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Littérature érotique

Lundi 5 mars 1 05 /03 /Mars 07:48
Vengeance de femme... qui tourne au récit érotique..... Chanette nous raconte...
Prologue
 
Il est 7 heures du matin. Fulbert peut commencer. Il est décidé de faire pour le mieux, Fulbert ! 200 euros pour un boulot aussi facile, c'est inespéré. Il prend les trois plaques émaillées et aimantées, la plaque de cuivre autocollante et la bombe de peinture noire. Il détache l'échelle de la galerie de la camionnette dont les plaques d'immatriculations ont été trafiquées. Il pose l'échelle à proximité de la plaque indiquant le nom de la rue, et y grimpe. Quelques secondes plus tard la rue Saulnier et rebaptisé rue Michelet-Languereau.
- Vous faites quoi ? Vous changez le nom de la rue, on aurait pu être prévenu !
Ce genre de situation a été prévu. Fulbert répond le plus jovialement du monde :
- C'est pour le film !
- Quel film ?
- Le film qu'ils vont tourner tout à l'heure !
- Ah Bon !
L'intrus à son explication, il s'en va. Fulbert continue à recouvrir les plaques et le 53 devient le 51 bis, le 55 le 51 ter. Arrivé à ce numéro, il compose le digicode et il entre, il donne un rapide coup de bombe sur le tableau indiquant l'emplacement des résidents, appelle l'ascenseur et bombe également les indications de numéros d'étages. Au 3e il auto collera une plaque ou les caractères sont très usés mais ou l'on peut lire en s'y appliquant " Docteur Folenfant - rhumatologue ". C'est presque fini, dans 3 heures il remplacera les plaques par des plaques neutres et il aura gagné 200 euros, il est content Fulbert
 
Préparatifs
 
C'est Phil qui mena une courte enquête afin de localiser cette Anne-Gaêlle de la Souderie de Chabreuil qui s'était copieusement moquée de nous. Ce n'était pas d'une évidence folle, le groupe de presse dont faisait partie le torchon " Globo " n'était qu'une nébuleuse de boites postales toutes plus anonymes les unes que les autres. Mais, faute d'un numéro professionnel, c'est carrément chez la donzelle qu'il appela !
- J'ai une grosse révélation à faire. Un scoop dingue…
- Non mais attendez, vous êtes chez un particulier…
- Vous n'avez jamais rêvé d'avoir un scoop énorme et d'en tirer bénéfice ? Moi j'ai là l'occasion de me faire une montagne de fric, mais il me faut quelqu'un pour m'aider, quelqu'un qui connaît bien le milieu des journaux. Je n'ai pas envie de me faire avoir !
- J'ai une envie folle de vous raccrocher au nez, pourquoi moi ?
- On m'a donné votre nom !
- J'imagine bien, merci ! Mais qui ?
- J'ai promis de ne dire ce nom que si nous faisions affaire
- C'est bizarre votre truc, et c'est quoi le scoop
Phil entendit à ce moment là un petit déclic, la conversation était à présent enregistrée.
- Justement, il faut que l'on se voie pour en parler…
- Bon, écoutez, je me doute bien qu'il va falloir qu'on se voie… et que vous ne pouvez rien me dire auparavant ! Tout cela est d'un classique ! Mais ce que je vous demande c'est de me mettre sur la voie. S'il s'agit d'OVNI ou de Louis XVII, ce n'est même pas la peine de continuer…
- Et s'il s'agit de la preuve irréfutable, documents à l'appui que toutes les élections de Miss France sont truquées ?
- Mouiais, ce n'est pas un grand scoop !
- Et si je vous communique quelques photos des membres du jury en compagnie… disons très spéciales ?
- Parce que les gens qui couchent, ils se font prendre en photos ?
- Disons que quelqu'un à eu intérêt à que ces photos soient prises, et là vous comprendrez que je ne puis vous en dire plus au téléphone.
- Bon on se voit où et quand ?
Un rendez vous fut fixé. Au 17 rue L… Ce n'était pas mon adresse, ni celle de personne de notre entourage, mais ce serait celle enregistré sur son magnétophone.
 
J'avais prévenu Phil que la ponctualité n'était pas la qualité première de miss Anna-Gaëlle et le jour convenu, Phil se mit en embuscade devant l'immeuble de l'adresse de rendez-vous. C'est une demi-heure plus tard, qu'il vit une personne répondant au signalement qu'on lui en avait fait s'arrêter devant un digicode dont personne ne lui avait parlé. Il allait l'aborder, mais elle le devança
- Vous habitez ici ? J'ai rendez-vous avec un Monsieur Potez et il ne m'a pas communiqué le code !
- C'est moi !
- Ah ben…
- J'ai un petit problème, je ne suis pas arrivé à vous recontacter. Un dégât des eaux chez moi, je ne peux plus y accéder pendant un mois… Heureusement tous ce dont je vous ai parlé est intact, j'ai déposé cela chez un ami, allons-y c'est à deux pas !
Première à gauche, deuxième à droite. Ils entrent, prennent l'ascenseur. Phil ouvre la porte avec la clé qu'on lui a prêtée, fait entrer la journaliste et prend soin de refermer le verrou derrière lui !
- Asseyez-vous ici, je reviens avec une partie des documents, à moins que vous désiriez prendre un verre auparavant ? Un café par exemple ?
- Non, je vous remercie, j'ai hâte de voir vos documents
- Vous n'allez pas être déçue !
A ce moment là Phill se dirige vers la porte séparant le salon de l'entrée afin de bloquer cette sortie et se racle trois fois la gorge. C'était le signal !
 
La punition
 
Nous avions convenu Corinne et moi, de nous habiller exactement de la même façon que lors de cette interview qu'Anna-Gaëlle avait si bien trafiquée. Nous en avions marre d'attendre, aussi dés que Phil nous fit signe, nous entrâmes dans le salon découvrant le visage horrifié de la journaliste
- Bienvenue chez Corinne, petite salope !
La tête d'Anna-Gaëlle ! Instinctivement elle s'est levée et se précipite vers l'entrée. Bloqué par Phil. Nous n'avions pas prévu par contre le coup de genou qu'il reçut dans les couilles et qui le fit s'écrouler de douleur. Malgré tout elle fut vite maîtrisée et ramenée au centre de la pièce. Histoire de lui montrer que cette séance n'avait rien d'une plaisanterie, je balançais un coup de cravache qui cingla en s'enroulant autour de sa taille !
- Vous n'avez pas le droit, bandes de putes, je vais porter plainte pour séquestration…
- Ta gueule ! Ou je t'en balance une autre !
Et c'est reparti pour une crise de larme !
- Pourquoi vous me faites-ça ? Si c'est pour l'article j'y suis pour rien…
- Tu arrêtes de mentir !
- Mais je ne mens pas, mais si vous me laissiez m'expliquer au lieu de faire du kidnapping
- Et bien vas-y explique-toi !
- Ce n'est pas moi qui ai réécris l'article..
Cette fois c'en est trop, je lui balance une gifle magistrale. Elle se tient la tête, elle pleurniche !
- C'est bien ta signature qu'il y a sur cette merde. Pas celle du voisin
Je lui mets la feuille du journal devant le nez, de colère j'en fait une boule et lui fourre un instant dans la bouche.
- Ils ont laissé ma signature, mais ce n'est pas moi qui l'ai réécrit ! ce n'est pas compliqué à comprendre
- A comprendre non ! Mais à prouver !
Tout d'un coup, elle redevient digne, et c'est avec une expression à la limite du mépris qu'elle nous fait maintenant face
- Je ne peux rien prouver ! D'accord ! Et je ne vous dirai plus rien. Je ne sais pas ce que vous avez décidé de me faire. Mais comme je ne pense pas que vous allez me tuer, ce ne sera qu'un mauvais moment à passer et un mauvais souvenir. Il faudra bien que vous finissiez par me libérer. Et après je porterais plainte pour enlèvement et séquestration et sans doute pour coup et blessures et viol !
- Tu vas la fermer !
- Oui je la ferme ! Je vous ai dit ce que j'avais à vous dire ! Maintenant allez-y montrez moi votre courage, acharnez-vous contre moi à trois contre une… Il faut sans doute que je me foute à poil, je vais le faire ! ça nous avancera !
Je ne m'attendais pas à une telle résistance, mais ce n'était pas pour me déplaire, le fauve serait difficile à dompter. Je la giflais à nouveau. Elle reçut la gifle sans broncher, me cracha dessus et avant que j'ai le temps de réagir, elle me lance :
- Continue salope ! Ça m'excite
Décontenancée !. C'est Corinne qui vint à mon secours en recentrant le scénario que nous avions préparé
- Tu n'as rien compris petite pétasse ! Tu es ici pour 2 choses. Nous expliquer pourquoi tu as fait cela et ensuite te faire passer l'envie de recommencer
Anna-Gaële ne répondit rien
- Mais tu n'es pas séquestrée ! Tiens prend ce téléphone et appelle qui tu veux pour dire ou tu es !
Elle ne comprend plus. Phil s'est mis à côté de la prise pour couper s'il lui prenait l'idée saugrenue d'appeler la police, sinon on avait convenu de laisser faire. Elle prend le combiné, compose un numéro, ce n'est pas celui des flics, apparemment elle tombe sur un répondeur
- Allô ! Jean-Lou c'est Anne ! Je suis un peu coincé sur le truc dont je t'avais parlé. Hier. Si tu n'as pas de nouvelle de moi dans une heure je suis au 51 ter rue Michelet-Languereau chez le docteur Folenfant.
Elle repose le combiné. Nous éclatons tous les trois d'un fou rire nerveux ! Anna-Gaële ne comprend plus rien. Je peux reprendre l'avantage. Cependant le plan est devenu bancal, voire dangereux. En la faisant téléphoner nous ne pensions pas qu'elle donnerait ce délai d'une heure, c'est vrai l'adresse n'existe pas, mais un numéro de téléphone ça se localise ! Et puis il y a ses menaces de plainte. Il faudrait à présent la jouer fine et vite.
J'ouvre mon blouson. J'ai mis un soutien gorge rouge en dentelle très sexy. Je ne lui laisse pas le temps de le détailler, je pivote et lui présente mon dos.

- Dégrafe -le.........

Suspens insoutenable. Quel est le sort réservé à la pauvre Anna Gaelle ???

A Demain.......

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 07:40
...suite...
Ecoutons religieusement Murielle...
Mis à part la physiologie, je pense également que c'est le sens attribué par chaque individu à ce sentiment de pouvoir et de domination qui permet d'identifier le véritable amateur de fessée. Ce sens évolue en fonction du vécu. En dehors des connotations sexuelles que l'on attribue émotionnellement à la fessée, et avec la même force que la réalité physiologique, entre en jeu la manière dont les sensations physiologiques produites par l'acte vont se mêler au vécu de l'individu. Si le versant émotionnel ne se développe jamais, alors l'acte produira simplement des réactions physiques qui ne seront pas érotisées.
 
Selon ma théorie c'est l'association de cette excitation sexuelle due à la physiologie avec le sentiment de pouvoir et de domination que procure le fait de donner une fessée qui a contribué a en faire le sujet de tant de controverses. Notre culture est, après tout, extrêmement prude. Si le sexe entre dans l'équation, le tout devient charnel et donc tabou. Nous ne semblons pas capables de séparer le contexte [dans lequel la fessée est donnée] de sa nature physique. Nous semblons avoir besoin de ressentir de la honte face à des réactions physiologiques de base, qui se produisent sans être liées à nos pensées ou nos désirs. Si nous pouvions simplement comprendre notre physiologie, et l'accepter pour ce qu'elle est, nous pourrions éviter d'avoir à nous classifier.
 
Je ne suis pas excitée uniquement par la perspective d'une fessée au cours d'un jeu érotique, je suis également intensément émoustillée par le fait d'être dominée durant la phase précédant la fessée. Pour moi, les fessées les plus érotiques sont celles durant lesquelles le fesseur tient fermement la barre, et exerce son autorité avant même d'administrer une fessée à la femme qui a fait quelque chose pour la mériter. Si l'histoire est bien trouvée, je peux être amenée à trouver moi-même la fin. Ouais, je suis une sale gamine.
 
Un fesseur devrait expliquer en quoi la perspective de donner une fessée l'excite.
 
Pourquoi la fessée est-elle une si bonne punition ?
 
Elle est une expérience physique très intense, à la fois pour le fesseur et pour la personne qui reçoit la fessée. C'est un acte très agressif, et chacun des deux partis se livre à une considérable dépense d'énergie. Nous pouvons comprendre l'effet apaisant et catharsique d'un exercice physique intense, et la plupart d'entre nous comprend l'effet apaisant et revigorant d'une bonne crise de larmes.
 
D'un point de vue physiologique, l'acte de fesser met en action la totalité du corps. L'ensemble du système nerveux devient intensément actif. On pourrait remplir un volume ou deux en décrivant les effets chimiques et physiologiques en oeuvre ... mais le résultat final est une incroyable dépense d'énergie.
 
En ce qui me concerne, à la fin d'une fessée je me sens calme, apaisée, et à l'aise. Ajoutez à cela l'intimité et un sentiment de proximité avec mon partenaire, et vous comprendrez que les motifs ayant conduit à la fessée n'ont plus la moindre importance, tout va bien de nouveau. Il me dit que l'expérience physique et émotionnelle est de même nature pour lui. Peut-être que d'autres pourraient confirmer cela de leur propre point de vue.
 
Les conséquences physiques (physiologiques, chimiques, etc.) d'une fessée sont importantes, mais le contexte dans lequel elle a été donnée l'est également. La fessée est une expérience émotionnellement satisfaisante parce que nous avons fait en sorte qu'elle le soit.
 
La fessée est donc un acte qui prend place dans un contexte émotionnel pour ceux qui y prennent part. Elle est physiologiquement sexuelle, et peut être psychologiquement sexuelle. Le véritable amateur de fessée est celui qui apprécie le contexte autant qu'il apprécie l'acte.
 
A vous de « jouer », maintenant…
 
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Samedi 24 février 6 24 /02 /Fév 08:17
...suite...
Sans préalable, il me cingle, le coup est mesuré, volontairement mesuré, il continue toujours à la même force, il ne faudrait pas non plus qu'il tombe dans l'excès inverse !
- Plus fort !
Il n'attendait que ça, évidemment ! Et cette fois, il y va ! Je ne lui dirais pas d'arrêter, on verra bien ce qu'il a dans le ventre, il frappe, il frappe, ça ne fait même plus vraiment mal, ça pique, ça chauffe, je dois avoir le cul tout rouge, et Emile doit bander comme un taureau. Il continue, puis annonce :
- Les dix derniers !
Ouf, ça va ! Il les soigne les dix derniers, mais bon, ça reste très supportable. Il s'arrête à dix, pile ! Mon cul chauffe comme une marmite, je vais en avoir pour plusieurs heures, mais enfin, ça ne me déplait pas ! Il va chercher dans la voiture le sac de bric à brac qu'il a apporté et en sort une sorte de harnais en cuir, un machin qu'il a acheté en sex-shop. Un jeu de lanières entoure mes seins un autre mon ventre, un autre mon sexe. Ça fait très esclave de film SM, il rajoute un collier de cuir autour du cou, et des bracelets pour les poignets, ainsi que pour les chevilles.
Le groupe des voyeurs s'est scindé en deux semble t-il. Un certain nombre d'entre eux étant affairé autour d'un véhicule récemment arrivé à l'intérieur de laquelle il semble se passer d'étranges choses. On n'a pas trop envie d'aller voir. Emile me fixe une laisse sur mon collier et me trimbale quelques mètres. Arrivé sur le contrebas, il me demande de me mettre à quatre pattes, ce n'est pas évident, le sol est jonché de brindilles et de saloperies diverses, mais en faisant attention on arrive à se débrouiller. Il y a un carré de verdure un peu plus loin, là c'est plus facile ! Il m'y fait marcher un peu puis me donne l'ordre de stopper.
- J'ai envie de pisser ! Lui dis-je
- D'accord ! Attend juste cinq minutes :
Le temps que je lui ai accordé va être dépassé, mais ce n'est pas très grave, je me retiens, pas lui, il m'asperge, je m'en fous j'adore ça, j'en ai partout, je suis ruisselante d'urine. Nous revenons vers la route. Tous les voyeurs entourent à présent la voiture mystérieuse.
 
Nous nous rapprochons notre véhicule. Emile a le geste de vouloir prendre mes poignets en cuir et les accrocher ensemble !
- Non !
Il n'insiste pas et me laisse les mains libres.
- Reste à l'extérieur !
Il se met alors au volant de la voiture, et se met à rouler au pas, je l'accompagne à pied tenu en laisse, il va ainsi parcourir tout ce petit périmètre. Nos voyeurs vont se radiner à nouveau, c'est sûr !
- Tu peux pisser maintenant !
- Comme ça ? Debout en marchant ?
Il me regarde, se demande s'il a gaffé !
- Non ?
 
Mais si je vais pisser, s'il savait comme je m'en fous de pisser comme ça, je me suis bien amusée, j'ai réussi à dompter mon homme, et il croit me balader comme son esclave, alors que j'ai les mains libres, que c'est moi qui lui ai accordé ce laps de temps. Je suis une femme libre, fière, ceux qui me regardent passer avec mépris, sans même essayer de comprendre ceux là je les... Non, soyons correct, je suis bien ! Et quelle est cette humidité qui me coule sur les cuisses, j'avais pourtant fini de pisser !
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Vendredi 23 février 5 23 /02 /Fév 07:16
...suite...
Ça y est le premier rigolo est sortie de sa cachette ! Il s'est approché à environ cinq mètres de nous et se touche la braguette. C'est dingue ce que j'adore ce genre de situation. J'enlève maintenant mon haut, mais je garde pour l'instant mon soutien gorge, il faut savoir graduer les plaisirs. Je retire aussi ma jupe, et tout en continuant ma fellation, je mets la main sur ma motte toute humide de mon excitation !
Emile se libère de mon éteinte buccale et enlève son pantalon ainsi que son tee-shirt. Le voici en slip et en chaussettes, comme tout bon exhibitionniste il adore être à poil. Il s'est choisi aujourd'hui un slip que l'on va qualifier de léopard sauf que le fond n'est pas fauve mais blanc ! Je sais qu'il ne l'enlèvera pas, sa bite bien bandée restant sortie par le côté. Il me prend dans ses bras et me dépose sur le capot de la voiture.
- On fait un envol de culotte ? propose t-il
- Pas assez de monde, je la garde à la main !
J'enlève donc la chose, en fait une boule et la met de côté. Emile m'écarte alors les cuisses et me colle son visage sur la chatte, il me lèche, il est servi, elle est trempée, il se délecte, il adore ça !
Je finis par avoir un premier orgasme tant il me lèche bien, il se tourne alors et nous pouvons voir que la situation a évolué. Mon voyeur n'est plus tout seul, ils sont six à présent, et deux autres sont derrière un peu en retrait. Deux d'entre-eux se branlent carrément en nous regardant. C'est beau et c'est excitant ! Du coup j'envoie ma culotte dans le groupe, elle atterrit au pied de l'un des types, il la ramasse et la renifle. La dernière fois le gars se l'était carrément enfilée, mais toutes ces fantaisies ne se déroulent jamais de la même façon !
Emile ouvre la voiture et prend quelque chose à l'intérieur, je crois savoir ! Oui c'est bien cela, il tient un gode à la main et me le passe, je joue avec, simule une fellation, puis me l'introduit dans la chatte. En reculant Emile rejoint alors le groupe des voyeurs et s'y intègre. Il m'a déjà fait ce numéro là il y a quelques semaines, et si c'est aussi bien que cette fois là, on va bien s'exciter.
- Il y a beaucoup de bisexuel parmi les voyeurs, en tout ça beaucoup plus que dans le reste de la population, m'avait précisé mon amant.
A ses côtés, il y a un des mecs dont la bite est sortie, il y aventure une main, le type se recule, il ne veut pas. Ce n'est pas grave, le but de la manœuvre était de montrer au groupe qu'il recherchait une relation bi. A présent le reste devrait venir tout seul. Effectivement il y a un petit flottement dans la petite assemblée, un des hommes s'éloigne un petit peu, l'un de ceux qui étaient en retrait se rapproche tant et si bien qu'il est maintenant à côté de mon mari, il se branle, puis lâche sa queue, signifiant ainsi implicitement qu'elle est disponible. Emile ne se le fait pas dire deux fois. Il lui attrape sa queue et la masturbe. Elle est bien belle cette queue, je m'en occuperais volontiers, mais j'évite à ce stade d'avoir des rapports avec des inconnues. On accepte des trucs avec un, et ils se croient tous autorisés à se radiner, il ne faut pas charrier tout de même ! Emile s'est maintenant baissé et suce l'inconnu à pleine bouche, goulûment. J'entends des sortes de slurp-slurp qui me font tordre de rire ! . Un troisième s'est positionné et semble attendre son tour. A mon avis il peut toujours attendre, je sais qu'Emile ne s'attardera pas.
 
Effectivement, il abandonne sa proie et revient vers moi, laissant les deux "bi" qui ont maintenant fait charnellement connaissance se débrouiller ensemble. Il me pénètre, mais la situation est inconfortable, je le lui dis
- Pas confortable ? Elle n'est pas confortable ma bite ?
Ça y est, sous prétexte qu'il est excité, il va faire dans la vulgarité.
- Ben non comme ça, elle n'est pas confortable !
- Alors tourne-toi, je vais t'enculer !
- T'es vraiment un poète !
- Pouet-pouet !
 
Il n'y a pas ! La bête s'est réveillée, mais il n'est pas méchant Emile ! Je me retourne, offrant la vue de mon gros cul à tous ces mâles voyeurs, et je me laisse pénétrer, j'ai maintenant l'habitude. Il me pilonne, l'inconvénient c'est qu'on ne voit plus nos mateurs... Il me pilonne dare-dare et finit par jouir dans mon fondement. Toutes ces fantaisies sous cette chaleur torride finissent par fatiguer et donner soif
Les badauds sont toujours là, il y en a même deux de plus. Un peu en retrait un des types se fait sucer contre un arbre, les " bis " de tout à l'heure ou d'autres ? Je n'en sais rien et je m'en fous ! .
Emile revient avec une bouteille de mousseux, sortie toute droite de la glacière du coffre, la débouche et s'en envoie une lampée !
- Donne !
- Non ! Toi tu ne l'as pas méritée ! Dit-il en rigolant.
- Salaud !
Il s'assoit sur le capot, retire ses chaussettes et s'asperge les pieds de mousseux !
- Tiens, lèche !
- C'est nouveau ?
- Ben oui ! C'est nouveau !
- Ben non, je ne fais pas ça !
- Arrête ! Ils sont propres mes pieds !
Je fais un effort, mais non, il faut pas charrier, je veux bien lui lécher les pieds quand il sort de la douche, mais là ça a macéré toute la journée dans ses basquets, faut pas déconner.
- Et bien, non ! Je ne te suce pas les pieds !
- Salope !
- Je sais ! un point partout !
- Et une bonne fessée ça te dirait ?
- Mais avec grand plaisir !
Il descend du capot, va chercher le martinet dans la bagnole !
- Tourne ton cul, grosse salope !
- Pourquoi grosse ?
- C'est une expression, allez tourne-toi !
- Parle-moi autrement !
- Tourne-toi, salope !
- Non !
- Tu ne veux plus jouer ?
- Si ! Mais parle-moi autrement !
- Ma petite Cindy, adoré de mon cœur, j'aimerais tant fouetter ton joli petit cul, mais pour cela vois-tu, il faudrait que tu te retournasses !
- Tu vois quand tu veux ! Et pas trop fort au début !
- Oui Salope !
J'avais déjà pivoté et lui présentais mes fesses, mais du coup je refais volte face, et le regarde droit dans les yeux.
- Je t'ai dis de me parler autrement !
- Mais enfin, Cindy, on joue !
- C'est possible, mais tu es en train de perdre ton contrôle, tel que tu es parti tu va me frapper trop fort.
- Bon d'accord, on arrête tout et on rentre !
- Non on ne rentre pas, je sais que tu es capable de te reprendre, il est 19 heures 30, je t'accorde un quart d'heure, un quart d'heure où tu va pouvoir me faire ce que tu as envie ! Pour te montrer que j'ai confiance en toi ! Que je suis capable de m'abandonner ! Mais il faut que tu sois conscient que c'est en toute liberté que je fais cela, et que ma liberté je peux la reprendre à tout moment !
Il hésite un moment, de toute façon, il ne va pas hésiter longtemps, s'il refuse, c'est le retour à la maison, la crise et sans doute le début d'une dynamique qui nous conduirait à la rupture. Il n'est pas complètement idiot, Emile.
- Bon d'accord, mais je ne comprends pas bien, ce n'est quand même pas la première fois que je te dis des mots grossiers pendant nos jeux !
- Ce n'est pas une question de mots grossiers, c'est la façon dont c'est dit, c'est l'image que tu donnes de toi, de nous à ces gens là ! Je ne veux pas qu'à leurs yeux je ne sois que ta salope ! Tu comprends ça, Emile ?
- Ce que je comprends c'est que je ne bande plus !
- Ça va revenir, allez Emile tu as droit à un quart d'heure de folie, de folie... maîtrisée n'oublie pas !

- Tourne-toi, Cindy !

A suivre...

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 22 février 4 22 /02 /Fév 07:40
C'est volontiers que je laisse ici la parole à qui la demande... Peut être ai je réussi à créer un espace de liberté pour tous ceux et celles qui ne peuvent raconter "tout cela" ailleurs ? ! Alors, à Toi, Cindy...
Je m'appele Cindy, et c'est ma deuxième vie ! Mais non, amis lecteur, je n'ai pas à ce stade du récit d'ors et déjà pété mes plombs, et n'entend certes pas vous parler de métempsycose !
Si j'ai une deuxième vie, c'est que la précédente ayant sombré, je l'ai refaite.
Deux mots de tout cela vous intéresserait-il ?
Juste deux mots alors !
Résumons 13 ans de mariages : 1 an d'amour fou, 12 ans d'ennui, ma vie sexuelle réduite au minimum vital. Mon ex a profité de ma première et éphémère liaison adultère pour demander le divorce qui fut prononcé à mes torts (merci encore madame la juge !). Pécuniairement j'étais proche de la misère, affectivement aussi, dans ces moments-là seuls les vrais amis restent, et je vous assure qu'il n'y en a pas beaucoup.
A cette époque le chômage battait son plein, et trouver un petit boulot y compris par intérim était une gageure. J'ai donc pensé à vendre la seule chose qui me restait : mon corps ! Ce ne fut pas l'enthousiasme, mais l'idée me vint très vite de me spécialiser dans " les masos " Je devins donc Maîtresse Dolorès, (Maîtresse Cindy c'était déjà pris !) Et j'ai ainsi amassé quelques pécules en humiliant, fouettant, attachant, pinçant,  un nombre imposant de bonhommes qui de toute façon adoraient cela. Ça tombait bien, moi aussi ! L'activité me laissait mon intégrité corporelle, et je me faisais l'illusion de me venger ainsi de ce monde dominé par les mâles. Cela ne m'empêchait pas d'entretenir de temps à autres des relations plus classiques. C'est bien beau le SM, mais il n'y a pas que ça dans la vie. J'ai fait ce truc presque deux ans, et un jour vint Emile !
J'ai du lui faire trois séances à l'Emile, je commençais à savoir ce qu'il souhaitait et les relations devenaient à la fois plus simples et plus sympathiques. Mais ne voilà t-il pas que pour cet opus 4 l'Emile, justement formule des exigences bizarroïdes :
- J'aimerais qu'on partage !
- Qu'on partage quoi ?
- Le plaisir !
- Mais il EST partagé !
- Non tu ne comprends pas ! Je voudrais que l'on alterne les rôles !
- Tu voudrais me dominer ?
- Oui, un petit peu !
- Non !
- Tu n'aime pas cela ?
La question était bonne mais hors de propos ! De toute façon, qu'importe la réponse, je n'étais pas d'accord.
- C'est une question de principe, personne, n'est à l'abri d'un coup de folie ! Je ne peux pas te laisser faire ça ! Désolé !
- Tu le fais bien, toi !
- Mais c'est MON métier !
- Je ne t'attache pas, je ne te bâillonne pas, je ne te bande pas les yeux, et j'arrête quand tu me dis. Est-ce que dans ces conditions tu serais d'accord ?
Allez donc savoir pourquoi, j'ai fini par dire oui, il se dégageait un tel charisme chez cet homme, une telle confiance que je me suis laissé faire et il m'a flanqué une fessée plus symbolique qu'autre chose d'ailleurs.
 
Le climat de confiance ainsi créé déclencha un déclic. Soudain nous n'avions plus envie de nous séparer, on s'est mis à parler de tout et de rien, de notre vie. Lui aussi avait divorcé, cherchait l'âme sœur et me laissa comprendre que j'étais peut-être celle-ci. On a finit par faire l'amour " pour de vrai ", puis on est allé au restaurant, on s'est ensuite promené dans les rues, et il m'a emmené chez lui, on a refait l'amour.
 
Je n'ai pas quitté Emile depuis, dominateur dans ses jeux érotiques, il l'est beaucoup moins pas dans la vie courante, et s'est révélé un être très sensible et souvent respectueux. Souvent, mais pas toujours, un certain machisme se réveille parfois, mais j'y suis attentif et il le sait. Il m'aime, je l'aime ! Ce ne sera jamais la super passion grandiose et délirante, mais c'est de l'amour malgré tout ! Je l'aime mon Emile, il ne s'appelle pas Emile, d'ailleurs et peu importe son vrai prénom ! Il gère une mini pizzeria dans laquelle je travaille à présent comme serveuse.
 
Le lundi c'est fermé, et le lundi c'est le jour de nos escapades, de nos folies. Mais le délire n'est pas toujours au rendez-vous ! Ce serait trop beau, ou se serait monotone, tout dépe nd comment on voit les choses.
 
Emile m'a révélé mes penchants exhibitionnistes, j'adore me montrer, provoquer, susciter le désir et l'envie. Il y a à la sortie de la ville un petit bois. Le bois de l'étang, ça s'appele. Cela doit faire des siècles qu'il s'appele comme ça même si l'étang s'est depuis longtemps bien asséché. Il est fréquenté, du moins une partie, par les voyeurs et les exhibitionnistes. C'est parfois assez intéressant, d'autre fois, il ne se passe rien du tout, ça dépend des jours, du temps et de plein d'autres choses
 
Avec Emile nous faisons un premier parcours en voiture, il semble qu'il y ait un peu de monde ce soir, plusieurs voitures sont garées sur les bas côtés, ainsi que deux poids lourds, nous regardons si d'aventure un autre couple n'aurait pas eu la même idée que nous ! Hélas, non ! Pas de couple pour l'instant !
 
Tant pis, nous nous garons derrière l'un des poids lourds et nous descendons de voiture. Nous nous plaçons à gauche du véhicule, côté route. Personne ! Les voyeurs sont soit bien planqués, soit occupés ailleurs. On décide d'attendre et on discute un peu en fumant une cigarette. Je me suis habillé assez simplement, une petite jupe grise avec un gilet assortis, j'ai mis en dessous tout cela un petit ensemble culotte et soutien gorge noir. Je n'ai mis ni bas ni collants, il fait assez chaud comme ça !
On se roule un patin, comme ça en plein milieu de la route, toujours personne, mais nous savons par expérience qu'ils finiront par venir. Toutes ces voitures appartiennent bien à quelqu'un, non ?
 
- Tu me fais pisser ?
C'est l'un de ses jeux à Emile, ça tombe bien, j'adore ça ! Je commence par déboutonner mon haut, puis j'ouvre la fermeture éclair de la braguette de monsieur, il faut ensuite se débrouiller et farfouiller pour trouver le bord du slip et extraire le mâle organe ! Comme si ce ne serait pas plus simple de descendre tout cela ! Mais, non il parait que c'est plus érotique de faire sortir zizi de sa braguette, moi je veux bien, je ne suis pas contrariante... Ça y est la bête est sortie. Monsieur pisse un petit peu sur le bitume de la petite route tandis que je lui caresse la verge. J'approche ma bouche, il interrompt sa miction, je le lèche un petit peu, je ne déteste pas le goût du pipi quand il jaillit de sa source. Ce cochon le sait bien et me gratifie de quelques gouttes que j'avale avec gourmandise. Puis, je le libère, mais dirige maintenant son jet sur la chaussé ou je m'amuse à lui faire faire des petits ronds rigolos. Il avait une grosse envie. J'ai soudain envie d'en prendre un peu, je le fais. Glou-glou, c'est vrai que c'est super bon !
Tiens ! J'ai vu quelque chose bouger, ça y est les voyeurs arrivent. Emile leur fait signe qu'ils n'ont pas besoin de se planquer, mais c'est toujours pareil, ce sont de grands timides, chacun attend que ce soit l'autre qui commence.

Je me mets carrément à genoux devant Emile et entreprends de le sucer ! Un truc que j'aime bien, c'est de prendre sa bite encore à moitié molle et la faire durcir dans ma bouche, grâce à un savant jeu de lèvres et de langues. Ça va d'ailleurs assez vite, la voilà toute dure, la bite à Emile... Et moi me voilà toute excitée. Je lui suce le gland. J'essaie d'adapter la fellation de façon à ce que les voyeurs puisent en profiter. Et alors qu'à la maison j'ai tendance à engloutir, ici je ménage les aspects extérieurs, évitant de la prendre totalement en bouche, attaquant l'extrémité du gland de la langue, lapant la verge, léchant les couilles.

A suivre...

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mercredi 21 février 3 21 /02 /Fév 07:25

Je suis décidément fan de Pierre Louÿs et de ses poémes résolument modernes :

Les seins de Mnasidika

Avec soin, elle ouvrit d'une main sa tunique
et me tendit ses seins tièdes et doux,
ainsi qu'on offre à la déesse
une paire de tourterelles vivantes.

'Aime-les bien', me dit-elle; 'je les aime tant!
Ce sont des chéris, des petits enfants.
Je m'occupe d'eux quand je suis seule.
Je joue avec eux; je leur fais plaisir.

Je les lave avec du lait. Je les poudre
avec des fleurs. Mes cheveux fins qui les
essuient sont chers à leurs petits bouts.
Je les caresse en frissonnant.
Je les couche dans de la laine.

Puisque je n'aurai jamais d'enfants,
sois leur nourrisson, mon amour; et,
puisqu'ils sont si loin de ma bouche,
donne-leur des baisers de ma part.'



Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mardi 20 février 2 20 /02 /Fév 07:35
George Sand se plaignant de sa solitude à Musset n'est pas ausi ennuyeux qu'il pourrait sembler..... à qui sait lire...
 
 
 
" Je suis très émue de vous dire que j'ai bien compris l'autre  soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire  danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais  bien que ce soit là une preuve que je puisse être aimée par  vous. Je suis prête à vous montrer mon affection toute  désintéressée et sans calcul, et si vous voulez me voir aussi  vous dévoiler sans artifice mon âme toute nue, venez me faire  une visite.
Nous causerons en amis, franchement. Je vous prouverai que  je suis la femme sincère, capable de vous offrir l'affection la  plus profonde comme la plus étroite amitié, en un mot la  meilleure preuve que vous puissiez rêver, puisque votre âme  est libre.
Pensez que la solitude où j'ha
bite est bien longue, bien dure  et souvent difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme grosseAccourez donc vite et venez me la faire oublier par l'amour où  je veux me mettre. "
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 07:47

De grandes sommités de tous ordres parlent de l'Erotisme...

L'excitation est le fondement de l'érotisme, son énigme la plus profonde, son mot-clé.
 Milan Kundera
 
 L'érotisme fait peur parce qu'il excelle dans l'excès, s'épanouit dans la surabondance et l'illimité. Il élève l'instinct au rang d'un art d'aimer, et donc de vivre.
Sophie Chauveau
 
L'art érotique convie l'homme tout entier à la fête de la vie.
Hugues Rebell
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Lundi 12 février 1 12 /02 /Fév 07:53

Quel homme n'aimerait pas entendre ces chaudes paroles, délicieusement sussurées au creux de son oreille...? !

"Si tu as froid la nuit, si tes pensées ne veulent pas s’arrêter de tourner dans ta tête, si tu ne peux pas dormir, glisse ta tige dans ma rose qui toujours brûle dans le secret de mes rêves, de rose en rêve glisse toi au plus profond de moi où il fait toujours bon pour mon aimé, où ruisselle l’amour, où le paradis s’ouvre, haletant, assoifé de liqueurs humaines."

Extrait de "Journal de Rrose" (avec 2 "r") d'Alina Reyes

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Dimanche 11 février 7 11 /02 /Fév 08:01

...suite...

 C’est alors que mon époux adoré, jamais à court de bonnes idées, fait irruption dans la pièce et nous ordonne de nous mettre à quatre pattes sur le lit, la croupe tendue et offerte au regard de notre public, toujours haletant derrière la porte. On leur doit bien ça, les pauvres. D’ailleurs, à la vue de ce superbe panorama, nos deux touristes du cul se sont rapprochés, le sexe cette fois ci bien dressé, hors de la braguette.
Il faut dire que leur libido a été mise à rude épreuve depuis le début de la soirée. Allez, encore un petit effort, mes canards, et vous serez largement récompensés !
 
 
Nos Maîtres veulent maintenant se faire honorer respectueusement, devant nos invités. Nous tombons donc immédiatement à genoux, comme notre dressage nous l’a enseigné, et nous nous emparons chacune du pieu de notre éducateur respectif. Nous voilà donc entrain d’aspirer, de lécher, de branler… bref, de remplir notre office de soumise.
 
Et après avoir rempli notre office, nos Maître ont estimé qu’il était temps de remplir nos orifices.
Pour mener à bien cette tâche, nous avons bien sûr deux volontaires très motivés. Mon Maître nous place un collier de chienne et une laisse à chacune, et nous amène, à quatre pattes, vers le salon, ou nous attendent deux beaux sexes turgescents. A peine placées en levrette par mon Maître , nous voilà saillies. Nos intimités sont explorées, fouillées sans ménagement, à notre plus grand bonheur.
 
 
 
Le temps de dire " ouf ", et je me retrouve avec le sexe d’un inconnu dans la bouche. Un regard à mon Maître, et je comprend ma mission : faire exploser cet inconnu. Je pompe donc avidement cette nouvelle tige, longue et fine. Je le sens qui se contracte, se retient pour faire durer le plaisir. Mais une bonne prise en main de ses couilles et une aspiration du gland le font céder… il gémit et me jouit en rafale dans la bouche. J’avale avec une certaine répugnance… mais avec, surtout, le plaisir du devoir accompli.
 
 
 Hélas, pendant ce temps, Marie-Jo ne se sent pas au mieux de sa forme. Toujours attentif, Alain, son Maître, la conduit dans la chambre. " Game Over " pour ma compagne, et c’est donc à moi de satisfaire les hormones sur vitaminées de nos deux voyeurs (qui ont tout de même quitté depuis longtemps le rôle de simple voyeur pour passer à l’action !). Je me retrouve forcée à me pencher en avant sans plier les jambes. Une queue vient se planter à nouveau dans ma bouche, tandis que derrière moi, je sens une bite vigoureuse venir me pénétrer sans ménagement.
Me voilà bien occupée ! Hélas, mes deux étalons ne sont pas totalement à la hauteur des caresses que je prodigue. Celui dont je pompe goulûment le dard n’arrive plus à bander. J’ai beau m’appliquer, rien à faire… lui aussi est " Game Over ". Derrière, par contre, ca s’active dur. Les coups de butoirs me défoncent en rythme. Vu ce que je sens de la bite en question, il ne me semble pas prêt à débander !
 
Il lui faudra une bonne série de violents aller-retours au cœur de mon sexe en feu avant de jouir. Ses mains se crispent sur mes reins, il donne un dernier coup très violent, se plaque contre mes fesses et gémis à n’en plus finir. Vu de l’intérieur, c’est le raz-de-marée. Il m’inonde copieusement la chatte, et j’adore ça.
 
Voilà, j’ai épuisé tout le monde, Marie-Jo se repose, et c’est donc " Game Over " pour moi aussi.
 
 
Pas pour longtemps, remarquez, car sitôt de retour à la maison, mon Maître a voulu me sodomiser. Lui seul a ce privilège, et c’est justement ce qui manquait à mon bonheur dans cette soirée. Allez, bande de coquins, rideau et à la prochaine !
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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