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Littérature érotique

Vendredi 18 avril 5 18 /04 /Avr 07:30

Jeanne se trouvait à la bibliothèque. Elle était bénévole et occupait une partie de ses journée a ranger des livres, récupérer les prêt et en effectuer d'autres pour le compte de la mairie, et ce depuis plusieurs années. Grâce à elle et quelques amies, le village avait pu garder son « centre de documentation » ouvert. Plutot petite et fine, elle compensait son manque de présence physique par une activité débordante, s'arrêtant rarement de bouger et jamais de parler.

Marc était exactement le contraire de Jeanne. Plutot grand, large d'épaule, il parlait peu et ne faisait jamais de mouvement superflu. Très apprécié pour son humeur toujours égale, il était malheureusement souvent absent a cause de son travail de commercial.

Et pourtant, ils étaient mariés.

Or un jour Jeanne reçu un coup de téléphone à la bibliothèque. Son mari était rentré deux jours plus tot que prévu. Habituellement il ne l'aurait pas appelée pour si peu, mais en rentrant à la maison, il n'avait pas trouvé la voiture. Pourtant, la bibliothèque était à cinq minutes à pieds ... Jeanne lui expliqua alors que c'était tout à fait normal. Elle était rentrée dans un arbre en sortant du garage. Il n'y avait rien de bien grave, juste le pare-choc arrière à changer, mais elle en avait profité pour demander au garagiste de faire un check-up de la voiture.

En soi l'événement n'etait pas très important, d'autant que la voiture commençait à être trés agée. Mais elle perçut tout de suite le changement de ton de Marc. Un changement subtil ... sa voix se fît encore plus douce, presque mielleuse ...

« Tu aurais quand même pu m'en parler, tu ne crois pas ? Je t'appelle tous les soirs ... Ne me dit pas que c'est tellement insignifiant que tu as oublié ? »

Jeanne comprit tout de suite ce qui se passait et démarra au quart de tour.

« Ben ... euh ... en fait... je dois t'avouer que si ... Ca m'était sorti de la tête ... »

Jeanne jetta un oeil pour s'assurer qu'elle est seule, puis prit sa voix geignarde ...

« Pardon Marc, mais il n'y a vraiment rien de grave tu sais ... Je suis désolée ... Je voulais te le dire mais ... »

Elle n'eût pas le temps de finir, Marc avait raccroché. Elle savait qu'en rentrant le soir, il la fesserait. Lorsqu'elle retourna discuter avec ses collègues, elle était toute guillerette ... et même légèrement humide.

Le centre de documentation ferma ses portes. D'un pas rapide, décidé, Jeanne rentra chez elle. Elle savait exactement ce qu'elle allait trouver en rentrant. Marc serait devant la télé, une chaise serait au milieu de la pièce. Et en la voyant, il lui ferait la bise, puis sans un mot s'assierait et attendrait. Alors elle pourrait commencer a se défendre, a polémiquer, à tenter d'y echapper. Mais lui n'écouterait pas, bien sûr ...

Pourtant, quand elle rentra dans la petite maison, elle ne vit pas de chaise au milieu du salon. Et Marc ne regardait pas la télévision : il discutait avec un voisin de pêche à la mouche. Jeanne eut bien du mal à décider si elle était rassurée ou frustrée ... Elle dit bonjour, s'assit, et se servit un verre, tout en s'assurant que tout le monde avait son verre plein. Après un quart d'heure environ, Marc se leva et s'excusa. Il partit en direction de la chambre en expliquant qu'il avait failli oublier quelque chose qu'il devait faire ...

Jeanne l'entendit l'appeller et le rejoignit en s'excusant. Entrant dans la pièce, elle trouva son homme, adossé a l'armoire, souriant, un martinet à la main. D'une voix basse, presque choquée, Jeanne attaqua tout de suite.

« Non mais tu rêves, pas maintenant, on a du monde à la maison ... En plus, tu sais bien qu'on n'a jamais essayé ce truc ... Il est joli ... mais ce n'est pas le moment de jouer ... »

Marc souriait toujours, puis répondit a voix basse également : « Je ne bougerais pas de cette pièce tant que tu ne sera punie pour la voiture. Tu préfères que j'appelle Sylvain pour le faire participer ? Mets-toi sur le lit. »

Jeanne se retrouvait coincée ... Elle connaissait suffisament son homme pour savoir qu'il était assez têtu pour ne pas bouger. Elle voulait se défendre, argumenter, tenter d'éviter cette punition tellement injuste, mais l'objet l'appellait de ses voeux ... et elle avait peur que l'invité débarque dans la chambre, trouvant le temps long tout seul ... Elle ouvrit la bouche ... regarda Marc ... se tût finalement et alla se placer sur le lit.

Suivant les intructions de Marc, elle fît tomber son pantalon et ses sous-vêtements sur ses chevilles, et se plaça à genoux au bord du lit avant de se recroqueviller dans la position du foetus, offrant ses fesses bien tendues ... Marc profita de la vision un moment, appréciant la fermeté et la blancheur de cette chair ... Puis le premier coup tomba ... doucement, car il voulait apprendre a maitriser l'objet ... régulièrement les lanières s'abattirent sur le fessier de Jeanne. Puis la force augmenta ... régulièrement ... coup après coup, de plus en plus fort ...

« Pardon ... »

C'était Jeanne ... et c'était également le signal que l'objet ne devait pas tomber plus fort, qu'aller plus loin serait trop douloureux et qu'elle mettrait fin au jeu ...

Alors Marc fît preuve de régularité. Assénant les coups avec la même force ... laissant plusieurs secondes les lanières sur la peau, comme une caresse ... 9 ... 10 ... 15 coups tombèrent ainsi sur ces fesses a présent rouges ... des traces légèrement plus foncées se dessinant ici ou là ....

Puis Marc posa le martinet dans l'armoire et vint relever sa femme. C'était un rituel, elle ne se relevait jamais seule ... Il l'embrassa ... la caressa ... et pû constater a son sourire qu'elle avait adoré ... Glissant la main dans sa poche, il en sortit des boules de geisha, et mit celles-ci en place.

« Notre invité nous attend mon coeur. »

Et il retourna parler de pêche à la mouche, s'excusant de n'avoir pas trouvé la revue. Dans le même temps, il pensa très fort aux câlins du soir.


Merci à Pitipitipiti
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Dimanche 23 mars 7 23 /03 /Mars 07:30
Voilà déjà fort longtemps que mon « fétichisme » a pris naissance. Car au fond cette passion on peut l’appeler comme on veut, certains aiment la soie, d’autre la fourrure pour jouir dessus et avec, moi se sont les draps blancs en coton ainsi que tout ce qui est blanc (lingerie, tenue d’infirmière etc.…).

Ce fétichisme m’est apparu assez jeune. A cette époque ce n’était pas le mercredi qui était jour de congé scolaire, mais le jeudi, et donc très souvent je me rendais chez une de mes tantes qui travaillait comme infirmière dans un grand hôpital de la proche banlieue parisienne où mes parents vivaient alors. Elle avait 29 ans et était très mignonne, mais célibataire. Et dès qu’elle rentrait, on allait souvent dans Paris pour faire des emplettes. Mais en l’attendant il fallait bien que je m’occupe, la télé ça allait bien un peu et il n’y avait que 2 chaînes encore.

Donc un jour l’idée m’est venue de fouiner un peu dans ses armoires. Et que trouve-t-on dans les armoires d’une jeune femme célibataire et infirmière ? De la lingerie et ses tenues d’infirmière et ses vêtements. Cela m’a impressionné pour ne pas dire excité, alors j’ai commencé à me masturber et pour ne pas laisser quelques traces que se soit je l’ai fait avec un torchon. Ma jouissance était bien physique mais sans éjaculation. Se n’est que quelques mois plus tard que l’ors d’une masturbation j’ai senti ma bite se contracter et mes couilles durcir et là, oh surprise des jets de sperme fusèrent sur le torchon, j’en fus un peu troublé mais si heureux.

Et donc chaque jeudi que je passais chez elle le torchon recevait mon sperme. Au début je faisais cela debout dans le salon, puis assis mais l’excitation n’était pas toujours forte et puis un jour j’eu l’idée d’aller dans sa chambre et surprise je vis son lit de draps blancs défait, alors l’idée me vint de m’asseoir sur ce lit et de me masturber avec le torchon. Une fois encore j’éjaculais dans le torchon, mais la vue de ses draps blancs m’excitait et la fois suivante je décidais de me masturber avec le drap. Je me mis nu, et m’allongeais sur le lit, je me frottais sur le drap c’était très bon et très doux. Ma bite grossie et durcie à m’en faire mal, alors j’eus l’idée de la mettre en arrière entre mes cuisses et là miracle je sentis la jouissance arriver, mais il ne fallait pas souiller le drap car elle le verrait alors très rapidement je mis le torchon sur le drap et finis de jouir dessus une plus grosse quantité de sperme, j’en déduisis que cela venait de cette excitation de faire cela sur les draps blancs de son lit.

Désormais chaque jeudi chez elle se passait ainsi, même rituel et même plaisir, même jouissance. Et un jour en entrant dans la chambre, je vis de la lingerie traîner sur le lit, une culotte blanche et un soutien gorge blanc. Quelle ne fut pas mon idée, et si je les enfilais. Il ne me fallut que quelques minute pour me retrouver travesti de cette lingerie très douce. Et me voilà sur le ventre allongé sur le drap blanc à me frotter énergiquement comme si je baisais une fille et le résultat arriva très vite, si vite que je n’eu pas le temps de faire ce qu’il fallait pour protéger le lit, j’étais si excité que je jouis à gros jets dans la culotte et bien sur c’était si copieux que mon sperme traversa la culotte et mouilla le drap. Heureusement ma tante n’arriva que deux heures plus tard j’eus donc le temps de sécher cette trace avec le sèche cheveux et de cacher la culotte dans un coin de l’armoire.

Mais le plaisir avait été si fort que je pensais à la fois prochaine.

Et c’est ainsi que de jeudi en jeudi, mon petit fétichisme grandit. Dès que j’arrivais je mettais le soutien-gorge et la culotte et je me faisais jouir sur le drap prenant soin de le protéger. Et puis un jour j’eus l’idée de jouir sur le drap directement mais pas au milieu, elle le verrait, alors je le fis vers le fond du lit ainsi elle ne le verrait pas. Et effectivement jamais elle ne le vit. Mais une fois de plus toujours faire ainsi, me lassa et je voulus passer à une autre étape et du coup j’enfilais une de ses tenues d’infirmière, dans les années 60/70 le port de la blouse et du tablier était de fait. Blouse sous les genoux et tablier de même longueur, c’est ainsi que je m’apparu devant le miroir de l’armoire. Mais il me manquait quelque chose et je le compris très vire, des bas.

Alors en fouinant je découvris ses bas et ses porte-jarretelles et je les mis avec passion. Ainsi travesti je me fis jouir à mort, je me sentais fille et offerte et quand j’éjaculais c’était divin. Se fut le début d’une passion pour la lingerie, les draps blancs et les tenues d’infirmières. Je vécu cela longtemps. Laissant quantité de sperme sur les culottes et les draps blancs de ma tante qui bien entendu un jour me surpris ainsi travesti. J’eus droit à une très belle engueulade, le terme est plus que juste. Mais ce jour là aussi voyant ma bite encore raide dépasser de sa culotte, elle me prodigua ma première fellation et éjaculation dans la bouche d’une femme. De puis ce jour là comprenant ce que je ressentais, c’est elle qui me préparait toute la lingerie et les tenues à mettre, et quand elle arrivait elle contrôlait les draps et ma culotte pour voir combien de fois j’avais éjaculé. C’est elle qui me dépucela en me faisant jouir dans son ventre. Puis un jour j’eu la joie de jouir dans son anus. Sa bouche elle, était souvent utilisée soit pour me faire durcir soit pour recevoir mon sperme qu’elle avalait. Côté pénétrations on a jamais utilisé de préservatif, que se soit vaginalement ou analement elle aimait que je lui jouisse dedans et sentir mon foutre en elle et le voir couler sur les draps.

Certains vont dire, mais pourquoi les draps blancs… ? Et bien je ne sais pas, sans doute parce qu’à cette époque là 99% des draps de lit étaient blancs et en coton, les draps couleurs et fantaisies n’arrivant que doucement fin des années 70, ma tante en acheta d’ailleurs quelques-uns roses ou bleus pales sur les quels nous avons jouis aussi bien, alors pourquoi les draps blancs, je ne peux l’expliquer. Tout aurait pût continuer encore quelques années, mais ma tante décéda d’un cancer. Se fut pour moi une double perte, d’abord ma tante que j’adorais en tant que telle mais aussi, une perte sexuelle énorme.

Ce n’est que deux ans plus tard que je rencontrais Martine, une jeune infirmière de 24 ans. J’étais à quelques semaines de finir mon service national et ma fiancée choisit de me plaquer littéralement deux mois avant le mariage. Le choc fut tel que je fus hospitalisé dans l’hôpital militaire de Clamart. C’est là que je fis la connaissance de Martine. Cela faisait 8 jours que je venais d’être admis, mes parents venaient de me rendre une petite visite et allait repartir à l’heure du service des repas et cette jeune femme vint près de moi et passant ses bras autour de mon coup dit à mes parents :

« Je vais bien m’en occuper rassurez-vous ».

Sur le moment je ne prêtais pas attention à cette remarque, mais au fil des jours je compris vite ce que cela voulait dire. Souvent elle venait me voir dans la chambre et s’asseyait sur le lit pour discuter. Au début je ne faisais pas trop attention à ses attitudes, et puis un jour, m’étant fait un copain dans le même cas de situation que moi, on se retrouva dans une petite cour intérieure à discuter avec Martine, elle assise en haut d’un petit escalier et nous assis sur le bas des marches et là il me fit remarquer le jeu de jambes de Martine, écartant légèrement ses cuises pour que l’on aperçoive sa petite culotte. Et puis un jour elle écarta franchement ses cuisses et me dit

« Ça t’excite ».

Quelle idée, bien sure que ça m’excitait, alors on rentra dans la chambre et là discrètement elle me remontra sa culotte en écartant légèrement l’élastique afin que je vois sa chatte. Inutile de vous décrire ma réaction. Elle, elle la vit bien, et accentua ses gestes, n’en pouvant plus je m’asseye à coté d’elle sur le lit et aussitôt elle sorti ma bite du pyjama et commença à me branler doucement avec son tablier. Tellement excité que dix ou quinze va-et-vient me firent jouir et j’éjaculais avec force et quantité sur son tablier blanc qu’elle s’empressa de porter à ses lèvres pour lécher toute ma semence. Cette situation se répéta de nombreuses fois dès que c’était possible.

Arriva un soir où elle était de service de nuit et pendant que les autres patients regardaient la télé elle me rejoignis dans ma chambre et là sur le lit elle releva bouse et tablier et écarta sa culotte pour que je m’enfonce en elle jusqu’à la jouissance. J’éjaculais tout mon sperme dans sa chaude chatte. Elle remis sa culotte en place et retourna à sa place au foyer non s’en m’avoir largement embrasser d’un baisé très amoureux. Là encore cette situation se répéta de nombreuses fois avec quelques variantes dans les positions amoureuses et quelques fois elle me laissait sa petite culotte pour la nuit. Nous n’utilisions jamais de préservatif elle n’en voulait pas du tout. Notre relation amoureuse et sexuelle dura plus d’un mois durant mon séjour hospitalier. Et quand on me signifia que je pourrais sortir, elle me donna son adresse pour que je la rejoigne. Mais cela sera l’occasion de vous narrer la suite.


MERCI A DRAPS BLANCS
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 20 mars 4 20 /03 /Mars 07:30

La revanche (Un pipi de Dame)


Encore tourmenté par de lointains remords,
Un esprit d’évasion, des rêves d’adultères,
Je cherchais vainement à réparer mes torts
En offrant à Justine l’occasion de ‘’bien faire’’.

Mais peut-on effacer les marques du passé ?
Les jeter dans l’oubli sans laisser une trace ?
Elle a trop enduré et bien trop supporté :
Ma fourberie, mes masques et mes belles grimaces.

Que faire donc ? Ma foi, lui offrir une chance,
Un dessert raffiné qui comblerait sa faim
De désirs refoulés, mais empreints de décence,
Son orgueil pourfendu du jour au lendemain ?

Je lui ai suggérée, ce jour-là, cette ‘’chose’’,
Cette faveur suprême, aux dires de certains ;
Mais elle a plaisanté en disant quelque chose
Que je n’ai pas compris, peut-être : ‘’On verra bien’’.

Et le temps a passé. J’étais très humilié.
Mais n’était-ce pas là, la rançon du fautif ?
Le dédain affiché par la dame trompée
N’avait-il pas ce but ? Je restais donc pensif…

Un soir (c’était Noël), elle m’a invité.
Nous étions tous les deux devant sa cheminée.
Une table garnie, joliment arrangée,
Présidait au milieu de la salle à manger.

Elle avait revêtu sa robe de velours,
Mis de longs escarpins et des bas noirs résilles ;
Ses cheveux fins, peignés mais toujours aussi courts
La seyaient cependant comme un plat de myrtilles.

Son parfum ‘’Organza’’ sublimaient sa parure
Ainsi que ses bijoux savamment disposés :
Un camée à son cou et des bagues en or pur,
Un bracelet ancien à son poignet de fée.


Son maquillage, enfin, était bien réussi :
Des paupières nacrées d’ambre doré, discrètes ;
Des cils bien allongés et de très beaux sourcils,
Des créoles aux oreilles… mais la bouche secrète…

Tous les plats semblaient bons, et les vins : un délice.
J’attendais patiemment de boire le champagne
Lorsqu’elle décida, en véritable actrice,
De prononcer ces mots dignes d’une compagne :

- Maintenant c’est assez ! Finissons-en, indigne !
Oui, ta proposition m’est revenue en tête !
Ce que je te réserve, tu en es vraiment digne !
O homme de ma vie, ça va être ta fête !

Allez ! Mets-toi tout nu devant la cheminée !
Ne te retourne pas sans recevoir mon ordre !
Tu vas voir à présent ce que ‘’femme humiliée’’
Réserve à un amant coupable de désordres !...

Face aux flammes, penaud, j’attendais la sentence,
Le ventre cramoisi par la chaleur ambiante,
Quand un coup sec, soudain, s’abattit en silence
Sur mes reins dévêtus comme une simple plante.

Pourquoi me rebiffer ?...Je l’avais mérité.
Nulle excuse en effet n’obtiendrait son pardon.
Que dire de sensé à la femme bafouée ?
Je subis donc ses foudres au-dessus des tisons.

Je ne pourrais pas dire ô combien j’ai souffert.
Mes fesses étaient en feu sous le fouet vengeur.
Après maints coups puissants, j’ai perdu mes repères
Et le goût pernicieux de jouer les menteurs.

- Allonge-toi ici ! Me dit-elle, radieuse ;
Là, sur le carrelage, au milieu de la pièce !
Sur le dos s’il te plaît ! En ajoutant, rieuse :
- Cela fera du bien à tes petites fesses.

Je la vis s’approcher dans sa robe superbe
Et elle s’arrêta à quelques pas de moi.
Ce qu’une femme veut…dit enfin le proverbe,
Dieu le veut, c’est certain (eût égard à la foi)…

De ses deux mains agiles, elle plissa sa robe,
Retira lentement sa culotte de soie,
Me la jeta dessus, ‘’- O l’infâme microbe !’’
Avec l’air décidé d’accomplir son plein droit.

M’enjambant jusqu’au buste, elle me montra, cruelle,
Ses dessous merveilleux en dentelles moirée,
Et puis s’accroupissant, elle visa, sensuelle,
Mon visage ébahi par ses senteurs poivrées.

Je ne vis que sa vulve gonflée de désirs,
Sa rose dilatée suintant de rosée,
Son urètre pointé et tout prêt pour le tir,

Et un jet prodigieux dignement préparé.

La douche parfumée et ses vapeurs intimes
Arrosait tout mon corps et ma bouche en folie.
J’avalais goulûment cette liqueur sublime,
Heureux de la faveur qui m’était consentie.

J’appréciais sans façon cet auguste breuvage
Au goût particulier, âcre, salé et chaud…
Je buvais le jet dru comme un enfant bien sage
Qui attend patiemment la tournée des cadeaux.

Combien de femmes ignorent que leurs pluies bienfaisantes
Procurent à leurs amants un bonheur sans pareil ?
Pourquoi leur refuser cette faveur plaisante
Qui les mène un instant au pays des merveilles ?

Elle se vida le ventre gorgé de nectar,
Se purgeant sans façon pour mon plus grand plaisir
Et m’obligea, en plus, sans remettre à plus tard,
A bien lécher les gouttes du précieux élixir…

Je croyais maintenant en avoir terminé :
N’était-ce pas le fruit de ma proposition ?
Mais Madame en avait autrement décidé
Et poursuivit le jeu de cette punition.

D’un mouvement rapide, elle fit demi-tour
En effleurant mon corps de ses dessous câlins,
Et, présentant son cul et ses plus beaux atours
Dit : ‘’Que je l’ai mijoté ce suprême festin !’’

Je ne la compris pas. Toutefois, dans l’instant,
Dans ma situation, j’augurai quelque chose…
J’observais, silencieux, son œillet ravissant,
Attendant le produit promis par cette pause.

J’étais vraiment coincé sans pouvoir me dédire,
Enivré par ce trou dont la dilatation
M’expédia un grand vent comme pour me maudire,
Qui embauma mon nez et mes exultations.

-Tu iras jusqu’au bout ! Prends-en pour ton argent !
Ces mots jaillirent d’elle, avec un ton rageur.
De bonnes grâces, puni, je m’inclinai, patient,
Décidé, sans broncher, d’agir avec ardeur.

- ‘’Tu pensais, mon ami, qu’un simple jet d’urine
Allait tout effacer du jour au lendemain ?
Non, tu ne connais pas la rancœur qui me mine
Et me pousse, mon cher, à t’humilier enfin’’.

Je la sentis pousser, en éclatant de rire,
Au ras de mon visage écarlate et songeur,
Et je vis s’approcher ce qui prête à sourire :
‘’Le meilleur des festins’’ embaumant de senteurs…

Je n’ose vous avouer ce qu’elle m’a donné :
Le nombre des étrons, je ne le comptai pas.
J’étais ivre de honte, damné, et relégué
Au niveau des humeurs de ce curieux repas.

Repu de ce ‘’festin’’ soudain improvisé,
De ses matières fécales et ô combien intimes,
Je terminai mon œuvre, en parfait ouvrier,
En lui léchant le cul et ses parties divines.

Apparemment comblée par ce supplice étrange
Qui honora son âme et tout son fondement,
Elle se releva, comme aurait fait un ange,
En jetant ses regards dans mes yeux, fixement :

-‘’Tu as maintenant droit au breuvage des dieux.
Nous allons, de ce pas, déguster la bouteille.
Nous trinquerons ensemble au bonheur d’être deux
Et oublierons bien vite cette soirée de veille.’’

J’appréciais vivement de me rincer la bouche
Encore parsemée de boulettes fumantes,
Des matières formées par ma sainte nitouche
Depuis la veille au soir par sa fureur ardente.

Je n’osais regarder son visage ravi,
Piqué jusque dans l’âme et dans mon amour-propre,
Mais je sentis sur moi son sourire épanoui
Me rappelant soudain que j’étais son bien propre :

-‘’ Il est temps maintenant de déguster ces plats
Tous ces évènements m’ont mise en appétit.
Tu l’as bien mérité ! N’en fais pas tout un plat !
Et tu pourrais surtout me dire un grand merci’’.

Que j’étais subjugué par ses mains délicates !
Ses doigts fins et menus, et ses ongles taillés !
Je subissais la loi de ma précieuse chatte
Qui m’avait possédé, humilié et raillé.


Moi, je ne mangeai rien…J’en avais eu assez.
Elle le remarqua, et dit d’un ton précieux :
- Allez ! Fais un effort ! Prends donc une bouchée !
Je puis te l’assurer, c’est vraiment délicieux.

Elle ajouta, sérieuse : ‘’Voilà le résultat !
Quand on va voir ailleurs, on manque le meilleur.
Si tu pouvais te voir ? Mon dieu, mais quel état !
Veille donc à présent à faire tout mon bonheur’’…

Serai-je vraiment quitte ? Et mes erreurs passées
Seront-elles oubliées ? Nul ne le sait, ma foi.
Et je pense souvent que pour être lavé,
Il faudra me prêter à son jeu bien des fois.

Est-ce pour me déplaire ? Mais non, bien au contraire.
Que j’aime ma Justine et ses nombreux appâts !
Et je veux lui offrir ces instants pour lui plaire
Et pour fuir mon passé en dégustant ses ‘’plats
’’…
merci à Armand
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mardi 18 mars 2 18 /03 /Mars 07:30


GLISSADE

J'ai glissé
Un doigt
Puis rapidement
Deux doigts.
Mais ce n'était pas assez
Pour toi.
Alors j'ai glissé
Trois doigts
Puis lentement
Quatre doigts.
Mais ce n'était toujours pas assez
Pour toi.
Alors ma main a disparue
Entres tes lèvres humides.
J'ai continué à te lécher le cul,
Apaisant ta soif de sexe avide.
Et c'était juste assez
Pour toi...

 

Merci à puceauman

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 07:30

... tout est dans le titre.. A (re)découvrir...

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 21 février 4 21 /02 /Fév 07:30
Tu veux baiser encore? Alors viens ... par derrière
Comme les chiens, les chats tu veux ... tu jouiras ...
Ouvre tes cuisses... là, chérie étends les bras ...
Bien... tu vas voir, loulou, c'est, la bonne manière,
 
Sens-tu, sous ton joli fessier, qui te chatouille?
Dis ... le sens-tu, mignonne, et faut-il le rentrer?
Tu te rends, et mon braquemard va te montrer
Le bonheur couronnant le désir qui te mouille !...
Penche-toi de l'avant. .. tends ton cul... 'là... ta croupe
Est large épanouie ... Ô le charmant tableau!
Tu dis que je te tue et que je suis salaud !...
Non, mon chéri, je t'aime et conduis ma chaloupe ...
Ne bouge pas ... sens-tu ... ma bite dans ton con?
Laisse-moi, t'attraper dans mes mains ta mamelle ...
A son pointant rosé, d'un doigt mouillé, ma belle,
Je vais le titiller ... C'est bon, dis? .. Pas ... c'est bon? ..
Ah! Je sens se durcir ton beau petit téton ...
Tu m'aimes ... dis ... toujours ... tu gobes cette pose ...
Hein!... tu sens ... c'est exquis ... tu jouis ... ô ma rose ...
Sens-tu ... comme mon dard te pénètre profond ?...
- Oui! Tu vas loin, chéri ton membre m'assassine ...
Tu me brises ... jouis ... dis jouis ... je me meurs ...
Tu décharges, mon .loup... Ah! Que tu sais Tes pleurs
De plaisir ... en mon cul arrosent la ravine ! .
 
Reste encore!... Ah! Mignon ... elle raidit encore!
Restons ainsi, petit... comme se font les bêtes ...
Ça va loin ... C'est meilleur qu'autrement... Quelles fêtes
Que ces chocs en mon fond ... Je veux ... jusqu'à la mort!
Ah! Tu mouilles encor ... je mouille aussi, mon ange ...
Prends-moi ... c'est bon! Trop bon ... Ah! Je me sens mourir !
Ne te retire pas ... chéri!... je veux jouir ...
J'aime bien, par derrière ... on va loin ... ça démange ...
Oh! Chéri! tu m'as fait bien plaisir ... Ta broquette…
m'inondait tout le con ... tandis que tes deux mains...
Me causaient aux nichons des frottements divins...
- Nous recommencerons pas ... dis ... ma mignonnette?
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Lundi 21 janvier 1 21 /01 /Jan 07:31
Il a soulevé mon menton du bout de la cravache. Je croise son regard, il y a du défi au fond du mien, un désir d'abandon aussi. Il sourit, amusé et la cravache continue son exploration, descend, remonte... Je frissonne.

Je tire sur les liens de mes poignets et vacille un peu sur mes talons. Son visage s'est durci, il attend que je reste scrupuleusement immobile, mais c'est plus fort que moi, je bouge, je m'agite.

Ses doigts pourtant effleurent ma joue, mon cou, jouent avec une boucle de mes cheveux. Mes lèvres se précipitent sur son poignet, goûtent sa peau, la mordille. Il m'abandonne sa main quelques instants, je la couvre de baisers. Il sourit, j'aime son sourire, il est si beau quand il sourit, avec cette lueur espiègle au fond de l'oeil.

Il pince les pointes de mes seins, plus fort, jusqu'à ce que j'esquisse une légère grimace. Non, il ne me laissera pas prendre le dessus, il ne me laissera pas lui jeter mon orgueil à la figure. Je marmonne un mot de dépit, un mot grossier, irrespecteux. Une gifle. Je ne l'ai pas volée. Un désir de révolte pointe, mais sa main subitement s'est glissée entre mes cuisses. Son regard se fait ironique, je ne peux pas l'abuser, ni m'abuser. Je sens en même temps qu'il est heureux, heureux de ce plaisir qu'il m'offre, de ce plaisir que nous nous offrons, que nous partageons. Nous ne serons pas déçus.

Sa main me possède, me baise, je gémis, j'halète, je voudrais m'agripper à ses épaules, planter mes ongles dans sa chair, mais mes poignets sont liés au dessus de ma tête, à cet anneau sur lequel je tire, sans désir pourtant, de m'en libérer.

J'ai envie de rester ainsi, ne décider de rien, me soumettre, entièrement. C'est ce qu'il attend, et bientôt, je me fondrai en lui, sa volonté sera mienne, je ne me poserai plus de question, il n'y aura plus que le plaisir, plus que lui, plus que nous, je serais ... sa ... je n'éprouverais plus de honte, je vais jouir de cette perversité, de ma perversité.

Il s'est écarté, m'a regardée. Il cherche quelque chose, mais quoi ? Mon poul s'accélère j'ai envie qu'il me touche. Il s'éloigne. Je tape du pied, je regrette aussitôt cette impulsivité. Pourquoi ces signes qui lui montrent que je ne suis pas encore totalement abandonnée ? Il revient et dans sa main, son jouet favori. Il se place derrière moi. Les lanières soudain, cinglent mes fesses, mes reins, je laisse échapper un cri.

"Chuuuut...Je ne veux pas t'entendre". Il n'a pas élevé le ton, il ne crie jamais. Je serre les dents, je m'accroche à mes liens, je crispe mes muscles, jambes bien écartées et je cambre mes reins, m'offrant dans cette position qu'il affectionne, je ne suis plus indécente, je suis obscène, et je tends l'oreille à ses commentaires, à ces mots qui affolent mes sens et me remplissent de honte. Mais cette honte elle-même me fera jouir, je le sais.

"Tu te rappelle ce que je veux entendre, pour que j'arrête ?" ajoute-t-il.

Oui je me souviens, mais maudit orgueil. Tu veux jouer ? Jouons ! Je souris, "même pas mal" pourrais-je lancer puérilement. Pourtant si, ma peau cuit, mais cette chaleur se répand dans mon corps. Je compte, à voix haute. Il attend que je cède, mais chaque coup appelle le prochain, je me bats avec moi-même, bientôt je vais me rendre, il va gagner... il prend son temps, mais je viens de me lancer un défi.

Je sens qu'il doute, j'aime ses doutes, j'aime sa vulnérabilité dans ces moments là. Sa main apaise la douleur, elle se fait douceur, puis glisse entre mes jambes, s'y attarde longuement, et cela devient insoutenable, je sanglote, mes larmes coulent, des spasmes me secouent, je le supplie, d'arrêter, de continuer, je ne sais plus. Il finit par s'arrêter, la tension retombe. Il me sourit, m'interroge du regard.
Je capitule et je prononce la phrase qui marque ma soumission "merci Maître"... Maître... Ce mot m'effraye, mais je m'en délecte. Je tremble. Non, ce n'est pourtant pas une défaite. Dans nos jeux, il n'y a que deux vainqueurs.

Il me détache, m'attire contre lui, des mots tendres viennent remplacer ceux par lesquels il m'humiliait quelques instant avant, quand je le défiais, il me rappelle que ce n'est qu'un jeu, essuie mes joues humides. Nous nous sourions, complices, amoureux. Puis son regard s'assombrit, mon poul s'accélère, je déboucle maladroitement sa ceinture, il va me prendre, là, brutalement, je veux qu'il me baise. Il ne sera pas doux, un spasme me secoue, je gémis, mes doigts s'accrochent fébrilement à ses épaules, froissent sa chemise, je l'aime.

La soirée commence à peine et nous avons toute la nuit.
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Samedi 19 janvier 6 19 /01 /Jan 07:31

...et oui car voici ce que cet homme honorable écrivait et que j'aimerai graver sur ce blog tel un fronton :

"Retirez vous, censeurs intrabilliaires,

Fuyez, dévôts, hypocrites ou fous,

Prudes guenons et vous vieilles mégères,

Nos doux transports ne sont pas faits pour vous."

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mercredi 9 janvier 3 09 /01 /Jan 07:35

En manque d'idée pour une sortie ? En voici une qui pourra, sous couvert de visite sérieuse, vous donner des idées un tantinet coquines...

Visitez donc l'Enfer... de la Bibliothèque Nationale, bien sûr... Une salle secrète qui recèle les ouvrages érotiques interdits.........

Pour le grand public contemporain, l'Enfer de la Bibliothèque s'entend comme une légende, un fantasme, le territoire majeur de l'interdit qui alimente en retour toutes les curiosités. Mais l'écart est grand entre ce mythe et la réalité. Aussi l'ambition de l'exposition que la BnF consacre à cette part obscure de ses collections consiste-t-elle à lever le voile sur la vérité de l'Enfer. Il convient d'abord de retracer l'histoire, pleine de surprises, de la constitution de ce lieu abstrait, mental – une « cote », un numéro de classement qui le désigne à la consultation « réservée » – où sont rassemblés textes et images réputés contraires aux bonnes mœurs. L'exposition propose un double parcours. L'un concerne l'histoire : comment l'Enfer s'est-il constitué au département des Imprimés et au département des Estampes ? Comment a-t-il évolué ? Le second propose une déambulation à travers le contenu de l'Enfer : quels sont les livres, les documents, les images que l'on a classés là ? Ces parcours à travers la littérature telle qu'elle n'est pas enseignée vont à la rencontre d'un monde imaginaire où les personnages obéissent à toutes les fantaisies du désir, où l'excès de la parole devient pamphlétaire et le discours politique, pornographique. Ce monde c'est celui de l'anonymat, du pseudonyme, des fausses adresses, des dates trompeuses, des éditeurs clandestins, des lieux clos, celui des couvents, des boudoirs, des bordels, des prisons mais aussi des bibliothèques. Des écrivains tels que Sade, Apollinaire, Louÿs, Bataille et quelques autres en sont les acteurs à jamais anonymes de la célébration de l'érotisme et du sexe entre le XVIe et le XXe siècle. Une large place est offerte aux premières manifestations de la photographie pornographique et de même sont exposées les estampes japonaises entrées à la Bibliothèque grâce à la générosité des premiers collectionneurs occidentaux.

Exposition interdite aux moins de 16 ans.

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 27 décembre 4 27 /12 /Déc 07:30
Un petit homage à une femme libre Alice Prin dite "Kiki de Montparnasse."
Enfant illégitime, elle est élevée par sa grand-mère dans une grande pauvreté. À l'âge de douze ans, on l'envoie à Paris pour son éducation et à quatorze ans elle pose nue pour des sculpteurs.
 
Alice Prin a été un modèle populaire.
 
En 1921 elle devient la compagne et le modèle préféré de Man Ray qui disait que son physique était de la tête aux pieds 'irréprochable'. Il fit d'elle de nombreuses photographies dont la célèbre photo d'une femme assise dont le dos porte des ouvertures analogues à celles d'un violoncelle.
Image:Julian Mandel 6.jpg

Violon d'Ingres - Man Ray

 

Retrouvez cette charmante femme dans une BD récente de très grande qualité :

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Pas de tabou ni de censure sur ce site, (vous me connaissez)... Vous pouvez tout me dire....

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