit trou ! J'ai quand même une petite appréhension, je suis excitée comme une puce, mais si l'endroit sent trop fort, je vais me bloquer. En fait non juste une petite odeur qui n'a rien du tout de repoussante. Je plonge ma langue. La coquine me sent venir et écarte son orifice, je m'y enfonce davantage. Elle s'aide des mains pour s'écarter au maximum et me faciliter le passage, je l'encule avec ma langue. Elle pousse des petits cris. Ca lui plait bien mes petits coups de langues dans son mignon petit trou du cul !

 Mais voici qu'elle se tourne, dommage, on s'amusait bien, elle se couche carrément sur la moquette, écarte les jambes.

 - Allez, viens me faire jouir !

 Ah bon ! C'est comme ça, pas de problème, j'installe mon visage entre ses jambes, je lèche un peu tout cela, sa petite chatte est toute trempée, je lape ses grandes lèvres, me régale de sa mouille. Elle ferme les yeux, elle est avec les anges, alors je porte l'estocade, je pose d'abord mes lèvres sur son clitoris en faisant pression dessus, puis ma langue entre en action faisant frotter mon piercing contre son bourgeon raidie. Elle ne tarde pas à exploser !

 J'aimerais bien que l'on s'occupe de moi, j'attends la suite !

 - Tu en voudrais encore ? Hein ? Petite gourmande ?

 - Oh ! Oui maîtresse !

 - Alors il faudra revenir demain !

  Non !

  Si ! Et demain j'ai bien envie de te donner une bonne fouettée... à moins que j'ai entre temps une autre idée !

  Peut-être !

 - Poste-toi au même endroit que cet après-midi à la même heure, je viendrais te cueillir en voiture, tu y seras ?

  Je ne sais pas maîtresse !

 - Ah tu ne sais pas, mais moi je crois que tu y seras !

 Je ne réponds pas, je suis en train de me rhabiller, frustrée de cette fin stupide, je n'ai même pas jouis, tant pis je me masturberais à la maison, ou je sauterais sur mon homme s'il est rentré ! Il y a quelques secondes je ne savais pas si je serais à ce rendez-vous, mais maintenant ma décision est déjà prise, j'y serais !

 - Au fait ?

 - Oui, maîtresse !

 - Je ne suis plus ta maîtresse, la séance est terminée, mais demain, ne mets pas de culotte pour allez au rendez-vous. Je ne t'oblige pas, mais ça me fera plaisir !

  Ah ! Alors à demain... Carole !

 

 

   Merci à Eddy Stockien 

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 8 novembre 4 08 /11 /Nov 07:30

ConnaiClaire Diterzissez vous Claire Diterzi ? Cette chanteuse, guitariste émerite et injustement méconnue, se plait à écrire de belles peties pièces sensuello-érotiques...

Je vous propose aujourd'hui : "Embrase moi sur la bûche"... Tout un programme qui vous donnera peut être envie d'en savoir plus sur elle...

 

 

 

 

 

Approche encore un peu, renâcle moi, je suis ta cheminée en saillie,

L'ardent foyer que tu bordes dans son lit de braises, l'entends tu crépiter ?

Beau fumivore, attise moi, je suis le chambranle sur lequel tu t'appuies,

Le doux jambage de pierres enclavant la fournaise que tu vas assieger

Embrase moi sur la bûche (2 fois)

Mêle encore un peu ma langue de feu à tes regards incandescents,

Laisse moi du bout de ma crémaillère porter ta salive à ébullition,

Oooh !  Viens souffler, étreindre ma bouche-chaleur,

Partager mon âtre auto da fe, dormir dans mes chenets.

Embrase moi sur la bûche (2 fois)

 

 

 

 

Par EROS - Publié dans : Chansons
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Jeudi 8 novembre 4 08 /11 /Nov 07:30
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Mercredi 7 novembre 3 07 /11 /Nov 07:32
photo
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Mercredi 7 novembre 3 07 /11 /Nov 07:31
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Mercredi 7 novembre 3 07 /11 /Nov 07:30

Minus... Un drôle de nom pour un auteur qui enfantent des créatures avec autant de .. caractères...

 

Par EROS - Publié dans : Bandes dessinées
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Mardi 6 novembre 2 06 /11 /Nov 07:31

... suite...

 - Et voilà, fin du délire, cela fait plus d'une heure qu'on s'amuse. Franchement je n'ai pas regretté. Il y avait des années que je ne m'étais pas amusé à un petit trip virtuel, celui là était très fort !

 - Seigneur j'en tremble... Lolll

 - On se calme !

 - Lollllll

 - Je vais te dire un secret maître...

 - Je ne suis plus ton maître, l'heure est passé, mais dit le secret.

 - Lollllll. Il y avait un voyeur !

 - Le veinard !

 - C'est ce qu'il dit oui si tu avais vu son visage quand j'ai bu la pisse ! Ouffff !

 - C'était la première fois ?

 - Oui !

'est formidable ! Tu ne regrette pas j'espère ?

  Non pas du tout !

  Et toi ?

 - Oh que non ! Tu as été formidable, dans les deux parties !

 - Oh toi aussi !

 On s'est quitté ensuite en se disant plein de choses gentilles. J'avais besoin de souffler un peu après cette expérience. J'ai rangé les "instruments", je suis allé prendre une douche, puis en revenant j'ai éteint l'ordinateur, mais avant j'ai voulu revoir la frimousse de Joy, j'ai chargé sa photo, et mon visage s'est alors éclairé d'un sourire, j'ai eu alors l'impression l'espace d'une seconde que son image me renvoyait ce sourire.

 

   Voilà bien une autre des mes petites expériences. Beaucoup de gens pensent que de faire du cybersex est un peu ridicule sinon beaucoup. Je peux dire à ces gens qu'il devrait essayer juste une fois avec toute ouverture d'esprit avec ce genre de fantasme, car le faire avec une personne qui comme nous est excitée par l'inconnu qui est derrière l'autre écran et qui va faire tout ce qu'on peut lui demander est assez génial. Pourquoi ne pas tout essayer pour combler cette jouissance qui nous tenaille le corps ? Donc voici ce qui c'est passé lors de ce cybersex.

  J'ai rencontré cet homme, Eddy, par sa curiosité sur moi suite à mes écrits publiés sur son site d'histoires coquines. Nous étions donc, un matin, à chatter lui et moi et il me posait des questions assez précises sur ma sexualité et je faisais de même avec lui. Nous nous sommes trouvés un esprit assez large pour pouvoir nous parler franchement de ce nous vivions chacun de notre côté. Après quelques minutes de cette conversation, nous avons découvert que nous étions assez excités de cette discussion. Je lui proposai donc d'aller plus loin de ce que nous étions entrain de faire. Il est convenu que je suis sa maîtresse pour le premier acte et qu'il deviendrait lui mon maître à son tour pour le deuxième acte de notre petit jeu. Évidemment en acceptant ce jeu entre nous, nous étions pour faire exactement ce que chacun demanderait à l'autre. Je lui demande donc s'il a des objections pour certains mots vulgaires que je pourrais lui dire. Il me répond que non. Tant mieux que je me dis ça va être encore mieux. Pas facile de jouer sur le net en plus s'il fallait y avoir des restrictions à respecter ça deviendrait plutôt difficile et pas du tout excitant.

 

Une chose qu'il ne sait pas c'est que moi je ne suis pas seule. Mon copain est dans la place et je lui dis que je vais jouer avec Eddy. Il est tout sourire. Il s'installe sur le canapé et retire son pantalon. Moi comme d'habitude je suis presque toujours nue quand je veux m'exciter sur le net et au moment de l'arrivée d'Eddy sur mon chat je faisais lecture de quelques histoires que je n'avais pas encore lues. J'avais pris la précaution de demander à Eddy combien de temps on disposait pour jouer tous les deux et il me répond :

 

- Une demi-heure chacun ça te va ?

 - Oui bien sur !

 Ne pas savoir le temps qu'on dispose peut drôlement frustrer quand on a pas le temps de finir.

  Dis moi, tu as des objets ?

  Comme quoi ? me demande Eddy.

  Comme quoi, quoi ? Tu peux pas dire maîtresse à la fin des tes phrases ?

 - Oui maîtresse, pardon, tu veux que je prenne quels objets ?

 - Tu as une bouteille ?

 - Oui maîtresse !

 - Ta femme a des dildos ?

 - Oui j'en ai un, maîtresse. !

 - Tu as des pinces, une chandelle ?

 - Oui maîtresse, j'ai tout ça !

 - Va les chercher et reviens ici.

  Oui maîtresse !

 A ce moment on peut toujours douter de l'autre, mais je sentais qu'Eddy jouait le jeu. A ses écrits que j'avais passé de longues soirées à lire j'avais détecté de lui un goût de l'aventure sexuelle. Moi ? Je mouillais déjà de ce que je voulais lui faire exécuter par mots interposés. Mon copain ? Ca l'excitait drôlement à le regarder déjà se masturber sur le canapé. Je lui souriais et lui dit :

 - Je crois que je vais bien m'amuser mon amour et tu sais quoi ? Tu vas faire exactement ce que je vais demander à Eddy !

 Eddy revient assez vite et mon copain partit de ce pas prendre les objets que j'avais exigés d'Eddy.

 - Voilà maîtresse !

 - Bien ! Dis-moi Eddy, tu es dur ?

 - Oui !

 - Oui qui ?

 - Oui maîtresse !

 - Tu vas retirer ta robe de chambre maintenant petite nullité !

 - Oui maîtresse !

  Combien de pinces tu disposes ?

  Deux pinces du sex-shop maîtresse et des pinces à linge aussi si tu as besoin maîtresse !

  Tu vas mettre les pinces du sex-shop sur tes testicules et les autres sur tes seins !

  Oui maîtresse !

 Je me demande vraiment si Eddy va oser le faire !!! Mon copain lui n'hésite pas une seconde. Le spectacle de l'avoir sous les yeux en pensant qu'Eddy fait la même chose ouffffffffff j'en trempais ma chaise !!!

   - Voilà maîtresse ! Sur mes testicules ça fait mal un peu mais je supporte !

 - Tu crois vraiment que j'en ai à foutre que tu éprouves du mal ?

  Non maîtresse !

 - Tu sais ce que je veux que tu fasses du gode ?

 - Je me suis enculé avec le gode maîtresse.

 Je crois ici qu'il avait compris que je voulais qu'il le fasse de suite.

  Tu es qui petite nullité pour décider de t'enculer ?

  J'ai le gode bien dans mon cul maîtresse !

  Tu vas t'asseoir dessus !!!

 - Je bouge mon cul sur la chaise maîtresse, si tu me voyais !!!

 - Ce que tu me fais pitié ! Sûrement que je voudrais te voir !

 J'étais si excitée de l'imaginer ainsi. Je prenais le temps de me masturber entre mes questions et les réponses d'Eddy. Mon copain lui se masturbait toujours dans son coin avec les couilles lourdes des pinces. Je ne le regarde pas trop pour ne pas jouir sur le moment et lui demande de s'introduire le gode en lui comme le fait Eddy et il le fait sans hésiter.

 - Ce que j'aimerais te mettre des poids au bout de ces pinces.

  J'en ai !!! Dit Eddy. Tu veux que j'aille les chercher ?

  - Heu et pourquoi pas ? me dis-je !!! Mais il en redemandait le coquin d'Eddy.

 Si vous aviez pu voir l'air de mon copain … Il me suppliait de ne pas lui mettre les poids. Il n'avait pas à me supplier c'est lui qui le ferait !

  Ouiiii et reviens vite !

 Wow ! Ma chatte qui me joue de ses tours. Je crois qu'elle adore, elle aussi tout comme mon copain la façon que j'ai de m'occuper d'eux.

 - Voilà maîtresse, j'ai les poids !

 - Et tu vas les mettre où, tu crois ?

 - Sur les seins ! me répond Eddy.

 - Hahahahaha je crois que ce n'est pas la bonne réponse sale chien !

 - Pitié maîtresse !

 - Hahahahaha ta peur me fais plaisir à lire. Prend les poids et attache les bien aux pinces des tes couilles !

 A ce moment je me suis dis "il va pas le faire car ça ne doit pas faire du bien, déjà que les pinces oufffff alors les poids !!!!"J'entends derrière moi mon copain qui commence drôlement à souffrir en me demandant de faire vite. Lui aussi est assis sur le gode, lui aussi a les poids attachés aux couilles et lui aussi est drôlement bandé.

   Voilà maîtresse, c'est fait ! Me dit Eddy

 Comme je vois le temps passer, je me dis qu'il est temps de libérer les pauvres hommes.

 - Retire le gode de ton cul Eddy et suce-le !

 Il me dit qu'il n'a pas l'habitude de le faire mais qu'il est si excité qu'il va le faire.

 - Voilà maîtresse, je lèche le gode !

  Je vais te sucer maintenant pour avoir été si obéissant.

  Merci ma maîtresse ! me dit Eddy

  Tu peux aussi retirer les poids de tes couilles mais tu gardes les pinces je vais te les lécher pour te récompenser et te délivrer enfin.

 Je crois qu'il doit vraiment être soulagé car si je me fie au oufffff de mon copain…

  

- Ma petite bouche de pute va bien te sucer maintenant. Je vais le faire en te regardant dans les yeux…je veux te voir lécher le gode quand je te ferai jouir. - Je suis dur ! Qu'il me dit.

 - Je vais te lécher les testicules pour te soulager un peu et dis moi où tu veux jouir ? Jje te dois bien ça pour ton obéissance.

 - Je veux jouir sur ta bouche !

 - Elle est tellement gourmande ma bouche tu sais, elle va te sucer, te lécher, te mordre le bout de ton gland si rouge !

 - Je vais jouir en direct !

 - Oui je veux que tu jouisses sur mes lèvres Eddy et je vais retirer les pinces en même temps !

 

 Après quelques secondes Eddy me reparle en me disant qu'il avait pris son pied. C'est drôle pendant une seconde ou deux je doute de ce qu'il a fait et lui dit.

 

- Je t'assure que j'ai tout fait et si tu veux, je peux encore lécher le gode !

  Je ne suis plus ta maîtresse depuis 5 minutes ! lui dis-je

 En même temps j'entends mon copain qui éjacule comme un dingue. Il gémit d'un plaisir fou c'est clair.

 - Je prends ma revanche maintenant ?

 - Oui bien sûr !!!

 Ce que je peux avoir hâte de savoir ce qu'il va me dire de faire !

 

 - Va chercher une petite culotte sale, celle d'hier, et tu le fais à quatre pattes et tu reviens aussi à quatre pattes !

  

Oui et quoi d'autre ? ? ? Me dis-je, ça commence bizarre pour moi là… faire le chemin de la maison à quatre pattes... pas facile sur les genoux ça !

 - Oui maître ! !:

 - Je suis là, maître !

 - Sens ta culotte petite pute, et dis-moi tes commentaires ?

 - Il y a plusieurs odeurs maître !!!

 - Enfile ta culotte !

 - Oui maître !

 - Et maintenant, me dit le charmant homme, pisse dedans !

 - ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?

 Heu, je ne voulais pas trop faire ça mais bon. Je lui dis que ça va couler partout.

 - Tu nettoieras, pétasse ! Dit-il. Fait ce que je te demande !

 - Oui maître !

 - Voilà maître ! C'est fait !

 - Retire ta culotte et goûte ta pisse !

 - Non je veux pas faire ça !

 Je n'avais jamais voulu le faire jusqu'à maintenant. J'avais bien sûr uriné pour mon copain mais jamais goûtée moi-même !!! Et si vous aviez vu à cet instant le visage d'étonnement du copain en question !!!

 - Si tu vas le faire, chienne. !

 - Mais je n'aime pas ça maître !!!

 - Fais le sinon tu vas boire un verre complet de ta pisse !

 - Bon OK, maître !

 - Tu vois bien que c'est pas si mauvais !

 - C'est fort comme goût maître !

 - Pas plus que la bière !!! Me dit Eddy.

 près quelques secondes il me demande d'aller chercher un verre. Je me dis "pas ça !!!!"

 - Je vais pas boire maître !

  Petite traînée, tu le ramène ce verre oui ou non ?

  J'y vais maître !

 - Voilà maître j'ai ce que tu demandes !

 - Fais-moi un bon demi verre !

 - Voilà, maître !

 Eddy me dit qu'il me force pas pour le moment mais me demande qu'est ce qui ferait plaisir à mon maître. Je vous le donne en mille !

 - Boire mon urine maître !

 Mon copain à ce moment là est dans une érection d'enfer. Il regarde, si attentionné de voir cette scène.

  

- Oui petite chienne et tu veux le faire toute seule ou tu veux que je t'aide ?

   Le faire toute seule ? Oui et quoi d'autre ? Pourtant j'étais excitée de le faire, ma chatte était si mouillée de mes doigts qui s'y engouffraient à chaque fois qu'ils quittaient le clavier. Eddy pour m'aider me dit de ne poser que les lèvres sur le bord du verre et d'y goûter de cette façon.

 - C'est chaud et ça goûte fort, mais je n'ai pu m'empêcher de lécher mes lèvres !

 - Maintenant ferme les yeux et prend une petite gorgée !

 - Seigneur!

  Oufff voilà, c'est fait maître !

 - Brave fille, j'espère que tu es mouillée ?

 Il espère que je serai mouillée ! NON voyons Eddy je ne peux pas être mouillée de t'avoir fais jouir et de voir mon copain excité comme un malade à me voir faire tout ça…. C'est clair que je suis mouillée et tout ce que je veux c'est jouir aussi ………

 - Pince le bout de ton téton me demande Eddy et masturbe-toi de l'autre main. Je vais me masturber encore une fois, me dit Eddy

  Est-ce bien raisonnable me demande-t-il ?

  Oui ! Que je lui réponds !

  J'ai affiché la photo que j'ai de toi et j'aime me masturber devant toi !

 - Je te plais maître ?

  Oui tu as été une bonne esclave et la prochaine fois je te pisserai dans la bouche me répond mon charmant maître.

  Je peux jouir maintenant maître ? L'implorais-je presque.

 - Tu peux jouir maintenant oui !

 Alors la … je lâche tout et me jette sur ma chatte à deux mains en me masturbant comme une petite salope que je suis. Mon copain était sur le point lui aussi d'éjaculer (ce qu'il fit en éjaculant sur mes seins) en me disant que j'avais été une bonne petite garce avec Eddy et qu'il avait adoré ce qu'il avait vu. Pour Eddy je lui signifiais par des OHHHHHHHHHH et des mmmmmmmmmmmmmmmmmm que je jouissais enfin.

 - Ca faisait un bon moment que je ne m'étais pas amusé à un trip délire virtuel me dit Eddy.

 Et moi pour toute réponse et avec un sourire je dis que j'en tremblais encore. C'est exactement à ce moment la que je choisis de dire à Eddy que je ne suis pas seule et que mon copain avait tout vu.

  Tu ne regrettes pas j'espère ? C'était la première fois pour l'uro ? Me demande Eddy.

  Oui c'était la première fois et je ne regrette rien et toi ?

 - Oh ! Non je ne regrette pas dit Eddy tu étais formidable dans les deux parties !

 - Toi aussi tu l'as été !

 On se quitte après quelques mots échangés et bien sur des bisous et des mercis en se disant à la prochaine. Mon copain et moi avons fini tout ça dans la douche en se souriant et en se disant que c'était encore une fois très génial d'avoir pu jouir d'une façon différente des autres fois. Oui nous étions si gourmands, si gourmands.

 Note de l'auteur : Je n'ai pas eu comme Eddy l'idée de reprendre le texte de notre délire donc comme vous le constaterez peut-être de petits oublis ou des mots placés à la mauvaise ligne peuvent avoir eu lieu. Désolée mais après tout écrire ce texte après une ou deux journées passées, pas facile de tout retenir dans l'ordre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Joy

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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175 973 visiteurs (depuis le début de l'année 2007) sont venus se promener sur ces pages... Un grand merci à toutes et à tous pour votre fidélité et votre intérêt pour l'érotisme et ses plaisirs...

  


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 Ami(e)s adeptes de ce site et de tous les plaisirs  qui y sont évoqués, j'ai besoin de vous ! !

Pour une rubrique qui sera la votre, j'ai envie (et besoin) de recevoir vos confessions ; que vous me parliez de vos envies, phantasmes, ou tout autre sujet de prédilection évoqué sur ce site ; que vous me fassiez parvenir toutes sortes de photos pour que je les les publie  dans une rubrique qui Vous sera entièrement consacrée...

Pas de tabou ni de censure sur ce site, (vous me connaissez)... Vous pouvez tout me dire....

N'hésitez pas à m'envoyer tout ce qui vous passe par la tête ou le corps à l'adresse..... eros_plaisirs@yahoo.fr

Un long texte ou un petit mot ; un cliché innocent ou l'album photo de vos ébats.....

Merci d'avance de faire vivre ce site qui deviendra ainsi, encore davantage, le Votre...

ERos...

  

 

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