Merci à tous

Bienvenue.

Pour consulter la totalité des articles et photos mis en ligne quotidiennement,  cliquer sur les archives "mensuelles" ci dessous.

Merci de votre visite ! !

 

 Pour me joindre eros_plaisirs@yahoo.fr

Commentaires

Recherche

Dimanche 8 juillet 7 08 /07 /Juil 07:58
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 08:07
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 08:00

Ys  (je n'ai jamais pu savoir son prénom entier) complète la rubrique commencée il y a déjà quelques temps : "Avant, pendant, après..."

 

 

Par EROS - Publié dans : Avant, pendant, après...
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 07:50

Je vous ai déjà entretenu, lors d'une précédente causerie sur les plaisirs "particuliers", de la sensation si sensible de la cire chaude, aimablement répartie sur un corps déjà brûlant de désir...

Quelques exemples asiatiques ci-desus illustreront fort utilement mes propos d'alors...

Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 07:46

Ambre... Ne me regarde pas ainsi ! !

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 07:51
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 07:49

Une autre façon de prendre son pied... (bof... facile ! ! )

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 07:43

Nath apporte une contribution ô combien précieuse à ce blog en nous faisant partager les émois de son inititation... (chhuutt ... Le reste est secret)

Initiation en solitaire

 

J’ai pris une chaise en bois blanche et je l’ai posée devant un grand miroir dans ma chambre elle a trois barreaux sur l’assise en plus des deux montants

J’ai pris une corde j’ai commencé par y faire une boucle sur le barreau central et j’ai ensuite laissé pendre la corde sur l’avant de la chaise

Je me suis déshabillée lentement en me regardant dans cette glace un long moment les seins nus je me suis amusée avec les tétons en faisant doucement le tour des aréoles j’ai ensuite retiré ma culotte et j’ai promené mes doigts sur ma toison

Ensuite je suis allée chercher mon petit jouet dans mon tiroir, un petit vibro doré que j’aime bien de temps en temps.

J’ai récupéré dans mon bureau deux petites pinces qui ressemblent à des pinces à linge mais qui en réalité servent à tenir du papier, pour un début je les ai choisies tendres pas trop fortes au serrage

Je me suis ensuite assise sur la chaise face au miroir les cuisses écartées je sentais déjà la corde sous moi

J’ai  fait remonter la corde entre mes cuisses et j’ai passé chaque brin autour des montants de la chaise j’ai fait repasser la corde vers l’avant pour la croiser sur mon ventre et la faire descendre sur les pieds et attacher mes chevilles que j’avais remontées assez haut

Je me suis longtemps regardée dans la glace je dois avouer que je m’excitais ainsi attachée offerte les cuisses écartées je sais que je n’étais pas réellement attachée mais l’effet de me sentir maintenue serrée sur cette chaise m’a fait tremper la corde

J’ai commencé par promener mon vibro sur cette corde sur mon ventre je me sentais très humide et si près du plaisir mais je voulais laisser durer je me balançais doucement sur la chaise sentant une légère brûlure entre mes cuisses j’ai ensuite pris les deux pinces j’ai joué avec sur mes aréoles puis ensuite doucement je les ai laissé serrer mes deux petits tétons. Cette morsure m’a faite réagir, un mélange de douleur et de plaisir que j’ai du mal à décrire, j’ai posé mon vibro doucement sur une des pinces, j’ai senti une irradiation jusqu’au plus profond de mon ventre. J’ai ensuite promené ce vibro sur mon ventre descendant jusqu’au bord de ma toison, j’avais envie de me laisser aller sur cette chaise mais la corde entre mes cuisses me rappelait que j’étais prisonnière, je me regardais dans la glace ce qui décuplais mon excitation me voir ainsi les yeux mi clos offerte aux regards, si impudique laissant libre cours à mon second phantasme celui de m’exhiber.

Le bout de mes seins devenait douloureux, mais j’ai tout de même osé tirer un peu sur ces pinces qui me torturaient je dois avouer que cette sensation ambiguë, décrire ce que ça m’a provoqué est difficile.

Je n’ai pas pu résister, je les ai retirées, la douleur a été presqu’aussi vive que quand elles étaient encore sur moi, j’ai caressé mes seins doucement du bout des doigts pour les remettre de leurs émotions, cette douleur encore présente mélangée au plaisir de la caresse m’ont amené dans un état second si bon et si doux, je me suis longuement caressée, le plaisir a commencé a faire place à la douleur.

J’ai repris alors les caresses entre mes cuisses, n’y tenant plus j’ai promené le vibro sur cette corde qui retransmettait ses vibrations a mon moi le plus intime et là tout c’est emballé je dois avouer que j’ai joui mais joui d’une intensité que je ne connaissais pas vraiment, je n’ai pas pu me retenir ou freiner ces vibrations si agréables.

Je me suis ensuite lentement détachée, et de retirer la corde entre mes cuisses m’a fait sentir une irritation de cette partie de moi si tendre et qui n’est habituée qu’aux caresses.

J’ai encore une sensation de douleur au bout des seins de même que mon clito est encore trop sensible pour que je puisse le caresser, peut être la novice que je suis n’a t elle pas su s’y prendre ou pour une première fois j’aurais dû y aller plus doucement, mais c’est promis je recommencerai le plaisir a été si fort.

Même après m’être rhabillée je sens encore cette douleur au bout de mes seins, je la sens elle est là pour me rappeler le plaisir que j’ai ressenti quelques heures plus tôt.

 

Comme je ne travaillais pas cet après midi, pour ma seconde expérience sur les conseils d’un ami, je me suis acheté un petit martinet.

Après avoir longtemps hésité sur l’endroit où j’irai l’acheter , je suis finalement partie pour un sex shop, je dois avouer que pour pousser la porte j’y ai mis un petit moment

Pour la circonstance j’ai mis un jean plutôt moulant avec un petit teeshirt blanc mes seins avaient tendance à pointer un peu ça m’a beaucoup amusée surtout que je ne pense pas que c’était le froid qui était à l’origine de cette tension. Ils sont encore un peu douloureux quand ils se dressent sous le tissu de mon teeshirt.

En entrant il y avait deux hommes qui regardaient le rayon des vidéos et un autre feuilletant une revue, ils ont levé les yeux vers moi et sont se sont replongés dans leurs occupations sans plus faire attention à moi.

Ca m’a beaucoup aidé à déculpabiliser, je suis partie vers le rayon des joujoux, j’en ai profité pour m’acheter un petit canard vibrant tout mignon, et j’ai choisi un martinet avec de larges lanières noires assez souples … enfin comme ça au toucher mais je pense que suivant l’usage que j’en ferai il va me mordre et me faire souffrir.

Le départ vers la caisse a été aussi une grande source d’hésitation mais je suis arrivée avec mes deux articles à la main, l’homme à la caisse me les a pris pour les emballer je l’ai payé et il m’a tendu mon paquet avec un large sourire et il m’a juste dit un petit « bonne soirée madame » mais plein de sous entendus.

 

Voilà où j’en suis je viens de faire mes emplettes et j’attends avec impatience de pouvoir les utiliser.

Ce soir j’utiliserai mon petit canard avant de passer à une distraction plus profonde dirais je avec mon autre joujou un vibro tout doré et lisse.

Pour mon martinet j’attends un peu j’espère trouver un mode d’emploi, cette fois ci encore je serai seule, j’espère oser en parler à une de mes très bonnes amies qui m’a eu fait quelques allusions sur la soumission et que je pourrai assez vite partager avec elle tous les plaisirs que j’imagine

A bientôt pour une suite peut être si vous le souhaitez.

 

Par EROS - Publié dans : Participation des lecteurs
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 07:49
 D'une main ferme, l'amant de Karine nous raconte "sa" version de la fessée que celle-ci nous a voluptueusement décrite hier...
Cette fois, je la tenais. Elle n’y couperait pas. J’avais déjà essuyé quelques piques, subi quelques esquives, plutôt habiles ma foi, sans qu’elle ne cesse de m’allumer par de constantes allusions à la fessée, ou à son cul insolent.

Une fessée, c’est ça qui lui fallait, juste une bonne fessée, histoire de lui faire payer ses provocations continuelles, histoire de lui montrer que je sais avoir de l’humour, mais que je peux aussi entendre derrière les taquineries un autre type de besoin que la simple bonne humeur partagée.

Une bonne fessée donc. Pas de ces ridicules simulacres où le fesseur se retient de frapper un derrière habillé (beurk !), pas une gentille petite fessée érotique non plus, ni une de ces dérouillées magistrales dont ces dames ont quelquefois besoin pour évacuer leurs angoisses. Non, une bonne fessée déculottée, bien dans la tradition, qui laisse les fesses bien rouges et cuisantes.

J’en avais de plus en plus envie, à la regarder tapoter des textes et des dialogues bien orientés sur le forum et le chat de son site préféré, consacré bien sûr à la fessée. Et pour elle, l’heure approchait. Elle pouvait faire la faraude dans ses messages : accoudé au chambranle de la porte, je lui coupais toute retraite. Elle était à moi cette fois.

Et puis ses deux copines d’insolence ont pris congé du chat. Deux autres popotins à qui une fessée ne ferait pas de mal, d’ailleurs ! Mais on ne peut être partout à la fois. L’heure était venue. En deux pas, j’ai franchi la distance nous séparant, je l’ai saisie par le bras et l’ai levée de sa chaise pour la prendre dans mes bras. Pour une fois, elle est restée muette. Quelque chose dans son regard m’a confirmé qu’elle attendait ma réaction, une ferme réaction. Alors je me suis assis sur la chaise encore tiède de la chaleur dispensée pendant son bavardage sur Internet, et je l’ai basculée en travers de mes cuisses. Elle a à peine résisté, une fraction de seconde, déjà penchée en avant, le regard sur le plateau confortable vers lequel je l’entraînais, les jambes raidies, la main prête à faire opposition, et puis elle a cédé, s’allongeant souplement à la place requise, son derrière encore caché par la jupe bien en position. Mon impression se confirmait : elle avait besoin d’une fessée. Tout était maintenant en place : la fessée attendue de part et d’autre allait enfin pouvoir claquer.

J’ai ceint ses hanches de mon bras, pour la caller tout contre moi. J’aime ce contact étroit, et ressentir à travers lui la façon dont ma partenaire va vivre sa fessée. Mon autre main a plongé vers ses mollets, est remontée doucement vers les creux poplités, là où la peau est si fine et douce. Je suis un peu frustré : ses bas s’opposent à mon plaisir. La sensualité du toucher la fait frissonner de plaisir. Je laisse échapper un petit rire. Si elle savait ! Elle doit penser que je vais me contenter d’une petite fessée sensuelle. Profite, profite, tu verras tout à l’heure que je n’ai pas réellement ça en tête!

Elle ondule sous la caresse, mais que croit-elle ? Veut-elle me dissuader de la châtier pour m’entraîner vers des exercices plus classiques ? Ma main est enfin arrivée sur un carré de peau, entre bas et culotte, et je peux enfin palper cette peau tiède. Un petit « S’il te plaît… » presque gémissant arrive à mon oreille, comme une prière. Pas si vite, je suis enfin arrivé à un contact peau à peau, laisse-moi en user, et en abuser. C’est moi qui décide, et je le lui fais savoir en râlant contre les femmes et leur perpétuelle précipitation. Puisque c’est comme ça, dévoilons le théâtre des opérations. Je soulève sa jupe et saisis l’élastique de sa culotte, que je commence à tirer vers le bas. L’apparition de la naissance des fesses me donne envie de jouer avec la naissance de la raie culière : ici tout commence, la fin de la décence, le début de la déculottée.

Mais la voilà qui prétend m’aider à présent ! Mais non mademoiselle, c’est le fesseur qui déculotte ! Je m’empare du poignet et le plaque sur le dos. Puisque c’est comme ça ! Je descends la culotte à mi-cuisses, dénudant deux globes bien ronds. Et pan et pan, voilà pour apprendre à respecter son fesseur ! Je marque une petite pause. Je contemple encore une fois les rondeurs à peine marquées dont ma paume conserve le contact souple. La vraie fessée maintenant !

Pour une vraie fessée, ce sera une vraie fessée, pan pan cucul ! Je distribue une bonne rafale de claques bien franches sur le postérieur offert, répartissant harmonieusement la chaleur sur chacune des surfaces offertes. Je la sens vibrer, son bras se tend légèrement, mais ma prise reste ferme. Une bonne fessée, dis-je, dans les règles de l’art. Les impacts claquent dans la pièce comme des coups de fusil. La peau se colore très vite. J’y vais franchement, mais sans brutalité. Elle commence à remuer. Je renforce ma prise sur son bras. Je me défoule un peu, j’en avais besoin. Les mouvements de ses jambes laissent entrevoir son intimité. Je sens dans mon slip que la situation ne me laisse pas indifférent, et c’est là que c’est dur, qu’il faut faire appel à la volonté. Ce serait si facile d’arrêter et de se laisser glisser vers d’autres ébats. Le désir est mauvais conseiller pour un fesseur. Mais je veux ma fessée pleine et entière!

Alors je me reconcentre, je ralentis un peu le rythme et j’en profite pour observer les fesses. La couleur a maintenant viré au rouge franc. Le sommet des fesses frôle l’écarlate. Je décide de répartir un peu les rougeurs, et je claque soigneusement les endroits encore négligés, tout en revenant de temps en temps taquiner les zones les plus atteintes, histoire de raviver un peu la brûlure. Je fignole, quoi ! La cadence est moins rapide, mais les gifles ont toujours un impact aussi puissant.

Elle se trémousse, laissant échapper soupirs et gémissements. Notre contact et la fessée nous ont notablement réchauffés tous les deux. Je sais qu’elle a mal, et qu’elle a enfin réalisé que je ne lui donnerai pas une petite fessée, alors elle essaie de serrer les dents. Son arrière train doit lui cuire, car la paume de ma main commence à me brûler. A ce stade, je dois affirmer mon leadership. Je saisis son poignet de ma main brûlante, et je lui distribue de vigoureuses claques de l’autre. Centre de la fesse droite, centre de la fesse gauche. Un relâchement de son corps me révèle que les larmes arrivent. Un soubresaut de épaules me le confirme. Bon, j’avais dit une bonne fessée, pas une raclée mémorable, juste une bonne fessée.

Je relâche son bras qui retombe le long du corps, et je pars en exploration. Le bout de mes doigts frôlent la peau brûlante, massent délicatement les muscles empourprés, descendent un peu. Allons voir. Je me penche un peu et écarte les chairs meurtries. J’en étais sûr : le sexe ouvert laisse sourdre un peu d’humidité, le clitoris pointe hors de son capuchon. C’est tentant, et cette fois mon devoir est terminé. Alors mes doigts viennent doucement caresser les grandes lèvres. Elle soupire, je sens qu’elle ne détesterait pas que je m’aventure encore plus dans son intimité. Patience, il y a un temps pour tout.

Je la relève, et la fais asseoir sur mes genoux. Quelques larmes roulent sur ses joues et elle enfouit la tête au creux de mon épaule. Mes mains enserrent ses hanches et caressent les rondeurs bouillantes. Elle se fait câline. Je sens que, malgré ses yeux humides, elle se sent bien.

Dans quelques instants, nous irons tous deux profiter d’une autre humidité.
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 07:49
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Bienvenue...

Le blog aux (plus de)
 175 000 visiteurs !


A ce jour, plus de
175 973 visiteurs (depuis le début de l'année 2007) sont venus se promener sur ces pages... Un grand merci à toutes et à tous pour votre fidélité et votre intérêt pour l'érotisme et ses plaisirs...

  


  APPEL POUR UN EROTISME PARTICIPATIF ! !

 Ami(e)s adeptes de ce site et de tous les plaisirs  qui y sont évoqués, j'ai besoin de vous ! !

Pour une rubrique qui sera la votre, j'ai envie (et besoin) de recevoir vos confessions ; que vous me parliez de vos envies, phantasmes, ou tout autre sujet de prédilection évoqué sur ce site ; que vous me fassiez parvenir toutes sortes de photos pour que je les les publie  dans une rubrique qui Vous sera entièrement consacrée...

Pas de tabou ni de censure sur ce site, (vous me connaissez)... Vous pouvez tout me dire....

N'hésitez pas à m'envoyer tout ce qui vous passe par la tête ou le corps à l'adresse..... eros_plaisirs@yahoo.fr

Un long texte ou un petit mot ; un cliché innocent ou l'album photo de vos ébats.....

Merci d'avance de faire vivre ce site qui deviendra ainsi, encore davantage, le Votre...

ERos...

  

 

Images au hasard

Jour après jour

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

W3C

  • Flux RSS des articles
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés