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Jeux érotiques

Jeudi 17 janvier 4 17 /01 /Jan 07:32

AA115.JPGAA112.JPG... moderne... résolument moderne...

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Lundi 7 janvier 1 07 /01 /Jan 07:30

... mais toujours efficacement..

 

 

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 07:31

Je vous déjà entretenu, je crois (et si je ne l'ai pas fait c'est que je n'en ai pas eu le temps, mais je voulais le faire ! ! ! non mais ! !) du rapport trouble et ambigu que les Japonais entretienne avec l'image du poulpe et de la pieuvre ("Tako" en japonais) dans les rapports érotiques.....

Mais une image vaut certainement un long discours (puisqu'il est décidément dit que je ne vous en ai rien dit...)

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 07:30
Il peut être intéressant lors d'une entrée en relation entre la dominatrice (ou le dominateur) et le soumis (la soumise) de faire le point des pratiques qui peuvent soit
- être acceptées sans problèmes
- être envisagées à la rigueur bien qu'elles ne vous plaisent pas
- être refusées catégoriquement

Ce questionnaire (non exhaustif) peut servir aussi bien à la partie dominatrice qu'à la partie soumise.
On le renseigne en indiquant simplement :

O(ui) dans le premier cas
E(nvisagé) dans le deuxième
N(on) pour les refus

Domination physique

Attachement
Mise cage
Bâillon
Bandeau sur les yeux
Fessée à la main
Gifle
Martinet
Cravache, padle, canne anglaise..
Brosses
Godemiché/Doigtage anal
Pinces aux seins
Pinces aux testicules (ou au lèvres vaginales)
Pinces avec poids
Bondage
Cire de bougie
Glaçons
Orties
Élastiques
Pietinement

Humiliation

Humiliation en général
Insultes
Crachats
Léchage des pieds/des chaussures
Marcher à quatre pattes
Obligation de manger comme un chien
Meuble vivant, paillasson, tapis
Servir de monture
Punitions de type scolaire (lignes, règles sur les doigts, mise au coin, mains sur la tête...)

Travestissement et exhibition

Rasage des poils
Travestissement
Exhibition publique
Châtiment public
Prostitution (jeu)

Rapports hétérosexuels

Y compris sodomie (reçue)
Y compris anulingus (donné)

Bisexualité (pour un soumis homme)

Bisexualité en général
French kiss
Masturbation réciproque
Fellation donnée
Fellation reçue
Sodomie subie
Sodomie donnée
Anulingus donné
Anulingus reçu

Bisexualité (pour une soumise)

Bisexualité en général
French kiss
Masturbation réciproque
Léchage des seins donné
Léchage des seins reçues
Cunnilingus donné
Cunnilingus reçue
Anulingus donné
Anulingus reçu

Uro

Uro
Uro en général
Nettoyage d'un sexe venant d'uriner
Aspersion
Culotte pisseuse sur le visage
Absorption

Extrême

Fist anal
Lavement à l'urine
Regarder déféquer
Renifler une culotte merdeuse
Nettoyage d'un anus venant de déféquer
WC humain
Léchage de matière
Aiguilles
Electricité

 


 



Vous pouvez aussi vous servir de cette liste comme test :
Compter 3 points pour un O, 1 point pour un E, 0 point pour un N

- Plus de 180 points : vous êtes un soumis parfait, presque trop, que va pouvoir inventer votre maîtresse pour vous étonner ?
- 145 à 180 : sans doute le soumis idéal, vous n'êtes pas prêts pour tout mais faites preuve d'énormément de curiosité et de bonne volonté
- 100 à 145 : c'est un bon début, mais ne soyez pas si bloqué sur certaines choses
- 50 à 100 : seuls certains aspects de la domination vous intéresse, vous passez peut-être à côté de quelque chose
- moins de 50 : le monde du SM vous est étranger, mais peut-être pas tant que ça puisque vous avez fait le test... Il y a un début à tout...

Merci à Wanda-Lee

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Mercredi 2 janvier 3 02 /01 /Jan 07:30

Pour repartir d'un bon pied (à prendre, bien sûr) après cette période de fête et continuer la découverte des plaisirs multiples, voici aujourd'hui quelques techniques à mettre en pratique pour jouer avec vos lèvres, Mesdames...A vous de jouer...

 

 

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Vendredi 28 décembre 5 28 /12 /Déc 07:30

Profitez des vacances de Noël pour découvrir des nouveaux jeux... Mais comment aborder le sujet quand celui-ci est un peu délicat ??? Les pratiques dites "uro", par exemple.

Hélène, spécialiste, nous tend quelques perches...

L'uro, comment en parler à l'autre ?
  
« j’aime bien l’uro, je fantasme dessus, mais je ne sais pas comment en parler à ma petite amie ‘ou à mon petit ami, etc…) »
  
On me pose souvent la question. Le problème doit être réel.
  
Croyez, bien mes bons amis, que s'il y avait une réponse miracle je vous la donnerais ! Il n’y en a donc pas. Mais on peut malgré tout faire avancer les choses, et parfois les faire avancer considérablement...
  
L’état des lieux : 
  
Il faut donc répondre à la question suivante : Quel est l’opinion « des gens » sur les pratiques uro ?
Faute de statistiques ou même de sondage fiable, on est obligé d’extrapoler… Ce n’est pas grave, j’adore cela !
On va donc avoir un champ d’opinions différentes, ces différences vont porter sur :
-          l’avis sur la chose elle-même (ce que je pense de l’uro)
-          le degré d’adhésion à cet avis (je suis sûr, je ne suis pas vraiment sûr…)
  
Comme tout champ, ce champ d’opinion a ses limites de conviction :
-          La limite basse : elle sera constituée par les irréductibles, ceux qui ne sont sensibles à aucun arguments, les éternels indécrottables de tout poil, ceux qui ont une opinion inébranlable sur n’importe quel sujet et qui n’en démordront jamais. Si votre conjoint (e) est de cette catégorie, je vous plains… et pas seulement pour les problèmes liés à l’uro…
-          La limite haute : Ce sont les pratiquants.
  
Les gens à "convaincre" sont donc entre ces deux limites, Ça fait du monde !…
  
Et avant d’aller plus loin une précision d’importance : L’uro n’est pas une idée, c’est une pratique. Il n’y a personne à convertir ! Il y a par contre des gens à convaincre de passer à l’acte. Et avant de convaincre, on va voir qu’il convient de remettre quelques pendules à l’heure. Mais retenez ce principe il est essentiel :
  
On ne convertit pas, on cherche à convaincre !
  
On croit qu’entre deux opinions extrêmes (extrêmes, pas extrémistes !) Il y a une longue ligne droite sur laquelle vont figurer toutes les opinions intermédiaires, des plus rapprochées aux moins rapprochées.
  
Ben non, ce n’est pas comme cela que ça se passe !
  
Entre les deux bords se trouve non pas une ligne mais des sphères ! Des sphères d’opinion !
Des drôles de sphères d’ailleurs aux comportements bizarres :
  
On peut en matière d’opinion sur l’uro dégager quatre grandes sphères :
  
-          La sphère béotienne : « on ne savait pas que ça se pratiquait »
-          La sphère hygiénique : « c’est sale »
-          La sphère de l’ordre : « c’est anormal »
-          La sphère pratique : « je ne vois pas l’intérêt »
  
Je n’ai pas parlé de ceux qui s’en foutent comme de leur premier kleenex, ceux-là nous seulement ils ne sont pas dans une sphère, mais ils sont hors champ. Mais il faut bien que l’on envisage aussi leur cas.
  
Et voilà tout le monde est sur le papier ! On continue !
  
Oui, mais avant, il faut encore (j’en suis désolé) compliquer encore la chose (rassurez-vous quand on en sera à l'argumentaire ça va devenir plus simple !)
  
1ère complication : Nos sphères ne sont pas homogènes : Prenons comme exemple la sphère hygiénique (qui est la plus facile à traiter)
Tout le monde ne crie pas en chœur : "c’est sale" ! Non ! ça va aller de :
-          "C’est sale, point final et il sera difficile de me faire changer d’avis" (on est très près du bord du champ)
-          "Je crois que c’est sale" / "On m’a dit que c’était sale" / "Ce doit être sale"
mais aussi :
-          "Si ce n’était pas sale je le ferais bien !"
-          "Je fantasme dessus mais je n’ose pas le dire parce que c’est sale !"
-          "Si j’étais sûr que ce ne soit pas sale !"
  
Intéressant, non ? parce qu’on voit déjà quels sont les arguments et les actions à mener…
  
2ème complication : Nos sphères ne sont pas autonomes mais s’inter-pénètrent les unes les autres !
Quelqu'un peut par exemple dire à la fois que c’est sale, que c’est déviant et que ça ne sert à rien….
  
Evidement plus la personne sera dans plusieurs sphères, plus la tâche sera difficile !
  
Donc quatre sphères plus des gens à l’extérieur :
  
Traitons tout cela :
  
La première sphère est celle des béotiens : il est facile de faire sortir quelqu’un de là-dedans, puisqu’il suffit de lui expliquer que ça existe. Sauf cas exceptionnels ça ne va pas le transformer en pisseur militant, les choses ne sont pas si rapides, non, notre sujet va simplement rejoindre une autre sphère ou se mettre hors champ. Tout dépend alors de la façon dont il va recevoir l’explication. Nous y reviendrons !
  
La deuxième sphère, l’hygiénique se nourrit d’une idée fausse « l’uro est sale » la sortie de sphère se fera donc en argumentant le contraire. En principe une majorité d’individu ne persiste pas dans l’erreur quand la démonstration est inattaquable (même s’ils ne nous le disent pas tout de suite)
  
Idem pour la sphère pour de l’ordre : (mais c’est plus difficile, l’hygiène ne relève pas du domaine des idées, mais de celui de l’observation, l’ordre est par contre quelque chose de très subjectif
  
La sphère pratique : il est très difficile de convaincre quelqu’un qui vous sort à tous bouts de champ des « ça ne m’intéresse pas, ça ne me plait pas ou pire, je n’en vois pas l’intérêt ! » Car on argumente souvent dans le vide, votre interlocuteur n’attendant qu’une seule chose c’est que vous changiez de conversation. Nous verrons qu’on peut néanmoins s’en sortir.
  
Les hors champs : Dire "je n’en vois pas l’intérêt" et dire "je m'en fous" n'a pas la même signification. Le premier ne refusera pas la discussion même si ça le gonfle, le second la refusera. Le premier à une position de principe, le second à une position de fermeture d’esprit, voire de paresse intellectuelle. Le premier est capable de vous dire « j’ai essayé et ça ne m’apporte rien », le second vous dira plutôt « ce n’est pas mon problème » Je n’ai pas de solution pour les gens de cette catégorie.
  
On va donc les laisser tranquilles et revenir sur les autres avec un argumentaire.
  
Enfin, direz-vous !
  
Je m’excuse pour cette longue introduction plus ou moins sociologique, mais j’estime que dans ce domaine il vaut mieux savoir ou l’on met les pieds, la suite n’en sera que plus efficace.
  
Sortie de la première sphère « on ne savait pas que ça se pratiquait »
N’allez pas trop vite, vous ne ferez pas tout à la fois ! Mais l’information doit être orientée dans le bon sens, exemple :
« J'ai vu un truc sur Internet, un truc dingue, des gens qui se pissaient dessus (ça c’est l’information) mais le plus dingue c’est qu’ils avaient l’air s’amuser comme des petits fous et d’être super bien dans leurs peaux (là on présente la chose sous un jour favorable) des gens comme toi et moi, qui avait l’air tout à fait normal (là on banalise). Il est inutile d’aller plus loin ! Le changement de sphère peut être immédiat, et le partenaire vous sortir tout de suite « moi, je trouve ça dégueulasse », répondez juste un truc pour minimiser « dégueulasse c’est peut-être un grand mot » et laisser tomber, votre partenaire va digérer consciemment ou pas l’information, vous n’êtes pas à une semaine prés !
  
Sortie de la sphère hygiénique : « c’est sale » 
Là je vous conseille la méthode hyper classique de la revue de salle d’attente : Vous ne rapportez pas une lecture, ça ne marque pas assez l’esprit, vous racontez une anecdote en vous appuyant sur une soi disant lecture !
Exemple
-          Je me suis engueulé avec Ginette à la cantine ! tu sais ce qu’elle ma sortie :
-          Elle m'a dit : je n’en veux pas de ton couteau, tu t’es même pas lavé les mains après avoir été pissé ! 
-          Ben elle a raison ! 
-          Mais non, voyons ! l’urine est complètement stérile, il n’y a aucun microbe dedans (vous pouvez continuer à argumenter, on vous écoutera, on écoute toujours ce qui est inattendu)
-          Tu ne m’avais jamais parlé de ça ! 
-          Ben c’est vrai qu’on a pas souvent l’occasion de parler pipi et puis, il n’y pas si longtemps que je le sais (la carte de la franchise, ça marche à tous les coups, mais là vous introduisez un doute, vous le savez comment ?)
-          Et tu as appris ça où ? 
-          Chez le coiffeur, (ou chez le dentiste, le docteur…)dans je ne sais quelle revue et tiens, ils disaient aussi (encore une couche d’arguments…)
  
Et hop ! Le partenaire n’est pas sorti de la sphère mais il est prêt à en sortir.. Encore une fois une question de jours. (Remarquez, malheureusement la sortie de sphère ne s’effectuera pas si la notion de sale chez votre interlocuteur est irraisonnée (essayez un peu de faire évoluer quelqu’un qui vous dira que les araignées, ou les crapauds, ou les souris.. c’est sale… la tâche est presque impossible)
  
Sortie de la sphère d’ordre : 
Plus difficile parce que l’ordre n’est pas une donnée objective, sachez cependant qu’il y a dans cette position un souci plus ou moins affirmé de conformisme volontaire. On ne veut pas être différent de tout le monde, et on ne veut pas que le partenaire nous entraîne dans une différence quelconque
Quels arguments employer ? :
-          N’hésitez pas à utiliser des arguments d’ordre sanitaires (la stérilité de l’urine, les bains de bouches jusqu’au 18e siècle, les Japonais qui en boivent pour soigner la tyroïde, les animaux qui s’en servent comme antiseptique… et enfoncez le clou en affirmant qu’on ne risque pas d’attraper de MST en jouant à l’uro
En effet les partisans de l’ordre et du conformisme sont extrêmement sensibles à tout argument allant dans le sens d’un renforcement de la santé publique.
-          Expliquez que vous séparez nettement les activités uro des activités scatos (ce n’était pas forcément nécessaire dans la sphère précédente, ici ça l’est, le partenaire peut très bien porter son jugement sur un domaine pour lui global qui sera le pipi caca. Il faut absolument qu’il admette que c’est 2 choses déférentes !
L’argument culturel :
-          expliquez que l’uro se retrouve dans le récit et dans le dessin érotique depuis que ceux-ci existe, donc depuis l’antiquité et dans presque toutes les cultures ‘citer l’anecdote amusante des anciens grecs qui savaient que l’absorption d’asperges donnait un goût abominable à l’urine)
L’argument du bien dans sa peau
-          expliquez que vous avez vu des photos, une vidéo, des images Internet, que sais-je encore et que vous avez été surpris par le comportement des acteurs :
-          ce sont des gens comme tout le monde (argument très fort dans cette sphère)
-          ils ont l’air de bien s’amuser (argument fort, le déviant étant pensé comme un tristounet)
  
Ne revenez pas à la charge, n’insistez pas, il ne faut surtout pas paraître lourd, il ne faut pas que le partenaire sente que ça devient obsessionnel. De toute façon, il va « assimiler » ce que vous lui avez dit, ce n’est pas forcement pour cela qu’il sortira de la sphère
  
Sortie de sphère pratique : 
Ici pas d’argumentaire ! Essayez d’argumenter auprès d’une personne qui vous dit non seulement qu’elle n’aime pas le chou-fleur mais qui est capable en plus de vous dire qu’elle y a goûté (même si c’est pas vrai) Par contre on peut rentrer dans son jeu (qui est de se chercher une bonne raison de le faire, introuvable selon lui) en entrant dans la période de sollicitation mais de façon un peu différente.
  
Après l’argumentation, la sollicitation
  
Présentez votre désir comme une expérience amusante que cous voulez réaliser, une tocade : suivant les réactions que vous avez notées à la phase précédente vous pourrez y aller plus ou moins progressivement :
  
Si le partenaire n'émettait que des arguments de type hygiéniques ou d'ordre, et que ceux ci sont tombés, la chose ne sera pas trop difficile, par exemple :
-          J'aimerais bien te regarder pisser !
puis
-          tu sais, une idée farfelue, j'aimerais bien que tu me pisse dessus, juste une fois
où dans le même ordre d'idée, allez déranger le partenaire pendant qu'il prend son bain
-          T'es mignonne comme ça dans l'eau pleine de mousse, tu veux que je t'arrose ?
Ne vous inquiétez pas pour la 3ème phase, l'absorption, elle viendra toute seule...
  
Par contre si votre partenaire est de ceux qui se réfugient constamment derrière les "je ne vois pas l'intérêt" (sphère pratique), ça va être plus difficile, et il conviendra de personnaliser au maximum la sollicitation : A quelqu'un qui vous dit "Il n'y a pas de raison, il faut lui donner une raison, et cette raison, c'est vous !
-          Tu peux le faire pour moi, ça ne va pas te tuer !
-          Ca ne t'enlève rien, et moi ça me fait plaisir
-          Faire l'amour c'est aussi accepter les fantaisies de l'autre !
S'il se réfugie dans une autre sphère (employez les arguments qu'il faut)
-          Enfin j’ai un fantasme qui n’est pas sale, qu’un tas de monde pratique et tu ne veux pas me le faire, l’érotisme c’est comme la bouffe c’est un partage…
  
La sollicitation peut aussi se faire dans des conditions un peu spéciales, nous ne retiendrons deux : la négociation et le scénario :
La négociation : votre partenaire vous a forcément demandé un jour un truc qui vous barbait et que vous avez évacué, genre une virée au restaurant en bateau mouche ou une soirée au théâtre ou voir les récital de je ne sais quel chanteur qui vous énerve : Proposer le deal, "si tu accepte, je t'emmène à ce truc qui te tiens tellement à cœur... " Il n'y a rien d'immoral là dedans, la vie du couple c'est aussi un échange.
  
Le scénario : Certains couples fonctionnent dans leurs ébats érotiques avec de petits scénarios 'la soubrette, la secrétaire, le livreur de pizzas, et... ce qui est beaucoup moins avoué... la prostitué ! dans ce cadre là il peut être intéressant de tenter un :
-          Combien tu prends pour me pisser dessus ?
Un autre scénario est la domination (domination douce, j'entends, je n'ai rien contre les martinets, mais c'est hors sujet !) Les choses parfois s'obtiennent de façon beaucoup plus facile par ordre que par demande amiable !
  
L’après :
En discuter très brièvement (ne pas paraître lourd, on ne le répèteras jamais assez)
Mais lancer juste, "on recommencera une autre fois, on va pas faire ça à chaque fois... (ça n’engage strictement à rien)
  
Un dernier conseil 
  
Chaque cas est particulier. Je me suis contenté de vous donner quelques pistes... souvenez-vous quand même que nous sommes dans un domaine très particulier, celui de la sexualité et qu'en la matière, les gens sont rarement sincères et hésitent à se dévoiler complètement y compris à leur partenaire. Si ce dernier vous paraît buté, ne vous découragez pas. Revenez à la charge quelques jours après. Sauf dans certains cas limites, on arrive toujours à faire avancer les choses.
  
Résumons-nous : 
  
1 ) aborder : amener l'uro dans la conversation vous permettra de connaître les réactions de l'autre et de savoir dans quelle sphère de refus il se situe !
2 ) démythifier : l'uro n'est pas sale
3 ) délimiter : l'uro n'est pas la scato
4 ) banaliser : ça se fait, et les gens qui le font ont l'air normaux, bien dans leur peau etc...
5 ) minimiser (on ne le répétera jamais assez, ne présentez pas cela comme un désir obsessionnel, mais plutôt comme une tocade qu'il vous amuse de réaliser
 
Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Mercredi 26 décembre 3 26 /12 /Déc 08:05

... en mileu intime... (afin de ne pas vous blesser, mesdames, mais également afin de ne pas passer à coté d'un plaisir certain...)

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Mardi 25 décembre 2 25 /12 /Déc 07:35
J'aimerai beaucoup te voir dans cette position, ma soumise ...
Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 07:35
Peur de vous ennuyer ce soir ? (voici un petit remède à l'ennui)

Le scénario (Par Jerry)
Bon alors voilà.
Il vous faut:
- vos menottes "police"
- vos menottes cuir
- un rouleau de film cellophane alimentaire
- vos bas en latex
- une de vos paires de collants
- de la corde
- une bouteille d'eau minérale en plastique vide
- une bassine
- du ruban adhésif large bande
- une paire de ciseaux
- un baillon si vous en avez un, ou une balle en caoutchouc d'une taille
équivalente à uen balle de ping-pong ou un peu plus petite.

Préparatifs (compter 5/6 bonnes heures):
Vous prenez la clé (les 2 si vous les avez en double) de vos menottes et
vous les introduisez dans la bouteille en plastique.
Vous remplissez la bouteille d'eau jusqu'au col et vous la rebouchez.
Vous la placez dans votre congélateur en veillant à ce que les clés restent
bien au fond.
J'ai testé: selon la puissance de votre congélo, il faut entre 5 et 6 heures
pour que le contenu de la bouteille soit transformé en un bloc de glace.
Ensuite, préparation du baillon si vous n'en n'avez pas: à l'aide d'un
poiçon ou d'une pointe de tournevis, vous percez un trou de part en part
dans la balle, puis vous élargissez le trou jusqu'à pouvoir passer une corde
traversante, d'environ 50 cm de long.
Dans la dernière heure avant votre bondage, j'exige que vous buviez
progressivement le contenu de 2 bouteilles d'eau minérale, soit environ 3
litres d'eau.
Bondage:
Une fois les 3 litres de flotte ingurgités, une fois le contenu de l'autre
bouteille transformé en un bloc de glace compact avec les clés emprisonnées
au fond, vous commencez la séance proprement dite.
Avant toute chose, préalable impératif: vous mettez tout de suite votre
baillon, que vous ajustez serré de façon optimale et que vous bouclez d'un
double noeud derrière votre cou. Je veux que celui-ci soit en place de la
première à la dernière seconde de l'épreuve.
Vous restez à proximité de votre congélateur car vous sortirez la bouteille
au tout dernier moment.
Vous placez la bassine devant vous vers le congélo.
Vous vous déshabillez intégralement.
Vous enfilez vos bas en latex, puis un collant par dessus.
Ensuite, vous attachez vos chevilles ensemble à l'aide des menottes cuir.
Puis vous prenez le rouleau de film cellophane.
Et vous emballez méticuleusement vos jambes avec le film transparent, en
commençant par la plante des pieds, puis en déroulant progressivement le
film autour de vos chevilles, et en remontant ainsi jusqu'à vos aisselles,
puis autour du cou. Puis vous doublez en serrant bien et vous redescendez
jusqu'à vos pieds pour bien sécuriser le tout. Vous serrez bien et vous
déchirez le truc, qui va tenir seul par son propre pouvoir adhésif et
contracteur.
Vous prenez ensuite le ruban adhésif et vous l'appliquez par lanières
serrées sur le cellophane autour de vos chevilles, en dessous et au-dessus
des genoux, en haut des cuisses, autour de la taille et enfin au-dessus de
la poitrine.
Vous coupez ensuite environ 1 m de corde que vous passez en faisant deux
tours autour de votre taille. Vous serrez au maximum (sur votre ventre
surgonflé par l'eau), et vous bouclez à l'aide d'un triple noeud que vous
serrez de toutes vos forces de façon à ce qu'une main nue ne puisse en aucun
cas le défaire.
Ca va jusque là?
Bon, on passe aux choses sérieuses.
Vous allez avec vos ongles percer un petit trou dans le cellophane derrière
vos chevilles, de façon à pouvoir atteindre la chaine des menottes cuir qui
emprisonne vos chevilles. Puis vous prenez environ 1 mètre de corde, et vous
la passez autour de la chaine en question sous le cellophane. Vous faites un
double noeud serré à bloc en veillant à bien garder une longueur égale de
corde, environ 50 cm de chaque côté du noeud.
Vous faites sortir la partie libre de la corde par le trou du cellophane.
Vous rebouchez le trou au mieux autour de la corde à l'aide d'une nouvelle
couche de cellophane, puis de deux tours de bande adhésive.
Ca va, le baillon? Vous commencez à (en) baver, c'est normal.
Vous transpirez dans le cellophane doublé de latex? C'est parfait! Vous avez
mal au ventre, vous avez envie de pisser? C'est que tout se passe bien,
alors.
Avec ce qui vous reste de mobilité, vous sortez la bouteille de glace du
congel.
Vous la débouchez, puis vous la retournez et la posez verticalement goulot
contre le fond de la bassine, légèrement inclinée contre l'une des parois de
la bassine de façon à ce qu'elle puisse s'écouler et se vider doucement au
fur et à mesure que la glace fond. Puis vous la fixez ainsi avec un maximum
de ruban adhésif. C'est pas très aisé, mais ça marche.
Une fois tout cela sécurisé, vous finissez votre bondage.
Vous prenez les menottes et vous les attachez serrées à bloc aux cordes des
chevilles en laissant le minimum de jeu entre la chaine des chevilles et
celle des menottes des poignets.
Enfin, vous passez vos poignets dans les menottes, ce qui va exiger un
dernier effort de cambrure, et... clic-clac, vous bouclez le tout avec vos
mains.
Vous voila immobilisée pour un bon moment, car glace va bien mettre une
bonne heure, voire davantage à fondre avant de libérer les clés, que vous
récupérerez tant bien que mal dans l'eau froide qui se sera vidée au fond de
la bassine.
Et vous, au fait, vous tiendrez, ou vous vous serez aussi vidée dans votre
gangue de cello-frais?

LE COMPTE-RENDU (Par Claire)
Le grand soir est arrivé.

Je devais boire deux bouteilles d'eau dans la dernière heure.
Juste avant 20 heures, je suis allée uriner (ce n'était pas interdit
dans le scénario, et j'espérais que cela m'aiderait à tenir).
Puis j'ai pris mon repas au cours duquel j'ai bu progressivement,
en me forçant un peu, une bouteille complète, soit 1,5 L.
Un peu de rangement, et je me suis installée quelques instant devant
la télé avec une deuxième bouteille. Inutile de dire que je n'avais
plus soif, et cela a été plus difficile. Après avoir lutté pour me
forcer à boire de nombreuses gorgées, j'ai fait l'effort de boire
les derniers 30 cl d'un trait, pour en finir.

Il était 21h, je pouvais commencer. J'ai amené tout ce qui était
nécessaire dans la cuisine (puisqu'il fallait sortir la bouteille
du congélateur une fois mommifiée, je resterais donc dans la cuisine).

Afin de respecter les consignes, je me suis passé le baillon boule
et l'ai fermé au cran le plus serré. Cruelle consigne, car il me
donne des crampes à la machoire au bout de 10 ou 15 minutes, et je
savais que j'allais en souffrir avant même d'avoir commencé le
scénario. Heureusement, ces douleurs se font oublier par la suite.

J'ai pris ensuite les bas en latex, mon serre-taille à jarretelles
en latex, et mes collants, pour aller les passer sur le lit, dans la
chambre. Enfiler les bas en latex me demande en effet beaucoup
d'efforts, de contorsions, et me prend environ une dizaine de minutes
par jambe. Une fois entièrement dévêtue, j'ai pu commencer la "lutte"
contre ces satanés bas. Avec le baillon qui ne facilite pas la
respiration au cours de ces efforts, ce ne fut pas facile, et ce
fut la respiration accélérée, et la bouche pleine de salive que j'y
suis parvenue.

J'ai ensuite passé mon serre-taille en latex (j'avais obtenu de Jerry,
dans un mail de précision du scénario, de remplacer la corde autour de
la taille par le serre-taille, et une ceinture), et accroché les
inutiles jarretelles aux bas, en essayant de ne pas les déchirer.

J'ai finalement passé une paire de collants clairs par dessus le tout,
qui bien sur ne dissimulaient en rien le latex noir.

Retour à la cuisine, ou j'ai serré autour de ma taille une ceinture
noire, en accentuant encore la pression exercée par le serre-taille
sur mon ventre tendu, gonflé par toute cette eau avalée trop vite.
La ceinture maintiendrait fermement le collant en place, même s'il
aurait peu l'occasion de descencre avec la suite des évènements.

Comme chaque fois que j'ai eu l'occasion de me mettre dans une
situation de self-bondage, le simple fait de porter cet attirail,
et être baillonnée, alors que j'étais encore entièrement libre,
me mettait dans un état d'excitation étrange.
Pas une excitation au sens excitation sexuelle, peut être,
mais une excitation sensible quand même.

De plus, une angoisse inhabituelle accompagnait ce scénario : j'avais
toujours utilisé la méthode des glaçons placés au fond d'un bas,
placé en hauteur à travers un trou quelconque. Dans ces conditions,
j'ai une idée de la durée nécessaire à la fonte des glaçons. Mais
ce soir, je ne savais pas combien de temps exigerait le dispositif
imaginé par Jerry.

Ce qui ajoutait à mon excitation.
Ma machoire était à présent très douloureuse.

Après avoir posé le reste des accessoires à coté du congélateur,
j'ai passé les menottes de cuir (séparées) à mes chevilles.
J'ai fermé l'espèce de mousqueton qui permet de les relier. Puis
je les ai reliées par un cadenas passant dans les anneaux, ce qui
les lie d'une manière beaucoup plus définitive. Dans ce cadenas,
j'ai aussi passé une chaine, car j'avais aussi convenu avec Jerry
de remplacer la corde liant chevilles aux poignets par une chaine,
plus facile à mettre en place. Ma chaine mesurant 2m, je l'ai
utilisée quadruplée, pour obtenir les 50 cm exigés. Ce qui donnait
un aspect très "sur" au bondage. A l'autre extrémité de ma chaine
quadruple, j'ai fixé ma paire de menottes de métal, style police,
à l'aide d'un autre cadenas passant au milieu de la chaine.

Les clés de ces deux cadenas étaient en hauteur, innaccessibles
dès que j'aurai refermé les menottes sur mes poignets.

Avant de poursuivre, je me suis autorisée une petite liberté,
en plaçant entre les os de mes chevilles et des mes genoux deux
petites éponges, afin d'éviter les douleurs qui, je le savais
par expérience, finiraient par arriver.

Puis, assise par terre, dos au mur, j'ai commencé à envelopper
mes pieds et chevilles dans le cellophane, en laissant dépasser
la chaine et la paire de menottes vides. Puis je me suis redressée,
et, j'ai continué de monter le long de mes jambes. Ensuite, ce fut
plus délicat, car pour passer autour de mon ventre, puis mon torse,
il a fallu ne plus s'appuyer au mur. Or en ayant les pieds liés
aussi étroitement, l'équilibre est difficile à trouver. Une fois
le cellophane sous mes aisselles, j'ai effectué le parcours inverse,
à nouveau jusqu'aux pieds.

Assise par terre, j'ai alors placé une bande de large adhésif alu
autour de mes chevilles (au dessous et dessus de la chaine qui
traversait le cellophane), sous et sur les genoux, en haut des
cuisses, à la taille (et une pression supplémentaire), sous et
au dessus des seins (qui étaient littéralement écrasés).

Les bas en latex m'avaient déjà donné chaud, mais la le cellophane,
et les efforts déployés, m'avaient mise en nage. Je commençais
presque à oublier la douleur du baillon par moment, en me concentrant
sur ma tache.

Mes jambes ne faisaient qu'un, mon ventre était comprimé par le
serre-taille, la ceinture, le cellophane, l'adhésif, et mes seins
étaient écrasés.

Il me fallait pourtant encore faire un effort : me redresser, en
m'accrochant de mon mieux, pour sortir la bouteille congelée contenant
la clé des menottes, du congélateur situé en hauteur au dessus du
réfrigérateur. Puis me reposer au sol, ouvrir le bouchon, scotcher la
bouteille, le col en bas, contre le rebord de la bassine.

Cela demande beaucoup plus d'efforts qu'on ne l'imagine, pour
se relever et tenir debout, quand les jambes et les pieds sont ainsi
"soudés".

Une fois fait, avec un peu plus de sueur et le souffle encore plus
rapide, il me restait à décider si je m'autorisais une dernière
liberté.

J'avais en effet pris mes gants longs de soirée. J'avais envie de
les porter, car ils permettent de ne pas sentir le froid du carrelage
contre les bras, mais surtout protègent les poignets de la blessure
des menottes en métal. Par contre, même s'ils sont fins, ils enlèvent
un peu de sensibilité au moment de se libérer avec la clé.

Aprsè quelques hésitations, je décidais de les mettre, puisque j'avais
déjà par le passé, réussi à me libérer avec.

Je me suis étendue sur le coté, plié mes genoux (ce qui était devenu
diffile avec le cellophane et l'adhésif), attrappé la chaine, glissé
jusqu'aux menottes, puis verrouillé un poignet... puis l'autre !

Instantannément, le dernier clic m'a procuré cette sensation que
j'adore de passer à un autre niveau, à un autre degré de danger,
d'excitation.

Instinctivement, j'ai tiré un peu sur mes liens, et réfléchi aux
moyens de me sortir de ce bondage sans attendre la fonte de la
bouteille.

Mais avec mes poignets maintenus à 50 cm de me chevilles, impossible
de se redresser, d'attrapper ou effectuer quoi que ce soit.

Ce constat, prévisible, était très excitant.

Je regardais la bouteille, dans la bassine (cela faisait longtemps
que je ne m'étais pas trouvée attachée sans avoir les yeux bandés) :
pas une goutte n'avait encore coulé. Contrairement à celles que
j'avais bues, celle-ci ne contenait qu'un litre.

Plus inquiétant encore : j'avais envie d'uriner. Alors que cela
commençait seulement.

Je suis restée allongée sur le coté un moment, en imaginant tout
un tas de choses. Le cellophane me tenait vraiment chaud, mais
cette chaleur commençait à se transformer en une sensation de
tiédeur enveloppante, confortable (e même phénomène se produit
avec les bas en latex). La pression que je sentais sur moi, des
pieds jusqu'à ma poitrine, était agréable et excitante.

J'aurais aimé m'allonger plus, mais la chaine me tenait pliée.

Je suis restée comme ça une quizaine de minutes, me laissant aller
à mes idées (ce n'était plus moi qui m'était mise dans cette situation,
on m'y avait laissée, il n'y avait pas de clé...), ne m'interrompant
que pour forcer sur ma machoire endolorie, ou me plier un peu à
cause de l'envie d'uriner.

Je me suis alors déplacée pour regarder la bouteille d'eau : elle
n'avait pas bougé, tout juste si elle avait un peu suinté sous le
goulot.

J'ai réalisé que la libération serait beaucoup plus tardive que je
ne l'avais imaginé (surement plus qu'avec un tas de glaçons occupant
un volume comparable à celui de la bouteille), et cette pensée m'a
fait frissonner. J'avais subitement l'impression d'être dans une
situation encore plus réelle, puisque je ne maitrisais pas du tout
la durée de la scène.

J'étais trempée, et ma position, bien que n'étant pas extrème,
n'était pas non plus très confortable, la chaine entre mes chevilles
et poignets me laissant très peu de liberté de mouvements.

Mon envie d'uriner se faisait pressante, et je gigotais un peu
dans mon cocon, comme le ferait un enfant. Pour une fois, j'avais
une pendule sous les yeux, et je pouvais contrôler précisément la
durée des opérations. J'avais commencé à me préparer à 21h.
Le temps de m'habiller, et me mommifier, mes menottes avaient été
verrouillées sur mes poignets à 21h45.

Je décidais de ne plus regarder la bouteille avant qu'une heure
pleine ne soit écoulée depuis le début. Je me concentrais sur cette
chaleur qui m'enveloppait, et mon envie pressante.

A 22h45, je me tournais à nouveau (cela faisait donc une heure que
j'étais immobiliée, une heure trois quart que je portais le baillon,
et deux heures trois quart que je n'avais pas uriné, avec trois
litres d'eau dans mon ventre). Et la, déception : l'aspect de la
bouteille n'avait quasiment pas changé, il d'agissait toujours d'un
gros glaçon. Seul changement, les flancs de la bouteille étaient
humides, et une grosse bulle apparaissait en haut, dans le fond de
la bouteille.

J'ai pour la deuxième fois réalisé que ce serait encore plus long
que prévu. En me tournant vers la bassine, j'ai senti une long filet
de salive glisser de ma bouche le long de ma joue, à cause du baillon
boule. D'ou un curieux sentiment de honte.

J'avais l'impression que le cellophane, encore plus que le serre-taille
ou la ceinture, me comprimait le ventre, et l'envie de libérer ma vessie
se faisait très pressante.

J'ai une fois de plus cherché des moyens d'interrompre la scéance,mais que
faire ? Inutile de cherche à tirer sur les menottes, que ce soit
celles des poignets ou chevilles. Et même si j'avais réussi à arracher
un bout de cellophane avec mes ongles, dans mon dos, je n'aurais
surement pas réussi à enlever ce cocon.

Ma seule liberté, au prix de mouvements douloureux pour mes hanches
et bras : passer de la position sur le coté à la position allongée
sur le dos, mes bras écrasés dessous.

J'alternais, pour lutter contre mon envie d'uriner, des moments
ou je gigotais, et des moments ou au contraire je me raidissais, en
essayant de ne plus bouger du tout.

Ce besoin prenait priorité sur tout le reste, et me faisait oublier
le baillon , mes bras tirés en arrière, mes jambes totalement
soudées l'une à l'autre, la chaleur, la sueur dans le latex et le
cellophane, ma position inconfortable...

Le moins que l'on puisse dire est qu'il apportait beaucoup au scénario.

Un sentiment de frustation, d'impuissance, se mêlait à mon excitation.

A 23h15, soit une heure et demi depuis l'immobilisation, j'ai à nouveau
fait l'effort de regarder la bouteille.  On ne distinguait plus l'espèce
de bulle. Il y avait tellement de givre sur les parois qu'il était
difficile de dire quel était l'état de l'intérieur de la bouteille.
Toutefois, il senblait y avoir encore de la glace partout, et il me
semblait que la clé (de couleur argent, peu visible) était encore
en haut. Il était clair que la sortie de la clé nétait pas pour tout
de suite.

J'ai compris que je ne tiendrai pas. J'ai ressenti comme un frisson,
car depuis le début, j'avais pensé que je me libèrerai avant
l'irréparable. J'avais accepté ce scénario en pensant jouer de cette
pression supplémentaire, mais sans envisager qu'il soit possible que
je me trouve dans la situation présente. J'étais sure de me libérer
avant.

Et la, je me trouvais coincée, en proie à une envie d'uriner effroyable.
J'ignore si c'est cette peur qui a accentué mon besoin, ou tout simplement
le temps, mais ma vessie est devenue très douloureuse. Je me tordais,
changeais de place chaque 10 secondes, me crispais, et transpirais
encore plus.

J'ai lutté ainsi pendant un bon quart d'heure. Je me sentais vraiment
prisonnière de la situation, et c'était extraordinaire et effrayant à la fois.

Finalement, alors que j'étais à bout, que je me battais contre
mon cocon de cellophane, je me suis dit que finalement, le temps
passait, et que même si j'étais à la limite, je tenais.

A 23h45, soit deux heures de mommification, j'ai pu voir que s'il
y avait encore de la glace sur toute la hauteur de la bouteille, elle
était en fait complètement creuse, il y avait des cavités partout,
et l'intérieur semblait creux. La clé s'était effondrée, et se situait
dans la partie inférieure. Toutefois, la glace s'accumulait dans la
partie du goulot, et il restait encore beaucoup de temps, me semblait-il.

Je ne sais pas si c'est à cause d'une contraction plus forte que les
autres, ou si inconsciemment je n'ai plus voulu lutter, car j'étais
à bout, mais d'un coup un premier jet d'urine m'a comme échappé, et
je n'ai alors plus essayé de me retenir.

Ce fut, évidemment, un énorme soulagement, mais en même temps une
horrible sensation de gêne, de honte. D'humiliation. J'étais tellement
sure que cela n'arriverait pas.

J'ai senti mon collant trempé contre moi, entre mes cuisses, jusque
derrière mes fesses. Mais pas contre mes jambes, mes bas en latex me
protégeant. Apparemment, rien ne sortait de mon cocon de cellophane.
Les bas en latex étanches, et le cellophane plaqué contre mon corps,
qui empêchait toute propagation, diminuaient je crois la sensation
d'humidité aue j'aurais ressenti si j'avais été vêtue normalement.

J'étais enfin apaisée, la sensation de chaleur était plus présente que
jamais, et l'humiliation que je ressentais donnait à cette soirée
de self-bondage un coté réel que je n'avais jamais connun dans ce genre
de scénario solitaire.

Je ne bougeais plus, pour ne pas provoquer d'éventuelle fuite. J'avais
trop honte pour faire quoi que ce soit. C'était la première fois que
je me trouvais dans cette situation. Et j'étais toujours prisonnière.

Je suis restée comme ça une demi-heure, à me reposer de tous ces efforts,
immobile.

A 0h15, j'ai regardé la bouteille. Il y avait une carapace de glace
le long des parois, mais l'intérieur semblait totalement creux, à
l'exception d'un bouchon de glace au niveau du goulot. J'aurais sans
doute pu attraper la bouteille, briser un peu la glace, accélérer la
sortie, mais je n'en avais plus ni la force, ni envie.

Je me consacrais à mon plaisir et à ma honte, en attendant passivement.
Déjà deux heures et demi de bondage. Je me suis mise à rêver de
mommification totale, de combinaisons en latex intégrales, de la
tête aux pieds...

Vers une heure du matin, j'ai vu que tout était quasiment fondu.
J'ai secoué la bassine du bout des doigts, et la minuscule clé de
mes menottes est tombé.

L'attrapper du bout des doigts, dans l'eau de la bassine qui trempait
mes gants, n'a finalement pas été trop compliqué, même si cela a
demandé des efforts pour se maintenir dans la bonne position. Mais
j'ai réussi à ne pas renverser la bassine, in extremis.

Déverrouiller les menottes dans le dos a demandé quelques minutes
d'essais, mais pas de problème majeur non plus. Je dois avoir de
l'entrainement.

J'ai tout de suite oté le baillon, accompagné de son fil de salive.
Ma bouche était engourdie.

Je me suis redressée en m'agrippant comme je le pouvais, et j'ai pris
les clés des deux cadenas, qui m'attendaient sur le meuble. Puis je suis
parti en sautant à pieds joints (forcément), gardant mon équilibre à
l'aide de mes mains contre les murs, jusqu'à la baignoire. Les menottes
trainaient par terre derrière moi. J'avais mal aux bras et aux reins.

Une fois dedans, j'ai oté mes gants longs trempés, et commencé la partie
du scénario peu attirante. J'ai commencé par défaire les
bandes d'adhésif. Puis, j'ai pu dérouler le cellophane,
entièrement trempé par la sueur, dans sa partie haute, et par l'urine
dans sa partie basse. L'odeur qui se dégageait me dégoutait.

Une fois tout le cellophane retiré, et roulé en boule, j'ai enlevé
la ceinture autour de ma taille, puis le collant intégralement mouillé,
même au niveau des pieds. Il est d'ailleurs parti à la poubelle avec
le cellophane et les éponges.

Enfin, le serre-taille en latex, et les bas, qui eux trempent encore
et seront séchés soigneusement.

Un bon bain tardif m'a permis de me relaxer, me sentir propre, et
penser à cette soirée de bondage.

Une soirée au cours de laquelle la honte ressentie est moins forte
au bout du compte que le plaisir que j'ai eu. Durant plus de trois
heures de bondage.

Merci à Claire et Jerry pour cette idée.
Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Mardi 11 décembre 2 11 /12 /Déc 07:31

 

 

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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