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Littérature érotique

Mercredi 4 avril 3 04 /04 /Avr 07:35

Nadège nous évoque sensuellement un solo pour femme seule..

Il est tard, mes yeux commencent à se fermer tous seuls. Je décide d’aller me coucher. Je dis au revoir aux dernières personnes avec qui je discute sur msn et puis je fais un dernier passage sur un forum pour voir les deniers messages postés.  
 
Rien de nouveau.  
J’éteins le pc.  
 
Dans ma salle de bain je jette un coup d’œil dans le grand miroir au dessus du meuble où est posé l’évier et celui qui est derrière moi, au dessus de la baignoire.  
 
Il me renvoie l’image d’un visage. Mon visage. Mes yeux sont cernés. Je manque de sommeil. Son absence se lit sur ma figure. Je dors très mal la nuit dans ce lit trop grand et trop froid pour moi toute seule.
 
Je fixe toujours la glace.  
 
Je me demande comment il a fait pour craquer sur moi. Comment un si beau jeune homme peut regarder et porter de l’attention à une demoiselle aussi quelconque et banale que moi.  
 
Un sourire né sur mes lèvres et change mon expression. Je repense à toutes ses belles choses qu’il me dit. Toutes ses choses que tout le monde rêve d’entendre un jour. J’ai tellement de chance de l’avoir. Il est si doux, si attentionné avec moi… J’espère que ce n’est pas un rêve mais bien une agréable et chaleureuse réalité que je partage avec lui.
 
Malgré la fatigue je décide de prendre une douche pour me relaxer et me détendre. J’ai les nerfs en boules, un rien m’agace… Le manque de lui me rend nerveuse et tendue. Ne plus sentir sa présence et ne plus pouvoir le toucher est devenu insupportable!  
 
J’ôte en premier mon pull puis mon tee-shirt et enfin mon soutien gorge. Comme à mon habitude, toujours face au miroir, j’observe mes courbes. Certes pas très généreuse en ce qui concerne ma poitrine mais cela me convient. Libéré de l’emprise de mon sous vêtement je porte mes mains à ces deux petites boules. Je les prends dans mes mains et je les malaxe doucement… C’est si bon. Je sens que mon bas ventre commence à s’éveiller. Je finis ces caresses en passant mes index sur mes auréoles en pinçant mes tétons qui pointent et en les faisant rouler entre mes doigts.  
 
Je jette un autre coup d’œil dans la glace. J’ai déjà meilleure mine. Mes joues rosissent. Je continue de me déshabiller. Mon pantalon et mon string finissent par rejoindre mes autres vêtements au sol.  
 
Me voilà à présent entièrement nue. Les yeux fixés au miroir je dévisage ce corps qu’il me renvoi.  
 
Mon corps.  
Un corps de femme qui a évolué durant ces dernières années.  
Un corps que j’ai eut du mal à accepter.  
A accepter qu’il puisse plaire à des hommes.  
Qu’il puisse donner envie d’être contemplé, touché, voir caressé…  
 
Et puis je me suis fait à cette idée au fil du temps…
J’ai accepté ce que la nature m’avait donné.  
Avec du temps, de la patience et en dépit de mon manque de confiance en moi certain, je me suis appropriée ces formes.
Ce corps
Ce moi.
Ce moi qui va me suivre toute ma vie.
 
Je branche le petit radiateur portable. J’aime quand il fait fort chaud dans la salle de bain. Il renvoit l’air droit sur mon corps dénudé. C’est bon. La différence de température entre le radiateur et la pièce fait encore plus pointer mes petits tétons.
 
Grâce au miroir devant moi je peux voir mon corps réagir. Je prends des couleurs. Mes seins se gonflent. Mon thorax se lève et se rabaisse plus vite qu’avant.
 
Mes yeux se ferment à demi et mes mains partent à la découverte de mon corps. Elles le parcourent tout doucement comme si elles avaient peur de sur quoi elles allaient tomber.

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Vendredi 30 mars 5 30 /03 /Mars 07:45

Extrait d'un recueil de nouvelles erotiques de Françoise Simpère "Des désirs et des hommes".

Un exemple des nombreux  fantasmes que peut inspirer la religion... (objet d'un prochain article sur les Jeux Erotiques ??)

 

"Elle ne put retenir un cri de surprise : Il avait revêtu une soutane de son oncle et cet habit lui conférait un air austère qui le rendait presque étranger.
- "C'est fou ce que ça te change, j'en suis impressionnée. Bonjour mon père fit-elle en esquissant une révérence.
- Mon enfant, réplica-t-il sans sourire, la rumeur prétend que tu es une pécheresse. (…) Mon enfant, as-tu de mauvaises pensées ?
- De mauvaises pensées mon père ?
- Commets-tu le péché d'impureté en actes ou en pensées ?
- Mon père, je ne comprends pas. Expliquez-moi."
Il prit entre deux doigts le bout d'un de ses seins et le malaxa doucement, puis plus fort en le sentant durcir et s'ériger. Sous la caresse, elle ne pu réprimer un frisson. Le faux prêtre lui donna aussitôt une tape sur les fesses : "tu as ressenti du plaisir n'est-ce pas ?
- Oui mon père.
- Malheureuse ! Le plaisir de la chair est un péché, et tu mérites d'être punie."
Il allongea à nouveau le bras, lui assena deux autres claques plus fortes, qui lui chauffèrent la peau. Elle sursauta, furieuse, prête à s'insurger contre ce jeu idiot, mais le trouble l'emporta : elle avait envie de continuer, de voir jusqu'où irait son amant, jusqu'où elle le suivrait. Il se pencha sur sa poitrine, prit la pointe du sein bien dure entre ses lèvres…
"

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 29 mars 4 29 /03 /Mars 07:50

Je continue la découverte de Pierre Louÿs, cet auteur fabuleux par la modernité de son ton.

Je lis actuellement l'un de ses romans "Trois filles de leur mère". Je vous en reparlerai.

Voici, dans un autre registre, un de ses poèmes.

Les soeurs incestueuses


Les mêmes cheveux bruns emmêlés et la même
Bouche, et les mêmes yeux châtains. Ce sont deux soeurs.
Au fond des longs draps glacés, leurs ventres suceurs
Se cherchent, et les baisers chuchotent : Je t'aime.

Les mains suivent les flancs marqués par le corset,
Creusent les reins, se crispent aux fesses, reviennent
Aux épaules, dont les danseuses se souviennent,
Puis aux seins qu'un busc obscène et cruel corsait.

Le regard fureteur le long du corps s'occupe
A connaître la peau honteuse que la jupe
Cache le jour, comme un ciboire sous le lin,

Et ces deux corps, issus d'un même corps de mère,
S'unissent avec un enlacement câlin,
Par leurs sexes brûlants, frangés d'écume amère.

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mercredi 28 mars 3 28 /03 /Mars 07:36
- Pose cette feuille Andréa.
Elle m'a regardée, je voyais la lumière du soleil à travers ses cheveux blonds. Ses yeux noisette ont mis un moment à s'apercevoir que j'avais quelque chose dans la main.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Je t'avais dit que cela arriverait...
Je me glissais dans le lit, tout près d'elle, après avoir traversé la pièce rapidement. Juste pour la surprendre. Elle me regardait comme un lapin fasciné par un chat qui rampe vers lui. Combattre ou fuir.
 
Elle m'a répondu par défi :
- Je ne t'ai jamais dit encore que je te laisserais faire.
 
Elle disait cela en me fixant, mais je sentais qu'elle se demandait ce que j'avais dissimulé dans ma main.
Dehors, les cardinaux du matin se sont envolés depuis la cime des arbres, et j'ai aperçu leurs ombres passer sur le corps d'Andréa.
 
- Aucune importance.
 
J'ai alors vu une indécision dans son regard, un doute. Je lui avais déjà parlé comme je le faisais maintenant, tranquillement. Et je voyais qu'elle pensait me connaître assez bien, après tous ces mois de relation.
 
- Hmmm... En tout cas, laisse-moi d'abord prendre une douche.
 
C'était un bon stratagème, repoussant ainsi le moment et sans doute espérait-elle qu'ensuite rien ne se produirait.
Elle a commencé à se glisser de dessous la couette, pour sortir du lit, et a laissé échappé un bruit de surprise lorsque j'ai attrapé son poignet.
 
Elle n'a pas lutté tout de suite, et s'est rebiffée lorsque d'un geste vif je l'ai retournée sur le ventre. Elle portait encore une petite chemise de nuit en coton, très courte, que je lui avais quasi déchirée durant la nuit.
Elle aimait ne pas être nue, mais surtout, appréciait assez que je joue avec ses seins et que je tète ses tétons à travers le vêtement pour commencer. Le frottement du tissu l'excitait. Elle portait aussi un string et j'ai tiré simplement sur le côté, d'un geste un peu dur, la petite bande de tissu, afin de pouvoir accéder là où j'en avais envie. Pour l'instant, je décidais qu'elle resterait vêtue.
  
- Aïe ! arrête !
 
Je l'ai plaquée sur le lit, prenant ses poignets pour les ramener dans son dos, et les croisant. C'est à ce moment qu'elle a poussé ce cri. Lorsque la corde blanche a enserré ses poignets minces, les liant étroitement. Méticuleusement. Lorsqu'elle a senti véritablement que j'irais juqu'au bout, elle a crié un :
- Non !! Mais arrête ! tu es fou !
 
J'ai balancé ma jambe que j'ai calée sur son dos, juste pour le maintenir contre le matelas et afin de pouvoir attraper ses chevilles qui se débattaient dans le vide, tellement fort que j'ai dû agir plus rapidement afin de les attraper pour pouvoir les lier ensemble. J'ai donc enroulée assez vite la corde pour bloquer ses ruades avant de pouvoir nouer ses chevilles plus confortablement.
 
Alors que je voulais la replacer pour la mettre dans une position plus confortable, elle m'a jeté un coup d'épaule, en grognant un : - Laisse-moi partir !
Et elle a rageusement lancé ses jambes maintenant liées, que j'ai repliées pour nouer ses poignets à ses chevilles. Quelques noeuds supplémentaires et mon Andréa était dans uen très belle position de hogtied.
 
Puis je me suis reculé un peu, assis sur le lit, me penchant pour savourer la fureur et une surprise particulière sur son visage. Elle tentait encore de lutter, remuant inutilement son corps en tous sens.
Caressant ses cheveux pour l'apaiser, puis passant la main sur son dos, je me suis penchée très près de son oreille pour lui dire, assez bas :
 
- Je vais t'attacher encore, un peu plus serré, puis je vais prendre les pinces et les poser sur tes seins. Ensuite, je t'introduirai un petit objet vibrant, et je vais ensuite te donner une fessée, une vraie belle fessée. Jusqu'à ce que tu en pleures.
 
J'ai vu ses yeux s'écarquiller, puis se plisser, un regard que j'avais rarement vu auparavant, et son souffle s'est fait plus court, presque sifflant, lorsqu'elle a dit :
- Délivre-moi. Immédiatement.
 
Alors j'ai claqué sèchement son cul magnifique et j'ai répondu : - Non.
 
Elle a poussé un son de rage, se tortillant pour essayer de se mettre sur le côté afin de protéger ses fesses.
- Je ne plaisante pas. Délivre-moi sinon je hurle.
J'ai adoré son regard alors. Il m'a donné encore plus envie.
J'avais fantasmé cette scène depuis un moment, mais toutes les images et les idées que j'avais pu me faire au sujet de cette scène n'étaient rien comparé à ce que j'étais en train de vivre.
 
De la manière dont elle était attachée, je voyais le tissu de la petite chemise de nuit tendue de sorte que ses tétons pointaient ainsi que la forme de ses petits seins à travers le coton.
Par dessus le tissu, mon pouce a commencé à durcir plus encore la pointe de ses seins. Elle a tenté de m'éviter mais elle n'avait guère de marge de liberté et la replaçant à plat sur le matelas, la plaquant à nouveau, j'ai glissé ma main de sorte qu'elle vienne emprisonner fortement un de ses seins. Je l'ai pressé un peu plus, le contenant tout entier dans ma paume.
Elle a jappé. Se débattant encore. Légèrement. Coincée par sa position. Pas à dire, le hogtied est une chose merveilleuse.
 
Toujours en maintenant ce sein, jouant avec le téton, j'ai plié une jambe sur le bas de son dos, afin qu'elle soit exactement immobile, et j'ai commencé à lui donner une fessée, régulière, ample, généreuse.
 
Je lui ai dit :
- Je vais te laisser attachée. Comme tu l'es maintenant. Et puis plus encore, tout à l'heure, je te mettrai un collier, et puis une chaîne.
Peut-être même que je t'enfermerai dans la grande cage que tu as vue en bas. Parce que tu sais, ce n'est pas une cage pour les animaux....
 
Elle a commencé à crier, gémir de saisissement à l'idée de tout ce que je lui disais. Je la sentais malgré elle, imaginer ce que j'avais annoncé.
Et sa révolte a repris le dessus, j'entendais et je l'ai écouté quelques secondes, tempêté, exprimer colère, crainte, honte, et autre chose d'indéfinissable. Me disant que si elle continuait, les voisins s'inquièteraient, je suis allée chercher un foulard et l'ai baillonnée avec.
J'ai senti immédiatement une forme de relâchement. Et j'ai repris ma fessée.
En tout cas, si l'envie de se rebiffer la reprenait, ses menaces et colères ne seraient pas entendues et quant à moi, rien ne me dissuadait d'aller jusqu'au bout.
 
J'avais liée mon Andréa, j'aimais terriblement ce tableau, et je l'avais indiscutablement fessée, même si du coup, je ne l'avais pas fait autant que j'en avais eu l'intention.
 
J'avais voulu la mâter, jouer à ce jeu de maîtrise, et ses réactions étaient inestimables. Elle semblait se calmer.
 
- Je vais t'envelopper dans une autre corde, si serrée que chaque veine de ton corps palpitera, que tu sentiras chaque nerf jusqu'à ce qu'il s'endorme enfin, jusqu'à ce que tu apprennes à t'abandonner.
Je vais te prendre autant de fois que j'en ai envie, te détacher juste assez pour te fouetter, te fesser, te faire sentir ton corps malgré toi, entendre ton cri devenir gémissement à travers le foulard qui te baillonne.
Je vais couvrir ton corps de goutelettes de cire, chaque goutte séchant sur ta peau, puis je te fouetterai pour détacher les confettis de cire, rougissant ta peau encore un peu plus.
Je vais pincer tes tétons, puis les lèvres si douces et sensibles, d'ailleurs, peut-être y mettrai-je une chaîne avec un cadenas, que moiseul ouvrirai lorsque j'aurai envie de toi.
Je vais te ligoter et t'emmener, et puis je t'attacherai à un tronc d'arbre, dans une forêt, et je t'y laisserai, jusqu'à ce qu'un chasseur te trouve.
 
Elle avait totalement cessé de lutter. Je la regardais, ses yeux étaient immensément écarquillés, elle avait les joues rouges, peut-être à cause du foulard, ne sachant prendre un souffle régulier, et elle était superbe dans ces expressions diverses que son visage exprimait.
 
Doucement, je l'ai soulevée pour la placer sur le côté, et j'ai giflé légèrement ses seins.
 
- Je vais te poser un collier que tu ne pourras plus ôter. Je t'y attacherai à un anneau. Peut-être durant des jours. Je vais te suspendre, jambes écartées, et je te flagellerai intimement jusqu'à ce que ton bouton soit gonflé et que ce magnifique endroit soit rose cerise.
 
Elle ne disait plus rien. Ecoutant. Reniflant. Oubliant de lutter. J'ai continué à lui raconter tout ce que je lui ferais, ronronnant à son oreille, pendant que mes mains glissaient le long de sa hanche, de son dos, de ses cuisses serrées.
 
- Je vais te mettre dans un colis et t'envoyer par la poste à ma propre adresse.Combien cela prendra-t-il pour que le colis me soit retourné afin que je puisse inventer d'autres douces tortures ?
Je vais t'attacher à ce lit et faire venir un ou deux hommes et tu ne sauras plus lequel te fait quoi.
Je vais faire tout cela et tu n'y pourras rien.
 
Elle s'est mise à secouer la tête, a recommencé à se remuer en tous sens, et je voyais le doute dans ses yeux. J'ai giflé à nouveau ses deux seins, pas trop fort. Et puis je suis allé chercher une autre corde, pour lier chacun des globes séparément. Je les voulais pourpres.
.... .... ... ...
 
- Qu'est-ce qui semble t'exciter autant ?
Elle souriait en me disant cela, un peu étonnée, attendant ma réponse.
Le soleil du matin m'éblouissant, je me suis tourné vers elle. Sous les draps, une de mains s'est posée sur la preuve de mon excitation, qu'elle a prise à pleine main, s'amusant avec, frottant doucement, remontant, descendant.
Elle a cherché mes lèvres furtivement, puis se serrant davantage contre moi, a repris sa caresse d'une manière plus précise, plus attentive.
 
- Je voulais aller acheter le journal et le pain mais là.... heu.. je suis un peu curieuse..
 
J'ai fermé les yeux, me laissant porter par sa caresse sur mon érection. Un magnifique début de dimanche. Je lui ai dit :
- Un jour, très bientôt, nous allons avoir une petite conversation.
 
Elle a cessé de me caresser, me regardant autrement. Questionnante.
 
- Ne t'inquiète pas Andréa... Rien de grave. Juste une petite conversation.
Et puis, jetant un oeil sur la forme de mon érection visible, j'ai ajouté :
- Une chose est sûre... Tu es totalement responsable de tout cela....
 
Elle a souri, puis a repris sa caresse, sensuelle, douce. Si bonne.
 
J'ai fermé les yeux à nouveau et j'ai pensé :
 
Un jour..... Oh oui.. Un jour.... Je dirais :
- Pose cette feuille Andréa.
Elle me regarderait, je verrais la lumière du soleil à travers ses cheveux blonds. Ses yeux noisette mettraient un moment à s'apercevoir que j'aurais quelque chose dans la main.
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Dimanche 25 mars 7 25 /03 /Mars 07:30

Laetitia vient nous narrer une de ses dernières aventures ferroviaires...

Ceux qui fessent prendront le train


Je me rends toujours à
  Paris  en train 
Dans les trains ; trois cat
é
gories de personnes : - celles qui voyagent seules , n'échangent pas un mot avec quiconque  - celles qui sont à  plusieurs, et dont on entend les babillages pendant tout le trajet - celles qui voyagent seules, et à  l'occasion , se taille facilement une petite bavette avec le voisin      

Selon mon humeur, je passe de la 1ère , à  la 3ème catégorie  Disons que je n'entame pas de conversation ( c'est vrai quoi.. je ne veux pas passer pour une allumeuse ! ) mais que ; si je tombe sur un échange sympa , je l'entretiendrai volontiers aussi. Tout simplement parce que ça rend le voyage un peu moins monotone.
Je me suis donc récemment retrouvée dans le train, à  une place que je déteste ; celle où on se retrouve à  quatre personnes face à  face  j'appelle ces place :  " les places du regard en coin " ! C'est l'horreur ! Mais bon je restais là  tout de même allez savoir pourquoi ! 2h15 de trajet  c'est pas la mort non plus ! Une fois mon bagage mis en haut , je sortais mon bouquin ( qu'est ce que les gens lisent en train , c'est fou !! ) en face de moi ; un monsieur . La quarantaine , pas mal du tout , mais pas de quoi tomber comme une mouche  à  sa droite ; une dame ! La soixantaine ; des lunettes , cheveux gris et à  ma droite.. personne . J'avais commencé quelques jours plus tôt, la lecture du livre que mon amie Agnès m'a offert . L'incontournable " Anthologie de la fessée et de la flagellation ". Un régal !!!!!
Je lisais depuis un moment et en relevant les yeux ,je vis  l'homme qui me faisait face sourire pendant qu'il regardait la couverture (une femme nue des années 30 , à  genoux sur une peau de bête, fesses et pommettes rouges ).

Je sourie
à  mon tour , sentant que ce monsieur n'allait pas s'arrê
ter à  un sourire !
LUI - " Int
é
ressant ? "
MOI - " Passionnant ! "
Le petit air pincé de la dame près de la fenêtre , qui elle dévorait son magazine, me laissait deviner le fond de sa pensée à  cet instant même : " Pfffff et ça drague !!! "
Je m'attendais même à  ce qu'elle cherche si nos annulaires avaient ou non des alliances 

Mon livre était toujours ouvert , mais je ne le lisais plus vraiment
LUI- " La fessée se perd de nos jours . "
MOI- " Pas partout  "
LUI- " Elle est encore pratiquée, en effet lorsque certaines petites filles n'ont pas été sages. "
Les yeux à  ce moment là  de mon interlocuteur, plissaient d'une façon complice  Vous savez , lorsque deux personnes sont sur le même longueur d'onde à  la différence près , qu'il était en train de se faire la traversée de l'onde en solitaire  !  Il devait s'imaginer que mes fesses apprécieraient bien de rougir un peu !!!!
MOI- " Je ne pense pas que la fessée soit une exclusivité pour les petites filles.."
Là  , ses yeux brillaient ! J'avais touché dans le mille ! Mon voisin se pencha, et d'un ton plus bas me dit :- " Et bien je ne serais pas contre rougir quelques fesses bien charnues d'une certaine personne attirée par la fessée"
J'ai cru que la dame allait nous faire un malaise ! Elle avait toujours son magazine ouvert , mais les pages ne se tournaient plus depuis le début de la conversation. Elle n'avait pas bronché, mais avait ouvert de yeux effarés  choqués ! Je me penchais alors aussi calmement qu'il l'avait fait, souriante entreprenante.
MOI- " Et bien .si quelque chose chez moi, devait rougir, ce serait sans aucun doute , la paume de ma main et je peux vous assurer que plus elle rougie plus elle frappe fort -je me penchais encore plus en avant- Et  jamais les fesses des petites filles ! "Je murmurais ces mots, et me reculais de nouveau dans mon siège, et parlais maintenant d'une voix plus sonore...  
MOI  - " Intéressé ? "
Mon voisin en fit de même, et se plongea alors parmi les papiers qu'il avait étalé sur la tablette, sans juger utile de répondre. La dame souriait  et moi je repris ma lecture. mon humeur du jour n'était pas de poursuivre le dialogue avec quelqu'un de si conquérant !

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 07:55
Heureux homme qui entend ces mots au creux de son oreille. Douce invitation...
De ta langue si douce tu caresses ma fleur de sexe.
Langue sensuelle, langue sexuelle, langue ensorcelante.
 
Les pétales de ma fleur frémissent à son contact,
et déjà mon nectar se répand et vient t'abreuver.
 
Ta langue de velours explore le coeur de ma fleur
et s'imprègne de mon miel salé.
 
Sur ma bouche, tu déposes un peu de sa saveur.
Saveur de ma fleur mélangée à la saveur de ton membre magique.
 
Ma fleur appelle ta langue envoûtante,
Ma langue appelle ton membre si doux au parfum de mâle.
 
Je me délecte de sa texture, de son goût.
Ma petite langue s'enroule autour du bouton de ton membre,
et déjà tu trembles d'extase.
 
Plaisir des sens, plaisir de la chair, plaisir fondant.
Je voyage dans un oasis spatial, bien loin de la Terre.
 
Ma fleur de sexe est en émoi
tandis que je te suce goulûment.
 
Je veux tout de ton membre,
son bouton, sa tige et ses bulbes.
 
Abreuves moi, laisses ta semence jaillir et
venir se répandre sur mon visage et dans ma bouche.
 
Je suis ta geisha, ta maîtresse, ta pute et ta chienne...
Attaches moi, bandes mes yeux, fais de moi ce que tu veux...
 
Je ne suis plus une terrienne mais une boule de feu
qui se consume d'un plaisir que j'hurle.
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 07:49

J'ai toujours aimé les Fables de La Fontaine apprises à l'école. J'y trouvais déjà un "je ne sais quoi" qui me faisait me sentir un peu moins ignorant. Le maniement de ses mots, les images évoquées, me fascinaient. J'y devinais un être humain résolument moderne, adepte des plaisirs de la vie.

Dommage que ses nouvelles érotiques ne fassent pas partie de ces écrits que l'on enseigne. Et pourtant.........

Aimons, foutons, ce sont plaisirs
Qu'il ne faut pas que l'on sépare;
La jouissance et les désirs
Sont ce que l'âme a de plus rare.
D'un vit, d'un con et de deux cœurs,
Naît un accord plein de douceurs,
Que les dévots blâment sans cause.
Amarillis, pensez-y bien :
Aimer sans foutre est peu de chose

Foutre sans aimer ce n'est rien.

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Dimanche 18 mars 7 18 /03 /Mars 07:45

Les persiennes laissent filtrer un rayon de lumière qui réveille doucement la chambre.  

  Je suis assis et je te regarde.

  J'ai tellement attendu. Tellement. Tellement...!

  Il est parfois de ces instants que l'on ne se croyait plus être autorisé à vivre, qui font presque peur. Où douceur et tendresse osent enfin percer au-delà des trahisons et des frustrations accumulées.

 Comment retenir et préserver ces moments ?

 "En les chérissant dans son coeur et son esprit à jamais", m'as tu répondu.

  Comme je te chéris maintenant, en te câlinant du regard.

  Comme je te chérissais, cette nuit lorsque ton corps se cambrait sous mes étreintes.

  Lorsque ton regard bleu, tellement profond et intense qu'il en est parfois cruel, paraissait enfin apprivoisé.

  Lorsque ton coeur s'ouvrait sans pudeur, me suppliant de m'y engouffrer et d'y déverser des torrents de tendresse.

  Lorsque ta bouche se laissait aller au delà des limites de la convenance et me criait les mots qu'on ne maîtrise pas.

  Lorsque tes cris de plaisir, mon Amour, se confondaient avec mes élans saccadés.

  Lorsqu'enfin, abandonnés, vaincus, lovés sensuellement l'un dans l'autre, incroyablement légers mais terriblement forts, nous nous laissions portés vers des Terres inconnues...

   Je suis assis et je te regarde.

   Ton corps alangui, apaisée, offert m'autorise t-il une confidence ?

  Je voudrais tant pouvoir te dire que je t'aime sans que ces mots ne soient teintés d'interrogations et de doutes mais plutot d'espoir et de plaisir.

  Je te regarde.

  Le drap recouvre ton intimité... Comme je lui en veux !   !

  Je m'approche. Plus près. Je sens ton souffle. Tes yeux s'éclairent... Tu ne dors pas...  
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 07:30

Quelques petites lectures pour agrémenter vos soirées solitaires ou bien à partager à deux...

Tout d'abord, "La nuit Caroline", écrit par Caroline Grimm qui animait de sa chaude voix une émission érotique sur France Inter il y a quelques années...

et... ensuite "Eloge du cul et autres textes" d'Alain Paucart : les réflexions d'un vrai libertin à propos du sexe ...et son revers. Des idées qui ne laissent pas indifférent. Qu'elles remportent notre adhésion ou encore qu'elles choquent ou déplaisent...

 

 

 

 

 

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mardi 6 mars 2 06 /03 /Mars 06:40

Chanette se venge... Suite...

Elle le fait en maugréant, plus pour éviter des baffes que par soumission
- Vous êtes vraiment des salopes !
- Bien sûr !
Sauf que maintenant elle a mes seins sous le nez ! Son regard se trouble. Il se troublera encore plus quand quelques secondes plus tard, j'entrepris de faire durcir mes tétons en les faisant rouler entre mon pouce et mon index
- Tu devais te déshabiller, non ?
- Qu'allez-vous me faire ? Vous ne vous rendez pas compte des risques que vous prenez ?
Hé ! Hé ! La réflexion de trop, elle aurait du rester dans son rôle de victime fière, hautaine. Elle est en train de fragiliser sa position.
- A poil salope !
- Je peux encore m'expliquer ?
Sa défense s'est complètement lézardée !
- A poil ! on verra après !
Elle se déshabille complètement. Elle est belle Anna-Gaëlle. J'aime ces gros seins laiteux terminés par une petite pointe rose. Exprès je la regarde avec envie. Je recommence à me faire durcir les tétons et soudain c'est les siens que j'agrippe
- Non ! Non ! Arrête ! Salope ! Arrête ! C'est trop bon ! Arrête ça ! Tu n'as pas le droit !
Je continue et augmente ma pression
- C'est trop fort ! Arrête !
Elle va tomber dans le piège dans une seconde, j'en mouille à l'avance
- C'est vrai c'est trop fort ?
- Oui : c'est trop fort !
Je baisse ma pression
- Et comme ça va ?
- Oui ! ça va continue Salope, tu es en train de m'avoir ! Tant pis pour moi !
Je relâche tout
- Tu m'as traité de quoi ?
- De salope Chanette ! Tu es une salope ! Mais moi aussi !
J'ai gagné ! Un frisson me surprend. Ma chatte coule!
- Alors j'écoute ! et après on ferra peut-être la paix
- Tout ce que j'ai dis est vrai, j'ai d'abord fait un premier article ou je vous présentais toutes les deux sous un jour favorable, le chef de rubrique n'en a pas voulu, j'en ai refais deux autres après de plus en plus neutres. Ça n'allait toujours pas. Alors je lui dis que je laissais tomber, il a tout rectifié mais il a laissé ma signature. J'ai pensé à te prévenir, mais j'ai laissé tombé, je me suis dit que sans doute vous ne verriez jamais l'article, et que finalement ce n'était pas si important que cela…
- Tu as pensé à me prévenir et après tu as changé d'idée. Et pourquoi donc ?
- Je viens de le dire !
- C'est si difficile un petit coup de fil ?
- Il y une autre raison ! Tu veux vraiment la savoir ? Chanette ?
- Oui !
- C'est que je ne voulais pas me donner l'occasion de retomber dans tes griffes ! J'avais jusqu'ici une sexualité presque normale ! J'ai compris en venant ici l'autre fois que mes fantasmes avaient besoin d'êtres assouvis. J'ai eu peur de ne plus pouvoir me passer de ce que j'ai connu ici ! Tu comprends Chanette ? Oh pardon Chanette ! Pardon Corinne !
Et la voici à nouveau en larmes !
- Et maintenant ?
- Maintenant tu as gagné ! Salope ! J'ai envie de toi, j'ai envie de vous deux !
- Et tu ne crois pas que tu devrais être punie d'abord ?
- Chanette, je voudrais que nous soyons régulières toutes les deux, tu me punis mais après, je voudrais tant que nous fassions l'amour…
- C'est à toi de prendre le risque, si tu ne veux pas le prendre, tu peux partir tout de suite, on ne t'en empêchera pas, et je trouve que ce serait pas mal comme punition. Alors ?
- Je reste !
- Allons-y tu l'as mérité et puis tu aimeras peut-être  On emmène la journaliste dans la petite salle que Corinne a emménagé, on la suspend à une barre. Corinne lui place des pinces sur les tétons et sur les lèvres de sa chatte. Elle hurle, puis se calme. Je tourne autour d'elle le martinet à la main, et applique le premier coup
- Aie !
J'avais prévu 50 coups, mais tout d'un coup ça me semble énorme, au 15e je décide de m'arrêter à 20. Anna-Gaëlle, manifestement souffre, elle crie, elle gigote, mais ne me dit pas d'arrêter
- Plus fort ! Marque-moi !
Ça me paraît complètement invraisemblable, mais je m'apprête à le faire, quand soudain Corinne arrête mon bras
- Elle veut que tu la marques pour pouvoir faire un constat de coups et blessure !
Je n'y avais pas pensé ! Je continue à frapper mais normalement
- Ecoutez moi une minute ! l'autre jour j'ai trahi votre confiance, je veux la regagner, c'est pour cela que je veux que tu me marques, comme ça tu pourra constater que je n'aurais pas donné suite à mes menaces de tout-à l'heure !
Je regarde Corinne, elle à l'air comme moi de penser qu'on peut prendre ce risque. Alors de toutes mes forces, je vise le joli cul rebondi de la journaliste et je lui zèbre les fesses de longues traînées rouges, je le fais 4 fois, à ce stade on a comptabilisé 20 coups. Je stoppe. Nous avions envisagé de la faire sodomiser par Phil pour finir en beauté, mais moi non plus je ne tiens plus en place. Phil s'est lui déshabillé et s'apprête à enter en scène !
- Non pas maintenant, mais va plutôt t'occuper de Corinne, elle est toute mouillée la pauvre
Il n'en fera rien, ça n'a jamais été l'amour fou entre eux deux. Je détache Anna-Gaëlle, Je l'enlace, et me faisant tomber, l'entraîne dans ma chute, je l'embrasse avec fougue, je lui caresse le corps, lui pétrit les seins, les fesses, les cuisses, je lui mets mes doigts partout, dans la chatte, dans la cul… Elle non plus n'est pas en reste et veut m'embrasser partout. Elle me serre les tétons comme je les ai serré tout à l'heure
- Toi aussi tu aime ça !
- Bien sur
- T'es vraiment une salope !
Encouragée, elle réussit à me faire hurler, je lui rend la pareille, nous devenons folles tandis que nos corps ruissellent de sueur et de mouille. Je veux la boire, on change de position et nous voici en 69. Je la bois et elle me bois. Ma langue lèche maintenant sa chatte au goût de miel, tandis qu'elle me suce le clitoris. J'ai du mal à me retenir de pisser et puis à quoi bon me retenir, je me laisse aller. Anna-Gaëlle lape mon urine comme un chat laperais une source de lait. J'ose espérer qu'elle me rendra la pareille, je la sens qui force et tout d'un coup elle libère à son tour sa source dorée qui s'écoule dans mon gosier. Son urine à un goût unique, (elle m'expliquera bien plus tard qu'elle avait l'habitude de boire du thé au jasmin). Ça y est ! La source est tari, elle à repris ses mouvements de lèvres et de langue sur mon clitoris, je l'imite, je ne vais pas tenir longtemps, un geyser de cyprine s'écoule de ma chatte tandis que je suis atteinte de soubresauts nerveux, j'essaie de me reprendre au plus vite pour la faire jouir à son tour, elle le fera quelques minutes plus tard, en poussant un hurlement de tigresse. Nous nous enlaçons à nouveau et nos bouches qui ont connu tous les liquides se soudent à nouveau.
Je me relève fourbue !
Corinne est assise dans un fauteuil les jambes écartées et s'envoi un vibro dans la chatte en poussant des petits cris. Phil s'est masturbé en nous regardant et nous a probablement arrosé de son sperme, mais nous ne nous en sommes pas aperçus
- Je peux téléphoner ?
- Bien sur !
- Allô Jean-Lou ! Quoi ? Qu'est-ce que tu dis ? Un fax urgent à me faire porter ? Et le coursier n'a pas trouvé l'adresse ? Il est nul ton coursier, et il y avait quoi dessus ? Ah bon ! Ce n'est pas si important que cela ! Je ne passerais pas au bureau de la journée
En raccrochant, Anna-Gaëlle ne comprit pas pourquoi nous étions de nouveau éclatés de rire
- Vous m'expliquerez ?
- C'est promis !
A ce moment-là Anna Gaëlle s'approche de moi et me prend la main
- J'ai une proposition à faire, on va se prendre une bonne douche toutes les deux, et après je vous paye le restaurant à tous !!
 
Epilogue :
 
Quelques jours après en relevant mon courrier, je découvre une enveloppe provenant du palais de justice. Je l'ouvre stupéfaite et découvre qu'une dénommé Anna-Gaëlle de machin chose portait plainte… contre son journal pour extorsion de signature et abus de confiance.
Le téléphone sonna quelques moments après.
- Tu vois j'ai porté plainte !
- C'est malin ! Ça va être classé sans suite ton truc !
- Même pas ! C'est un faux !
- Tu mérite encore une fessée !
- Je sais, je peux passer la prendre tout de suite ?
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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