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Jeudi 1 novembre 4 01 /11 /Nov 07:34
La femme de Reine se confie
La fessée de Reine.
La fessée a toujours été un jeu des plus troublants. Ni ma femme ni moi n’en avons jamais fait une manie, tout système tuant l’émotion. Mais il est sûr que la fessée a toujours été à la source de nos plus intenses moments d’érotisme. Bien entendu il existe des gradations dans l’excitation. Certains exercent leur goût du raffinement en variant les instruments. Nous, notre plus grande émotion a été le jour, je devrais plutôt dire le soir, où c’est en public que j’ai administré une fessée à ma femme. Mais laissez-moi vous raconter en quelles circonstances l’événement a eut lieu. J’étais parti quelques semaines plus tôt en mission à l’étranger. Je me souviens que devait être diffusée, pendant mon absence, une émission qui m’intéressait et que j’avais demandé à ma femme d’enregistrer. Quelques jours après mon retour, je songeai par hasard à lui demander la cassette. Je m’aperçus aussitôt qu’elle avait complètement oublié de le faire mais mon attention fût surtout attirée par le trouble qu’elle manifestait. Questionnée, je ne tardais pas à apprendre qu’elle n’était pas à la maison le fameux soir, puis à comprendre qu’elle était ailleurs, en compagnie d’un de nos amis, séducteur réputé. Ma femme est belle, donc convoitée. N’ayant jamais considéré un être, surtout l’être que j’aime le plus au monde, comme ma propriété, je n’ai jamais été vraiment jaloux et du reste, ma femme m’a donné peu d’occasions de l’être. Mais là, le presque flagrant délit était avéré, et je me devais de sévir. Je lui annonçai donc qu’elle recevrait en son temps la punition méritée pour son escapade. Quelques semaines passèrent jusqu’à la soirée dont je veux vous parler. Un couple d’amis étaient venus dîner chez nous. De nos âges, c’est à dire la trentaine à l’époque. Nous les avions rencontrés chez des amis communs et nous étions amusés de l’anagramme formé par les prénoms de nos femmes, qui étaient au demeurant l’une et l’autre fort belles. Au delà de la sympathie que nous éprouvions les uns pour les autres, il existait entre nous une forme de complicité que leur extrême timidité les empêchaient d’extérioriser. L’érotisme était certes un sujet qui les inspirait, mais qu’ils n’osaient guère aborder. Ma femme et moi avions le sentiment de pouvoir leur ouvrir certaines portes qu’ils pressentaient peut être sans parvenir toutefois à les identifier vraiment. Moi qui suis rien moins qu’un pédagogue, j’ai cependant toujours trouvé le rôle d’initiateur, dans ce domaine, exaltant. La soirée se passa merveilleusement. Ma femme étant, parmi toutes ses qualités, une merveilleuse cuisinière qui a toujours considéré le rôle de la maîtresse de maison comme celui de la gardienne du temple et non pas comme celui de la bonne à tout faire. Nous arrivions au dessert lorsque je décidai que le moment de prendre la parole était enfin arrivé. " Mes amis, commençai-je, je vous ai réservé une surprise pour ce soir. Figurez-vous que Reine m’a été un peu infidèle il y a quelque temps, et que pour la punir, j’ai décidé qu’elle recevrait une fessée en public. J’ai décidé que la fessée serait donnée ce soir, et que le public, eh bien, ce serait vous ! " Vous imaginez la stupéfaction de l’assemblée. Moi qui ne voulais prendre le risque d’aucun refus et tenais à conserver la pleine maîtrise de la situation, je me devais d’agir vite. En outre, je savais que le fait de lancer une telle aventure me contraignait à aller jusqu’au bout. Je me levai aussitôt, pris ma chaise, la posais au milieu du salon, et demandai à ma femme de se lever à son tour. Elle obéit sans dire un mot. Moi, j’étais trop ému par ce que je faisais pour oser regarder nos amis, mais force est de dire qu’ils ne protestaient pas, et que je n’entendais rien qui pouvait passer en aucune manière pour une contestation de l’événement que j’avais déclenché. Je m’assis donc sur la chaise et demandai à Reine de me rejoindre, ce qu’elle fit sans murmurer. Je la tournai alors face à nos hôtes et, lui demandant de mettre ses mains dans son dos, les lui liais avec ma cravate que je venais d’ôter. " Afin qu’aucun doute ne subsiste sur ce qui va se passer, déclarai-je d’une voix un peu nouée, j’estime qu’une vraie fessée doit être administrée sur les fesses nues et que par conséquent, Reine sera déculottée. Ma femme que vous avez vue si belle toute la soirée, si élégante, va recevoir dans quelques secondes une fessée, le derrière à l’air devant vous. " Puis je retournai ma femme vers moi, l’allongeai sur mes genoux, et relevai sa jupe. Bien entendu, elle était aussi bien vêtue dessous que dessus et portait, quoique la saison avancée eût autorisé les jambes nues, des bas (des vrais, avec un porte-jarretelles !) et une adorable culotte de soie que le moment était enfin venu de baisser. Pourtant l’attente, comme chacun sait, constituant un des plus puissants stimulants du désir, je différai encore un peu l’échéance en m’adressant à nos hôtes : " Mes amis, vous êtes trop loin, installez vous donc plus près et bien en face pour mieux voir ". Les amis ne se firent pas prier et se rapprochèrent aussitôt. Depuis le début de l’aventure, nul n’avait pipé mot. Couchée sur mes genoux, jupe relevée, ma petite femme devait trouver le temps long d’autant que, notre amie ne parvenant pas à déplacer sa chaise, son mari dut l’aider. Lorsque tout le monde fut bien installé, je posai à Reine une ultime question : " Tu es bien d’accord avec ce qui va t’arriver n’est-ce pas ? " Un " oui " étouffé me répondit. " Eh bien , dans ce cas, allons-y ! " Et saisissant la petite culotte de chaque côté, je la baissais jusqu’aux genoux. Peut-on dire de fesses qu’elles jaillissent ? Ce fut pourtant l’impression que nous eûmes. Ce qui apparut alors était simplement lumineux : une splendide paire de fesses, rondes, amples, à la peau d’un blanc mat, au grain lisse de porcelaine, somptueusement encadrées par l’écrin des bas, du porte-jarretelles, et de la jupe relevée. Un instant, je m’attardai à contempler ce merveilleux tableau, et surtout à laisser nos amis, visiblement bouleversés je dois dire, se repaître de l’émouvant spectacle. A la fois coquette et pudique, Reine ne se crispait pas. Tant qu’à avoir été contrainte de laisser dénuder ses fesses qu’elle savait superbes, elle devait préférer qu’elles puissent être admirées dans toute leur plénitude. En revanche, et afin sans doute de ne rien risquer de laisser voir davantage, elle avait croisé ses chevilles l’une au-dessus de l’autre. Je commençai la fessée. Vous avez déjà compris que la cruauté n’appartient pas à mes goûts, et la situation était assez enivrante pour me satisfaire au-delà de tous mes espoirs. Je fessais ma femme sur ses fesses nues en présence de nos deux amis qui ne perdaient pas une miette de la représentation que je leurs offrais. Pourtant, j’y allais d’assez bon cœur pour que les fesses commencent à rougir et, malgré les pudiques résolutions, les jambes à se démener. En effet, Reine malgré sa fierté se débattait de plus en plus belle, tournant ses hanches, ses fesses s’abaissant et se relevant au rythme des claques tant et si bien que parfois, les cuisses se desserraient, laissant entrevoir en un éclair un mystère fendu et rose, et je me surprenais à désirer qu’elles s’ouvrissent tout à fait pour que nous puissions tout voir. Ma femme tentait bien de tendre ses mains en arrière pour se protéger, mais la précaution que j’avais prise de les lui attacher me permettait de les maintenir sans trop de difficulté pendant que je continuais la fessée et que, l’excitation montant, je m’entendais lui dire : " Ah ! tu as montrée tes fesses à ton amant, eh bien tu les montres à Irène et à Pierre maintenant, et je te jure qu’ils ne sont pas près d’oublier ce que tu leurs montres, car ils ne voient pas que tes fesses ! " Et je continuais à frapper sa croupe qui était maintenant d’un beau rouge écarlate jusqu’à ce qu’elle commence à crier : " C’est assez ! arrête ! arrête, j’ai mal, je t’en prie ! " Et moi, pris d’une inspiration subite, enivré par l’émotion qui nous submergeait : " Tu lui as montré tes fesses à ton amant, et puis ? Dis-nous ce que tu lui as montré d’autre ? j’arrêterai quand tu nous auras avoué tout ce que tu lui as montré ! " Bien entendu, je ne m’attendais pas à ce qu’elle me répondît. La fessée avait certes assez duré, mais je me sentais pris d’une frénésie érotique qui m’imposait de poursuivre le spectacle. " Puisque tu ne veux pas avouer, tu vas te mettre au piquet ! tu vas voir ce qu’il va t’en coûter de te taire ! " Je relevai ma femme et lui ôtai tout à fait sa culotte, puis je la fis mettre à genoux. La jupe retombée cachait ses fesses. J’allai prendre un coussin sur le canapé et, le plaçant devant elle : " Pose ta tête sur le coussin ! Maintenant, écarte les genoux le plus possible. " Elle se mit dans la posture prescrite, tête en bas et fesses en l’air. Les amis, toujours assis sur leur chaise, fixaient intensément la croupe indécemment tendue, avides du nouveau spectacle que je leur préparais et que le retroussage allait leur permettre de découvrir. Je remontai derechef la jupe jusqu’au-dessus des reins. Ceux qui aiment les femmes, et les plus beaux paysages qu’elles cachent au plus creux d’elles, peuvent imaginer ce qu’il nous fut donné alors d’admirer. L’éclairage, quoique doux, répandait assez de lumière pour éclairer la scène sans rien laisser dans l’ombre. Les deux fesses, couronnées chacune d’une large tache écarlate, illuminaient l’émouvant sillon, écartelé dans la plus extrême évidence. J’étais tout à la fois stupide, épouvanté de mon audace, et absolument fasciné. Ce qui me revient à présent quand j’y pense, c’est d’avoir osé montrer ma femme, dans un état que je peux dire d’absolue visibilité, à des presque inconnus. Ce qui m’émeut encore au-delà de ce que je sais vous décrire, c’était la curiosité que manifestait Irène. Penchée en avant, la jeune femme, oubliant toute convenance, scrutait, absolument hypnotisée par l’humiliation de Reine, les détails de cette intimité féminine qu’elle n’avait sans doute jamais encore eu l’occasion de voir aussi totalement, aussi crûment exposée. Reine ne disait rien. Elle demeurait prosternée comme il lui avait été prescrit, mais je remarquai quand même qu’elle se tenait assez cambrés, faisant saillir ses reins, sachant pertinemment que la taille ainsi creusée, c’était non seulement son derrière mais sa vulve ouverte entre ses cuisses écartelées qu’elle nous montrait. Nous étions passés tous les quatre dans un état second, plongés dans ce monde exaltant de cocagne où les rêves les plus fous peuvent enfin prendre corps, où tout semble possible, où ce qui est inimaginable dans un environnement social ordinaire peut soudain se réaliser. Soudain, n’y tenant plus, Irène s’accroupit derrière ma femme et murmura : " Je peux ? " Nous fîmes signe que oui. Je ne puis décrire avec quelle extraordinaire minutie Irène entreprit alors l’exploration méticuleuse de l’intimité de Reine. Elle passa de longues minutes à ouvrir, étirer, toucher, caresser, pénétrer, examiner tout ce qui était à sa disposition puis, achevant à regret son examen, soupira : " Comme j’aurais voulu moi aussi donner la fessée à Reine… "
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 07:32
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 07:30

...troublant phènomène que la gémellité... (dominante, dominée... Qui est qui... ?.Rôle interchangeable... Comme dans la vie de tout un chacun, quoi...)

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 07:32
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 07:31

Une autre façon (un peu complexe) de "jouer" délicieusement avec les seins... (à bricoler soi même...)

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Lundi 29 octobre 1 29 /10 /Oct 07:35
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Lundi 29 octobre 1 29 /10 /Oct 07:35

Amateurs de tous les plaisirs, à deux, à beaucoup plus ou tout seul, je me permets de vous rappeler (de quoi je me même, je sais,  mais bon ! !) qu'en toute pratiques, la seule règle est le respect de l'autre. Je sais (là encore), que jai maintes fois rappeler cela dans ce blog.

Je veux aujourd'hui sensibiliser ceux et celles qui pensent que cette règle ne leur est pas applicable sous prètexte qu'ils (ou elles) jouent seul(e). Alors attention mes frères et soeurs aux pratiques automutilantes ou douloureuses ou encore aux conséquences non désirées.

Voici donc un petit rappel des risques (d'érotisme) domestiques...

Les auto introductions anales

(il est évident que tout ou partie ce qui va être dit peut aussi se rencontrer lors de séances en couple)
Introduction d'objets trop gros : risque de déchirure de l'anus, intervention hospitalière nécessaire.
Introduction d'objets trop petits : là le risque est ailleurs, l'objet risque d'être littéralement absorbé par l'anus et il va ensuite se balader dans les intestins (l'intervention hospitalière et très souvent nécessaire), c'est fou ce qu'on peut trouver - tubes de rouge à lèvres, vaporisateurs de poche, bouchons, crayons à papier (extrêmement dangereux à cause de la pointe) et autres stylos, marqueurs et surligneurs, légos, tubes de cachets, brosses à dents, à cheveux, à ongles, dosette de sérum physiologique, tubes et échantillons divers de produits de beautés, pinces à linges, clés, mignonnettes (en verre) briquets, personnages miniature en latex (ah ! Les introductions de schtroumfs ou de marsupilamis !), piles électriques (super dangereux), on y a même trouvé des télécommandes et des téléphones portables.
Introductions d'objets moyens : c'est plus rare mais les bouteilles de coca-cola et les canettes de bière ne sont pas des légendes, on a même trouvé… une poupée "barbie" !

- les précautions à prendre :

Ne pas utiliser d'objets volumineux si vous n'y êtes pas habitué et lubrifier à fond (l'objet et l'entrée de l'anus)
Ne pas utiliser d'objet de moins de 10 cm de long
Ne pas utiliser des objets possédant des parties piquantes (même si celle ci est à l'extérieur)
Ne pas utiliser des objets contenant des produits chimiques (piles)
Utiliser des godes de taille moyenne, achetés en sex-shop. (je signale à ce propos que si vous habitez dans un trou ou dans un pays où la vente de genre de choses est prohibée, il suffit de les commander par correspondance, l'un des deux grands spécialistes de la vente par correspondance en France - celui qui a un chiffre dans son titre - en a son catalogue sous l'appellation vibro-masseurs (dans la rubrique confort, coincé entre les bouillottes et les brosses à dents électriques…)
Garder la main sur l'extrémité sortie surtout s'il ne reste pas grand chose à l'extérieur et de toute façon éviter de laisser sorti moins de 5 cm de l'objet pénétrant. 

Ce qui est sans danger de façon quasi certaine
- les boules de geishas (mais encore faut-il tester avant la bonne tenue des ficelles
- le plug (il s'agit d'un gode muni d'un socle, il est impossible de se le rentrer entièrement) offre, lui une sécurité absolue !

Un mot sur les gants : le gant jetable est un objet permettant de faire du doigtage anal sans se salir (très pratique) mais ne peut convenir à contenir des objets, il est trop fragile. Si vous voulez vraiment vous introduire un tube de cachets dans le doigt d'un gant, choisissez alors le bon vieux gant en caoutchouc qui lui ne se déchirera pas. En cas d'absorption de la partie enveloppant l'objet, il arrivera à ressortir en combinant l'action sur les muscles du sphincter et le tirage par l'autre partie du gant

En cas d'absorption que faire ?
Appeler les pompiers ! En principe ce corps de métier ne vous demandera pas d'explication vaseuse, il n'est pas là pour cela, on vous emmènera aux urgences !
Avant d'appeler les secours, essayez néanmoins ceci mais sans insister outre mesure :
Aussitôt que vous avez réalisé qu'il y a eu absorption, ne changez pas de position, et poussez, mais n'insister pas trop… si ça ne sort pas, plus vous allez vous énerver, moins ça va aller…

Une variante pas si rare que ça est constituée par l'introduction anale d'une douchette de salle de bain. Imaginez la situation, la personne ne peut aller téléphoner, n'a accès à aucun outils permettant de dévisser le tuyau de la douche, A part crier si une fenêtre ouverte est à proximité, ce qui a quand même permis de sauver du monde… je ne vois pas trop. Dans la plupart des cas la personne panique, gigote, l'affaire se termine parfois en perforation intestinale avec la mort survenant quatre heures plus tard… Par contre si la personne garde son calme, est peut être sauvée des problèmes de soif, vu l'environnement, mais elle est néanmoins dans de très sales draps.

Je suis intervenu récemment dans une situation semblable, le type avait par chance apporté son portable dans la salle de bains 
- Je ne comprends pas comment ça a pu arriver ?
- Mais on ne vous demande rien, monsieur, on est pas là pour ça !
- Ca me grattait, alors je me suis gratté avec la douchette et j'ai glissé…
(faut absolument qu'ils se justifient, alors qu'on ne demande rien aux gens, on est pas là pour écouter leur histoire, on est là pour les sauver…) par contre aux urgences il s'est fait recevoir un savon, qui a mon avis n'a rien de nécessaire ( "- vous croyez qu'on a que ça à faire, et surtout le week-end !") ben oui, en principe on ne s'introduit pas des machins dans le cul quand on est en train de travailler…

Un autre risque est celui des infections : tout objet peut être infecté, mais si on est en principe sûr de ses objets personnels, il en est tout autrement des "godes biologiques" (fruits, légumes et saucissoïdes ! En plus du danger d'infection notons que :
- les légumes "durs" (carottes) offre un danger d'absorption (il est bien évident à contrario qu'une banane absorbée va se retrouver complètement écrabouillé, ce qui en la matière est réducteur de risque)
- les légumes à peau urticantes (les courgettes et les aubergines sont susceptibles de vous refiler une sérieuse irritation)
- Les légumes traditionnellement dangereux (l'artichaut est un vecteur classique du microbe du tétanos - on ne s'introduit pas un artichaut me direz-vous ? Et si ! Pas le légume entier, mais sa queue !) Ce genre de microbe n'est dangereux qu'en cas de contact avec le sang (piqûre par ex) Or il faut savoir que l'anus est bordé de capillaires extrêmement fins qui permettent l'absorption immédiate dans le sang de toute saloperie virale ou microbienne, c'est d'ailleurs la voie royale de la transmission du sida !

Là encore la solution toute simple est d'incorporer l'objet dans un préservatif.

Je ne traite pas des pénétrations vaginales, le lecteur sera assez grand pour comprendre que toute la partie relevant des infections s'y applique également !

L'auto attachement

Peut-être avez vous lu " Jenny " de Stephan King ? Dans ce très bon bouquin un couple se livre à un jeu érotique, monsieur attache madame et meurt d'une crise cardiaque ! Aïe ! Situation rarissime et que je n'ai jamais rencontré. Par contre les auto attachements solitaires dont les protagonistes ne savent plus se défaire sont relativement nombreux.
On va trouver de tout :
Anecdote :
Monsieur X a un berger allemand, il a un panier spécial pour l'emmener avec lui dans les soutes des avions. Un jour il s'enferme dedans, cadenasse l'ouverture et fait tomber la clé au sol, mais à porté de main. Le chien n'a rien trouvé de mieux que de jouer au palet avec la clé. Le type était bel et bien prisonnier. Il est resté plus de 48 heures là-dedans et n'a été sauvé que… par le chien qui hurlant à la mort a ameuté tout le quartier.
A lui non plus on n'a rien demandé.
- Je voulais vérifier si mon chien avait du confort la-dedans !
Nous nous sommes bien sûr abstenus de lui demander si pour faire ce test il fallait fermer à clé, la jeter, être absolument nu, et s'être mis le collier du chien autour de son propre cou !
Des situations similaires se sont produites avec des menottes. Sur une chaise, on arrive toujours à se déplacer à grands coups de rein ! (si les pieds posent terre) Mais sur un lit ? Sans parler de ceux qui ont installé des systèmes de chaînes, de croix, de poteaux ou que sais-je encore !

Parlons justement des attachements en croix dans la position debout.

Il est extrêmement dangereux de rester attaché plus de deux heures dans cette position si les bras sont maintenus plus haut que le cœur et si les pieds ne touchent pas le sol. Le torse va alors être entraîné au fil du temps en avant jusqu'à ce que la respiration devienne suffocante. En principe au bout de trois heures on meurt. Ca porte un nom, ça s'appelle la crucifixion ! Mais certains semblent avoir oublié que c'était une façon d'exécuter les gens ! Outre ce danger, il existe aussi des risques de blocage de la circulation du sang, et cela même si les pieds sont au sol.

Au lit la chose reste moins dangereuse, mais dans tous les cas il faut pouvoir se détacher. Bannissons donc tous les systèmes à clé. Il ne suffit pas d'avoir la clé sur la table de nuit, sans parler du chien ou du chat capricieux, un faux mouvement au moment de l'attraper et boum la voilà sous le lit, vous faites comment après ? Sans compter que se détacher d'une menotte d'une seule main, vous avez intérêt à vous entraîner avant… Et puis reste le risque affreux, vous savez faire, mais la serrure se bloque néanmoins ! Aïe !
Que reste-il comme système d'attachement : Je ne vois pas bien comment on peut se boucler soi-même une main si l'autre est attachée, idem pour les boutons et pressions reste donc le velcro et les nœuds.
Un velcro arrivera à se défaire si le sujet à une marge de gigotement suffisante, reste les nœuds, les conseils de bondagistes fous sont toujours les mêmes, on s'installe gentiment dans le lit, on s'attache les pieds, peu importe le système (de toute façon que feriez vous les pieds détachés et les mains attachées) on attache la main gauche comme vous le sentez, reste la main droite, et là il n'y a pas trente six solutions, il faut mettre la main dans une boucle de nœuds et tirer afin que celui se resserre sur le poignet. Or avec certains nœuds (de type marin, il est impossible de se défaire). La seule solution raisonnable resterait donc le nœud coulant classique. Mais là encore rien n'est sûr, il est théoriquement possible de se débarrasser d'un nœud coulant par gigotement du poignet, il faut trouver le bon mouvement, souvent un mouvement de semi-rotation latérale continue, chaque mouvement va libérer un tout petit peu de pression, mais le résultat sera d'autant plus difficile que le la corde ne sera pas lisse, la vielle corde de chanvre par exemple est souvent de mauvaise qualité et les filaments de sa surface vont gêner la libération, (La corde à linge en plastique est paraît-il pratique à cause de sa propriété à vouloir se détendre sans arrêt). Et puis il faut avoir du mou sinon ce n'est même pas la peine, on risque d'obtenir l'effet inverse, un renforcement du serrage. De plus il faut savoir (tout le monde n'a pas été dans la marine, qu'il y a plusieurs sorte de nœuds coulants et que certains d'entre eux ne se déferont jamais tout seul. Autrement dit si vous voulez vraiment utiliser ces genres de nœuds, il faut vous tester en situation où la main gauche n'est pas attachée, et j'ajouterais qu'il n'est pas débile de faire ce test plusieurs fois (tout peut en effet varier suivant la longueur de la corde, la grandeur de la boucle du nœud, la qualité de la ficelle, et la distance de mou… 

En fait, je ne vois qu'une seule solution absolument inoffensive, c'est qu'après s'être attaché pieds et main gauche n'opérer sur la droite qu'un simulacre d'attachement. En introduisant par exemple la main doigts réunis, dans une boucle nouée non coulante… et là il ne peut y avoir de problème si on est entré, on ressortira…

Les interventions pour ce type de situations ne sont pas si rares que ça. Si le type n'est pas célibataire, il s'en sortira, sinon, reste pour le sauver, le chien, la fenêtre… pas grand chose quoi, sinon la mort par soif interviendra en 72 heures et peut-être même avant, le sujet passant souvent par une phase d'énervement forcené.

D'autres pratiques

Les strangulations contrôlées : On vend (parfaitement ) des machins permettant de se pendre et se le libérer juste avant que la situation redevienne irréversible (les morts provoquées par ces saloperies sont fréquentes).
Or il faut d'ors et déjà se demander pourquoi les gens font cela ! Il y a au départ une croyance débile : celle que la mort par strangulation ne peut être qu'extatique puisque le sujet éjacule. N'importe quel médecin vous expliquera qu'il s'agit tout bonnement d'une réaction mécanique. Il y a quand même d'autres façons de provoquer la jouissance à ce que je sache, même quand on est un masochiste invétéré ?

La dernière catégorie concerne le courant électrique ! Je ne la développerais pas ! Tout le monde sait maintenant que ce chanteur ( ? ) qui fait encore les délices des soirées karaoké n'est pas mort en changeant une ampoule électrique…
Il faut tout simplement bannir l'usage de l'électricité dans les jeux sado-maso et ici j'ajouterais que l'on soit seul ou pas.

Mais rassurez-vous, il reste des tas de choses à se faire tout seul, pour se faire plaisir et ceci qu'on soit maso ou qu'on ne le soit pas !

ADDITIF

Pratiques dangereuses : je n'ai pas parlé des mutilations volontaires : A quoi bon ? ce n'est plus du masochisme c'est de la folie pure, et de toute façon mon pauvre article n'empêchera nullement celui qui veut la faire de passer à l'acte

Pratiques ne présentant en principe aucun danger :

L'auto-flagellation : Aucun danger ! En principe quand on se fait mal on s'arrête, non ?

Les pinces : Idem ! Ne jamais cumuler cette pratique avec l'auto attachement (risque de blocage de la circulation sanguine)

Le bondage d'organes : (ficelles autour des testicules, à la base du pénis, autour des seins, autour des mamelons...) idem que pour les pinces...

Le bâillon : Un bâillon doit pouvoir être enlevé sans problème en 3 secondes. Si cette condition n'est pas réunie (attachement), les dangers d'étouffement sont très graves (en cas de régurgitation notamment). Evitez de toute façon les modèles qui se ferment avec des trucs compliqués. En cas de panique vous risquez de cafouiller. 

Les orties : Il y en a 3 sortes, les deux que l'ont trouve dans l'hémisphère nord ont une toxicité faible, mais qui peut provoquer des allergies à certaines personnes. Faites un test sur l'intérieur du bras une journée avant de vous foutre une fouetté magistrale. Il existe une variété dans l'hémisphère sud à haute toxicité. Rappelons que l'ortie combine un effet immédiat (sensation de piqûre) et un effet retard (démangeaisons). La règle d'or est de ne pas se gratter !

Merci à M.Palinski



Les ronces : Il vaut mieux être vacciné contre le tétanos, sinon, abstenez-vous

Les bougies : La brûlure à la bougie ordinaire n'est même pas du premier degré ! Plus la bougie est ordinaire plus elle est inoffensive. Attention toutefois aux belles bougies très chères et décorées avec des produits qui en chauffant auront une température supérieure à celle de la cire.

Aiguilles et fléchettes : risque d'infections

Urologie : absorber de l'urine est absolument sans danger (que ce soit la votre ou celle d'un partenaire, c'est absolument stérile !) Encore faut-il l'absorber dans des conditions d'hygiène normale (un verre quoi !). Le fait d'aller lécher le parquet ou l'on vient de pisser est assez irresponsable sauf si on vient de le laver à l'eau de javel !

Léchage de chaussures : Il est aussi irresponsable d'aller lécher des semelles ou des talons de chaussures qui ont été se balader sur les trottoirs de la ville. Vous n'attraperez peut-être pas le sida de cette façon mais vous pouvez chopper la tuberculose, d'autant que de nombreuses personnes ont repris cette détestable habitude de cracher par terre. Rappelons que les professionnelles qui se font lécher leurs chaussures ont une paire spécialement dédié pour cette occasion

Il n'était encore une fois pas dans mes intentions de vous décourager de vous donner du plaisir tout seul, mais de mettre le doigts sur des dangers souvent ignorés dont les conséquences peuvent être dramatiques

 

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Dimanche 28 octobre 7 28 /10 /Oct 07:35
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Dimanche 28 octobre 7 28 /10 /Oct 07:30

Pour connaisseurs seulement.. (Plusieurs plaisirs en 1...)

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Samedi 27 octobre 6 27 /10 /Oct 07:35

Ce que peut cacher un simple atelier de bricolage ou un appartement en cours de rénovation...

Par EROS - Publié dans : Album photos (plein de photos)
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Pour une rubrique qui sera la votre, j'ai envie (et besoin) de recevoir vos confessions ; que vous me parliez de vos envies, phantasmes, ou tout autre sujet de prédilection évoqué sur ce site ; que vous me fassiez parvenir toutes sortes de photos pour que je les les publie  dans une rubrique qui Vous sera entièrement consacrée...

Pas de tabou ni de censure sur ce site, (vous me connaissez)... Vous pouvez tout me dire....

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