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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 07:58
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 07:45
Karine nous propose aujourd'hui le récit d'une fessée qui lui a marqué le corps et l'esprit.... Demain "l'autre coté" de ce récit avec la confession de son fesseur (si doué, apparemment ! !)
Qui est-il celui qui m'a rendu heureuse ce soir ? Un homme dont je ne sais pas grand chose à part qu'il écrit parfois et pas trop mal ma foi. Un homme dont je connais par contre la fermeté des mains, rattaché à un grand corps athlétique. Un homme qui dans sa réalité est un grand homme ...

Vous voulez savoir comment il a fait pour m'apporter ce bonheur ... c'est très simple, il m'a donné une fessée. Oh pas une fessée tendresse, non, ni une fessée féroce, tout simplement LA fessée.

Il me regardait, m'observait tandis que je pianotai allègrement sans me soucier de lui. Il me voyait faire des bêtises, échanger des pensées coquines. Il attendait son heure !

Et puis il m'a attrapé de ses grandes mains bien fermes (garanties), il m'a tenu serrée contre lui faisant battre mon coeur avant de me faire basculer sur ses genoux, un léger sourire aux lèvres. Oh je connais ce sourire, il est spécifique aux mâles lorsqu'ils contemplent leur proie ...

Quelle lenteur à descendre, quel plaisir de résister un tout petit peu, quelle envie qu'il ne s'arrête pas. Il me couche en travers de ses genoux et l'un de ses mains se cale au creux de mes reins me vissant presque sur ses cuisses, tandis que l'autre se promène les long de mes chevilles remontant doucement, lentement le long de mes jambes ... je frissonne violement, ce qui déclenche chez lui un petit rire, discret, comme retenu.

Bon, c'est pas tout ça, mais faudrait peut-être qu'il se dépêche un peu ... je n'en peux plus d'attendre moi ! Je le lui fais comprendre par quelques oscillations du bassin. Il remonte alors encore sa main jusqu'à la naissance de mes cuisses, s'arrête un instant sur mes bas, caresse la jonction entre le tissu et la peau si douce, si lisse de mes cuisses. Il soupire et je n'en peux plus... « s'il te plait... » et ce n'est qu'un murmure.

« Toujours pressées les femmes » grommela-t-il, tout en remontant ma jupe largement au dessus de mes reins. Maintenant voilà qu'il jouait avec le tissu de ma culotte, glissant son doigt dans l'échancrure, la tirant doucement dans la fente héréditaire entre mes fesses. Oh le voyou ... ne voyait-il pas que j'attendais une toute petite fessée et non pas ce jeu érotique ?

Ma main part vers l'arrière pour l'aider à descendre ma culotte mais il l'attrape au vol et la joint à celle qui me retient sur ses genoux. Me voici à sa merci. « Vilaine » dit-il et il se décide enfin à claquer mon postérieur. Une claque, deux claques et il s'arrête ... j'attends ... longtemps ...

Mais c'est pas vrai ! Il a décidé de jouer avec mes nerfs ce soir. J'inspire un grand coup pour avoir le temps de lui dire ses quatres vérités, mais je n'ai pas le temps de prononcer un mot. Le voilà qui se lance dans une sarabande effrenée, sa main venant claquer ma fesse droite, puis ma fesses gauche puis encore à droite puis à gauche puis je ne sais plus, ça va trop vite, c'est merveilleux c'est un manège fabuleux ...

J'ai très chaud, je sens sa main sur mes reins qui s'alourdit, je sens son désir qui monte parallèllement au mien, je sens mes fesses brûler, je les imagine rouge pivoine. Et il continue encore et encore ... Mon Dieu, comment peut-il m'apporter tant de bonheur ? Il ralentit enfin, et je sens qu'il reprend son souflle, j'ai même l'impression que sa respiration s'alourdit.

Il ralentit mais ne s'arrête pas pour autant. Il prend un rythme régulier, faisant résonner chaque claque, recherchant un endroit de mes fesses moins coloré. J'ai affaire à un artiste, je le sais, je le sens. Un perfectionniste dans ce qu'il entreprend.

Maitenant la chaleur est telle que chaque claque me brûle, avivant en moi des vagues annonciatrices. Je ne peux plus m'empêcher d'onduler. Quelques larmes perlent à mes paupières, je ne sais si elles sont dues à la douleur ou au plaisir. Sans doute un trop plein d'émotion. Sa main redevient caresse, massant délicatement mon postérieur, s'enhardissant dans des endroits intimes et je ne peux m'empecher de soupirer.

« Prends moi dans tes bras », j'en avais besoin, l'ai je murmuré ou bien l'a-t-il deviné ? Toujours est-il que je me suis retrouvée bien au chaud dans ses bras, dans un cocon de bonheur, mes mains le calinant, ses mains sur mes hanches..

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 07:45
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 07:41

... et son regard pour lequel je craque lorsqu'il se veut tellement suppliant afin d'arrêter ...ou de continuer la morsure de la lanière...

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 07:55
Merci à l'encyclopédie en ligne WIKIPEDIA pour cette interessante et précise description d'un jeu érotique peu connu : le bondage. (à quand une encyclopédie dédiée aux jeux sexuelles et à tous ses plaisirs...?)
Le bondage (du verbe anglais to bind, lier) est une pratique érotique qui consiste à contraindre, d'une manière ou d'une autre, son/sa partenaire. Le bondage consiste à contraindre le corps dans sa totalité ou en partie, généralement à l'aide de cordes et de bâillons, mais aussi de bande adhésive, de lanières, de chaînes, ou de tout autre ustensile apte à exercer une emprise sur la ou les partie(s) du corps concernée(s). L'immobilisation complète du partenaire n'est pas nécessairement le but. On parlera ainsi de bondage des bras, des jambes, du torse/des seins, de la taille, et ainsi de suite.
Cette forme particulière de sexualité est souvent assimilée à tort au sado-masochisme ou au BDSM, alors que ce sont toutes trois des pratiques bien distinctes. La différence fondamentale est que dans le bondage pur, la contrainte en soi est un but, souvent esthétique (mais pas seulement), alors que dans le sado-masochisme ou le BDSM il s'agit généralement d'un simple moyen, d'un outil parmi d'autres. De plus, dans le bondage pur, on ne retrouve pas les notions de dominant/maître, dominé/soumis/esclave, humiliation/servitude, etc., propres au sado-masochisme et au BDSM. Le bondage peut être considéré comme une pratique érotique à part entière, qui se suffit généralement à elle-même.
La notion de BDSM en particulier intègre par définition le bondage comme l'une de ses pratiques. La réciproque n'est pas vraie : le bondage est intrinsèquement indépendant du BDSM et n'a pas besoin de ce dernier pour exister.
Au Japon, la pratique du bondage se décline sous le nom de Shibari ou Kinbaku ; elle fait partie d'une tradition à la fois historique et artistique.
Il est établi que le bondage moderne puise largement ses origines dans la société japonaise, où l'utilisation de la corde sous toutes ses formes date au moins du XVe siècle, et notamment du Kinbaku, un châtiment corporel. Les samouraïs ne pouvaient être entravés que par un spécialiste, le nawashi.
XVe siècle1560 : La période sanglante de Shinkoku ou le règne de Tokugawa [
À cette époque, la société japonaise vécut une période de guerre sombre et tortueuse sous un règne de dictature qui dura jusqu'en 1560. Selon la règle de Tokugawa, en 1542 on promulga un code présentant 4 degrés de torture basée sur la corde pour les criminels. Le premier degré était de se servir de la corde pour fouetter ou flageller, le second était d'attacher une pierre à la corde et de s'en servir comme masse d'arme, le troisième consistait à créer des points de compression infligeant des séquelles graves et irréversibles, et enfin le quatrième était la suspension qui pouvait parfois durer plusieurs jours. Dans les trois derniers degrés, l'issue de la punition était généralement la mort.
Ces méthodes ont pris fin en même temps que les guerres, vers 1560. L'utilisation de la corde comme un outil de torture n'a plus jamais eu lieu depuis. Cependant, plusieurs de ces techniques sont à la base de l'utilisation moderne de la corde sous ses formes érotiques les plus courantes relevant du bondage.
Après la période sanglante de Shinkoku, une technique appelé [[hojo-jutsu]] ou hobaku-jutsu fut développée. Le hobaku-jutsu était un art martial très spécial employé pour attraper et retenir des criminels ou des prisonniers. Une technique précise de l'usage de la corde pour attacher et contraindre un prisonnier a vu le jour. Chaque village avait sa propre méthode.
Un criminel/prisonnier ne pouvait être attaché/suspendu qu'en public, et tout observateur pouvait dire par la façon dont le criminel ou le prisonnier était attaché/suspendu et par le modèle de corde employé, quelle était la classe sociale du criminel/prisonnier, le crime qu'il avait commis, et également parfois l'âge et la profession de la victime.
L'utilisation de la corde comme forme érotique est très floue pendant cette période, et nous n'avons trouvé aucun écrit pouvant clairement nous renseigner sur son usage.
Le bondage moderne
À la fin de la période d'Edo, quelques images érotiques japonaises sont apparues, où l'usage de la corde est enfin représenté. Si cet usage érotique a pu exister avant, on ne le connaît en tout cas dans aucun sens historique : seuls des récits ou des légendes y font allusion.
L'art moderne des jeux de corde n'est pas cruel, et encore moins une pratique de torture comme malheureusement bien des vidéos nous le présentent. Il est consensuel, avec des frontières clairement définies. Il existe aujourd'hui deux grandes écoles, à la fois antagonistes et complémentaires : l'école occidentale (bondage), basée à l'origine sur l'école orientale (Shibari), a développé ses propres techniques et sa propre esthétique. Elle est aujourd'hui la plus répandue, hormis au Japon évidemment.
À titre anecdotique, les policiers japonais modernes portent toujours un morceau de corde sur leur uniforme.
Précautions d'usage
Le bondage est avant tout une relation de confiance entre la personne qui attache (le bondageur dit aussi bondeur(se)/ la bondageuse) et la personne attachée (la bondagette / le bondagé ou bondé(e)). La responsabilité (et même la vie) de la personne attachée est à tout moment entre les mains de la personne qui attache. Si vous êtes cette personne, gardez toujours à l'esprit que du moment que votre partenaire se met volontairement entre vos mains pour être attaché(e), vous en avez sa responsabilité, sa garde, et vous vous devez avant tout d'honorer cette confiance.
Plusieurs accidents graves liés au bondage sont recensés tous les ans. N'oubliez jamais les règles de sécurité élémentaires suivantes :
Bâillon
Bâillon
  • Ne laissez jamais une personne ligotée (ou enchaînée) seule, sans surveillance. Si vous pratiquez en solitaire, un certain nombre de règles supplémentaires sont décrites dans les documents relatifs au self-bondage ;
  • Encore plus important, ne laissez jamais seule, pas même un instant, une personne ligotée et bâillonnée. Les étouffements accidentels sont très rares, mais ils peuvent intervenir très rapidement ;
  • Ne passez pas de corde autour du cou. Les risques d'étranglement sont beaucoup trop grands ;
  • Conservez un moyen de défaire les cordes rapidement. Ciseaux (les ciseaux à bandage sont recommandés : ils sont efficaces et comportent une protection destinée à protéger la peau), couteau, et/ou nœuds rapides. Notamment au niveau du torse, des articulations et de certains endroits sensibles, pour éviter les garrots ;
  • Prévenez les risques de chute et d'étranglement. Une personne immobilisée faisant une chute en arrière (avec sa chaise, par exemple) risque de se rompre le cou ;
  • Les « suspensions » demandent beaucoup de maîtrise. Ne les pratiquez pas si vous êtes débutant ;
  • La qualité de la corde est primordiale afin de limiter les risques de brûlure liée aux frottements (préférer la corde naturelle pour les suspensions : la corde restera en place) ;
  • N'utilisez jamais de nœuds coulants ! Il faut toujours utiliser des nœuds qui ne glissent pas. Evitez les nœuds dits « queue de cochon », qui glissent (le nœud des lacets de chaussures). Préférez-leur le nœud plat.
  • N'insistez pas si votre partenaire exprime une gêne ou de la douleur. Nous ne sommes pas tous égaux devant le bondage. Certaines caractéristiques et limites physiques sont propres à chaque individu. La souplesse est un bon indicateur. À surveiller tout particulièrement : les épaules (risque de déboîtement) et les coudes (si ils ne se touchent pas aisément, ne forcez pas !).
La durée des séances est très variable, de quelques minutes (positions très strictes et/ou personne attachée débutante) à plusieurs heures d'affilée (positions plus faciles à tenir et/ou personne attachée expérimentée). Dans tous les cas, ne prenez pas de risques inutiles, et pensez à hydrater régulièrement la personne attachée.
Les photos, vidéos et textes de fictions que l'on peut trouver sur Internet sont choisis en fonction de leur esthétique et/ou de leur impact. Les positions sont généralement réelles, mais elles sont souvent plus compliquées à réaliser qu'il n'y paraît, et ne peuvent pas toujours être reproduites simplement et/ou sans risques. Ne vous y risquez pas si vous êtes débutant.
Pourquoi des gens aiment se faire ligoter ? [
bondage avec de chaînes, variation BDSM
bondage avec de chaînes, variation BDSM
Les personnes qui trouvent érotique de se faire ligoter, le trouvent pour différentes raisons :
  • La raison plus souvent citée ou du moins invoquée, est une libération des inhibitions et responsabilités, dans la mesure où les personnes ligotées ont, dans une certaine mesure, confié les clés de leur situation à un tiers. On peut appeler cela un échange érotique de pouvoirs (en anglais : "erotic power exchange"). Le sentiment d'impuissance permet de surmonter l'interdit: la personne attachée ne se sent plus responsable d'avoir commis un acte sexuel. Ce fantasme est fréquent chez les femmes dont l'éducation diabolise la sexualité, ainsi que chez les personnes refoulant leur sexualité
  • Pour aviver un fantasme narcissique: la personne ligotée se sent plus désirée qu'à l'ordinaire.
  • Certaines personnes apprécient la sensation physique de la contrainte, les sensations, la pression des cordes, l'impossibilité de se libérer malgré les efforts. Ces mêmes personnes apprécient beaucoup plus rarement la brûlure/douleur engendrée par le frottement/morsure de la corde.
  • On peut aimer la sensation d'impuissance liée aux tentatives désespérées de rompre ses entraves (liens, chaînes ou bracelets), particulièrement en étant stimulé(e), sensuellement ou sexuellement. Rappelons que la pratique du bondage n'implique pas nécessairement de contact sexuel entre les partenaires.
  • D'autres personnes apprécient les jeux de rôle sur des thèmes divers et variés (voleur/kidnappeur et victime/otage, médecin et patient(e), policier et prisonnier(ère), magicien(ne) et assistant(e)...).
  • Plus rarement, certaines personnes éprouvent un plaisir provenant de la « mise en danger » symbolique (comme le saut à l'élastique et l'escalade). Ces personnes apprécient l'adrénaline provoquée par des situations potentiellement dangereuses, et orientent naturellement le bondage vers ce type de situations, voire de la dégradation. Cette catégorie est peu nombreuse.
  • Ou tout simplement, comme un complément « piquant » aux pratiques sexuelles, pour essayer !
Quelques raisons complémentaires :
  • Comme complément à un fétichisme donné (fétichisme des matières comme le cuir, le latex ou le vinyle, fétichisme des dessous, des bas, des talons aiguille, etc.). La géométrie formée par les lignes du bondage sur le corps permet ici de mettre en valeur tel ou telle tenue, tel ou tel accessoire fétichiste.
  • Et enfin, des gens peuvent aimer se faire ligoter comme complément à des pratiques sado-masochistes que nous n'aborderons pas ici.
  • Un goût pour l'esthétisme du shibari/bondage (argument régulièrement avancé par les femmes attachées et/ou désirant l'être)
Pourquoi des gens aiment ligoter d'autres personnes ?
  • Pour donner du plaisir à son/sa partenaire, et pour les stimulations engendrées par le plaisir de son/sa partenaire ; c'est de loin le cas le plus courant et profitable aux deux partenaires.
  • Pour la mise en valeur de l'anatomie, la géométrie des formes, l'aspect esthétique du sujet, des liens et de l'environnement (voir les travaux de « Midori » et de son photographe Michael Blue par exemple)
  • Pour la soumission érotique de son/sa partenaire, autrement dit un fantasme de possessivité - qui coïncide avec le fantasme d'être excessivement désiré chez la personne attachée.
  • Pour le contrôle et le pouvoir provoqués par la « mise en danger » de son/sa partenaire attaché(e). Pour cette catégorie de gens, s'il s'agit de leur seule motivation, il est possible qu'ils aient quelques difficultés à provoquer le plaisir du jeu chez leur partenaire.
  • Et enfin, comme complément à d'autres pratiques sado-masochistes.
Pour que le plaisir soit partagé, il est indispensable que la personne qui attache soit constamment à l'écoute de son/sa partenaire. Un bondageur/une bondageuse n'étant à l'écoute que de son propre plaisir ne procurera que très rarement de plaisir partagé, comme bon nombre de « pseudo-bondageurs » que l'on peut trouver par le biais de clubs et de sites internet privés.
Bondageurs célèbres
En France, le premier témoignage de bondage sont les cyanotypes (ancêtre de la photographie, de couleur bleue) de Charles-François Jeandel (1859-1942), un notable angoumoisin. Ces clichés sont conservés au musée d'Orsay. Ils ont été identifiés grâces aux travaux d'Hélène Pinet dans les années 1990, qui a reconnu des portions d'une toile de Jeandel sur des clichés (Renversements de l'idole Sérapis, 1889, exposée à la mairie d'Angoulême).
Parmi les grands inspirateurs du bondage du XXe siècle, on peut citer John Willie (Adventures of Sweet Gwendoline) ou Eric Stanton.
Citons aussi l'illustrateur japonais Yoji Muku, réalisant de splendides estampes sous différents pseudonymes dont le plus connu est « Jito », l'anglais John Blake, sous le nom de Nawashi Murakawa, Akechi Denki et son assistante Akechi Enka (Shizuka Aoi de son vrai nom), le photographe Nobuyoshi Araki, le dessinateur Richard Laillier et le français Tonton Ficelle dans les années 1970.
Les bondageurs contemporains les plus célèbres sont essentiellement américains (Internet oblige). Ce sont pour la plupart des références au niveau de l'esthétique et de l'innovation. On peut citer notamment Jim Weathers (alias The Weatherman), feu Cory Thompson (alias Mr. T), Jay Edwards, Dominic Wolfe, Jon Woods, Lew Rubens, etc. Et une femme en particulier : la célèbre Lorelei (alias Kristine Imboch), pour l'ensemble de son travail et sa contribution à la démocratisation du bondage. On se souviendra également de la célèbre pin-up américaine Betty Page mise en scène dans multiples photos et bandes dessinées.
Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 07:39
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 07:53
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 07:50

... taquin de la part de Maitresse Domina....... avant que les choses sérieuses ne conmmencent...

Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 07:39
J'aime parcourir du bout des doigts ou de la langue le corps des femmes, j'aime m'enivrer de leurs parfums les plus intimes, générer en elles et sur elles, de multiples frissons,réactions et plaisirs.

J'adore pour cela le cunnilingus, à mon sens le plus agréable moyen pour non seulement exciter une femme, la faire jouir, mais aussi lui faire reculer les limites de son plaisir ...


...

Nous étions tous les deux sur le lit, le jour était déjà levé depuis un moment en ce week end d'été.

Je me suis retourné sur elle, elle dormait encore, une jambe au dessus du draps. La fenêtre de la chambre était ouverte, il faisait déjà chaud. On entendait le vent glisser dans les branches du cerisier, le chant des oiseaux.

Mon regard s'est fixé sur le haut de sa cuisse blanche, ma main, attirée, s'est posée sur sa fesse, elle était fraîche et douce.

J'ai laissé glisser la paume de ma main jusqu'à ses cuisses, j'aimais le contact de sa peau. J'adore "ton cul" pensais je tendrement!

Je descendais et caressais doucement le haut de sa jambe, remontant vers ses fesses, ouvrant ma main, le plus largement possible, pour mieux les envelopper !

Elle n'avait pas bougé !

Je soulevais le drap doucement de mon côté, et descendais sur le lit !

La tête, au niveau de ses fesses, je me régalais déjà de cette envie qui m'animait et posais doucement mes lèvres sur sa peau d'albâtre.

Je posais de doux baisers sur ses fesses, tantôt à droite, tantôt à gauche, elle restait immobile, silencieuse, rêveuse sûrement ! Je descendis encore un peu , embrassant ses mollets et ses cuisses, sortant pour la première fois ma langue, je remontais le long de ses jambes, doucement jusqu'à ses cuisses rondes et charnelles. Hummm toi, le doux parfum de la peau d'une femme, que je t'aime !

Ma langue glissée sur ses cuisses , remontant jusqu'à la base de son dos, elle bougeait un peu, luttant pour ne pas se réveiller, ses yeux se forçant à rester clos !Elle tourna la tête en poussant un petit gémissement d'étirement !

J'embrassais la base de son dos, laissais glisser ma langue jusqu'à ses flancs, les remontais doucement, seul l'extrémité de ma langue touché sa peau , ma salive glissé sur elle, la faisait légèrement frissonner, pour augmenter cela, je soufflais le long de la " traînée" que je venais de déposer !

Elle râla un peu, soufflant dans son oreiller, et marmonnant :" quelle heure il est ? "

- " chuuuuuuuuuuuuuut " , fut ma seule réponse !


....


Je me suis positionné bien au dessus d'elle. J'ai mis un peu de salive au bout de ma langue, posé celle ci à la partie supérieur de son entre-fesses et j'ai descendu doucement suivant la raie, ne laissant pénétrer que très légèrement ma langue puis j'ai remonté plus rapidement et plus profondément , son bassin c'est levé, pour accompagner ma langue et pour accentuer la profondeur.

J'ai senti sa petite fleur du bout de la langue ! hummmm je fermais les yeux , posant mes mains sur ses fesses et les écartant doucement et descendis lentement le long de sa raie mouillée par mes soins. Ses fesses se levaient au fur et à mesure que j'approchais de l'orifice, sans doute avait elle peur que je le loupe , je m'attardais un instant sur cet anus offert, salivant, le léchant du bout de la langue en rond, et le titillant !

Plusieurs fois j'ai remonté le long de ses fesses, je savais qu'elle aimait que je les embrasse que je joue avec délectation de son orifice.

Ma langue de temps en temps descendait plus bas entre les cuisses cherchant à rejoindre la chaleur d'une toison qu'elle espérait humide.

Elle leva enfin les fesses en les écartant un peu pour me permettre d'aller récolter un peu de son intime breuvage et surtout pour me montrer qu'elle avait, enfin, envie de ce que depuis le début je chercher, lécher sa douce "petite chatte" ...

...

J'aimais son duvet léger et soyeux, il était déjà humide, telle une fleur ,couverte de la rosée du matin !

Elle avait légèrement écartées les jambes, pour me permettre de descendre, un peu et de poser ma langue sur ses lèvres. Elles étaient chaudes et humides, et elles avaient ce parfum qui me faisait frémir. Ce doux parfum de femme, le nectar des Dieux.

La Position ne lui convenant pas , elle se retourna ! Ainsi elle était bien, couchée sur le dos les jambes légèrement pliées, les pieds à plat sur le lit .

Je mettais relevé et légèrement reculé, pour la laisser se mouvoir. J'étais assis donc au niveau de ses pieds et je regardais son corps, les reliefs si doux , sa peau lisse, je posais mes mains sur ses pieds et commençais à les caresser, remontant des chevilles aux mollets, mes mains s'imprégnant de sa chaleur, et de sa douceur , comme pour s'adapter, devenir une extension d'elle même.

Son corps nu, sur le lit était offert à la lumière du soleil, qui pénétrait chaudement la pièce et le lit, elle semblait comme sur un autel, offerte au sacrifice, un bras sur son visage, les yeux couverts.

J'avais envie de l'embrasser, éveiller ce corps encore désireux d'un sommeil royal ! Je posais mes lèvres sur ses pieds et chevilles, et je commençais doucement l'ascension.

Ses mollets d'abord, m'offraient une chair à mordiller, et à embrasser, j'aimais passer ma langue sur toute la longueur de ceux ci et remonter jusque dans le creux derrière le genou.

C'était une zone sensible, souvent je m'amusais, follement, à la chatouiller en cet endroit de son corps , mais ce n'était pas le moment pour cela, générer un délice, un frisson, tout au plus était, mon seul but !

Vint ensuite les cuisses encore plus douces et tendres que les mollets, plus chaudes aussi.

Etant sur son côté, je devais m'enrouler autour d'elles pour pouvoir poser mes baisers sur l'intérieures de celles-ci, elle écarta les jambes quand elle sentit, le premier contact de ma bouche dans son entre-cuisse.

J'ouvrais mes lèvres, laissant passer une langue avide de ce doux contacts, les papilles en éveilles comme avant un festin.

Tout en embrassant ses cuisses et l'intérieur de celles-ci, je me positionnais entre ses jambes.

J'étais allongé maintenant, au bout du lit, recroquevillé sur moi même pour ne pas en sortir.Le visage au dessus de son triangle d'or, mes bras sur chaques cotés de ses cuisses.

...

Je déposais mes lèvres sur son duvet blonds , il était soyeux et fin je posais mon visage dans ce nid douillet laissant ses poils me caresser, m'imprégnant de son doux parfum .J'aime embrasser et laisser mon visage caresser son petit triangle d'or, je m'imprègne alors de ses parfums, de cette chaleur si particulière du bas ventre.

Mes lèvres embrassent doucement tantôt en plein centre du duvet , tantôt sur le coté, tantôt j' en trace les contours, puis je m'écarte un peu et viens titiller le pli de l' haine , embrassant parfois à plein bouche l'intérieur des cuisses .

Tandis que je frotte mon visage sur son duvet, je sens son bassin monter légèrement, je recule un peu la tete et pose le visage sur son sexe, il est humide, le contact de ses lèvres et doux, je remonte un peu la tete, mon nez frottant ses lèvres, puis laissant la place à mes lèvres.

J'embrasse doucement presque du bout des lèvres son intimité, allez doucement , laisser monter en elle, le désir, patienter pour la voir s'offrir, demander physiquement la caresse...



... ma langue doucement lèche ses lèvres gonflées par le désirs, son parfum m'imprègne, je ferme les yeux , pour mieux ressentir cet instant, je dessine du bout de la langue, son sexe, en suis les contours doucement, humidifiant au passage, l'objet de mes désirs .

Passant ma main droite au dessous de la cuisse pour remonter sur son bas ventre, je caresse doucement son duvet, tandis que ma langue ouvre les portes de l'antre, remontant doucement entre les lèvres jusqu'au bouton rond , j'en fait le tour,le déshabillant du bout des doigts, il s'offre fier à ma bouche .

Doucement mes lèvres viennent l'emprisonner, je le suce avec tendresse, lentement, ma langue vient en titiller l'extrémité tandis que mes lèvres en l'aspirant, le serre dans un étaux doux et chaud. je le suce, aspirant et le relâchant successivement.

J'ouvre la bouche, un peu de salive sur le bout de la langue que je dépose sur son bouton, ma langue se fait discrète presque imperceptible , elle tourne doucement puis descend entre les lèvres .

Je sens le doux orifice, j'en fait le tour, passe ma langue en dessous et la remontant, il est légèrement détendu, ma langue doucement peu s'aventurer à l'intérieur. je tourne ma langue sur les parois humides, puis ressors, descendant dessous le sexe , léchant, la chair tendre.

Je glisse mes mains derrière ses genoux et je lève ses jambes, devant moi son sexe humide aux lèvres ouvertes, et dessous l'orifice rose.


... Il brille, encore lubrifié de mon passage récent, il me fait envie, j'y dépose alors une langue gourmande, oppressante,presque pénétrante ! Puis je remonte doucement vers l'extrémité inférieure de ses lèvres, elles sont chaudes et ouvertes, gonflées de désir ! ma langue glisse entre elles et se pose délicieusement sur l'orifice, son bassin appelle à plus de contacts, de sensations. J'en fais le tour doucement, le parcours de haut en bas et de bas en haut, je pose le bout de ma langue en son centre et je tourne délicatement sur les bords intérieurs, augmentant progressivement la pression.

Je remonte doucement sur son petit bouton, en fait le tour, cherchant à l'apprivoiser de nouveau, m'inquiétant de sa réceptivité. Mes mains lâchent ses jambes, la gauche vient découvrir son clitoris, un doigt entre ces lèvres je remonte doucement tirant légèrement la chair gonflée d'envie, tandis que ma main droite, titille déjà l'orifice de son antre !

j'ai emprisonné entre mes lèvres, avec une succion, son bouton. Ma langue le titille délicieusement, je l'aspire encore un peu et le pose entre mes dents, doucement je le fais rouler entre, tandis que ma langue continue à le lécher . Mon doigt entre doucement en elle , d'abord je reste à l'entrée juste une phalange, qui presse le contour de son antre, des petits cercles plus ou moins oppressant en dessine les contours.

je sens la chaleur monter en elle, son corps s'anime, vagues de plaisir et de sensation qui montent en elle . Une main passe dans mes cheveux, les caresses. Je lève légèrement la tête lâchant ses lèvres, tandis que mon doigt doucement, pénètre en elle . Je sens la douce chaleur et l'humidité de son vagin, l'espace offert je cherche le contact du bout des doigts de sa paroi vaginale la caresse. Je ressort sans oublier de passer sur cette partie légèrement rugueuse mon doigt est à la limite de sortir , son bassin avance pour ne pas le laisser faire, et elle sent en elle deux doigts plus présent encore, oppressant . mélange de caresses internes et de va et vient tantôt léger tantôt "violent ". Ma langue ne cesse de lécher son doux bouton, ma bouche l'aspire ne lui laisse aucun répit.


...

J'aspire son petit bouton le coince doucement entre mes dents, pendant que ma langue en fouette l'extrémité, je fias légèrement glisser mes dents sur la chair souple du divin et elle se cambre, soupir. Mes doigts glissent doucement en elle et augmentent leur oppression. Je caresse, l'intérieur de sa paroi, dessine des formes géométriques et son bassin suit la caresse délicate. Elle écarte les genoux se livre entière à mes caresses en de mande plus encore, ses pieds se pose sur mon dos et inconsciemment me tire à elle. Elle en veut plus, mais je la retiens, faire durer ce plaisir et un jeu délicieux .

Elle souffle, " continues, t'arrêtes pas ! ... stp encore ", je reprends ma douce caresse du bout de la langue , aspire doucement le petit appendis, mes doigts caresse l'entrée de son antre et un doigt glisse vers son petit trou , il est détendu offert, je le pénètre sans difficulté, sens la douce chaleur de son petit cul, et je commence un doux va et vient à la fois vaginal et anal. Bientôt elle se cambre, j'attends son souffle, je la regarde, son corps semble ne plus répondre qu'à mes caresses, un deuxième doigt pénètre en son anus, j'intensifie mes caresses aussi bien de la langue que des doigts. Je coince la douce membrane qui sépare sépare mes doigt et accentue la caresse elle se cambre ma bouche accélère ses succions, aspirations mordillement. Ma deuxième main remonte entre ses cuisses courbées et glisse vers son sein.Je caresse son tétons durcit par le plaisir, une de ses mains vient sur la mienne et la serre tandis que l'autre caresse sans ménagement l'autre sein. Elle tire sur ses tétons légèrement et j'accompagne sa propre caresse et se cambre pour suivre le mouvement.

ma langue s'affole, mes doigts trempées glissent en elle avec fermeté et profondeur toujours emprisonnant sa chaude membrane. Son souffle court et puissant se transforme en doux gémissement, " oui oui, oui, continues vas y oui vas yyyy , vas yyy ! Elle se cambre je la lèche, la pénètre plus "violemment" tire son téton avec douceur, elle s'agrippe d'une main au drap et de l'autre plaque ma tête sur son antre, elle vient intensément mais lentement son corps épuisé d'avoir du retenir depuis un moment un plaisir trop pressant, à ce moment elle a peur sans doute qu'il ne vienne pas, elle s'affole, bouge son bassin cherche plus de sensation.J'accélère encore bloque une cuisse, mords doucement ses lèvres et aspire avec force son bouton mes mains augmentent encore leur douces oppressions, elle se cambre un râle profond l'envahi " ouiiiii oh ouiiiiiiiiii encore ouiiiiiiii , elle se cambre une dernière fois et son corps si active retombe lourd et las du plaisir . Je continues cependant ma caresse du bout de la langue et accentue encore l'oppression de mes doigts en elle, je caresse le fond de son vagin, dessine des cercles sur toute la paroi, dans leurs va et vient, mes doigts accentuent leurs caresses qd ils se retirent doucement, elle est trempée, je passe mon visage dans son doux duvet, elle attrape ma tête et la plaque sur le bas de son ventre son bassin suit le rythme que lui impose mes doigts elle souffle, son antre s'ouvre d'avantage, le liquide chaud coule entre ses cuisses, et se cambre "ahhhh ahhhhhh hummmmmmm, des giclés de cyprine m'éclaboussent, " encore encore encore vas y ouiiiiiiiiiiiiii" j'emprisonne son bouton, le coince entre mes dents au léger contact son corps se tend, vibre, et des secousses l'envahissent, un flot de liquide chaud envie ma gorge, je manque de m'etrangler, je ne cesse de la lécher de fouiller son antre elle se cambre une dernière fois dans un long râle. Elle ma tire la tête de son a antre par les cheveux " arrêtes arrêtes ...." sa voix et perdu dans son souffle elle respire avec force et profondément, tout son corps et relâché, j'embrasse sa toison et remonte doucement l'extrémité de ma langue glissant sur sa peau salée par l'effort glisse sur son sein et son téton en fais e tour , remonte encore et trouve ses lèvres entrouvertes. Ses bras me serrent contre elle " je t'aime ...." me dit elle au bout d'un souffle qui n'en fini pas.
Par EROS - Publié dans : Jeux érotiques
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 07:30
Par EROS - Publié dans : Photos coquines
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