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Mercredi 11 avril 3 11 /04 /Avr 07:31

... s'il vous plait... Je serai à vos ordres...

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 07:32

 

Une Elfe ? ! ? (moi je la vois comme cela ! !)

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 07:30

La belle blonde Fanny pose pour vous (et pour moi, aussi...un peu... souvenirs ! !)

 

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Lundi 9 avril 1 09 /04 /Avr 08:08
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Lundi 9 avril 1 09 /04 /Avr 07:30
Je vous ai entretenu il y a quelques temps d'un livre qui proposait des extraits de textes (plus ou moins érotiques) qui avaient été soumis à le censure en leur temps...
Dans le même ordre d'idée, voici, dans la rubrique "Un peu d'histoire", les problèmes de M.Baudelaire Charles par rappor à l'un de ses recueils les plus célèbres :

En quatrième de couverture :
" Folle dont je suis affolé,
Je te hais autant que je t’aime.
"
Charles Baudelaire
Les Fleurs du mal paraissent en juin 1857 et déchaînent les foudres de la justice, Sont précisément mis en cause six poèmes, parmi les plus sulfureux du recueil, que le procureur impérial Ernest Pinard - déjà en guerre six mois plus tôt contre Madame Bovary - tente de faire interdire au nom de la morale publique.
Baudelaire est condamné, les poèmes censurés.
Commence alors près d’un siècle de purgatoire pour Les Bijoux, Lesbos, Le Léthé, À celle qui est trop gaie, Femmes damnées et Les Métamorphoses du vampire qui devront attendre 1949 pour être officiellement réhabilités.
Loin du scandale et des rumeurs tapageuses d’une cour de justice, ce que révèlent les pièces condamnées, ici rassemblées, c’est le génie d’un poète pris au piège de ses fantasmes. En proie à des fascinations toujours plus noires, Baudelaire repousse les limites de la transgression et plonge dans les profondeurs de l’âme humaine, en quête d’un art absolu.
« Ce que Proust imagine, Baudelaire le voit. »
Philippe Sollers

Le procès des « Fleurs du mal » s’ouvre le 20 août 1857. Il a été précédé, comme c’est souvent et encore le cas, d’un bombardement de presse. Gustave Bourdin, dans « le Figaro » du 5 juillet : « L’odieux y côtoie l’ignoble, le repoussant s’y allie à l’infect. »ça ne suffit pas : nouvelle attaque le 12 juillet dans le même journal, car le ministère de l’Intérieur fait du journalisme et même de la critique littéraire. Il est à noter que Flaubert a été acquitté un peu plus tôt pour « Madame Bovary », mais Flaubert bénéficie d’un bon environnement social. Baudelaire, pas du tout, et d’ailleurs son beau-père, le puissant général Aupick, vient de mourir. La réputation du beau-fils est très mauvaise. Il est à découvert.
L’accusation porte sur l’atteinte à la morale religieuse d’un côté, et sur l’atteinte à la morale publique de l’autre. Atteinte à la morale religieuse : « le Reniement de saint Pierre », « Abel et Caïn », « les Litanies de Satan », « le Vin de l’assassin ». Curieusement, ces pièces ne seront pas condamnées, comme quoi l’époque faiblit déjà sur l’orthodoxie religieuse (presque plus personne n’y croit). En revanche, la morale publique tient encore le coup. Sont donc visés les poèmes suivants : « les Bijoux », « Sed non satiata », « le Léthé », « A celle qui est trop gaie », « le Beau Navire », « A une mendiante rousse », « Lesbos », « Femmes damnées », « les Métamorphoses du vampire ». Plus important que la religion, il y a le mystère de la Femme. Il est en danger.
La condamnation portera sur six poèmes de cette liste, les immortalisant du même coup. La Cour de Cassation réhabilitera Baudelaire le 31 mai 1949. Vous avez bien lu : quatre-vingt-douze ans après, sans parler des désastres de deux guerres mondiales. Ernest Pinard (qui a déjà requis contre Flaubert) défend la morale publique, c’est-à-dire la morale tout court. Son discours est épatant. Jugez-en : « L’homme est toujours plus ou moins infirme, plus ou moins faible, plus ou moins malade, portant d’autant plus le poids de sa chute originelle qu’il veut en douter ou la nier. Si telle est sa nature intime tant qu’elle n’est pas relevée par de mâles efforts et une forte discipline, qui ne sait combien il prendra facilement le goût des frivolités lascives sans se préoccuper de l’enseignement que l’auteur veut y placer. » Notez bien « mâles efforts » et « forte discipline ». La discipline est la force principale des armées. Il y aura beaucoup de mâles français à faire massacrer.
Ernest Pinard, c’est évident, adore faire ce réquisitoire. On peut supposer que, la veille, il a lu ces poèmes osés à Mme Pinard. On entend celle-ci : « Arrête ces cochonneries, Ernest ! » C’est tout émoustillé par cette chaude soirée que monsieur le substitut arrive à l’audience. Là, il se déchaîne, il récrit les poèmes, il les résume en faisant saillir, dans son style, les sujets scabreux. Dans « le Léthé », il voit « une vierge folle dont la jupe et la gorge aiguë aux bouts charmants versent le Léthé ». Pourquoi « vierge folle » ? On n’en sait rien, mais l’expression ne tombera pas dans l’oreille d’un sourd, ce sera Rimbaud (qui a 3 ans à l’époque) dans « Une saison en enfer ». Dans « les Bijoux », Pinard voit une « femme nue, essayant des poses devant son amant fasciné » (a-t-il demandé ce service à Mme Pinard ? C’est probable). « Les Métamorphoses du vampire », surtout, l’inspirent. Il voit une « femme vampire étouffant un homme en ses bras veloutés, abandonnant aux morsures son buste sur les matelas qui se pâment d’émoi, au point que les anges impuissants se damneraient pour elle ». Bien entendu, tous ces mots se trouvent dans le poème, mais une fois transcrits par Pinard ils deviennent des clichés piteux. Des bras « veloutés » ? Mais non, Baudelaire a écrit « redoutés ». Mme Pinard avait peut-être des bras un peu veloutés, mais devait cacher avec circonspection sa nature de vampire.
Nous rions de Pinard, et nous avons tort. De même que les vampires se métamorphosent, la censure se déplace, se rhabille, se grime, change apparemment de but, mais conserve la même structure. Je me fais fort, aujourd’hui, de rendre les poèmes de Baudelaire scandaleux ou insignifiants pour des professionnels de la publicité, du porno, de l’Audimat, des conseils d’administration, des marchés financiers. Ils sont trop compliqués, ces poèmes, élitistes, contraires aux gay and lesbian studies, on peut même y discerner une vieille composante religieuse malsaine. Le Mal avec une majuscule est intolérable, et je me demande même s’il n’y a pas dans ces élucubrations une atteinte à la bonne morale laïque, ou plus exactement des propositions métaphysiques insensées. La sexualité est saine, épanouie, obligatoire, rentable. De quoi nous parle cet aristocrate pervers ? Baudelaire n’a aucun succès aux Etats-Unis, c’est prouvable.
En réalité, il s’agit de poésie, donc de musique, donc de complexité physique, donc d’intelligence, donc de désir, donc d’érotisme impossible à vulgariser. Quand Baudelaire, dans « Lesbos », parle de « baisers chauds comme les soleils » ou « frais comme les pastèques », de baisers qui sont « comme les cascades », « orageux et secrets, fourmillants et profonds », j’ai, ou je n’ai pas, l’expérience personnelle de ces féeries de bouche. Des « filles aux yeux creux, de leur corps amoureuses » ? Baudelaire les a rencontrées. Il sait quelque chose de l’autre sexe replié sur lui-même, et c’est là sa découverte, son extraordinaire nouveauté : « Car Lesbos entre tous m’a choisi sur la terre / Pour chanter le secret de ses vierges en fleurs, / Et je fus dès l’enfance admis au noir mystère / Des rires effrénés mêlés aux sombres pleurs. »
Le premier titre des « Fleurs du mal » (après celui des « Limbes » vite abandonné) était « les Lesbiennes ». Le mot n’avait pas encore de connotation sexuelle marquée. On disait « tribades » (c’est d’ailleurs le terme que Pinard emploie à l’audience). Mais on sait que Proust était plus qu’intrigué par Baudelaire, et qu’au fond il ne voulait pas admettre son hétérosexualité spéciale. A l’ombre des jeunes filles en fleurs ? Les voici. Elles protègent un « noir mystère », et Baudelaire a été choisi pour le chanter, ce qui est éminemment condamnable. Un mystère doit le rester, surtout s’il est « noir ». Mais Baudelaire, ici, se dit le continuateur de l’admirable poésie de Sapho, et donc d’Aphrodite. « Mère des jeux latins et des voluptés grecques ». Aphrodite ou Vénus ? Aphrodite, Sapho. La « mâle Sapho » est à la fois « l’amante et le poète » : « Plus belle que Vénus se dressant sur le monde [...] / Sur le vieil Océan de sa fille enchanté. »
Baudelaire affirme quelque chose de très précis : jusqu’à lui, tout le monde s’est trompé sur Vénus et ses alentours, alors que lui, dès l’enfance, est entré dans le « noir mystère », dont personne, au fond, ne veut entendre parler. Il ne s’agit pas seulement de « lesbiennes », même si (voir Proust) c’est de ce côté-là que quelque chose résiste et peut s’éclairer. Ce que Proust imagine, Baudelaire le voit. Le narrateur de la « Recherche » passe son temps à essayer de pénétrer dans le « noir mystère », objet de sa jalousie. Peu importe, ici, que l’homosexualité féminine soit un déguisement de la masculine, c’est elle qui attire le récit, le charge, le fait brûler. Dans une conversation avec Gide, Proust va même jusqu’à dire que Baudelaire devait être lui-même homosexuel. Eh non ! Il est ce très étrange hétérosexuel admis au « noir mystère ».
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Dimanche 8 avril 7 08 /04 /Avr 08:02

On a peut être retenu de lui que des poésies (un peu ) ennuyeuses apprises au lycée. Mais c'était un bon vivant, sachant apprécier la vie et ses divers plaisirs....

il a veu (vu)
Guignant à travers le feu
De sa Robine recoursée ( retroussé)
La grosse motte retroussée
Et son petit cas barbelu 
D'un jaune ornement crespelu
Dont le fond semblait une rose
Non encore àn demie déclose 
Robine aussi, d'une autre part
De Jacquet guignoit le Tribart 
Qui lui pendait entre les jambes...
Je m'interromps, car ici, nos tourtereaux dissertent 

Robine présente sa demande:
"Je te prie Jacquet, jauche moi 
Et met le grand pieu que je vois
Dedans le rond de ma fossette
Le gaillard ne se fait pas prier:
"Et le bon Jacquet qui l'embroche
fis trépigner tous les Sylvains 
Du dru maniement de ses reins
Morale de l'histoire: incitation à la débauche.

Pierre De Ronsard
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Dimanche 8 avril 7 08 /04 /Avr 07:10
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Samedi 7 avril 6 07 /04 /Avr 08:07
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Samedi 7 avril 6 07 /04 /Avr 08:00
Les p'tits boulots d'été. Claire nous raconte
Claire est embauchée pendant les vacances d’été dans un restaurant près de la mer en tant que serveuse pour payer ses études. Elle a eu du mal à trouver ce travail qu’elle a pourtant beaucoup besoin. Son manque d’expériences lui vaut souvent les réprimandes de son chef. Deux fois de suite, elle est convoquée pour être arrivée en retard le matin, la deuxième semaine, elle renverse un plateau sur une table qui asperge tous les clients de sauce. Pour son patron, c’en est trop, il veut la licencier sur le champ, mais elle lui promet de faire plus attention et de travailler mieux. Elle a vraiment besoin d’argent, et elle a l’air convaincante, son patron décide de lui faire confiance En effet pendant une semaine rien à signaler, mais les petits incidents du début restent marqués et son patron garde un oeil sur elle. Un jour alors qu’elles sont seules au restaurant à la fermeture, l’autre serveuse lui explique que le patron ne vérifie jamais la caisse, et qu’elles peuvent se servir, puis elle prit un billet pour le mettre dans sa poche, pour lui faire voir. Le lendemain, attirée par l’argent dont elle a vraiment besoin en ce moment, elle se sert aussi sans réfléchir d’avantage. Lorsque les deux serveuses quittent le restaurant, leur patron arrive et leur demande de rester cinq minutes pour vérifier la caisse. Claire devient toute pâle il ne tarde pas à trouver l’erreur de caisse, il demande à l’autre serveuse de vider ses poches, elle n’a rien sur elle. C’est là qu’elle comprend que c’est un coup monté entre son patron et sa collègue pour voir si elle serait prête à voler de l’argent. Elle est obligée de déposer, sans discuter, sur la table les billets qu’elle venait de prendre. Son patron lui dit qu’il n’a pas la tête à régler ça, mais de venir un peu plus tôt le lendemain. Elle n’arrive pas à dormir de la nuit, elle est vexée, honteuse et est pratiquement sûre de perdre son travail.
 
Le lendemain matin elle vient voir son patron comme prévu. Elle se prend aussitôt une soufflante comme jamais elle n’a reçu de personne. Il lui rappelle ses retards, ses maladresses au service et maintenant elle vole dans la caisse. Il la réprimande tellement qu’elle n’ose relever la tête et commence à pleurer de honte. Il se calme enfin, et lui signifie que sa lettre de licenciement est prête et qu’il va appeler ses parents pour qu’ils viennent la chercher et leur annoncer que leur fille est une voleuse. Elle n’ose rien dire, elle savait que ça allait sûrement finir comme ça. Avant d’appeler ses parents il lui dit qu’il allait aussi appeler la police pour déposait plainte pour vol, et qu’après ça elle allait avoir beaucoup d’ennuis nettement pour retrouver un travail. Il a prévu qu’elle le supplie de ne pas appeler la police ce qu’elle fit aussitôt. Il la laisse pleurnicher en le suppliant pendant quelques minutes, puis il lui qu’il a une deuxième solution si elle veut qu’il ne dise rien à ses parents ni à la police. Désespérée, elle dit aussitôt qu’elle est d’accord. Son patron lui annonce que se serait une punition dure… elle relève la tête et semble avoir peur de la suite … après quelques instants de silence, il lui annonce qu’elle recevrait deux coups de cannes puis une bonne fessée. Elle ne s’attendait pas à ça et dit aussitôt qu’il était hors de question qu’elle accepte ça à son âge. Tout en prenant son téléphone, il lui dit qu’elle avait le choix. Elle lui demande de raccrocher et de lui laisser le temps de réfléchir, il lui répond, qu’elle a une minute. Elle ne sait pas quoi faire, et lui demande d’annuler le licenciement si elle accepte la punition. Il lui répond que c’est d’accord et il dit de rester après la fermeture, qu’il viendrait la rejoindre.
Toute la journée, elle a une boule dans le ventre, elle a peur, elle se demande comment ça va se passer vu qu’elle n’a jamais reçu de fessée. La journée se termine, elle est maintenant seule dans le restaurant, elle a tout fermé, les lumières sont éteintes, elle est complètement paniquée, elle est prête à s’enfuire, mais elle entend la porte s’ouvrir et les pas de son patron s’approcher de la seule salle éclairée où elle est. Elle ne peut plus faire demi-tour, elle prend une grande inspiration et se dit que c’est un mauvais moment à passer pour éviter les ennuis.
Son patron entre dans la pièce avec un air sévère une tige de bois à la main, ce qui fit frémir Claire :
-          Nous savons tous les deux pourquoi nous sommes là, nous donc n’allons pas perdre de temps et commencer tout de suite. Vous allez vous mettre en position…
Il va chercher une chaise.
-          Vous allez vous courber par-dessus le dossier et tenir les pieds de la chaise, vous écarterez aussi un peu les jambes.
Les yeux pleins de larmes, Claire s’approche de la chaise pour se mettre en position, mais son patron l’arrête.
-          Attendez, je n’ai pas fini ne croyez pas que vous allez vous en tirer comme ça, je vous ais promis une fessée donc avant de commencer enlever votre pantalon et votre culotte, c’est comme ça que les jeunes filles doivent être fessées.
Claire reste bouche bée pendant quelques instants :
-          Mais vous n’allez pas me faire ça... je ne vais pas me déshabiller devant vous… j’ai 19 ans, je ne suis plus une gamine… en plus, j’aurais trop honte… déjà, c’est la première fois que je vais recevoir une fessée, j’ai honte…
-          Vous avez accepté une punition que je vous ai annoncée très dure alors faite ce que je vous dis. Je vous rassure, me faire voir vos fesses, c’est rien à côté de la canne… Aller, déshabillez-vous sans discuter !
Claire à des larmes qui coulent sur ses joues, elle sait qu’elle n’a pas le choix, elle déboutonne son pantacourt noir, descend sa braguette et le laisse tomber à ses chevilles. Elle croise ses deux mains devant elle et attend tête baissée.
-          Je vous ais dit d’enlever votre pantalon pas de l’abaisser alors retirer-le et poser le sur une table.
Claire fait ce que son patron lui dit, elle enlève aussi ses chaussures, elle ne porte plus qu’un débardeur blanc et ses sous-vêtements. Une nouvelle fois elle reste figée sans bouger.
-          Je commence à m’impatienter, je vous ais dit d’enlever votre culotte aussi, alors qu’attendez-vous … que je le fasse !
-          Mais, Monsieur, je porte qu’un string, ça ne changera rien que je l’enlève … mes fesses sont déjà dénudées vous pouvez me donner le fessée comme ça. Je suis trop pudique, si je l’enlève vous verrez non seulement mes fesses mais aussi devant, j’ai déjà assez honte comme ça, ne m’obligeait pas à cette humiliation en plus.
-          Mais, je ne vous laisse pas le choix ! Vous allez m’enlever ce string tout de suite et j’espère que vous aurez honte, ça fait parti de la punition. Aller dépêchez-vous !
Claire n’avait pas le choix, morte de honte elle retire son string en faisant attention que son patron soit derrière elle, puis comme son débardeur est trop court pour la protéger, elle mets ses deux mains devant son sexe. Elle reste ainsi sans bouger, son patron tourne autour d’elle, ses quelques larmes ont fait place à des sanglots.
-          Maintenant, mettez-vous en position !
Elle se courbe au-dessus de la chaise, son patron lui tape entre les cuisses pour qu’elle les écarte comme il lui a demandé, elle fait attention à bien serrer les fesses pour ne pas lui en faire voir d’avantage. Il pose la tige de bois sur ses fesses comme pour prendre ses marques, Claire serre très fort les pieds de la chaise, elle sent la tige s’élever puis elle s’abat aussitôt. Une horrible douleur lui parcours les fesses, elle se relève et se frotte les fesses en sautant d’un pied sur l’autre. Son patron lui dit de se remettre en position. Elle reçoit aussitôt le deuxième coup, beaucoup moins fort, elle reste en position quelques secondes pour souffler, alors que son patron va s’asseoir dans un fauteuil à côté.
-          Bon, voilà pour la canne, approchez-vous pour la fessée maintenant, venez face à moi.
Claire s’approche et se place debout devant lui toujours les mains devant son sexe, honteuse d’être dans cette tenue.
-          Pour la fessée, vous allez vous allonger en travers de mes genoux, je vais vous la donner à la main.
Puis il s’assoit dans le fond du fauteuil, Claire reste immobile elle ne sait pas quoi faire, son patron la regarde de la tête aux pieds, elle est très gênée.
-          Est-ce qu’on peut en finir s’il vous plait, Monsieur.
-          Nous ne sommes pas pressés, je t’accorde quelques minutes de repos avant la fessée. Reste ainsi et mets tes mains sur la tête.
-          Oh non Monsieur, pas ça, je…
-          Ne discutez pas !
Tout en lui hurlant ça, il lui attrape les poignets et lui écarte pour découvrir son sexe entièrement épilé ce qui ne cache rien. Claire se remit à sangloter.
-          Bon, puisque vous n’arrêtez pas de vous plaindre et de ne pas faire ce que je dis, vous allez retirer le reste de vos vêtements, je vais vous donner la fessée complètement nue. En plus de ça, je ne vais pas vous donner le fessée sur mes genoux comme prévu, mais vous vous allongerez sur une table et vous relèverez vos jambes en les écartant le plus possible pour recevoir les claques. Allez-y déshabillez-vous et allongez-vous sur cette table ci sans discuter.
-          Non je regrette, Monsieur … pas comme ça … s’il vous plait…
-          Je vous préviens si dans une minute, vous n’êtes pas allongées sur la table toute nue, je vous donnerai une fessée déculottée devant les clients demain, c’est à vous de choisir.
Claire n’avait plus le choix est voulait en finir le plus vite possible, elle se mit nue et s’allongea sur le dos et écarta les jambes et les relevant. Elle se sentait humiliée dans cette position, avant de commencer la fessée, son patron prit soin de la regarder en insistant sur son sexe. Claire pleurait et suppliait d’en finir au plus vite. Son patron lui donna une dizaine de claques, mais comme il ne trouvait pas la position facile pour la fessée il la retourna et finit de la fesser ainsi. A chaque claque Claire poussait un cri de douleur. Au bout d’un moment, elle le supplia d’arrêter, quand elle a senti que les claques avaient cessé, elle couru vers ses affaires pour se rhabiller.
Avant de la laisser partir son patron lui dit, que la prochaine fois qu’il aurait à la punir, il ne changerait pas de méthode, mais comme elle est très pudique, se sera entièrement nue, et qu’il n’hésiterais pas à le faire même en présence de ses collègues par exemple. Rien que cette pensée lui est insoutenable, et elle s’est juré d’être très rigoureuse dans son travail pour éviter ça.
Elle est ensuite partie du restaurant en pleurant, mais acquitté de tous problèmes.
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Vendredi 6 avril 5 06 /04 /Avr 08:04
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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