Merci à tous

Bienvenue.

Pour consulter la totalité des articles et photos mis en ligne quotidiennement,  cliquer sur les archives "mensuelles" ci dessous.

Merci de votre visite ! !

 

 Pour me joindre eros_plaisirs@yahoo.fr

Commentaires

Recherche

Mardi 13 février 2 13 /02 /Fév 07:40
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 12 février 1 12 /02 /Fév 07:53

Quel homme n'aimerait pas entendre ces chaudes paroles, délicieusement sussurées au creux de son oreille...? !

"Si tu as froid la nuit, si tes pensées ne veulent pas s’arrêter de tourner dans ta tête, si tu ne peux pas dormir, glisse ta tige dans ma rose qui toujours brûle dans le secret de mes rêves, de rose en rêve glisse toi au plus profond de moi où il fait toujours bon pour mon aimé, où ruisselle l’amour, où le paradis s’ouvre, haletant, assoifé de liqueurs humaines."

Extrait de "Journal de Rrose" (avec 2 "r") d'Alina Reyes

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 12 février 1 12 /02 /Fév 07:39
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 11 février 7 11 /02 /Fév 08:07
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 11 février 7 11 /02 /Fév 08:01

...suite...

 C’est alors que mon époux adoré, jamais à court de bonnes idées, fait irruption dans la pièce et nous ordonne de nous mettre à quatre pattes sur le lit, la croupe tendue et offerte au regard de notre public, toujours haletant derrière la porte. On leur doit bien ça, les pauvres. D’ailleurs, à la vue de ce superbe panorama, nos deux touristes du cul se sont rapprochés, le sexe cette fois ci bien dressé, hors de la braguette.
Il faut dire que leur libido a été mise à rude épreuve depuis le début de la soirée. Allez, encore un petit effort, mes canards, et vous serez largement récompensés !
 
 
Nos Maîtres veulent maintenant se faire honorer respectueusement, devant nos invités. Nous tombons donc immédiatement à genoux, comme notre dressage nous l’a enseigné, et nous nous emparons chacune du pieu de notre éducateur respectif. Nous voilà donc entrain d’aspirer, de lécher, de branler… bref, de remplir notre office de soumise.
 
Et après avoir rempli notre office, nos Maître ont estimé qu’il était temps de remplir nos orifices.
Pour mener à bien cette tâche, nous avons bien sûr deux volontaires très motivés. Mon Maître nous place un collier de chienne et une laisse à chacune, et nous amène, à quatre pattes, vers le salon, ou nous attendent deux beaux sexes turgescents. A peine placées en levrette par mon Maître , nous voilà saillies. Nos intimités sont explorées, fouillées sans ménagement, à notre plus grand bonheur.
 
 
 
Le temps de dire " ouf ", et je me retrouve avec le sexe d’un inconnu dans la bouche. Un regard à mon Maître, et je comprend ma mission : faire exploser cet inconnu. Je pompe donc avidement cette nouvelle tige, longue et fine. Je le sens qui se contracte, se retient pour faire durer le plaisir. Mais une bonne prise en main de ses couilles et une aspiration du gland le font céder… il gémit et me jouit en rafale dans la bouche. J’avale avec une certaine répugnance… mais avec, surtout, le plaisir du devoir accompli.
 
 
 Hélas, pendant ce temps, Marie-Jo ne se sent pas au mieux de sa forme. Toujours attentif, Alain, son Maître, la conduit dans la chambre. " Game Over " pour ma compagne, et c’est donc à moi de satisfaire les hormones sur vitaminées de nos deux voyeurs (qui ont tout de même quitté depuis longtemps le rôle de simple voyeur pour passer à l’action !). Je me retrouve forcée à me pencher en avant sans plier les jambes. Une queue vient se planter à nouveau dans ma bouche, tandis que derrière moi, je sens une bite vigoureuse venir me pénétrer sans ménagement.
Me voilà bien occupée ! Hélas, mes deux étalons ne sont pas totalement à la hauteur des caresses que je prodigue. Celui dont je pompe goulûment le dard n’arrive plus à bander. J’ai beau m’appliquer, rien à faire… lui aussi est " Game Over ". Derrière, par contre, ca s’active dur. Les coups de butoirs me défoncent en rythme. Vu ce que je sens de la bite en question, il ne me semble pas prêt à débander !
 
Il lui faudra une bonne série de violents aller-retours au cœur de mon sexe en feu avant de jouir. Ses mains se crispent sur mes reins, il donne un dernier coup très violent, se plaque contre mes fesses et gémis à n’en plus finir. Vu de l’intérieur, c’est le raz-de-marée. Il m’inonde copieusement la chatte, et j’adore ça.
 
Voilà, j’ai épuisé tout le monde, Marie-Jo se repose, et c’est donc " Game Over " pour moi aussi.
 
 
Pas pour longtemps, remarquez, car sitôt de retour à la maison, mon Maître a voulu me sodomiser. Lui seul a ce privilège, et c’est justement ce qui manquait à mon bonheur dans cette soirée. Allez, bande de coquins, rideau et à la prochaine !
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 10 février 6 10 /02 /Fév 08:04
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 10 février 6 10 /02 /Fév 07:57
Exhibée et livrée à des inconnus dans une chambre d’hôtel, voilà ce que j’appelle une bonne soirée… surtout quand je partage tout ça avec Marie-Jo, ma compagne d’infortune !
 
Ce soir là, tout à commencé au restaurant. Nous sommes quatre à la table de ce superbe restaurant très classe, dans les environs d’Aix en Provence. Il y a là, bien sûr, mon mari et Maître, mais aussi la belle Marie-Jo et Maître Alain, son Éducateur. En nous observant, nous, les soumises, je nous trouve particulièrement sexy ce soir… Il faut dire que nous portons toutes les deux une superbe robe de soirée, et des sous-vêtements à faire pâlir le mâle le plus blasé.Puisqu’on est belles et sexy, on croit pouvoir se permettre quelques libertés avec nos Maîtres ; on s’amuse ainsi à les allumer.
Petites réflexions coquines par ci, propositions à peine déguisées par là… on s’amuse beaucoup.
 
 
Je suis sûre qu’ils bandent tous les deux sans oser l’avouer, prestige du Maître oblige. Mais curieusement, ils ne réagissent pas… seul un petit sourire en coin chez mon Maître me donne à penser qu’on risque d’être servies au delà de nos espérances !
 
 Et bien sûr, j’avais raison. A peine le repas terminé, ils nous conduisent à la voiture, et démarrent.
Nous sommes à l’arrière, et nos Maîtres nous intiment l’ordre de retirer nos sous-vêtements. Je fait donc glisser ma culotte sur mes cuisses, tandis que Marie-Jo fait de même. Nous retirons ensuite tant bien que mal nos soutien-gorges. Nous voilà nues sous nos robes de soirée. " Jambes écartées, toutes les deux derrière ! ".
 
 
L’ordre de Maître Alain ne laisse aucune place à la discussion, et nous ouvrons donc bien largement nos cuisses… du moins aussi largement que nous le permettent nos robes. Mon Maître nous conseille de nous " chauffer " un peu, le temps du trajet. On va en avoir besoin, paraît-il.
 
 
Il ne faut pas nous le dire deux fois… l’entrecuisse de Marie-Jo m’accueille avec volupté, tandis qu’elle penche sa tête en arrière et se laisse aller à mes caresses… sont sexe ne tarde pas à être trempé.
 
Quand au mien, Marie-Jo saura y glisser deux doigts experts dans l’art de m’attirer les foudres de mon Maître.
 
Car je n’ai bien sûr pas le droit de jouir, et pourtant les doigts de Marie-Jo pourraient y parvenir en quelques secondes à peine. Je lutte contre l’orgasme, tandis que mes doigts désormais trempés fouillent le sexe de ma camarade, sous sa belle robe de soirée.
Toute cette agitation à l’arrière, et les grognements sourds qui l’accompagne, ne manquent pas de finir d’exciter nos Maîtres. Heureusement, nous sommes arrivés. Un quart d’heure de plus en voiture, et ils auraient du nous punir sévèrement tellement l’orgasme nous guettait toutes les deux !
 
  
Nous levons la tête et regardons dehors. Il faut dire que nos coquins de Maîtres savaient ce qu’ils faisaient : en nous ordonnant de nous " amuser " sur la banquette arrière, ils étaient sûrs que nous ne regarderions pas la route durant le trajet. Nous découvrons donc ce qu’ils ont prévu pour nous ce soir : un parking désert.nfin, pas si désert que ça, puisque deux inconnus attendent. Manifestement, c’est nous qu’ils attendent. L’ordre de mon Maître tombe : " en piste ! The show must go on ! "… bref, c’est à nous de faire bander les deux inconnus.
 
 
 Et ça, on sait faire. Sortant de la voiture, on vient se placer devant les phares. Les deux voyeurs ne bougent pas… tout juste mettent-ils une main dans la poche.
On commence à onduler langoureusement, puis on dévoile une épaule… puis l’autre. Notre robe tombe sur la poitrine. Mes seins coquins se dévoilent tous seuls… les tétons déjà dressés, et je peux vous dire que ce n’est pas à cause du froid !
 
A côté de moi, la superbe poitrine de Marie-Jo ne veut pas laisser passer la robe ! Qu’à cela ne tienne, je l’aide, en pinçant ses tétons au passage, un petit signe de connivence féminine, en quelque sorte !
 
 
Les voyeurs ont les yeux rivés sur notre poitrine. L’un d’entre eux dézippe sa braguette et sort son sexe… Cela nous motive, et nous remontons la robe sur nos hanches. La vue de notre sexe fait un bel effet aux deux inconnus. Le mien est joliment rasé pour l’occasion, tout beau, tout lisse et appétissant. Quant à Marie-Jo, ses lèvres ourlées se découpent à la lumière des phares. Du grand spectacle, croyez moi !
 
Mais nos Maîtres ont décidé d’arrêter là notre petit show. Nous sommes ramenés dans la voiture manu-militari, et conduites rapidement dans une superbe résidence hôtelière, où un appartement nous attend.
Il n’est pas le seul à nous attendre, l’appartement. Comme par hasard, les deux voyeurs y sont aussi. Et ils n’ont pas débandé entre temps !
 
Nous voilà conduites dans la chambre, et mise entièrement à nu par Maître Alain. Les deux inconnus, eux, sont cachés dans l’entrebâillement de la porte, et ne veulent pas perdre une miette du spectacle, qui s’annonce très chaud. Comme on ne veut pas les décevoir (et par là, décevoir nos Maîtres), on se donne à fond. On se caresse, on se lèche, on se pénètre de nos doigts gourmands.
 
 Bien sûr, tout ça est placé sous la supervision de Maître Alain, qui d’un coup de cravache occasionnel nous remet dans le droit chemin, ou rectifie la position afin que nos deux spectateurs ne ratent rien de nos chattes accueillantes.

A suivre...

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 9 février 5 09 /02 /Fév 07:38
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 9 février 5 09 /02 /Fév 07:35

Les persiennes laissent filtrer un rayon de lumière qui réveille doucement la chambre.  

  Je suis assis et je te regarde.

  J'ai tellement attendu. Tellement. Tellement...!

  Il est parfois de ces instants que l'on ne se croyait plus être autorisé à vivre, qui font presque peur. Où douceur et tendresse osent enfin percer au-delà des trahisons et des frustrations accumulées.

 Comment retenir et préserver ces moments ?

 "En les chérissant dans son coeur et son esprit à jamais", m'as tu répondu.

  Comme je te chéris maintenant, en te câlinant du regard.

  Comme je te chérissais, cette nuit lorsque ton corps se cambrait sous mes étreintes.

  Lorsque ton regard bleu, tellement profond et intense qu'il en est parfois cruel, paraissait enfin apprivoisé.

  Lorsque ton coeur s'ouvrait sans pudeur, me suppliant de m'y engouffrer et d'y déverser des torrents de tendresse.

  Lorsque ta bouche se laissait aller au delà des limites de la convenance et me criait les mots qu'on ne maîtrise pas.

  Lorsque tes cris de plaisir, mon Amour, se confondaient avec mes élans saccadés.

  Lorsqu'enfin, abandonnés, vaincus, lovés sensuellement l'un dans l'autre, incroyablement légers mais terriblement forts, nous nous laissions portés vers des Terres inconnues...

   Je suis assis et je te regarde.

   Ton corps alangui, apaisée, offert m'autorise t-il une confidence ?

  Je voudrais tant pouvoir te dire que je t'aime sans que ces mots ne soient teintés d'interrogations et de doutes mais plutot d'espoir et de plaisir.

  Je te regarde.

  Le drap recouvre ton intimité... Comme je lui en veux !   !

  Je m'approche. Plus près. Je sens ton souffle. Tes yeux s'éclairent... Tu ne dors pas...  
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 9 février 5 09 /02 /Fév 07:08

Un rappel anatomique ne peut pas faire de mal, messieurs...Afin de mieux faire profiter votre compagne de votre savoir faire et de vous laisser guider selon ses désirs ! !

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Bienvenue...

Le blog aux (plus de)
 175 000 visiteurs !


A ce jour, plus de
175 973 visiteurs (depuis le début de l'année 2007) sont venus se promener sur ces pages... Un grand merci à toutes et à tous pour votre fidélité et votre intérêt pour l'érotisme et ses plaisirs...

  


  APPEL POUR UN EROTISME PARTICIPATIF ! !

 Ami(e)s adeptes de ce site et de tous les plaisirs  qui y sont évoqués, j'ai besoin de vous ! !

Pour une rubrique qui sera la votre, j'ai envie (et besoin) de recevoir vos confessions ; que vous me parliez de vos envies, phantasmes, ou tout autre sujet de prédilection évoqué sur ce site ; que vous me fassiez parvenir toutes sortes de photos pour que je les les publie  dans une rubrique qui Vous sera entièrement consacrée...

Pas de tabou ni de censure sur ce site, (vous me connaissez)... Vous pouvez tout me dire....

N'hésitez pas à m'envoyer tout ce qui vous passe par la tête ou le corps à l'adresse..... eros_plaisirs@yahoo.fr

Un long texte ou un petit mot ; un cliché innocent ou l'album photo de vos ébats.....

Merci d'avance de faire vivre ce site qui deviendra ainsi, encore davantage, le Votre...

ERos...

  

 

Images au hasard

Jour après jour

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

W3C

  • Flux RSS des articles
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés