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Littérature érotique

Mercredi 25 juillet 3 25 /07 /Juil 07:52
Art difficile que  la poésie érotique...Etre doux sans être mièvre, être grivois sans être vulgaire... Sans que des rimes peu heureuses viennent casser l'ambiance suave qui doit s'installer....
Voici quelques mots rimés qui me paraissent de bon aloi. Queleurs auteurs en soient remerciés et félicités.
 
CHANGEMENT DE PEAU
Je suis hypnotisé par la peau de ses cuisses
Qui monte lentement, apaisée, blanche et lisse
Et qui soudain s'incurve et s'exalte et frémit
Et se change en d'obscurs et puissants maléfices
En bouquets ténébreux d'ardents feux d'artifices
Et vibre brusquement comme un nid de fourmis.
 

L'IMPASSE
Gloire à ce sentier clair , cette grand'voie royale,
Cette route pentue pour fêtes compitales,
Ce tunel ténébreux, glissant, étroit et long
Cette allée sans issue, cette ineffable passe,
Ce profond chemin creux, cette éternelle impasse
Dont nul n'a jamais pu sortir qu'à reculons.
LIMITES
Souvent, seule et en vain, je cherche sans repos
La limite indistincte et trouble de ma peau;
Je me perds, je m'égare et je me fuis sans cesse
Dans l'espace à l'entour de moi, vague et abstrait
Et ne me perçois plus qu'a l'intérieur feutré
Du monde merveilleux et pur de ses caresses.
 

DIFFÉRENCES
Ce que j'aime le plus, chez nos voisins, les hommes,
C'est d'être différents de ce que nous, nous sommes,
C'est de sembler très rude et d'être, en fait, très doux,
C'est d'être rectiligne où nous avons des bosses
C'est d'être mince et ferme où l'on est lâche et grosse
Et c'est d'avoir de dur ce que nous avons mou.
 

DIALOGUE
Le premier :
Ma femme (j'ai trop bu!) a bien changé, je crains
Qu'elle ne m'aime plus, me trompe, et c'est un drame
Que je vis... J'ai trop bu... J'ai noyé mon chagrin…
Le second :
-A ta place j'aurai plutôt noyé la femme. 
 
MAIN À MAIN
L’œuvre du Créateur se devine derrière
L’ineffable splendeur de ses charmes soyeux
Et ma main qui caresse encolure et crinière
À travers ses beautés, frôle la main de Dieu
 
BOUCHES
On ne doit pas parler avec la bouche pleine
C'est grossier, impoli, si les enfants l'apprennent
Dès leurs plus jeunes ans, c'est que ce n'est pas beau.
Mon amie néanmoins, a tourné le problème
Quand sa bouche inférieure est pleine, alors elle aime
A tue-tête crier par sa bouche du haut.
 

TRAVAUX MÉNAGERS
Les travaux ménagers m'épuisent, me salissent
Me font porter des gants pour garder mes mains lisses
Mais quand ils sont finis me reste le meilleur
Le monsieur généreux qui chaque soir épanche
Pour mon plus grand bonheur cette tornade blanche
Qui lave et fait briller mon petit intérieur.
 

INTERROGATION
Quel peut être le sens profond
De ce long attribut qui darde ?
Hé! Qui sait! n'est-ce pas, au fond
Qu'un pied de nez de la Camarde !
 

ARCHÉO-GYNIE
Depuis qu'enfin j'ai vu, sous vos fins et doux linges,
La frontière mythique, il m'est venu l'idée
Que si l'homme descend prétendument du singe
La femme, sans nul doute, est née de l'orchidée.
LES VEUVES
S'adaptant de leur mieux, seulement pour survivre,
Je connais mainte veuve hautaine et digne qui,
Nostalgiques des fortes liqueurs qui enivrent
Se saoulent tous les soirs au gin et au whisky.
 

L'ENDROIT ENVIÉ
Il me plaît de penser que certains de mes vers
Écrits avec un cœur quelque peu de travers
Et transmis en tremblant à des beautés cruelles,
Aient fini mieux que moi -triste et seul plus d'un soir-
Jalousement cachés au fond d'obscurs tiroirs
Entre les fines soies de dessous de dentelles.
 

SEINS-SOLEILS
Les globes de ses seins sont comme deux soleils,
L'un sert pour le coucher, l'autre pour le réveil,
Quand s'avance le droit, le gauche se recule,
Ils ont le goût du vent, la fureur de l'éclair
Et savent réunir, à la fois sombre et clair
Le rose de l'aurore et l'or du crépuscule.
 

LE NOUVEAU JASON
Argonaute naïf, Jason sans expérience
Mais, chercheur obstiné, grand amateur de science,
Navigateur furtif errant de port en port,
Endeuillé, douloureux, couvert de cent blessures,
Je n'ai jamais trouvé que des toisons obscures
Mais les ai vénérées comme des toisons d'or.
 

LE SHAH
              Fasse le ciel qu'un jour ...un poète ... donne ...
              à cette vraie merveille un joli nom chrétien.
                                        Georges Brassens.(Le blason)

Certains l'appellent "Chas" et d'autres "Chat" ou
                                                                       "Chatte"
Moi, si j'ai choisi "Shah", c'est au sens autocrate
De Cacique, de Tzar, de Pharaon, de Cheik,
De Tyran absolu qui juge et qui gouverne,
De Seigneur devant qui le peuple se prosterne,
D'Empereur de la Perse et de Roi des échecs.
 

L'ASSIETTE ET LE DÉCOLLETÉ
Mon père, homme de cœur, anti-héros notoire
Me contait quelquefois d'amusantes histoires.
La veille d'un mariage où j'étais invité,
Il me dit: "Interdit, même avec tes cousines,
De lorgner dans l'assiette emplie de tes voisines,
Mais tu peux regarder dans leur décolleté.
 

LE RETOUR DU NOCTAMBULE
Quand je rentre très tard, la nuit, je prends bien garde
De ne faire aucun bruit. Ainsi, je me hasarde
Dans le noir, évitant table, chaise et fauteuil
Sur la pointe des pieds, à tâtons et sans hâte
Redoutant le réveil de sa petite chatte
Qui, je le sais m'attend, et ne dort que d'un oeil.
 

APPARENCE ET RÉALITÉ
La vraie réalité se joue de l'apparence
L'Homme et la Femme sont en pleine incohérence
Toujours trompant autrui et se trompant toujours,
Tels qu'on voit discourir tendrement, se déchirent,
Et tels autres, qu'on croit aux limites du pire,
Qui effraient les enfants et les chiens, font l'amour.
 

LE DON TOTAL
Les femmes donnent tout. Elles donnent la vie,
L'amour et le bonheur, leur vertu, leurs dessous,
Leur beauté, leur gaité, leurs charmes, leurs envies,
Et ne nous prennent rien, sauf notre âme et nos sous.
 

JOYAU VOILÉ
Cypris, qui n'aime pas la couleur violette
Du quintuple rubis de son joyau final
Essaie de le cacher au mieux, tant bien que mal
Sous l'épais réseau noir d'une chaste voilette
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Lundi 23 juillet 1 23 /07 /Juil 07:38
A cette époque je n’étais pas encore avec Seb mais encore avec mon ex. Nous vivions en banlieue dans le 93 dans un appartement triste, d’un immeuble triste, d’une ville encore plus triste…Tandis que mon ex passait son temps entre ses maitresses et notre vie de famille, je tuais mon temps libre chez des amis à quelques étages inférieurs. Un couple de copains à vrai dire plutôt que des amis, en fait mes soirées chez eux se confinaient à écouter de la techno sur le PC en regardant des « frags », en fumant et aussi en buvant pas mal d’alcool.

En bref, je m’emmerdais dans ce coin paumé et je me demandais bien comment, un jour, j’allais en sortir avant de me foutre en l’air… C’était dépriment et ce genre de soirée me permettait d’oublier le quotidien.

Ce soir là, entre « amis », nous discutions, buvions, rigolions, fumions, refaisions le monde…Et bien sûr de mon coté je parlais cul franchement sans vulgarité mais avec une petite pointe de provocation qui pouvait choquer. Je parlais de mes coups d’avant mon ex…pas de ceux pendant…vu que mes voisins et lui s’entendaient à merveille. Personnellement j’avais bien envie de baiser avec un autre…Mais bon quand on est amoureuse et naïve comme je l’étais à cette période…On reste fidèle à celui qui lorsqu’il est absent : baise, sodomise, se fait sucer (placez le dans l’ordre que vous voulez…LOL) et rentre chez « bobone » en lui demandant :-« ça a été ma chérie ? Tu t’es pas trop ennuyée » ?
Par contre à ce moment précis je savais que mon ex me trompait et j’avais eu en représailles quelques aventures…Mais là, j’avais envie de sexe. Je pensais à ce voisin mignon que je croisais de temps en temps…Bonjour…Bonsoir…On se regardait en souriant…mais derrière son regard j’espérais franchement qu’il se dise…-« Si je pouvais la baiser celle là »… Mais bon… s’il avait su que je pensais…-« J’aimerais bien qu’il me baise celui là »… Nous aurions depuis longtemps exprimé nos pensées verticales sur le plan horizontal… Il était mignon…avait une copine qui vivait avec lui…tous les ingrédients de l’amant qui ne vous prend pas la tête avec des « je t’aime mon grand amour…je veux quitter ma femme…et vivre avec toi »…Mais juste qui vous prend le « minou » en osant faire tout ce qui n’est pas classique et qui donne du piment dans une relation.

Châtain, les yeux marron, pas trop grand, un joli physique genre sportif et la trentaine. Pour celles et ceux qui veulent savoir mon physique...Je fais 1m65 pour 48 kilos je suis blonde aux yeux bleus, j'ai des petits seins mais très beaux et c'est vrai un "cul d'enfer". …..

Ce soir là j’étais en jeans baskets avec mon petit pull col roulé vert pomme très doux et très moulant. Rien de très sexy mais bon c’était une soirée « classique » et les invités de mes voisins décoiffaient dans la banalité…Les garçons présents ne me disaient vraiment rien. Je sais juste qu’à un moment de la soirée j’avais vraiment la tête qui tournait, lorsqu’on fume, boit du whisky et qu’on mange à peine…le résultat est affligeant, on est complètement pété. Et c’est dans cet état lamentable que je m’apprêter à quitter les fêtards tout aussi « éclatés » que moi … Sur le palier de mes « copains », je pris la cage d’escalier pour grimper les deux étages me séparant de mon lit. J’appuyais sur la minuterie et sous la lumière agressive je progressais en tenant fermement la rampe. Le bruit d’une porte grinçante et des pas descendants sur les marches m’indiquer que j’allais croiser…Bien par hasard mon joli voisin, sac poubelle à la main qui maintenant me dévisageait sur le palier de l’étage supérieur…
Pourquoi perdre du temps ? En échanges polis de « bonjours », de « bonsoirs »…En discussions interminables… Alors qu’il est plus facile de s’approcher doucement en se regardant droit dans les yeux et de …s’embrasser…

-« Woaw ! Tu sens l’alcool » ! Me dis-t-il d’une voix caverneuse en s’essuyant les lèvres humides de ma salive…

-« Oui j’ai un peu trop bu ce soir »

Je glissais ma main sur l’entrejambe de son pantalon « Nike » et je touchais et caressais à pleine main cette belle bosse qui à chaque seconde gonflait au contact de mes doigts. La poubelle rejoint le sol et je sentis ses bras m’enlacer et ses mains chaudes venir me caresser tandis que nos langues revenaient s’entremêler. L’avantage des joggings c’est la facilité avec laquelle on peut y glisser sa main…Les miennes s’y étaient engouffrées fébrilement et tenaient la base de sa queue bandée à mort. Mes doigts vicieux tout en branlant commencèrent à malaxer les couilles rasées de mon partenaire d’escapade…
C’était parti ! Sa réaction fut immédiate d’un geste il écarta l’élastique du pantalon sport et du slip et les baissa sur ses genoux. Je tenais toujours sa bite à deux mains et de face je regardais son engin allé et venir entre mes doigts entrecroisés. Il me tenait les poignets et faisait son va et vient comme pour baiser entre mes doigts. J’aidais le mouvement du mieux que je pu, je me baissais en ouvrant la bouche pour accueillir sa verge et le sucer…
La lumière s’éteint et sa queue disparu dans le noir total.
Le même –« merde » ! Venait de nous échapper…J’entendis ses pas…
Mon excité giflait le minuteur pour que le spectacle revienne. Revenant derrière moi le sexe plaqué dans mon dos, ses mains m’entourèrent la taille et ses doigts agiles vinrent un par un dégrafer les boutons de mon jeans. Il fit glisser doucement le vêtement le long de mes jambes et je me retrouvais jeans et culotte baissés mes fesses plaquées contre sa verge.
D’un geste sûr il me fit pencher en avant, je pris appuies des mains sur les marches du palier. Se positionnant sur le coté, mon voisin, dégageant mon pied du jeans, avança ma jambe de deux marches afin de m’ouvrir plus à lui. Ainsi écartelée ses doigts me pénétrèrent immédiatement pour contrôler l’humidité de mon excitation et aussi prendre ses repères et distances pour la pénétration qui allait suivre. Il écarta mes fesses de ses doigts, j’étais prête, offerte, détendue par le désir et l’ivresse…Je commençais à haleter doucement, délicatement, mouillée comme une petite chienne…
Lorsque je senti le gland nu de son sexe presser mon anus et d’un coup de rein me l’ouvrir et le pénétrer.
-« Il m’encule directement »… ?
La surprise fut totale, en une seconde sa verge venait de m’enculer…Mon anus détendu l’avait laissé passer comme une lettre à la poste. Lorsque sa verge fut plantée jusqu’à la garde, je senti mon muscle anal se contracter et se resserrer brusquement sur ce pieu surprenant. Je lâchais un cri de stupeur et de douleur…Le va et vient de sa queue fut rapide, sans concessions…Mon voisin me ravageait l’anus sans la moindre délicatesse et attention…Son coup de hanche sportif augmentait dans un rythme infernal qui fut interrompu par une fausse route aussi brutale que surprenante conduisant sa bite de mon anus à mon vagin…La pénétration brutale de mon vagin me fit sursauter et hurler. Mon baiseur continuait à la même cadence surexcité par mes cris. S’apercevant de cette fausse manœuvre il extrait à nouveau sa verge et me la replante sans délicatesse dans mon petit trou qui commençait à se rétracter…Un bruit de pet prolongé enveloppe aussitôt la nouvelle pénétration anale, résultat de la baise vaginale purgeant l’excès d’air accumulé. Humiliée et stupéfaite je sens à nouveau la verge me baiser très fortement l’anus. Mon amant d’escalier saisissant mes bras et les tirants en arrière, je me retrouve cambrée contre lui, mon cul recevant les coups fougueux de son ventre et de sa verge me pénétrant en entier à chaque coup de rein. Je sentais la verge s’extraire de mon cul et y replonger à une vitesse folle. Ponctuant son action aussi violente que rapide mon baiseur respirait de plus en plus vite, soufflant comme un sportif en plein effort lors d’une compétition. Ma tête virevoltait d’avant en arrière et de droite à gauche, et secouée comme un sac ou une poupée de plaisirs je sentais monter en moi un orgasme terrible à la mesure de ce pilonnage.

Mon cri de jouissance tonna dans la cage d’escalier… Je me lâchais complètement et j’arrosais de ma jouissance de femme fontaine les couilles de mon partenaire qui lui dans un râle de bête se vidait dans mon anus. Le « Pliischhh » ! de ma jouissance le surpris, il se retira sans ménagement afin de voir ce qu’il se passait… Son sperme un instant conservé dans mon rectum s’échappa par mon anus encore ouvert avec un léger bruit de bouteille de soda que l’on secoue…Le « sploctch »…des flaques de sperme coulant de mon cul s’égrenait sur les marches. Je restais un instant dans la position d’une femme qui urinait égouttant l’excès de sperme derrière moi…Je me tenais la tête, saoule de cette jouissance inattendue, le cul souillé et trempé. Je me retournais…Mon voisin avait disparut dans l’escalier, repris son sac poubelle pour aller la vider dans le local du bas…Il avait repris son chemin sans dire un mot, sans même m’adresser la parole ou échanger quelques baisés ou caresses.
Je remontais chez moi le cul collé de sperme, je m’assis dans ma douche et la fit couler longuement pour me nettoyer.

Quelques jours après, avec mon ex, nous croisions ce voisin accompagné de sa femme dans l’entrée de l’immeuble…

Bonjour !... Bonjour !...

Mais au regard je su qu’il devait maintenant sortir plus souvent les poubelles le soir.
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 07:35

Je viens de terminer le pemier ouvrage que j'ai pu trouver de Françoise Rey et je vous le recommande tout particulièrement. Une vraie écriture érotique où les mots "crus" s'intègrent à l'histoire avec un très grand naturel. Beaucoup de passage qui alternent excitation et émotion.

Je cours m'acheter ses autres livres...

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 19 juillet 4 19 /07 /Juil 08:02

"Prenez un cercle, caressez-le, 
il deviendra vicieux !

Ionesco

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mercredi 18 juillet 3 18 /07 /Juil 07:47
... et vous, quellel en serait votre définition ?
Si toutes les femmes ont le même clavier, chacune, néanmoins, doit être touchée différemment.
 [André Rouvert]
Extrait de Le libertin raisonneur
 
 
 
 Pour comprendre qu'être jaloux charnellement est une idiotie, il faut avoir été un libertin.
 [Cesare Pavese]
Extrait de Le Métier de vivre
 
 
 
Le coeur d'un libertin est fait comme une auberge, on y trouve à toute heure un grand feu bien nourri.
 [Alfred de Musset]
 
 
  
 La chambre où l'on se trouve enfermé est déjà une prison quand le bonheur y est avec nous.
 [André Rouvert]
Extrait de Le libertin raisonneur
 
 
     
 
Il n'y a pas de libertin un peu ancré dans le vice qui ne sache combien le meurtre a d'emprise sur les sens.
 [Vladimir Nabokov]
Extrait d' Ada
 
 
     
  Un auteur, homme de goût est, parmi ce public blasé, ce qu'une jeune femme est au milieu d'un cercle de vieux libertins.
 [Chamfort]
Extrait de Maximes et pensées
 
 
   
 
 > On a beau blâmer les libertins, ils restent quand même les seuls à avoir employé les moyens de retenir celles qui leur plaisent.
 [Bertrand Vac]
Extrait des Histoires galantes
 
 
 
  Un libertin habile à cacher ses fredaines fait moins souffrir qu'un honnête homme qui n'a pas la force de garder pour lui ses tentations.
 [Paule Saint-Onge]
Extrait de Ce qu'il faut de regrets
 
 
 
 
 Tout homme qui a des rapports sexuels avec deux femmes à la foi risque la syphilis même si les deux femmes lui sont fidèles, car toute attitude libertine incite spontanément cette maladie.
 [Alexandre Weill]
Extrait de Les lois et les mystères de l'amour
 
   
 
 
 
  Le gourmand creuse sa fosse avec ses dents. Et, avec quoi, le libertin ?
 [Hyppolyte Domont]
Extrait de Propos de mon village
 
 

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 07:58

Toujours dans ce projet un peu fou d'encyclopédie érotique, voici ce que nous pourrions y lire à la lettre S

La sodomie est un rapport sexuel. Elle consiste en une pénétration de l'anus puis du rectum du ou de la partenaire, généralement avec la verge. On peut aussi utiliser un godemichet, un jouet sexuel simulant un phallus.

 

 

 

Elle est généralement pratiquée par un homme sur un homme ou une femme. Le godemichet, éventuellement monté sur un harnais (« gode-ceinture »), permet à une femme de sodomiser un ou une partenaire. On a relevé son existence chez certains animaux, notamment chez des primates comme les chimpanzés ou les bonobos, les chiens et les taurillons élevés en stabulation.

 

Autres noms

 

La sodomie est également appelée pédication dans un registre plus soutenu. Il existe un bon nombre de surnoms populaires pour désigner le coït anal (pénétration rectale) : culbutation, tassement de crotte, ou boxe du ver solitaire. De manière extrêmement vulgaire, on utilise les termes baisage de boule ou de fion et enculade. Il est à noter que ce dernier, « se faire enculer », est aussi utilisé pour désigner le fait d'être victime d'une arnaque ou d'être le perdant d'une bagarre. Dans le 'catalogue des prix de l'amour' de Mademoiselle Marcelle Lapompe (1910 env.) le terme utilisé est "voyage en terre jaune".

 

 

 

 

 

Étymologie

 

Le terme de sodomie vient du nom de la ville de Sodome qui, selon la Bible, fut détruite par Dieu pour ses mœurs jugées perverses (cf. l’épisode de Sodome et Gomorrhe). Dans cet épisode, il ne serait pas explicitement fait mention de la sodomie telle qu’on la définit actuellement : les habitants de Sodome sont en effet caractérisés par un grand appétit sexuel. En somme, les Sodomites (habitants) ne sont pas forcément sodomites (pratiquants de la pénétration anale). On trouve aussi cette histoire dans le Quran, où Dieu parle du même village avec le nom de "KÂoumou Lout", Dieu qui a envoyé un prophète pour montrer à ces gens le droit chemin, mais à cause de leur ignorance Dieu a détruit ce peuple !

 

 

 

L’écrivain François Cavanna signale que nous n’avons en revanche à ce jour retrouvé aucune information sur la gomorrhie. Le terme est considéré comme synonyme de sodomie.

 

 

 

Dans certains contextes, notamment les classifications légales de certains États fédérés des États-Unis d'Amérique, le terme anglais sodomy inclut d’autres pratiques sexuelles jugées déviantes par certains, notamment le cunnilingus et la fellation (contact entre la bouche et le sexe). En allemand (Sodomie) et en norvégien (sodomi), le terme ne fait aucunement référence à la pénétration anale mais désigne la zoophilie.

 

 

 

D’une manière similaire, le terme « bougre » (du latin Bulgarus, qui donne l’ancien français bogre) désignait à l’origine les bogomiles (« amis de Dieu » du bulgare Bog « dieu » et mile « ami »), membres d’une secte bulgare hétérodoxe proche des mouvements cathares. On avait accusé ces bogomiles du péché de sodomie afin — entre autres — de les tourner en dérision. « Bougre » en est donc venu à ne plus désigner les seuls Bulgares bogomiles, mais aussi de manière injurieuse les sodomites. Par affadissement, le terme a désigné un « gaillard » et enfin un « individu ». Le cognat anglais bugger a gardé le sens original de sodomite.

 

 

 

Platon nommait la sodomie « saillie des mâles ».

 

 

 

Certains appellent la sodomie un 99 en référence au 69.

 

 

 

 

 

Aspects historiques

 

 

 

Amour romain entre un homme et un adolescentLa sodomie entre hommes, si elle ne fut pas la position sexuelle privilégiée, fut pratiquée dans la Grèce antique, ainsi qu'à Rome, dans le cadre d'une relation entre un homme plus âgé, le maître, actif, et son élève, passif, plus jeune.

 

 

 

Sous l'Inquisition espagnole du XVIe et XVIIs siècles[1], la sodomie, à l'instar de la bestialité, était considérée comme un péché abominable. La sodomie était qualifiée de parfaite si elle était le fait de deux hommes et imparfaite (donc moins grave) si elle était le fait d'un homme et d'une femme. À noter que le terme incluait secondairement d'autres pratiques sexuelles, telle que fellation, cunnilingus, masturbation, onanisme, etc. La torture était fréquemment pratiquée : y résister était une preuve de bonne foi.

 

 

 

La sodomie pouvait valoir à ses auteurs le bûcher, les galères, la prison à vie ou pour plusieurs années, le bannissement, des pénitences diverses... ou simplement d'être fouetté en public, selon la gravité de l'acte soigneusement pesée par les inquisiteurs. Cependant, dans ce domaine, la justice civile était encore plus sévère et plus expéditive.

 

 

 

En France comme dans de nombreux pays, la sodomie fut longtemps interdite. En 1726, un lieutenant de police est brûlé vif en raison de « crimes de sodomie », le jour même de son accusation. D'après Michel Foucault « ce fut, en France, une des dernières condamnations radicales pour fait de sodomie » (Histoire de la folie à l'âge classique). La sodomie disparaît du code pénal révolutionnaire en 1791.

 

 

 

Au Canada, la loi anti-sodomie est révoquée en 1969 par Pierre Elliott Trudeau.

 

 

 

 

 

Pratique

 

Contrairement à la vulve et au vagin, l’anus et le rectum ne sécrètent pas de lubrification naturelle facilitant le rapport sexuel. Cependant, l'anus est particulière innervé, source d'un possible plaisir pour le receveur. De plus, lors de la sodomie passive masculine, la pression exercée contre la prostate peut conduire à un orgasme.

 

 

 

On utilise donc habituellement, plus que la salive qui peut s'avérer insuffisante, un lubrifiant artificiel. Autrefois, la vaseline servait souvent à cet usage, mais à base de gras, elle fragilise les préservatifs tout en étant plus difficilement lavable. De nos jours, sont donc plutôt utilisés des lubrifiants intimes à base d’eau ou de silicone.

 

 

 

Le rectum pouvant contenir des restes de matière fécale, certains pratiquent un lavement avant de débuter une sodomie. Néanmoins cette pratique peut fragiliser le rectum.

 

 

 

 

 

Risques médicaux de la sodomie

 

Une pénétration trop brutale peut provoquer micro-coupures ou saignements. La sodomie peut provoquer des fissures anales, voire (pour les pratiques extrêmes dérivées de la sodomie) un prolapsus anal ou une incontinence anale.

 

 

 

Le sphincter anal est normalement resserré, sauf pendant la défécation. De ce fait, la sodomie peut être douloureuse.

 

 

 

D'autre part, la muqueuse rectale est fragile et poreuse aux virus et bactéries. Elle a la propriété (dont tirent parti les suppositoires) d’absorber les substances déposées dans le rectum. En conséquence, elle est un terrain propice aux échanges de maladies sexuellement transmissibles, notamment du SIDA. C’est la raison pour laquelle il est fortement déconseillé d’avoir un rapport anal sans préservatif avec une personne dont on ne sait pas si elle est infectée par de telles maladies.

 

 

Popularité

 

Sondage TNS/Sofres de 2001 en France auprès de 500 femmes sur la « pénétration par l'anus » affirmation taux de réponse

 

ont pratiqué et aimé 10%

 

ont pratiqué mais pas aimé 19%

 

n'ont pas pratiqué mais le voudraient 3%

 

n'aimeraient pas vraiment essayer 9%

 

ne le feraient en aucune façon 36%

 

aucune réponse 23%

 

En 1998, lors d'un sondage réalisé en France, 33% des personnes interrogées déclarent trouver « plutôt pas » ou « pas du tout choquant » que leur partenaire leur propose la sodomie, contre 47% choisissant la réponse « tout à fait » ou « plutôt choquant »[2]. En 2001, 29% des femmes interrogées déclarent avoir pratiqué la sodomie[3].

 

 

 

 

 

Sodomie et virginité

 

Dans certains milieux sociaux ou religieux, la sodomie peut également être une alternative à la pénétration vaginale pour ne pas rompre l’hymen de la femme avant le mariage ou éviter la fécondation, comme chez les Perses, où elle a longtemps été fortement recommandée comme un moyen de contrôler les naissances, notamment par l'intermédiaire de codes rédigés à cette intention par les chefs religieux.

 

 

 

 

 

Répression

 

 

 

Bûcher du Chevalier de Hohenberg et de son valet, accusés de sodomie, en 1482, devant Zurich

 

Sodomie versus reproduction

 

Pratique considérée comme déviante puisque ne menant pas à la reproduction, entourée des tabous liés aux fonctions excrétrices (l’anus étant concerné), surtout dans les civilisations où ces fonctions naturelles sont jugées honteuses, la sodomie est reçue de manière très diverse selon les sociétés et les religions. De nos jours, certains pays criminalisent toujours la sodomie entre adultes consentants, allant même jusqu’à requérir la peine de mort[réf. nécessaire]. La sodomie est aussi très souvent rapprochée de manière plus ou moins clichéique de l’homosexualité masculine.

 

 

 

En outre, la sodomie étant jugée comme une pratique le plus souvent homosexuelle, elle est entourée de tabous liés à cette orientation sexuelle. En effet, l’idée qu’un homme pénètre un autre homme porte atteinte aux stéréotypes sexistes voulant que l’homme soit le pénétrant actif, le pénétré passif étant considéré comme inférieur.

 

 

 

 

 

Sodomie et puissance masculine

 

Dans la Rome antique, un homme libre qui sodomisait ses esclaves manifestait sa puissance. En revanche, un homme libre sodomisé se ravalait à un rang inférieur, et cette passivité était considérée comme honteuse. C’est pour ces raisons qu’on compte, au titre des injures homophobes les plus courantes, des expressions comme (sale) enculé ou va te faire enculer, qui rappellent bien que, d’une manière stéréotypée et inconsciente, celui qui se fait sodomiser, surtout un homme, serait moins qu’un homme, un sous-être.

 

 

 

Notons que le mot enculer est un synonyme vulgaire du mot sodomiser et que l’injure peut devenir une simple interjection, enculé !, somme toute démotivée et parfois positive voire affectueuse. De même, l'expression va te faire voir chez les Grecs peut signifier va te faire enculer (chez ou par les Grecs) à cause du cliché selon lequel les Grecs seraient homosexuels et donc pratiqueraient la sodomie.

 

 

 

 

 

Aspects juridiques

 

En anglais, sodomy ne désigne pas seulement la pénétration anale. Dans les expressions comme sodomy law, loi qui régissait les pratiques acceptées ou interdites dans tel ou tel État américain, il fallait comprendre sodomy comme pratique sexuelle jugée déviante, parmi lesquelles, outre la sodomie pouvaient être comptés la fellation et le cunnilingus. Ces lois, le plus souvent, étaient des manières d’interdire l’homosexualité. Elles s’appuyaient sur un cliché faisant des homosexuels mâles des sodomites, alors que cette pratique n’est bien entendu pas acceptée par tous les homosexuels et que des hétérosexuels la pratiquent aussi.

 

 

 

La section 377 du Code Pénal indien, intitulé « Des délits contre-nature » punit « les relations charnelles contraires à l’ordre de la nature » d’une peine pouvant atteindre 10 ans d’emprisonnement.

 

 

 

En 2003, la Cour suprême des États-Unis a déclaré anticonstitutionnelles les lois de certains États fédérés contre la sodomie. Elles violent le XIVe amendement de la constitution qui protège la vie privée et la liberté des citoyens américains. Treize États fédérés, situés surtout dans le sud du pays, pratiquaient jusqu’alors des lois contre la sodomie entre adultes consentant, dont quatre condamnaient aussi les fellations : le Texas, le Kansas, l’Oklahoma et le Missouri.

 

 

 

Le 1er juillet 2006, apparaît au Zimbabwe l'article 73 de la "criminal law", menaçant celui pratiquant la sodomie de deux ans de prison (source Têtu) - bien que cette loi, mentionnant explicitement la sodomie, semble plutôt viser l'homosexualité.

 

 

 

 

 

Sodomie, religion, mythologie

 

L’Église catholique a longtemps condamné — et continue de le faire — la sodomie comme faisant partie des pires perversions humaines. Certains considèrent qu’il y aurait là une mauvaise interprétation de la Bible, et que celle-ci, du moins dans l’épisode de Sodome et Gomorrhe, ne serait pas expressément mentionnée. (Cf. Vision chretienne de l'homosexualité pour une étude plus approfondie). Les plus graves théologiens ont savamment discuté sur la nature de la sodomie ; on en trouvera un excellent résumé, dans le Compendium Theologiae Moralis Sancti Alphonsi Mariae de Liguori du chanoine Neyraguet, plusieurs fois réédité au XIXe siècle.

 

 

 

« Les uns, dit-il, estiment que la sodomie consiste dans le commerce charnel dans le vase indu, et d’autres dans le commerce charnel avec le sexe indu ». Mais la seconde opinion étant plus probable, il peut donc y avoir sodomie entre femmes, même si nos théologiens se demandent comment elles s’y prendraient, mais non entre un homme et une femme ; le coït du mâle dans le vase postérieur de la femelle n’étant qu’une sodomie imparfaite, distincte dans son essence de la sodomie parfaite. En revanche la fellation par un homme peut être qualifiée de sodomie, au contraire de celle que pratique une femme : « si vir polluitur in ore fæminæ, erit copula inchoata [...] si vero in ore maris, erit sodomia ».

 

 

 

Une légende veut que la sodomie fût pratiquée comme cérémonie d’intronisation des nouveaux membres de l’ordre des Templiers. Le qualificatif sodomite fit d’ailleurs partie de l’acte d'accusation lors du procès des Templiers.

 

 

 

 

 

Mythologie

 

Il existerait un dieu chinois de la sodomie appelé Chou Wang (voir l'article dévolu pour plus d'explications).

 

 

 

 

 

Anecdotes

 

À un juge qui lui demandait s’il était exact qu’il était sodomiste (sic), Paul Verlaine répondit : « On dit sodomite, monsieur le juge. »

 

Boccace, alors qu’il vivait à Paris, eut des ennuis avec l'Inquisition qui l’accusait d’avoir traité sa maîtresse « à la mode napolitaine » : « J’avoue ignorer ce que signifie cette expression, répondit-il. Mais peut-être entendez-vous ce qu'on appelle chez nous alla francesa. » On rit, et on ne poussa pas l’affaire plus loin.

 

Le film franco-italien Le Dernier Tango à Paris de 1972 présente Paul (Marlon Brando) et Jeanne (Maria Schneider) utilisant comme lubrifiant une plaquette de beurre.

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Lundi 16 juillet 1 16 /07 /Juil 07:41

Quelques petits conseils pour se préparer à un entretien d'embauche (ce blog aura décidémment vocation à s'occuper de tous les sujets, y compris celui de lutter contre le chômage...) Anne raconte...

Préparation psychologique
Je venais de me faire licencier et cet entretien pour ce job était vital pour moi. Il faut absolument que je sois embauchée. C’est ce que je me répétais depuis la veille au soir dans mon bain. Je m’accordais un bon bain chaud avec huiles relaxantes pour me préparer psychologiquement à cet entretien.
Je m’assoupissais dans le bain et essayais de ne penser à rien. En prenant mon rasoir pour évacuer les quelques poils récalcitrants sur mes jambes et mon minou, j’effleurais du dos de la main mon clitoris. La sensation fut très agréable, et je décidais de continuer pour me détendre complètement.
Je commençais par des vas et viens du plat de la main sur mes grandes lèvres fraîchement épilées. J’ajoutais un peu de mousse parfumée pour adoucir encore plus la caresse. Cela fut concluant et je fermais les yeux pour mieux apprécier. Petit à petit j’écartais les lèvres afin d’atteindre mon clitoris. Mes caresses avec la main commencèrent à le préparer et à le faire gonfler un peu pour la suite.
De temps en temps, comme par inadvertance, l’un de mes doigts faisait une caresse un peu plus appuyée sur mon clitoris et cela me ravissait.
Je m’enfonçais dans mon bain pour me mettre plus à l’aise et je plaçais un de mes mollets sur les bords de la baignoire pour écarter au maximum mes cuisses. Cela eut pour effet aussi de mettre à jour mon petit anus. Je décidais de m’en occuper aussi.
Avec mon autre main, je plaçais un doigt face à mon petit trou et commençais à pousser doucement dessus pour le faire entrer. L’eau et l’huile de beauté que j’avais versé dans mon bain aidant, j’introduis sans difficulté un doigt et commençais à le faire bouger et tourner doucement au rythme de mes caresses sur mon sexe.
Je faisais ressortir ce doigt pour mieux l’enfoncer ensuite plus profondément et plus vite et imprimais à ce geste un mouvement régulier.
Assez vite, un doigt ne fut plus assez, je voulais vraiment me sentir pleine et comblée de ce plaisir tabou. Je mis un second doigt. Les deux doigts en même temps furent un peu plus délicats à entrer mais j’y arrivais. Je ne bougeais plus mes doigts pour habituer mon cul à cette intrusion. Et afin de me détendre, j’accentuais mes caresses sur mon clitoris. Je pus reprendre petit à petit mes vas et viens dans mon intimité et m’accordais parfois même un extra en mettant mes doigts légèrement en crochet pour caresser mon intérieur un peu plus précisément. Cependant, je faisais attention à ne pas jouir, j’avais une idée de la façon dont je voulais que ça arrive et je n’y étais pas encore.
Pour cela, je retirais à regret mes doigts et je tendis le bras pour prendre un de mes produits de beauté sur le rebord de la baignoire. Il s’agit d’un flacon de crème pour le corps d’une taille idéale pour un petit plaisir comme celui là. Il a une diamètre de 1cm ou 1,5cm environ et a le grand privilège d’être plutôt allongé (environ 15 cm) ; Ce qui m’allait bien pour la position dans laquelle je me trouvais.
Tandis que je me saisissais de l’objet, je continuais mes caresses de plus en plus précises sur mon clitoris. Je mis l’objet en bouche, moins pour l’humidifier, vu l’endroit où je me trouvais que pour me mettre en situation.
J’ai toujours trouvé très excitant d’être caressée quand je fais une fellation à un homme. Cette situation un peu spéciale simulait parfaitement l’acte et pour le moment, cela m’allait fort bien.
Je le mettais en bouche, le bougeais, le léchais de haut en bas, et me délectais de cet objet en plastique qui allait me procurer un plaisir intense, je le savais.
Enfin, je l’introduis délicatement dans mon anus qui avait été préparé par mes doigts. J’entrais un centimètre et m’arrêtais pour m’habituer à sa présence et me caressait intensément le clitoris. Je faillis jouir comme ça et me reprenait vivement.
Je poussais un peu plus, j’arrivait à entrer une partie honorable et commençais quelques vas et viens fort plaisant.
Mes caresses sur mon sexe m’électrisaient tandis que cet objet dans mon cul me remplissait complètement comme un sexe d’homme.
Je fermais les yeux pour apprécier la caresse un moment.
Mais je n’étais pas arrivée où je souhaitais. Et afin d’y parvenir je me redressais dans mon bain pour me mettre à califourchon sur le bord de la baignoire, une jambe à l’intérieur et l’autre à l’extérieur.
Je plaçais mes fesses sur le rebord avec mon objet de plaisir introduis à l’intérieur. D’ailleurs si quelqu’un était entré dans la salle de bain à cet instant, j’aurais bien été fine avec mon flacon de crème pour le corps entre les cuisses. Cependant, je vis mon reflet dans le miroir, et je trouvais cela fort excitant. Mes seins mouillés avec des tétons bien pointés et fiers, mes hanches bien dessinées et mes fesses rondes avec cet objet indécent qui dépassait. A la vision de cette image j’ondulais un peu du bassin et me caressais les seins des deux mains comme l’aurait fait un homme placé derrière moi. Je continuais ma caresse sur mes seins d’un main, et pinçais mes tétons l’un après l’autre tandis que mon autre main se saisissait de l’objet et lui fit faire de vas et viens lents et sensuels.
Je cambrais un maximum les reins afin d’avoir une vision optimale de la scène sur le miroir latéral. C’était très indécent mais d’une beauté rare selon moi. Je commençais à m’échauffer et donnais à mon objet de plaisir une plus grande vitesse. Je descendis mon autre main vers mon sexe trempé de mon trop plein de plaisir et légèrement visqueux. Mon doigt trouva sans problème mon clitoris et le caressa au même rythme que mon gode improvisé dans mon cul.
Je sentais venir l’orgasme et me penchait un peu plus pour que mon gode entre encore plus profondément en moi quand il viendrait. Mon doigt se fit plus pressant et appuyant sur mon clitoris et celui-ci gonflait et durcissait sous la caresse. J’accélérais au maximum la cadence et eu un orgasme fulgurant qui m’obligea à retirer mon doigt de mon clitoris tant celui était devenu sensible, il bougeait et se contractait au rythme de mon vagin. Je remarquais une forte moiteur entre mes jambes, résultant de ma jouissance. Quand à mon gode il était toujours en place, mon anus s’est contracté et rétracté autour de lui pendant l’orgasme il a été un peu expulsé mais était toujours là tant je l’avais enfoncé profondément.
Je le retirais lentement, non sans regret et me replongeais dans mon bain.
Je me sentais prête pour l’entretien de demain et savais que j’allais passer une bonne nuit.

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 07:49
 D'une main ferme, l'amant de Karine nous raconte "sa" version de la fessée que celle-ci nous a voluptueusement décrite hier...
Cette fois, je la tenais. Elle n’y couperait pas. J’avais déjà essuyé quelques piques, subi quelques esquives, plutôt habiles ma foi, sans qu’elle ne cesse de m’allumer par de constantes allusions à la fessée, ou à son cul insolent.

Une fessée, c’est ça qui lui fallait, juste une bonne fessée, histoire de lui faire payer ses provocations continuelles, histoire de lui montrer que je sais avoir de l’humour, mais que je peux aussi entendre derrière les taquineries un autre type de besoin que la simple bonne humeur partagée.

Une bonne fessée donc. Pas de ces ridicules simulacres où le fesseur se retient de frapper un derrière habillé (beurk !), pas une gentille petite fessée érotique non plus, ni une de ces dérouillées magistrales dont ces dames ont quelquefois besoin pour évacuer leurs angoisses. Non, une bonne fessée déculottée, bien dans la tradition, qui laisse les fesses bien rouges et cuisantes.

J’en avais de plus en plus envie, à la regarder tapoter des textes et des dialogues bien orientés sur le forum et le chat de son site préféré, consacré bien sûr à la fessée. Et pour elle, l’heure approchait. Elle pouvait faire la faraude dans ses messages : accoudé au chambranle de la porte, je lui coupais toute retraite. Elle était à moi cette fois.

Et puis ses deux copines d’insolence ont pris congé du chat. Deux autres popotins à qui une fessée ne ferait pas de mal, d’ailleurs ! Mais on ne peut être partout à la fois. L’heure était venue. En deux pas, j’ai franchi la distance nous séparant, je l’ai saisie par le bras et l’ai levée de sa chaise pour la prendre dans mes bras. Pour une fois, elle est restée muette. Quelque chose dans son regard m’a confirmé qu’elle attendait ma réaction, une ferme réaction. Alors je me suis assis sur la chaise encore tiède de la chaleur dispensée pendant son bavardage sur Internet, et je l’ai basculée en travers de mes cuisses. Elle a à peine résisté, une fraction de seconde, déjà penchée en avant, le regard sur le plateau confortable vers lequel je l’entraînais, les jambes raidies, la main prête à faire opposition, et puis elle a cédé, s’allongeant souplement à la place requise, son derrière encore caché par la jupe bien en position. Mon impression se confirmait : elle avait besoin d’une fessée. Tout était maintenant en place : la fessée attendue de part et d’autre allait enfin pouvoir claquer.

J’ai ceint ses hanches de mon bras, pour la caller tout contre moi. J’aime ce contact étroit, et ressentir à travers lui la façon dont ma partenaire va vivre sa fessée. Mon autre main a plongé vers ses mollets, est remontée doucement vers les creux poplités, là où la peau est si fine et douce. Je suis un peu frustré : ses bas s’opposent à mon plaisir. La sensualité du toucher la fait frissonner de plaisir. Je laisse échapper un petit rire. Si elle savait ! Elle doit penser que je vais me contenter d’une petite fessée sensuelle. Profite, profite, tu verras tout à l’heure que je n’ai pas réellement ça en tête!

Elle ondule sous la caresse, mais que croit-elle ? Veut-elle me dissuader de la châtier pour m’entraîner vers des exercices plus classiques ? Ma main est enfin arrivée sur un carré de peau, entre bas et culotte, et je peux enfin palper cette peau tiède. Un petit « S’il te plaît… » presque gémissant arrive à mon oreille, comme une prière. Pas si vite, je suis enfin arrivé à un contact peau à peau, laisse-moi en user, et en abuser. C’est moi qui décide, et je le lui fais savoir en râlant contre les femmes et leur perpétuelle précipitation. Puisque c’est comme ça, dévoilons le théâtre des opérations. Je soulève sa jupe et saisis l’élastique de sa culotte, que je commence à tirer vers le bas. L’apparition de la naissance des fesses me donne envie de jouer avec la naissance de la raie culière : ici tout commence, la fin de la décence, le début de la déculottée.

Mais la voilà qui prétend m’aider à présent ! Mais non mademoiselle, c’est le fesseur qui déculotte ! Je m’empare du poignet et le plaque sur le dos. Puisque c’est comme ça ! Je descends la culotte à mi-cuisses, dénudant deux globes bien ronds. Et pan et pan, voilà pour apprendre à respecter son fesseur ! Je marque une petite pause. Je contemple encore une fois les rondeurs à peine marquées dont ma paume conserve le contact souple. La vraie fessée maintenant !

Pour une vraie fessée, ce sera une vraie fessée, pan pan cucul ! Je distribue une bonne rafale de claques bien franches sur le postérieur offert, répartissant harmonieusement la chaleur sur chacune des surfaces offertes. Je la sens vibrer, son bras se tend légèrement, mais ma prise reste ferme. Une bonne fessée, dis-je, dans les règles de l’art. Les impacts claquent dans la pièce comme des coups de fusil. La peau se colore très vite. J’y vais franchement, mais sans brutalité. Elle commence à remuer. Je renforce ma prise sur son bras. Je me défoule un peu, j’en avais besoin. Les mouvements de ses jambes laissent entrevoir son intimité. Je sens dans mon slip que la situation ne me laisse pas indifférent, et c’est là que c’est dur, qu’il faut faire appel à la volonté. Ce serait si facile d’arrêter et de se laisser glisser vers d’autres ébats. Le désir est mauvais conseiller pour un fesseur. Mais je veux ma fessée pleine et entière!

Alors je me reconcentre, je ralentis un peu le rythme et j’en profite pour observer les fesses. La couleur a maintenant viré au rouge franc. Le sommet des fesses frôle l’écarlate. Je décide de répartir un peu les rougeurs, et je claque soigneusement les endroits encore négligés, tout en revenant de temps en temps taquiner les zones les plus atteintes, histoire de raviver un peu la brûlure. Je fignole, quoi ! La cadence est moins rapide, mais les gifles ont toujours un impact aussi puissant.

Elle se trémousse, laissant échapper soupirs et gémissements. Notre contact et la fessée nous ont notablement réchauffés tous les deux. Je sais qu’elle a mal, et qu’elle a enfin réalisé que je ne lui donnerai pas une petite fessée, alors elle essaie de serrer les dents. Son arrière train doit lui cuire, car la paume de ma main commence à me brûler. A ce stade, je dois affirmer mon leadership. Je saisis son poignet de ma main brûlante, et je lui distribue de vigoureuses claques de l’autre. Centre de la fesse droite, centre de la fesse gauche. Un relâchement de son corps me révèle que les larmes arrivent. Un soubresaut de épaules me le confirme. Bon, j’avais dit une bonne fessée, pas une raclée mémorable, juste une bonne fessée.

Je relâche son bras qui retombe le long du corps, et je pars en exploration. Le bout de mes doigts frôlent la peau brûlante, massent délicatement les muscles empourprés, descendent un peu. Allons voir. Je me penche un peu et écarte les chairs meurtries. J’en étais sûr : le sexe ouvert laisse sourdre un peu d’humidité, le clitoris pointe hors de son capuchon. C’est tentant, et cette fois mon devoir est terminé. Alors mes doigts viennent doucement caresser les grandes lèvres. Elle soupire, je sens qu’elle ne détesterait pas que je m’aventure encore plus dans son intimité. Patience, il y a un temps pour tout.

Je la relève, et la fais asseoir sur mes genoux. Quelques larmes roulent sur ses joues et elle enfouit la tête au creux de mon épaule. Mes mains enserrent ses hanches et caressent les rondeurs bouillantes. Elle se fait câline. Je sens que, malgré ses yeux humides, elle se sent bien.

Dans quelques instants, nous irons tous deux profiter d’une autre humidité.
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 07:45
Karine nous propose aujourd'hui le récit d'une fessée qui lui a marqué le corps et l'esprit.... Demain "l'autre coté" de ce récit avec la confession de son fesseur (si doué, apparemment ! !)
Qui est-il celui qui m'a rendu heureuse ce soir ? Un homme dont je ne sais pas grand chose à part qu'il écrit parfois et pas trop mal ma foi. Un homme dont je connais par contre la fermeté des mains, rattaché à un grand corps athlétique. Un homme qui dans sa réalité est un grand homme ...

Vous voulez savoir comment il a fait pour m'apporter ce bonheur ... c'est très simple, il m'a donné une fessée. Oh pas une fessée tendresse, non, ni une fessée féroce, tout simplement LA fessée.

Il me regardait, m'observait tandis que je pianotai allègrement sans me soucier de lui. Il me voyait faire des bêtises, échanger des pensées coquines. Il attendait son heure !

Et puis il m'a attrapé de ses grandes mains bien fermes (garanties), il m'a tenu serrée contre lui faisant battre mon coeur avant de me faire basculer sur ses genoux, un léger sourire aux lèvres. Oh je connais ce sourire, il est spécifique aux mâles lorsqu'ils contemplent leur proie ...

Quelle lenteur à descendre, quel plaisir de résister un tout petit peu, quelle envie qu'il ne s'arrête pas. Il me couche en travers de ses genoux et l'un de ses mains se cale au creux de mes reins me vissant presque sur ses cuisses, tandis que l'autre se promène les long de mes chevilles remontant doucement, lentement le long de mes jambes ... je frissonne violement, ce qui déclenche chez lui un petit rire, discret, comme retenu.

Bon, c'est pas tout ça, mais faudrait peut-être qu'il se dépêche un peu ... je n'en peux plus d'attendre moi ! Je le lui fais comprendre par quelques oscillations du bassin. Il remonte alors encore sa main jusqu'à la naissance de mes cuisses, s'arrête un instant sur mes bas, caresse la jonction entre le tissu et la peau si douce, si lisse de mes cuisses. Il soupire et je n'en peux plus... « s'il te plait... » et ce n'est qu'un murmure.

« Toujours pressées les femmes » grommela-t-il, tout en remontant ma jupe largement au dessus de mes reins. Maintenant voilà qu'il jouait avec le tissu de ma culotte, glissant son doigt dans l'échancrure, la tirant doucement dans la fente héréditaire entre mes fesses. Oh le voyou ... ne voyait-il pas que j'attendais une toute petite fessée et non pas ce jeu érotique ?

Ma main part vers l'arrière pour l'aider à descendre ma culotte mais il l'attrape au vol et la joint à celle qui me retient sur ses genoux. Me voici à sa merci. « Vilaine » dit-il et il se décide enfin à claquer mon postérieur. Une claque, deux claques et il s'arrête ... j'attends ... longtemps ...

Mais c'est pas vrai ! Il a décidé de jouer avec mes nerfs ce soir. J'inspire un grand coup pour avoir le temps de lui dire ses quatres vérités, mais je n'ai pas le temps de prononcer un mot. Le voilà qui se lance dans une sarabande effrenée, sa main venant claquer ma fesse droite, puis ma fesses gauche puis encore à droite puis à gauche puis je ne sais plus, ça va trop vite, c'est merveilleux c'est un manège fabuleux ...

J'ai très chaud, je sens sa main sur mes reins qui s'alourdit, je sens son désir qui monte parallèllement au mien, je sens mes fesses brûler, je les imagine rouge pivoine. Et il continue encore et encore ... Mon Dieu, comment peut-il m'apporter tant de bonheur ? Il ralentit enfin, et je sens qu'il reprend son souflle, j'ai même l'impression que sa respiration s'alourdit.

Il ralentit mais ne s'arrête pas pour autant. Il prend un rythme régulier, faisant résonner chaque claque, recherchant un endroit de mes fesses moins coloré. J'ai affaire à un artiste, je le sais, je le sens. Un perfectionniste dans ce qu'il entreprend.

Maitenant la chaleur est telle que chaque claque me brûle, avivant en moi des vagues annonciatrices. Je ne peux plus m'empêcher d'onduler. Quelques larmes perlent à mes paupières, je ne sais si elles sont dues à la douleur ou au plaisir. Sans doute un trop plein d'émotion. Sa main redevient caresse, massant délicatement mon postérieur, s'enhardissant dans des endroits intimes et je ne peux m'empecher de soupirer.

« Prends moi dans tes bras », j'en avais besoin, l'ai je murmuré ou bien l'a-t-il deviné ? Toujours est-il que je me suis retrouvée bien au chaud dans ses bras, dans un cocon de bonheur, mes mains le calinant, ses mains sur mes hanches..

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 07:30

De l'utilisation d'un objet dont le nom a fait jaser, dernièrement, les millieux politiques et les banlieues...

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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