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Littérature érotique

Lundi 8 janvier 1 08 /01 /Jan 08:06
Suite(2/2)...
les jambes fléchies, j'ai remonté ma jupe, baissé ma culotte regardé mes lèvres luisantes , les ai entrouvertes et j'ai glissé le godemiché dans mon con - ,je me suis adossée sur le mur et je me suis branlée en écoutant deux femmes discuter devant les lavabos, mes jambes tremblaient un peu, j'étais toute molle, j'aurais pu jouir très vite mais vous savez que j'aime l'attente -
merci pour vos présents, je vous offrirai le vôtre à l'appartement 
laissez vos jambes disjointes, un peu écartées 
le serveur voit mon jeu de jambes 
vous aimez qu'il regarde ? 
oui, sous vos yeux - vous savez que j'aime ça non ? en fait, chaque parcelle de mon corps jubile dans l'attente de vous ,- vous croyez que cela peut le faire bander ? 
peut-être - en tous cas vous lui donnez une vision plaisante et l'assurance de votre immoralité
vous aimez avoir votre sexe rempli, ici ? 
amoralité, je préfère, c'est plus juste
oui j'aime ne pas sentir la vacuité de ma fente lorsqu'elle pleure son désir de sexe
cela m'électrise, c'est infernal, si nous étions seuls je me frotterais sur le fauteuil pour le faire coulisser un peu entre mes chairs énervées et trempées - mais le savoir immobile en moi, juste là, fiché dans ma fente, et vous face à moi, sans pouvoir rien faire, c'est encore mieux, proche de la volupté 
bien....que voulez-vous faire ? 
aller à la messe de Noêl 
vous pratiquez ? vous m'étonnez 
non...mais j'aime les messes de Noel 
écartez un peu plus vos jambes que je distingue mieux votre culotte
vous croyez en Dieu ? 
pas vraiment en ce Dieu, mais je crois en toutes les histoires mystiques , je dois être polithéiste, les récits d'histoires fabuleuses de la mythologie m'ont donné le gout des rites et des pouvoirs qui nous échappent 
c'est une foi très ...fantaisiste - mais cette idée de messe de noel est une très bonne idée-   
elle s'est levée, à mis son manteau en se dandinant un peu, sans doute pour réajuster l'objet en elle
j'observais son visage lisse, ses yeux sereins, ses cheveux noirs tirés en arrière
nul témoignage sur son expression de cet objet de perdition fiché en son intimité qui exacerbait son désir
cette absence de trace de concupiscence me ravissait, je l'aimais infiniment dans ces instants de grâce
nous sommes rentrés dans l'église bondée, des chants de Noel s'élevaient dans la nef
elle a voulu s'asseoir dans les travées latérales
elle suivait la messe avec une ferveur étrange et unissait sa voix si rauque, si unique, aux chants religieux
je fus saisi d'une envie très païenne de prendre là sur ce banc cette dévote engodée à la culotte trempée qui m'est si chère- il faudra que je lui dise qu'ainsi recueillie elle me fait bander - je sus donc dans ce pic de désir violent que ce serait ici qu'elle recevrait le complément de son cadeau de Noel
je pensais m'ennuyer dans cette église mais la contemplation de mon amante était mon cadeau de Noel et je fus pret à renier mon athéisme forcené -
elle chuchotait dans mon cou 
c'est beau vous ne trouvez pas ?
oh que si....je trouve que c'est très beau - allez-vous aller communier ? vous n'etes pas aller vous confesser depuis des lustres je parie 
 ne vous moquez pas, je vais y aller malgré tout, je me confesse directement à Dieu 
 ce sont des petits arrangements avec votre conscience - peut-on communier la fente remplie d'un godemiché ? 
il n'est écrit nulle part que c'est interdit que je sache, cela n'ote rien à ma dévotion, je suis habitée un peu de vous et vais l'etre du corps du Christ, en toute humilité, je me sens en état de grâce 
elle partit donc l'âme en paix défiler dans l'allée centrale pour recevoir la communion
je saisis la petite télécommande dans ma poche et selectionna la première puissance pour envoyer à ma scandaleuse amante une première vibration
je la vis se figer, baisser la tête comme si elle cherchait sur son ventre quelque chose qui lui échappait
le godemiché caressait très légèrement ses chairs humides irradiant de ses ondes et de ses frottements son ventre et ses reins
elle restait droite et fière immobile , les fidèles qui la suivaient la bousculaient un peu
elle tourna la tête vers moi, les yeux agrandis et incrédules
elle approchait de l'autel le visage toujours lisse, l'âme apparemment sereine , le con trempé- je redoublais l'intensité masturbatoire au moment où le prêtre glissa l'hostie entre ses lèvres
peut-être voulais-je rivaliser avec le Christ et revendiquer la conquête de mon territoire , lui en bouche, moi en con
elle revint vers moi la tête un peu penchée ,les joues en feu, ses mains l'une dans l'autre posées sur son ventre dévasté - je reconnus dans ses yeux l'étincelle ténébreuse du plaisir indicible - je fus clément et calmai un peu du bout du doigt dans ma poche le va et vient de l'objet
le regard qu'elle leva vers moi avant de s'agenouiller sur le repose- pied m'avouait son égarement, son indécente complaisance
sa bouche entrouverte sur l'hostie qui fondait sur sa langue me baisait l'âme
silencieuse , à genou, les jambes un peu disjointes, sa nuque courbée en offrande dévoilait ses petits cheveux fous si noirs
elle appuya ses mains jointes sur le bois rugueux comme si elle aquiessait à l'assaut final - je mis la puissance maximum, elle creusa à peine les reins pour mieux préter sa chatte gonflée au plaisir et releva son visage de Madone vers la voute céleste- ses doigts se crispaient, son jus coulait sur ses lèvres gonflées, poissait sa toison, maculait sa culotte- son parfum de femelle excitée se mélait à celle de l'encens
les gens s'étaient relevés et chantaient à nouveau
elle resta agenouillée, le regard extatique
sa jouissance toute sacrée fut longue
elle se contraignait à l'immobilité absolue - seul son sexe emprisonnait l'objet infernal dans ses chairs en fusion en proie à un séisme dévastateur
son périnée se crispait, les pétales froissés de son anus s'ouvraient en corrole, c'était l'apocalypse
je percus les soubresauts et les tremblement de ses jambes
elle baissa la tête en resserrant les jambes avant de se relever très digne, le sourire de la Joconde au coin des lèvres 
nous sommes sortis sans attendre
elle trembait encore 
vous sentez-vous toujours en état de grâce ? 
sans me répondre elle m'entraina vers un square désert et noir, se plaqua contre mes jambes les doigts sur ma braguette, elle défit fébrilement chaque bouton, posa un doigt sur l'emplacement de mon sexe, s'accroupit lécha le renflement du coton de mon boxer jusqu'à ce qu'il fut trempé
elle dégagea mon sexe dur, posa son doigt sur le gland tout humide de mon excitation divine , sa langue délicate lapa ce jus clair avant de me faire disparaitre dans sa bouche chaude, j'eus la sensation de pénétrer un lieu sacré
elle recula, se releva , gesticula sur sa culotte qu'elle fit valser au loin et m'enlaca de ses bras d'ébène le nez dans mon cou
sa main glissa entre ses cuisses, elle en rapporta l'objet blanchi de son jus qu'elle planta dans sa bouche en se hissant sur ma queue happée par ce marécage comme des sables mouvants
je l'empoignais par les hanches, elle noua ses jambes autour de moi et je la baisais avec ferveur
 
"joyeux noel", me chuchota -t-elle
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Samedi 6 janvier 6 06 /01 /Jan 17:10
Que regardez-vous ? 
sa bouche 
elle a une grande bouche, trop grande, je préfère la vôtre
sa bouche me fascine et m'excite 
vous aimez les femmes ? 
non...enfin oui...non, non - mais le désir n'a pas de sexe- j'aime les hommes mais sa bouche m'inspire, me fait fantasmer, je l'imagine se poser sur le gland soyeux de votre sexe - pourquoi souriez-vous ?
à chaque fois que je rentre dans cette boutique, je ne vois que cela, cette bouche faite pour lécher, sucer, engloutir, saliver, rendre raide dingue la plus molle , la plus paresseuse des queues
cette fille a une bouche fabuleuse , lorsque je la vois cela me prédispose aux choses de l'amour- faut-il être belle pour plaire à un homme, pour vous plaire ? 
certainement pas, la beauté n'a que peu à faire avec le désir 
qu'est ce qui vous fait bander ? 
 
quand vous perdez pied, ça me fait bander 
mes seins, mon cul, mes jambes, ma bouche ne vous font pas bander ? 
si, mais c'est trop facile, je préfère quand vous me faites bander d'autres façons, plus innocemment - quand vous lisez les cuisses écartées, abandonnée, sans aucune conscience de ce qui vous entoure ou quand vous ne savez plus quoi me répondre, que vous voulez fuir ou que vous rougissez- parfois lorsque vous me résistez 
vous bandez aussi lorsque je joue à être salope 
ce n'est pas du cinéma, vous ne jouez pas 
je suis bonne comédienne sans doute -que m'avez vous offert pour noel ? 
vous verrez 
vous avez cuisiné pour moi ? 
oui 
quand vous etes concis, comme ça, ça m'enerve les sens - vos silences et votre lenteur m'excitent aussi - qu'avez vous préparé pour le réveillon ? 
une poularde farcie, je l'ai troussée, lui ai fourré un petit suisse avec des herbes dans le croupion, l'ai badigeonnée d'huile d'olive, de gros sel et de poivre concassé, et c'est ainsi, bien bourrée qu'elle va cuire tout doucement au four en gémissant un peu
 vous etes vulgaire 
ça vous plaît
 ça me fait rire, et je sais que vous avez pris du plaisir à fourrer cette pauvre bête 
oui comme ça me plait de le faire dans votre ventre, il faudra que j'essaie avec un petit suisse, j'ai bandé en pensant à vous en préparant cette volaille, je vous ai imaginée les pattes attachées, le cul offert, bien ouvert, prêt à farcir, livrée à mes talents culinaires 
j'imagine votre sexe bouger dans votre pantalon, gonfler dans votre boxer, chercher à se redresser, votre périnée se contracter, savez-vous que les femmes regardent le bas ventre des hommes ? 
je n'y ai jamais pensé 
il y a des jeans qui moulent la bite des hommes, des étoffes épaisses et flottantes qui la masquent, d'autres plus légères qui suggèrent le renflement  
vous aimez regarder ? 
discrètement oui parfois 
vous mentez, vous le faites aussi ostensiblement - rentrons dans ce pub, je vous offre un verre et votre présent de noel 
je suis bien, là dans ce fauteuil, avec vous, pourquoi m'offrez-vous mon cadeau maintenant , ici ?  
parce que je suis bien aussi avec vous, là
écartez les jambes - ah..vous portez donc une culotte ce soir- êtes-vous humide ? 
je ne sais pas 
si, vous savez - mais puisque vous dites ne pas savoir , testez donc avec votre doigt, j'en jugerai par moi-même 
je ne crains pas de le faire, regardez, mon doigt sous ma jupe, sous mon sac, là, ...attendez, le garçon passe derrière vous....là sous ma culotte , hum....oui, c'est tout humide - voilà...regardez mon doigt tout brillant 
voilà, vos deux cadeaux 
j'ouvre le plus petit....
des boucles d'oreilles...et une chaîne... elles sont superbes 
regardez mieux, ce sont des boucles de sein pour parer votre poitrine et une chaîne pour ceindre votre taille- j'aime parer votre nudité- ouvrez le second 
....je ne peux pas le sortir du paquet...vous etes fou - vous m'aviez parlé d'une surprise, c'est cela ? 
non la surprise sera pour plus tard 
 je ne l'exhibe pas ici dans ce café ! 
non mais vous allez le mettre en place aux toilettes, tout de suite, puisque vous êtes toute disposée aux choses de l'amour comme vous dites et comme en a témoigné votre doigt englué
 
elle s'est levée en rougissant, s'est faufilée en louvoyant entre les tables basses et les clients, pour disparaitre dans l'escalier qui menait aux toilettes au sous-sol
j'imaginais la porte refermée dans l'espace réduit, la jupe retroussée au ventre, la culotte baissée sur ses genoux ou ses chevilles
mettait-elle un pied sur la cuvette pour glisser l'objet dans son sexe, ou cuisses fléchies sans s'asseoir puisqu'elle ne posait jamais ses fesses sur une cuvette publique
le contact dur du godemiché devait la faire frémir, elle dut avoir envie de faire durer le plaisir de la pénétration, se branler un peu sans doute, en écoutant le bruit des autres clientes se soulageant
elle a ensuite du remonter sa culotte sur l'objet en place, baisser sa jupe et sortir en tirant la chasse
peut etre se regarder dans le miroir, contempler son visage sage , pensif et satisfaite, presque joyeuse
elle ne s'est pas lavé les mains, elle aime garder les odeurs de sexe sur elle pendant les jeux de l'amour, et après pour qu'ils perdurent 
 
vous avez mis du temps ! dites-moi ce que vous avez fait ?
 
La suite ...demain... Si tel est votre plaisir...
 
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Samedi 6 janvier 6 06 /01 /Jan 16:08

La Bible (si je puis dire...) de la littérature érotique. A mettre entre toutes les mains pour le plus grand bien de l'Humanité.

 

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 07:47
Foutre du cul, foutre du con,
Foutre du Ciel et de la Terre,
Foutre du diable et du tonnerre,
Et du Louvre et de Montfaucon.
 
Foutre du temple et du balcon,
Foutre de la paix et de la guerre
Foutre du feu, foutre du verre,
Foutre de l’eau et de l’hélicon.
 
Foutre des valets et des maistres,
Foutre des moines et des prestres,
Foutre du foutre et du fouteur.
 
Foutre de tout le monde ensemble,
Foutre du livre et du Lecteur,
Foutre du sonnet, que t’en semble ?
 
C’était mon hommage du jour à Claude le Petit, qui écrivit cette charmante « petite chose  légère » en 1662. Pour cela, il fut condamné à mort, eut le poing droit tranché et fut brûlé le 1e septembre 1662 à l’âge de 24 ans.
Les critiques et autres censeurs ne rigolaient pas à l’époque… déjà…
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 08:06
J'aime, 0 pâle beauté, tes sourcils surbaissés 
D'où semblent couler des ténèbres 
Tes yeux, quoique très noirs, m'inspirent des pensées 
Qui ne sont pas du tout funèbres 
Tes yeux, qui sont d'accord avec tes noirs cheveux 
Avec ta crinière élastique 
Tes yeux, languissamment me disent: Si tu veux 
Amant de la muse plastique 
Suivre l'espoir qu'en lui nous avons excité 
Et tous les goûts que tu professes 
Tu pourras constater notre véracité 
Depuis le nombril jusqu'aux fesses 
  
Tu trouveras au bout de deux beaux seins bien lourds 
Deux larges médailles de bronze 
Sous un ventre uni, doux comme du velours 
Bistré comme la peau d'un bonze 
Une épaisse toison qui, vraiment, est la sœur 
De cette énorme chevelure 
Souple et frisée, et qui t’égale en épaisseur 
Nuit sans étoiles, Nuit obscure. 
Ch.Baudelaire
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 7 décembre 4 07 /12 /Déc 07:50

   

Les persiennes laissent filtrer un rayon de lumière qui réveille doucement la chambre.  

  Je suis assis et je te regarde.

  J'ai tellement attendu.  Tellement. Tellement...!

  Il est parfois de ces instants que l'on ne se croyait plus être autorisé à vivre, qui font presque peur. Où douceur et tendresse osent enfin percer au-delà des trahisons et des frustrations accumulées.

 Comment retenir et préserver ces moments ?

 "En les chérissant dans son coeur et son esprit à jamais", m'as tu répondu.

  Comme je te chéris maintenant, en te câlinant du regard.

  Comme je te chérissais, cette nuit lorsque ton corps se cambrait sous mes étreintes.

  Lorsque ton regard bleu, tellement profond et intense qu'il en est parfois cruel, paraissait enfin apprivoisé.

  Lorsque ton coeur s'ouvrait sans pudeur, me suppliant de m'y engouffrer et d'y déverser des torrents de tendresse.

  Lorsque ta bouche se laissait aller au delà des limites de la convenance et me criait les mots qu'on ne maîtrise pas.

  Lorsque tes cris de plaisir, mon Amour, se confondaient avec mes élans saccadés.

  Lorsqu'enfin, abandonnés, vaincus, lovés sensuellement l'un dans l'autre, incroyablement légers mais terriblement forts, nous nous laissions portés vers des Terres inconnues...

   Je suis assis et je te regarde.

   Ton corps alangui, apaisée, offert  m'autorise t-il une confidence ?

  Je voudrais tant pouvoir te dire que je t'aime sans que ces mots ne soient teintés d'interrogations et de doutes mais plutot d'espoir et de plaisir.

  Je te regarde.

  Le drap recouvre ton intimité... Comme je lui en veux !   !

  Je m'approche. Plus près. Je sens ton souffle. Tes yeux s'éclairent... Tu ne dors pas...  

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Un long texte ou un petit mot ; un cliché innocent ou l'album photo de vos ébats.....

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ERos...

  

 

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