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Littérature érotique

Lundi 5 novembre 1 05 /11 /Nov 07:31

Imaginez... Qui n'a pas rêvé de pouvoir glisser une oreille ou un oeil dans une conversation....juste..pour écouter ou pour voir.... Et si le ton de la discussion prend une tournure... disons... personnelle...ce n'en est que mieux....

Ecoutons, donc...

Je suis accro à Internet mais je suis loin d'être un accro des chats-rooms !

 Sans doute est-ce parce que j'ai usé et abusé du minitel ! Des heures et des heures de connexions ! Que d'argent dépensé en pure perte, que de temps gâché ! J'ai eu en tout et pour tout au fil de mes folies télématiques eut un seul contact intéressant (un, pas deux) et sans lendemain !

Sinon, le nigaud que j'ai été s'est comme les autres fait attraper par des " entraîneuses " qui n'avaient pour but que de scotcher l'usager sur un serveur le plus longtemps possible. Si encore elles avaient un tant soit peu de conscience professionnelle. Pfuit, même pas !

Un jour, de rage j'ai remisé le minitel dans un carton, et je n'y ais plus touché. Lorsque j'ai eu accès à l'Internet ce souvenir persistait. Certes c'est moins cher, il n'y a pas d'entraîneuses (du moins sur les sites gratuits) mais l'ambiance pré pubère prévalant dans ce genre d'endroit m'en a rapidement éloigné.

 Parfois cependant on m'interpelle, je réponds, il est toutefois exceptionnel que je prolonge les conversations.

 Alors pourquoi ce jour...

 Mais quelques minutes de patience !

 Ce samedi, les circonstances ont fait que je me retrouve seul à la maison pour une longue après-midi ! Surprise, ce n'était pas prévu ! Et étant plutôt excité ces temps-ci, je me projette une petite séance auto masturbatoire qui pourra ne me faire que le plus grand bien.

 Je ne prépare rien, adorant les délices de l'improvisation, mais souhaitant l'accès facile à mon corps, je me déshabille entièrement.

La température ambiante étant plutôt basse pour la saison en ce mois de juin 2001, je finis par passer une robe de chambre. S'exciter c'est bien, mais ce n'est pas la peine d'attraper un coup de froid !

 Je me connecte à l'Internet, je commence par aller sur mon site d'histoires préféré, mais il n'y a pas grand chose parmi les nouveautés qui soit de nature à exacerber ma libido. Je change de plan et vais sur les sites d'images, je butine : les travestis, les goldens girls, les lesbiennes, le SM. Quelques belles images dont certaines que je recopie sur mon disque dur, mais rien qui soit de nature à me provoquer ce petit déclic qui va déclencher cette longue séance de masturbation comme j'aime à en profiter.

 C'est alors qu'une alerte m'avertis de l'arrivé d'un message instantané sur ma boite hot-mail !

Ça me perturbe plutôt qu'autre chose, mais comme je n'ai rien de mieux à faire, je réponds.

 Le message vient du Québec. La fille se prénomme Joy et a publié sur l'internet un récit SM que j'ai tellement aimé qu'après son accord je l'ai mis sur mon site.

 - Qu'est ce qu'elle me veut ?

 La conversation s'engage, on parle de choses et d'autres, de son dernier récit, de l'illustration que j'y ai joint... des gens qui chattent avec elle, je lui demande aussi s'il y a des "trucs" qu'elle n'a pas encore essayé :

 - Les orties !

 - Et l'uro ?

 - J'ai aimé le fait qu'on me lèche sans avoir été lavée... en fait moi j'adore exciter et savoir que je peux faire un truc pour rendre fou... je le fais !

 - Dommage que l'on soit si loin l'un de l'autre, mais on peut toujours fantasmer...

 - Et on peut toujours faire du cyber... ça ne donne pas de chaudes caresses mais c'est hyper excitant !

 - Tu es habillée comment en ce moment ?

 - Je chatte toujours nue... ou ça dépend si on me demande de mettre des trucs je le fais !

 Je finis par dire à Joy que je ne chatte pratiquement jamais, elle s'étonne donc un peu de ma présence.

 - Le hasard ! Sans doute ! Et puis, je sais pas, tu as quelque chose dans ta personnalité qui m'attire, qui m'excite, qui me plait bien !

 - Ca je peux te dire que c'est réciproque !

 - T'es gentille, je te fais un bisou (sur le bout du sein bien sûr !)

 - Mmmmmmmm et moi je peux le mettre où mon bisou ?

 Voilà qui devient très hot, je rentre bien sûr dans son jeu !

 - Un peu plus bas !

 - Un bisou dans l'anus avec mon piercing ça t'irait ?

 - Ce n'est pas à ça que je pensais, mais pourquoi pas ? Et puis on ne m'a jamais fait cela, ce doit être génial !

 C'est à ce moment précis que j'ai senti que l'on pourrait faire ensemble du cyber à la fois très, très hard et très sympa, mais je décidais de la laisser venir pour l'instant.

  Hummm je vois que je ne suis pas la seule à ne pas avoir essayé tous les trucs !

 - C'est vrai !

 - Moi j'adore préparer un joli petit cul... et y jouer. avec la langue... les doigts... les objets...

 C'est dingue ce que parfois les mots, quand ils sont amenés d'une certaine façon peuvent faire. Je bande fort joliment, j'ai ouvert ma robe de chambre et profite maintenant des périodes de temps de réponse pour me caresser le sexe et me pincer un peu la pointe des seins.

 - Continue, tu m'excite ! Surtout que j'ai le cul très réceptif ! Si tu as lu mes histoires tu sais que je suis (un peu) bisexuel...

 - Oui j'ai tout lu... et beaucoup masturbée dessus... je suis aussi bi... si j'avais à raconter ce que j'ai vécu avec elle, seigneur !!!!!

 Et puis la conversation s'assagit un petit peu, on parle de nous, on essaie de se connaître un peu mieux, elle me propose de m'adresser une photo !

 - Tu veux que je te reste inconnu ou tu voudrais voir une photo ?

 - La bonne question ! Mais je te la retourne ! Si tu souhaite te dévoiler, te montrer à moi, alors d'accord j'accepte de la voir ! Mais si tu préfère le mystère je l'accepte aussi ! En fait, si j'aimerais bien voir !

 - lolllll

 Le dialogue s'interrompt un moment, la photo se charge, moment d'angoisse, il y en tant qui trichent, vais-je recevoir une photo de Pamela Anderson ? Non la photo est très sage, elle est sur un cheval, recouverte d'un large chapeau, et elle sourit au photographe, hummmm ce sourire !

  llolllll, dommage pour toi c'est pas un nu !

 - Quel joli sourire !

 - Merci...

 Ce sera Joy qui relancera le dialogue hot, elle m'explique qu'elle a déjà pratiqué la cyber domination. Voilà qui me donne quelques idées... Si seulement elle pouvait être d'accord pour jouer avec moi cet après midi, rien que d'y penser ma bite reste toute dure.

 - Et tu faisais la soumise ou la maîtresse ?

 - Les deux... ça dépend des fois et des inspirations de chacun !

 Allez, je me lance !

 - Et si on y jouait ?

 Et j'attends la réponse, anxieux !

 - Pourquoi pas !!!

 Chic, elle veut bien ! M'en voici déjà tout émoustillé !

 - Tu voudrais bien me dominer ?

 - Oui ! Je peux tout dire ? Je veux dire... ne pas avoir de restrictions avec les mots ?

 - Oui, lâche-toi, sans restrictions, vas-y, je me laisse faire !

 J'ouvre ici une parenthèse, parce que j'ai trouvé les précautions de ma correspondante à ce moment là non seulement pleines de tact et de correction, mais aussi en harmonie avec la conception du SM que je ne cesse de défendre sur l'Internet, celui d'un SM Jeu ! Un SM où l'on joue, parfois durement, mais qui reste un jeu (et quand le jeu est fini, on passe à d'autres choses !) Comme ça fait plaisir de savoir que parfois on ne prêche pas dans le désert !

 - Le danger de cette chose mais qui la rend excitante c'est que je ne connais pas tes goûts ni ce que tu peux faire !

  C'est pas grave, on s'amuse ! Tu verras bien à mes réactions si je suis enthousiaste ou pas à ce que tu m'ordonne !

 - Et tu penses parler à qui?

 - Je ne comprends pas bien la question ?

 Et en plus c'était vrai, couillon que je suis, je ne m'étais pas rendu compte que Joy avait entamé la domination...

 - Je ne comprends pas bien la question qui ??????

 Cette fois j'ai compris et je me fais un point d'honneur d'essayer de jouer le jeu à fond ! C'est d'ailleurs tout ce qui fait l'intérêt de la chose !

 - Si, j'ai compris ! Excuse-moi maîtresse !

 - J'espère que tu ne te masturbes pas?

 - Non, je ne ferais dorénavant rien sans tes ordres !

 - Je crois que tu n'as pas bien compris comment finir tes phrases !!!!

 - Non, je ne ferais dorénavant rien sans tes ordres ! Maîtresse !

- C'est vrai ce que tu m'as dis... tu es vraiment nul ?

 Elle se reprend après ce "lapsus":

 - Nu ?

 - Oui maîtresse, je suis nu sous ma robe de chambre, mais je vais l'enlever !

 - J'ai pas dis de l'enlever..

 - Alors je la garde, maîtresse !

 - Pour qui te prends-tu pour faire des choses par toi-même ?

  Pardon maîtresse !

  Je crois que j'ai pas fais d'erreur tout à l'heure... t'es vraiment nul...

 - Oui maîtresse !

 - Et le petit nul en question bande t-il ?

 - Oui maîtresse !

 - Et il ressemble à quoi?

 - A un esclave soumis et obéissant qui attend tes ordres, maîtresse !

 - Dis-moi nullité... tu as des objets près de toi ?

 - Ben, je sais pas trop... quels objets maîtresse ?

 - Bouteilles...

 - Oui maîtresse !

 - Ta femme possède des dildos ?

 - Onen a un ! Oui, maîtresse !

 - Des boules chinoises ? Des pinces...

  Des pinces oui ! Pas les boules, maîtresse !

 - Hummm et pourquoi pas une chandelle ?

 - J'ai des chandelles, maîtresse, aucun problème !

 - Et ta maîtresse a combien de temps pour prendre soin de son esclave ?

 

 

- Je te propose jusqu'à 14:30 (il est 14:07) et après on invertit les rôles. Ca t'irait ?

 

 

- Oui ça me va ! Alors va chercher ce que je te demande !

 

 

- J'y vais maîtresse !

 

 

Je me dépêche de rassembler tout ce bazar, le gode qui est planqué dans le plafond d'un placard, les pinces au fond de la boite à outils, la chandelle dans un tiroir, il faut aussi que je prenne un chandelier pour la faire tenir et du feu pour l'allumer. Et d'ailleurs je l'allume !

 

 

- Ca y est, j'ai tout ! Maîtresse !

 

 

- La chandelle est allumée ?

 

 

- Je viens de la faire, maîtresse !

 

 

- Tu prends les devants, on dirait !!!!! Lève-toi et retire ta robe de chambre !

 

 

- Oui maîtresse !

 

 

- Tu es bien debout ? Alors, prend les pinces !

 

 

- Oui maîtresse !

 

 

- Tu en as combien, au fait ?

 

 

- 2 pinces de sex-shop, mais sinon j'ai des pinces à linges, maîtresse.

 

 

- Les deux pinces du sex-shop je veux les voir à tes couilles... et les autres à tes seins.

 

 

Je n'aime pas en principe les pinces aux testicules, les miens sont très sensibles. Mais je joue le jeu, on verra bien !

 - Oui maîtresse, ça y est, ça fait un peu mal, mais c'est trop bon, maîtresse !

  Tu crois que de ta douleur j'en ai à foutre quelque chose ?

 Elle aussi, elle joue le jeu à fond, et elle le joue très bien !

 - Non maîtresse, les seins j'adore, les couilles ça fait un peu mal, mais je supporte !

 - Et le gode, tu vas le mettre ou tu penses ?

 A ce moment je cafouille, je crois comprendre qu'elle me donne l'ordre de me le pénétrer, je le prends, d'habitude je le recouvre d'un préservatif lubrifié pour faciliter l'intromission, mais je n'en ai pas sous la main, je l'humecte un maximum, je m'humecte également le trou du cul, puis je m'écarte les fesses et fais entrer l'objet. Evidemment tout cela prend du temps.

 

 

- Elle est longue ta réponse sale chien !!!!!

 

 

- Oui, maîtresse, je me suis bien ouvert le cul et je le fais rentrer, ça y est, je me suis fait enculer par le gode

 

 

- ?????????? Tu fais tout sans que je ne te dise? Tu n'as pas trop bien compris ton rôle

 

 

- Mais non, maîtresse, j'ai attendu tes ordres !

 

 

- Il est bien dans ton cul ?

 

 

- Quelque chose m'aurait échappé, pardon maîtresse, punissez-moi ! Oui il est bien dans mon cul et j'aime ça !

 

 

- Tu vas tirer sur les pinces de tes couilles et t'enculer plus profond.. Tu vas t'asseoir sur cette queue que tu as dans ton tit cul... nullité !

 

 

- Tirer sur les pinces, un tout petit peu alors, ma maîtresse !

 

 

- Oui ! Oh oui je tire...

 

 

- Je m'assois délicatement, le gode rentre encore plus profond, c'est bon j'aime ça maîtresse !

 

 

- Je vais te les faire pendre moi tes couilles de merdeux !

 

 

- Ok je tire un peu plus, mais ça fait mal, mais je suis content de t'obéir, maîtresse !

 

 

- Tu es dur dis-moi? Ma petite merde est toute dure ?

 

 

- Je bande tout dur, maîtresse !

 

 

- Je veux voir ton cul bouger sur cette chaise.. et je vais tirer sur les pinces de tes seins !

 

 

- Ohhhhh !

 

 

- Tu fais pitié à voir !!!

 

 

- Je bouge mon cul sur la chaise, tu verrais dans quel état je suis ! Maîtresse !

 

 

- Décris-moi ça... cet état, tu es comment ? Ton tit cul souffre ???? Tes testicules en peuvent plus ????

 

 

- Je suis comme un con sur ma chaise, Je coulisse lentement sur mon gode, les pinces me font mal, surtout celles aux couilles !

 

 

- Ce que j'aimerais attacher des poids aux pinces de tes seins pour les relier à celle de ton cul, putain !!!!!!

 

 

- J'ai des poids, maîtresse ! Si tu veux, je vais les chercher !

 

 

- Ouiiiiiii fais-le, mais fais vite !

 

 

- Ca y est ! Maîtresse !

 

 

- Tu veux les poids où ? Aux seins ? Aux testicules ?

 

 

- Aux seins, maîtresse !

 

 

- mdrrrrrrrrrrrrrr je crois pas que tu as choisi la bonne réponse !

 

 

Je l'aurais parié !

 

 

- Pitié maîtresse !

 

 

- AAAAAAAAAAHHHAHAHAHAH rien de mieux qu'un esclave qui a peur ! Alors tu vas prendre les poids...

 

 

- Oui maîtresse ! j'attends tes ordres maîtresse, ayez pitié j'ai mal aux couilles

 

 

- Et tu vas les attacher aux couilles !

 

 

C'est à ce moment qu'il se passe quelque chose d'extraordinaire. Parce que j'ai déjà assez mal comme ça, qu'est ce qui m'empêche de tricher ! Je n'ai tout simplement pas envie (de tricher) pas avec elle ! J'accroche les poids, il s'agit de poids destinés à tendre les nappes de table, j'en ignore le poids, ce que je sais c'est que ça tire, ça tire ! Mais je joue, j'ai décidé de jouer, je tiens bon ! Elle n'est pas folle, elle va bien se décider à me dire de les enlever !

 

 

- Ote ton gode... et lèche-le !

 

 

Et c'est là aussi que l'on voit que je suis en plein dans un trip maso, parce que ce truc, certes classique mais qui me déplait, je le fais sans discuter une seule seconde, et j'éprouve du plaisir à obéir à cet ordre !

 

 

- Je suis si excité que je le fais maîtresse, je ne fais jamais cela d'habitude !

 

 

- je vais poser ma bouche sur ta queue pour ta délivrance

 

 

- Merci gentille maîtresse !

 

 

- Et retirer doucement les poids sur tes couilles, mais garder les pinces !

 

 

- Ouf, merci maîtresse !

 

 

Comme quoi, j'avais raison d'avoir confiance ! Et maintenant on change de registre, on est vraiment dans le virtuel, je m'imagine son visage près de moi...

 

 

- Ma tite bouche de pute... sur cette queue si dure !

 

 

- Hummmmmm !

 

 

- Mes yeux dans les tiens...

 

 

- Ouiiiiiiii !

 

 

- A te voir lécher le dildo qui t'as défoncé le cul. mmmmmmmmmmmm !

 

 

- Je ne suis pas prêt de l'oublier celui-ci !

 

 

- Ma langue qui veut apaiser la douleur de tes couilles... en les léchant doucement !

 

 

- Je suis tout dur, je te les offre !

 

 

- Dis-moi bel esclave où veux-tu jouir... je te fais ce cadeau...

 

 

- Dans ta bouche, bien sûr, ta belle bouche que j'ai vu sourire sur les photos !- Mmmmmmm ! Tu sais, elle est si gourmande ma bouche... et elle adore avaler, lécher, sucer mordre doucement le gland si rouge..

 

 

- Je vais jouir en direct !

 

 

- Oui c'est ce que je veux ! Sur ma bouche !

 

 

- Maintenant !!!!!! Lâche tout ! Je vais en même temps retirer les pinces. Mmmmmmmmmmmmmmmmm

 

 

Je n'avais prévu aucun kleenex, je m'éjacule brutalement sur le ventre, j'en fous partout, je suis bien, je n'ai même pas envie de m'essuyer, je vais rester comme cela, pour la suite...

 - Et hop ! Et ben quel pied ! On s'est bien marré non ?

 

 

- Oui lollll. Pourquoi cette phrase me donne l'impression que t'as rien fait ? Lollll.

 L'espace d'un instant ça me contrarie qu'elle puisse penser ça, mais je la rassure !

 - Non j'ai tout fais, et le gode est encore à côté de moi, et il n'est d'ailleurs pas très net, mai si tu me demande de le lécher à nouveau, je t'assure que je ne me dégonfle pas !

 

 

- Mmmmmm je te le demanderais bien volontiers... mais je ne suis plus ta maîtresse depuis 5 minutes

 - Alors d'accord, je prends ma revanche ?

 - Hummmmmm bien sûr !

 - Pour la deuxième partie on a combien de temps ?

 

 

- Une demi-heure ça te va ?

 

 

- Hummmm ça peut aller !

 

 

Je n'ai pas eu trop le temps de réfléchir à ce que j'allais lui faire faire, j'ai d'abord pensé à la chandelle. La mienne est là encore allumée et n'a pas servi, ou à un petit truc avec du martinet, et puis j'ai soudain envie de faire de l'uro, de la surprendre, on verra bien...

 

 

- Bon alors tu va aller chercher une petite culotte, mais pas une propre, celle que tu as mise hier, tu va la chercher à quatre pattes et tu reviens à quatre pattes avec la culotte dans les dents ! Allez ouste !

 

 

- Oui maître !

 

 

Ce qui est super excitant c'est qu'à ce stade elle ne peut savoir où je veux en venir !

 

 

- Tu me diras quand tu seras prête, petite salope !

 

 

J'aurais sans doute du lui demander si moi aussi je pouvais employer les mots sans restrictions, mais je pense que nous sommes dans un rapport de réciprocité !

 

 

- Je suis là, maître !

 

 

- Renifle la culotte et fais-moi part de tes commentaires, petite pute !

 

 

- Oui maître ! Bien sûr maître, ce sont des odeurs un peu mélangées maître !

 

 

- Enfile la culotte !

 

 

- Oui maître, voila maître !

 

 

- Et maintenant... pisse dedans...

 - ????

 Voilà qui a du effectivement la surprendre, la petite Joy !

 - Quelques gouttes suffiront

 - Mais ça va couler partout maître...

 

 

L'objection n'est que ménagère, je peux donc continuer.

 

 

- Non, mais je ne t'ai pas dis de discuter ! Tu as des serpillières chez toi, tu nettoieras après ! Débrouille-toi pour ne faire que quelques gouttes, pétasse !

 

 

- Oui maître, voila c'est fait !!!

 

 

- Retire la culotte !

 

 

- Oui maître !

 

 

Ca devient de plus en plus excitant ! Comment va-t-elle prendre la suite ?

 

 

- Lèche-là à l'endroit ou tu as pissé !

 

 

- Non, je veux pas faire ça...

 

 

Partons toujours du principe que le premier refus ne compte jamais...

 

 

- Si tu vas le faire, et plus vite que ça chienne !

 

 

- Mais je déteste ça...

 

 

- Je veux pas le savoir, fais-le pour ton maître, et si tu n'obéis pas assez vite je vais te faire boire un verre entier de ton urine !

 

 

Super, sa protestation n'est pas si véhémente que ça, et j'ai même préparé la suite !

 

 

- Bon ok, maître !

 

 

- Alors tu vois, ce n'était pas si mauvais que ça !

 

 

- C'est fort comme goût, maître !

 

 

- Pas plus que la bière ! Est-ce que tu pourrais encore pisser un peu, as-tu encore une petite envie ?

 

 

- Oui maître, j'ai envie pour toi maître !

 

 

- Ok, alors va chercher un verre et reviens vite, petite pute !

 

 

- Je veux pas boire ça maître !!!!!!!!!!!

 

 

- Dis donc traînée, pour l'instant je ne t'ai rien demandé, tu l'as ramené ce verre, oui ou non ?

 

 

- J'y vais maître... j'ai ce que tu demandes maître !

 

 

- Pisse dedans, fais-moi un bon demi-verre !

 

 

- Oui maître, voilà !

 

 

- Pour l'instant je ne t'ordonne rien, je ne te force pas, mais dis moi ce qui ferait tellement plaisir à ton maître !

 

 

- Que je boive cette urine de moi maître !

 

 

- Oui, petite chienne ! Veux-tu le faire spontanément ou veux-tu que je t'aide ?

 

 

- Je vais pas le faire spontanément, c'est clair !

 

 

- Bon alors contente-toi d'approcher le verre de tes lèvres sans l'incliner !

 

 

- Oui maître, voila maître

 

 

- Incline le tout doucement de façon à t'en humecter juste un peu les lèvres !

 

 

- Seigneur...

 

 

- Allez ! Allez !

 

 

- Voila maître !

 

 

- ça goûte fort et c'est chaud maître mais je n'ai pu m'empêcher de lécher mes lèvres de ma langue...

 

 

- Et maintenant très vite, tu fermes les yeux, et tu en avales une toute petite lampée !

 

 

- Ohh maître... Ouufffffff bon sang, voila c'est fait !!!!

 

 

- Brave fille ! J'espère que tu mouilles à présent !

 

 

- Si tu savais maître ?

 

 

- Pince-toi le téton de ta main gauche et masturbe-toi de la main droite, tu as mon autorisation ! Et je vais faire pareil (deux fois en une demi-heure est-ce bien raisonnable)

 

 

- (oui) oui maître

 

 

- Ah bon, j'ai eu peur !

 

 

- mmmmmmmm c'est bon maître...

 

 

- J'ai affiché l'image où tu es sur le cheval de façon à voir ton visage et je me masturbe en te regardant ! J'adore me masturber devant toi...

 

 

- Je te plais maître ?

 

 

- Enormément ! Tu as été une bonne esclave, la prochaine fois je te pisserais dans la bouche !

 

 

- Je peux jouir maître ?

 

 

- Oui, ma petite pute adorée !

 

 

- Merci mon maître... oohhhhhhhhhhhhhhhhh seigneur, maître si tu savais comme mon clito est gonflé du plaisir que tu lui donne..... et ma chatte trempée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm

 

 

- Vas-y ! Vas-y lâche-toi, adorable petite pute !

 

 

 

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 1 novembre 4 01 /11 /Nov 07:34
La femme de Reine se confie
La fessée de Reine.
La fessée a toujours été un jeu des plus troublants. Ni ma femme ni moi n’en avons jamais fait une manie, tout système tuant l’émotion. Mais il est sûr que la fessée a toujours été à la source de nos plus intenses moments d’érotisme. Bien entendu il existe des gradations dans l’excitation. Certains exercent leur goût du raffinement en variant les instruments. Nous, notre plus grande émotion a été le jour, je devrais plutôt dire le soir, où c’est en public que j’ai administré une fessée à ma femme. Mais laissez-moi vous raconter en quelles circonstances l’événement a eut lieu. J’étais parti quelques semaines plus tôt en mission à l’étranger. Je me souviens que devait être diffusée, pendant mon absence, une émission qui m’intéressait et que j’avais demandé à ma femme d’enregistrer. Quelques jours après mon retour, je songeai par hasard à lui demander la cassette. Je m’aperçus aussitôt qu’elle avait complètement oublié de le faire mais mon attention fût surtout attirée par le trouble qu’elle manifestait. Questionnée, je ne tardais pas à apprendre qu’elle n’était pas à la maison le fameux soir, puis à comprendre qu’elle était ailleurs, en compagnie d’un de nos amis, séducteur réputé. Ma femme est belle, donc convoitée. N’ayant jamais considéré un être, surtout l’être que j’aime le plus au monde, comme ma propriété, je n’ai jamais été vraiment jaloux et du reste, ma femme m’a donné peu d’occasions de l’être. Mais là, le presque flagrant délit était avéré, et je me devais de sévir. Je lui annonçai donc qu’elle recevrait en son temps la punition méritée pour son escapade. Quelques semaines passèrent jusqu’à la soirée dont je veux vous parler. Un couple d’amis étaient venus dîner chez nous. De nos âges, c’est à dire la trentaine à l’époque. Nous les avions rencontrés chez des amis communs et nous étions amusés de l’anagramme formé par les prénoms de nos femmes, qui étaient au demeurant l’une et l’autre fort belles. Au delà de la sympathie que nous éprouvions les uns pour les autres, il existait entre nous une forme de complicité que leur extrême timidité les empêchaient d’extérioriser. L’érotisme était certes un sujet qui les inspirait, mais qu’ils n’osaient guère aborder. Ma femme et moi avions le sentiment de pouvoir leur ouvrir certaines portes qu’ils pressentaient peut être sans parvenir toutefois à les identifier vraiment. Moi qui suis rien moins qu’un pédagogue, j’ai cependant toujours trouvé le rôle d’initiateur, dans ce domaine, exaltant. La soirée se passa merveilleusement. Ma femme étant, parmi toutes ses qualités, une merveilleuse cuisinière qui a toujours considéré le rôle de la maîtresse de maison comme celui de la gardienne du temple et non pas comme celui de la bonne à tout faire. Nous arrivions au dessert lorsque je décidai que le moment de prendre la parole était enfin arrivé. " Mes amis, commençai-je, je vous ai réservé une surprise pour ce soir. Figurez-vous que Reine m’a été un peu infidèle il y a quelque temps, et que pour la punir, j’ai décidé qu’elle recevrait une fessée en public. J’ai décidé que la fessée serait donnée ce soir, et que le public, eh bien, ce serait vous ! " Vous imaginez la stupéfaction de l’assemblée. Moi qui ne voulais prendre le risque d’aucun refus et tenais à conserver la pleine maîtrise de la situation, je me devais d’agir vite. En outre, je savais que le fait de lancer une telle aventure me contraignait à aller jusqu’au bout. Je me levai aussitôt, pris ma chaise, la posais au milieu du salon, et demandai à ma femme de se lever à son tour. Elle obéit sans dire un mot. Moi, j’étais trop ému par ce que je faisais pour oser regarder nos amis, mais force est de dire qu’ils ne protestaient pas, et que je n’entendais rien qui pouvait passer en aucune manière pour une contestation de l’événement que j’avais déclenché. Je m’assis donc sur la chaise et demandai à Reine de me rejoindre, ce qu’elle fit sans murmurer. Je la tournai alors face à nos hôtes et, lui demandant de mettre ses mains dans son dos, les lui liais avec ma cravate que je venais d’ôter. " Afin qu’aucun doute ne subsiste sur ce qui va se passer, déclarai-je d’une voix un peu nouée, j’estime qu’une vraie fessée doit être administrée sur les fesses nues et que par conséquent, Reine sera déculottée. Ma femme que vous avez vue si belle toute la soirée, si élégante, va recevoir dans quelques secondes une fessée, le derrière à l’air devant vous. " Puis je retournai ma femme vers moi, l’allongeai sur mes genoux, et relevai sa jupe. Bien entendu, elle était aussi bien vêtue dessous que dessus et portait, quoique la saison avancée eût autorisé les jambes nues, des bas (des vrais, avec un porte-jarretelles !) et une adorable culotte de soie que le moment était enfin venu de baisser. Pourtant l’attente, comme chacun sait, constituant un des plus puissants stimulants du désir, je différai encore un peu l’échéance en m’adressant à nos hôtes : " Mes amis, vous êtes trop loin, installez vous donc plus près et bien en face pour mieux voir ". Les amis ne se firent pas prier et se rapprochèrent aussitôt. Depuis le début de l’aventure, nul n’avait pipé mot. Couchée sur mes genoux, jupe relevée, ma petite femme devait trouver le temps long d’autant que, notre amie ne parvenant pas à déplacer sa chaise, son mari dut l’aider. Lorsque tout le monde fut bien installé, je posai à Reine une ultime question : " Tu es bien d’accord avec ce qui va t’arriver n’est-ce pas ? " Un " oui " étouffé me répondit. " Eh bien , dans ce cas, allons-y ! " Et saisissant la petite culotte de chaque côté, je la baissais jusqu’aux genoux. Peut-on dire de fesses qu’elles jaillissent ? Ce fut pourtant l’impression que nous eûmes. Ce qui apparut alors était simplement lumineux : une splendide paire de fesses, rondes, amples, à la peau d’un blanc mat, au grain lisse de porcelaine, somptueusement encadrées par l’écrin des bas, du porte-jarretelles, et de la jupe relevée. Un instant, je m’attardai à contempler ce merveilleux tableau, et surtout à laisser nos amis, visiblement bouleversés je dois dire, se repaître de l’émouvant spectacle. A la fois coquette et pudique, Reine ne se crispait pas. Tant qu’à avoir été contrainte de laisser dénuder ses fesses qu’elle savait superbes, elle devait préférer qu’elles puissent être admirées dans toute leur plénitude. En revanche, et afin sans doute de ne rien risquer de laisser voir davantage, elle avait croisé ses chevilles l’une au-dessus de l’autre. Je commençai la fessée. Vous avez déjà compris que la cruauté n’appartient pas à mes goûts, et la situation était assez enivrante pour me satisfaire au-delà de tous mes espoirs. Je fessais ma femme sur ses fesses nues en présence de nos deux amis qui ne perdaient pas une miette de la représentation que je leurs offrais. Pourtant, j’y allais d’assez bon cœur pour que les fesses commencent à rougir et, malgré les pudiques résolutions, les jambes à se démener. En effet, Reine malgré sa fierté se débattait de plus en plus belle, tournant ses hanches, ses fesses s’abaissant et se relevant au rythme des claques tant et si bien que parfois, les cuisses se desserraient, laissant entrevoir en un éclair un mystère fendu et rose, et je me surprenais à désirer qu’elles s’ouvrissent tout à fait pour que nous puissions tout voir. Ma femme tentait bien de tendre ses mains en arrière pour se protéger, mais la précaution que j’avais prise de les lui attacher me permettait de les maintenir sans trop de difficulté pendant que je continuais la fessée et que, l’excitation montant, je m’entendais lui dire : " Ah ! tu as montrée tes fesses à ton amant, eh bien tu les montres à Irène et à Pierre maintenant, et je te jure qu’ils ne sont pas près d’oublier ce que tu leurs montres, car ils ne voient pas que tes fesses ! " Et je continuais à frapper sa croupe qui était maintenant d’un beau rouge écarlate jusqu’à ce qu’elle commence à crier : " C’est assez ! arrête ! arrête, j’ai mal, je t’en prie ! " Et moi, pris d’une inspiration subite, enivré par l’émotion qui nous submergeait : " Tu lui as montré tes fesses à ton amant, et puis ? Dis-nous ce que tu lui as montré d’autre ? j’arrêterai quand tu nous auras avoué tout ce que tu lui as montré ! " Bien entendu, je ne m’attendais pas à ce qu’elle me répondît. La fessée avait certes assez duré, mais je me sentais pris d’une frénésie érotique qui m’imposait de poursuivre le spectacle. " Puisque tu ne veux pas avouer, tu vas te mettre au piquet ! tu vas voir ce qu’il va t’en coûter de te taire ! " Je relevai ma femme et lui ôtai tout à fait sa culotte, puis je la fis mettre à genoux. La jupe retombée cachait ses fesses. J’allai prendre un coussin sur le canapé et, le plaçant devant elle : " Pose ta tête sur le coussin ! Maintenant, écarte les genoux le plus possible. " Elle se mit dans la posture prescrite, tête en bas et fesses en l’air. Les amis, toujours assis sur leur chaise, fixaient intensément la croupe indécemment tendue, avides du nouveau spectacle que je leur préparais et que le retroussage allait leur permettre de découvrir. Je remontai derechef la jupe jusqu’au-dessus des reins. Ceux qui aiment les femmes, et les plus beaux paysages qu’elles cachent au plus creux d’elles, peuvent imaginer ce qu’il nous fut donné alors d’admirer. L’éclairage, quoique doux, répandait assez de lumière pour éclairer la scène sans rien laisser dans l’ombre. Les deux fesses, couronnées chacune d’une large tache écarlate, illuminaient l’émouvant sillon, écartelé dans la plus extrême évidence. J’étais tout à la fois stupide, épouvanté de mon audace, et absolument fasciné. Ce qui me revient à présent quand j’y pense, c’est d’avoir osé montrer ma femme, dans un état que je peux dire d’absolue visibilité, à des presque inconnus. Ce qui m’émeut encore au-delà de ce que je sais vous décrire, c’était la curiosité que manifestait Irène. Penchée en avant, la jeune femme, oubliant toute convenance, scrutait, absolument hypnotisée par l’humiliation de Reine, les détails de cette intimité féminine qu’elle n’avait sans doute jamais encore eu l’occasion de voir aussi totalement, aussi crûment exposée. Reine ne disait rien. Elle demeurait prosternée comme il lui avait été prescrit, mais je remarquai quand même qu’elle se tenait assez cambrés, faisant saillir ses reins, sachant pertinemment que la taille ainsi creusée, c’était non seulement son derrière mais sa vulve ouverte entre ses cuisses écartelées qu’elle nous montrait. Nous étions passés tous les quatre dans un état second, plongés dans ce monde exaltant de cocagne où les rêves les plus fous peuvent enfin prendre corps, où tout semble possible, où ce qui est inimaginable dans un environnement social ordinaire peut soudain se réaliser. Soudain, n’y tenant plus, Irène s’accroupit derrière ma femme et murmura : " Je peux ? " Nous fîmes signe que oui. Je ne puis décrire avec quelle extraordinaire minutie Irène entreprit alors l’exploration méticuleuse de l’intimité de Reine. Elle passa de longues minutes à ouvrir, étirer, toucher, caresser, pénétrer, examiner tout ce qui était à sa disposition puis, achevant à regret son examen, soupira : " Comme j’aurais voulu moi aussi donner la fessée à Reine… "
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Mardi 9 octobre 2 09 /10 /Oct 07:30
Ami(e)s lecteurs (trices), il ne vous aura pas échapper que ce blog fait régulièrement allusion à des pratiques dites "extrèmes" ou également appelées Sado-maso". Bien que je trouve ces termes réducteurs, j'ai envie de vous emmener aujoud'hui à la découverte d'un personnage sans qui ces mots'existeraient même pas, à savoir ce bon vieux  Léopold..................
Leopold von Sacher-Masoch était un écrivain et journaliste autrichien, né le 27 janvier 1836 à Lemberg (actuellement en Ukraine), mort le 9 mars 1895 à Lindheim (Allemagne, près de Francfort-sur-le-Main).
 
 
 Sa vie 
Leopold von Sacher-Masoch est né de Leopold von Sacher, préfet de police de Lemberg, et de Caroline Josepha Masoch, fille d'un médecin Ukrainien. Caroline, ne pouvant nourrir son fils elle-même, le confia à une nourrice Ukrainienne dénommée Handscha. Les récits du folklore ukrainien de cette dernière et les mouvements révolutionnaires et nationaux dont il fut témoin marquèrent profondément le jeune Léopold, et par conséquent influencèrent ultérieurement son œuvre.
 
Après son doctorat en droit, Léopold von Sacher-Masoch étudie l'histoire. En 1856, il donne des cours à l'université de Graz et publie un ouvrage historique L'insurrection de Gand sous l'empereur Charles Quint. Il a une liaison avec madame Kottowitz, laquelle, au bout de 4 ans, le quitte pour un autre homme. Cette expérience malheureuse lui inspire La Femme Séparée. Il écrit des contes et des romans historiques, et forme le projet d'un cycle de nouvelles, Le Legs de Caïn, qui restera inachevé et devait comprendre six thèmes : l'amour, la propriété, l'État, la guerre, le travail, la mort.
 
En 1869, il fait la connaissance de Fanny Pistor dont il s'engage à exécuter tous les ordres et désirs pendant six mois. L'année suivante, ils partent en Italie pour mettre en pratique cet engagement. Mais Léopold rentre seul en Autriche et écrit la version définitive de La Vénus à la fourrure ; il en avait déjà rédigé une première version au début de sa liaison avec madame Kottowitz.
 
Il croit avoir trouvé l'incarnation de Wanda de Dunajew (héroïne du roman) en la personne d' Aurora Rûmelin qui deviendra sa femme en 1873. Leopold signe un contrat que « Wanda » (C'est ainsi que désormais il appelle Aurora) a rédigé, à son instigation : « Je m'oblige, sur ma parole d'honneur, à être l'esclave de Mme Wanda de Dunajew, tout à fait comme elle le demande, et à me soumettre sans résistance à tout ce qu'elle m'imposera. » (déclaration située à la fin du contrat). Pour que s'accomplisse pleinement son fantasme, il se met à chercher, mais en vain, l'homme (« le Grec » dans le roman) avec lequel Wanda le cocufierait et, en outre, le ferait battre. Dans le cadre de cette recherche, un étrange échange épistolaire se produit entre le couple et un mystérieux inconnu qui signe Anatole (peut-être Louis II de Bavière). Mais petit à petit le mariage se délite, Wanda ne parvenant pas à tenir son rôle. En 1882, elle le quitte pour vivre avec un journaliste du Figaro. La douleur qu'ils éprouvent à la mort de leurs fils ne parvenant pas à les réconcilier, le divorce est prononcé en 1886. La même année, Léopold fait un voyage à Paris où il est nommé dans l'ordre de la Légion d'honneur. Il termine sa vie à Lindheim en compagnie de Hulda Meister, sa nouvelle femme, avec laquelle il a eu deux filles (Olga et Marfa) et un fils (Ramon).
 
 
 Son œuvre
Une grande partie de l'œuvre de Sacher-Masoch est constituée par des contes nationaux et des romans historiques regroupés en cycles. Ces récits ont généralement pour héroïne une femme dominatrice ou sadique (comme dans Eau de jouvence qui raconte l'histoire de la sanglante comtesse Bathory). Deux de ses meilleurs romans, Pêcheuse d'âme et La Mère de Dieu, concernent des sectes mystiques . Tandis que La femme séparée, qui eut à l'époque un grand succès, s'inspire de sa liaison malheureuse avec madame Kottowittz.
 
Son chef d'œuvre est incontestablement La Vénus à la fourrure qui fait partie du thème de l' Amour de son cycle principal, Le legs de Caïn (seul les thèmes de l'Amour et de la Propriété furent achevés). Le narrateur de ce roman, ayant rêvé d'une Vénus vêtue d'une fourrure décide, d'aller raconter son rêve à son ami Séverin. Chez celui-ci, il comprend vite que deux peintures (une reproduction de La Vénus au miroir de Le Titien et un tableau représentant une femme dominatrice avec un homme à ses pieds ) ornant le salon de son ami sont à l'origine de son expérience onirique. Séverin lui remet alors un manuscrit intitulé Confessions d'un suprasensuel ; dorénavant et presque jusqu'à la fin du roman le lecteur aura sous ses yeux ces confessions. Roman dans le roman, Confessions d'un suprasensuel raconte comment Séverin devient volontairement l'esclave d'une femme, Wanda de Dunajew, qui, à sa demande, le maltraite et l'humilie. À la fin du roman, Séverin affirme à son ami : « que la femme, telle que la nature l'a faite, et telle qu'elle attire l'homme de nos jours, est son ennemie et ne saurait être que son esclave ou bien son tyran, mais jamais sa compagne. Cela, elle ne pourra l'être que lorsqu'elle sera son égale en droits, son égale aussi par son éducation et par son travail. »
 
 
 Masochisme 
C'est dans son livre Psychopathia Sexualis (publié en 1886) que le docteur Richard von Krafft-Ebing forge le mot masochisme. Sacher-Masoch s'éleva contre l'utilisation de son nom pour désigner une perversion (remarquons que le mot sadisme fut inventé après la mort de Sade).
 
 
 Ouvrages de Sacher-Masoch
Contes Juifs, 2007.
La femme séparée, trad. Strebinger, Via Valerino, Marseille, 1991.
L'amour de Platon, trad. J-F Boutout, Lagrasse, Verdier, 1991.
La Mère de Dieu, trad. Strebinger, préf. Corsetti, Champ Vallon, Seyssel, 1991.
La Pêcheuse d'âmes, trad. L-C Collomb, préf. J-P Corsetti, Champ Vallon, Seyssel,1991.
Don Juan de Kolomea, éd. et trad. Elisabeth Lemirre, Jacques Collin, Ph. Picquier,Arles, 1990.
La Vénus à la fourrure: et autres nouvelles, prés. Daniel Leuwers, Presses Pocket, Paris, 1985, ISBN 2-266-03879-6.
(merci à WIKIPEDIA)
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Vendredi 5 octobre 5 05 /10 /Oct 07:30

Merci à Lola pour son récit de mésaventures cullinaires...

C'était un vendredi après-midi, un jour comme les autres. Il était à peu près 17h, j'avais fini le travail et m'apprêtais à rentrer à la maison quand mon portable sonna. C'était Sébastien (on va l'appeler ainsi), qui me demandait de rentrer vers les 19h car il me préparait un bon repas que je n'étais pas prête d'oublier. Il me demandait également de m'habiller d'une manière un peu plus féminine (je suis assez « garçon manqué », et les jupes c'est pas trop mon truc ...), de porter une jupe courte, de préférence sans collant, voire avec un porte-jarretelles. Je sentais bien qu'il ne voulait pas s'embêter à me décortiquer : le plus simple était le mieux me dit-il. Oulalalala, j'étais « youpi ! youpi ! » ravie (vous l'avez compris) : c'est un mamour, vous voyez comme il prend soin de moi, il me bichonne, il sait que j'ai eu une journée fatigante, y'a pas à dire il est craquant.

Bon, trêve de plaisanteries, direction les magasins. Je choisis une jupe écossaise, une chemise blanche, et l'accessoire qui va avec : la cravate noire. Par contre pas de talons (je veux bien être féminine mais faut pas pousser). Résultat : me voici en p'tite collégienne ... avec des Docks Martins noires. Ca casse un peu le charme, mais bon j'suis mignonne quand même. Je m'aperçois que l'heure tourne, et que si j'attends encore un peu je vais être en retard.

Arrivée à la maison, je hume une bonne odeur qui émane de la cuisine. Que ça sentait bon ! J'étais loin de m'imaginer ce qui allait m'arriver ... Il s'avance vers moi, m'aide à me débarrasser de mes affaires et me fait plein de poutoux dans le cou, sur le front, sur le nez et enfin sur la bouche. Il me propose de m'installer à la table, qui était admirablement bien dressée, puis disparaît et revient aussitôt pour apporter l'entrée. Pas mal, un vrai cordon bleu ! On parle de tout et de rien, puis il se lève. Je lui proposa mon aide, mais il décline mon offre et je n'insiste pas.

Lorsque j'arrive le deuxième plat je suis complètement dépitée. C''est ça c'est bien le mot : "dé-pi-tée". Livide. Non, il a pas osé ! Pas ça ! Eh bien si ... Grrrrrr ! Et lui, il s'assoit, comme si de rien était, et me regarde en me lançant un « Tu ne manges pas ? »
« Non, mais tu te fous de ma gueule là ?! Je mange pas ça, moi ! Tu sais très bien que je déteste les choux de Bruxelles ! J'en mange un, à la rigueur, mais toute l'assiette, tu rêves ! »

Et là, il me sort une phrase à tomber le cul par terre : « Je sais que tu n'aimes pas ça, mais tu as intérêt à les manger, et vite ! D'ailleurs le compte à rebours a commencé : il te reste tout juste 10 minutes pour finir ton assiette. »

J'étais sciée et je lui dis : « Que vas-tu faire si je ne les mange pas ? Tu vas m'attacher à la chaise ? Ca va pas dans ta tête à toi ! Je ne les mangerais pas, na ! »

« Stop ! Ne dis plus un mot, je vais t'expliquer. Tu sais cette semaine, tu m'en as fait voir de toutes les couleurs. Tu t'es montrée capricieuse, insolente, et j'en passe. Alors, j'ai décidé de frapper un grand coup, et de te montrer de quel bois je me chauffe. Il te reste très peu de temps. Si ton assiette n'est pas vide, je me chargerai personnellement de te le faire regretter. »
Je râlais dans mon coin, car mes pensées étaient partagées. Je me disais « ah ouais pas bête, il m'a eu », mais je cherchais le chien ... Zut, on n'a pas de chien, il ne pourra pas manger mes choux à ma place ... Crotte ! Je sentais que ça allait être ma fête mais somme toute j'étais plutôt contente. J'entendis une voix venue du canapé dire « il te reste une minute. » Mouais, ça va, j'ai compris, je vais en manger un ... Une fois le temps imparti écoulé, Seb s'avança vers moi. J'ignore pourquoi mais à son approche je me levai d'un bond, et mon premier réflexe consista à mettre mes mains derrière mes fesses ... De toutes façons, je l'avais bien cherché et surtout bien mérité cette fessée ...

Il me saisit par le bras et alla s'asseoir sur le canapé, puis me coucha en travers de ses genoux. La première claque s'abattit sur mon postérieur et je gémis. Ca ne l'arrêta pas pour autant. Une série de claques suivirent la première, alternativement sur la fesse gauche et la fesse droite. Que c'était bon !

Il fesse rigoureusement bien, je dois l'admettre.

Au bout d'un certain temps, il s'arrêta et me réinstalla à table. « Je te laisse une dernière chance » me dit-il. Eh oh! J'ai pas bien compris, là, j'ai du louper un épisode. Pourquoi diable me remet-il à table ? Je n'ai rien mangé tout à l'heure, et ce n'est pas maintenant que je vais m'y mettre. De plus l'assiette est désormais froide ... Je compris qu'en fait il voulait reposer sa main. Eh oui, elle aussi avait du chauffer !

Je crois qu'il s'impatientait, et moi aussi j'en avais marre de sentir l'odeur des choux. Il finit par m'attraper, m'enlever ma jupe et baisser ma culotte, laissant apparaître mes fesses déjà bien rougies. Il me coucha sur ces genoux et me fessa longuement. J'étais aux anges, mais mon postérieur commençait légèrement à me cuire. J'eu la mauvaise idée de mettre ma main pour l'empêcher de continuer : il la délogea en deux temps trois mouvements et ses claques se firent plus fortes que les précédentes.

Au bout d'un certain temps, les larmes vinrent. Il s'arrêta et me montra le coin. Je compris et je restais au coin, mains sur la tête, pendant au moins 5 minutes. La punition fut alors levée. Je pensais que j'allais venir à ses côtés, lui faire un gros mimi ... et puis non ! Il claqua des doigts, me montra la salle de bain, et me dit : « Un enfant qui fait une bêtise ou qui refuse de manger est puni et envoyé dans sa chambre. Alors, ma chérie, tu vas te laver les dents et filer au lit ! Et en aucun cas je ne veux t'entendre rechigner ! C'est compris ? »

Je fis « oui » de la tête et m'exécutais. Vingt minutes plus tard environ, Seb me rejoint, m'embrassa, et ce fut une « réconciliation sous la couette ».


Lola

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Lundi 1 octobre 1 01 /10 /Oct 07:35
 
Le sling ne cessait son mouvement, amenant le corps de s. d'un membre à l'autre, ils venaient la fouiller, l'amener au bord du plaisir sans jamais lui permettre d'atteindre l'orgasme. Quand son souffle s'accélérait, lorsque montait le plaisir, lorsque arrivaient les vagues qui devaient l'emporter, d'un geste de la main il faisait cesser tout mouvement. Les hommes reculaient et le sling tournait, juste le temps de faire baisser le feu qui la consumait, et pour l'offrir aux assauts d'autres membres. il ne cessait pas un seul instant son jeu de caresses et de brûlures sur ces seins, son ventre, à l'orée de son sexe.
 
 
Exsangue, haletante, elle perdait le sens du temps et de l'espace, elle se perdait dans ses sens électrisés. Elle avait la sensation enivrante d'un plongeon inversé et son corps nageait dans les remous du plaisir et de la douleur, porté par le courant bouillonnant qui coulait dans ses veines. Elle était ouverte, offerte, sans résistance, avec une faim inassouvie qui la faisait gémir, râler, se tordre dans les entraves. Parfois comme une naufragée remontant à la surface, elle cherchait à isoler son toucher à Lui au milieu de toutes les autres sensations comme elle se serait raccrochée à un radeau avant de replonger dans l agitation de la houle voluptueuse. Il lui semblait que son coeur allait éclater tant la violence des émotions, du ressentir la surprenait, la prenait toute, ne lui laissait plus de répit !
 
 
Il fit un signe et le sling s'immobilisa, d'un mouvement souple les liens qui enserraient le haut de son corps se tendirent la relevant doucement. Elle était désormais relevée, les liens écartaient largement ces cuisses. Haletante elle se maintenait aux chaînes, essayant de deviner ce qui allait arriver maintenant. Un des laquais s'avança, portant une sorte de tabouret de bar, à la différence que
 
le tabouret était orné d'un gode impressionnant, noir et luisant il semblait sorti tout droit de l'enfer. Le laquais disposa le tabouret sous s. le bout de l'immense plug se trouvait à présent a quelques centimètres de l'intimité de s. Doucement il s'approcha d'elle, fit descendre légèrement le sling de manière à ce que la verge de latex vienne caresser ces grandes lèvres, son clitoris et d'une main il la balançait doucement d'avant en arrière, frottant son sexe sur le latex noir.
 
 
Ses sens exacerbés hurlaient à chaque effleurement de l'impressionnant substitut sexuel. C'était une nouvelle torture qui la faisait chavirer, qui l'effrayait et l'excitait, attirance et angoisse mêlées douloureusement, chevillées dans son bas-ventre: Son corps, pourtant si sollicités, appelait, se tendait vers l'objet du délit, vers l'objet du délice. Elle n'était plus qu'un jouet désirant et désirant un autre jouet. Elle gémissait et ses gémissements étaient une supplique: qu'Il la délivre de sont tourment, qu'Il la laisse aller au supplice, au plaisir
 
 
 
 
Il cessa tout mouvement laissant le gode posé à l'entrée de son intimité puis se recula, observant la scène. D'une main il saisit la cravache, la soupesant, jaugeant la poignée, son équilibre dans sa main. Il la fit tourner doucement tout en marchant autour d'elle. Il avait une prédilection toute particulière pour la cravache, il aimait sa précision, la transmission directe des sensations a travers le manche vers son bras, son corps tout entier. Il s'approcha d'elle, faisant siffler la badine dans l'air. Du bout de la cravache il caressa sa vulve offerte, écartant ces lèvres et les disposant autour du mandrin noir qui menaçait son intimité. Il fit un geste vers l'homme qui contrôlait le sling et celui ci s'abaissa de deux centimètres écartelant son intimité, pénétrant du bout de son imposante longueur dans son sexe. Il fit le tour et reculant son bras le rabattit vivement sur elle. La cravache la cingla, laissant une marque rouge de son passage. Elle se cabra, laissant presque s'échapper le sexe artificiel, déjà la cravache retombait sur sa peau, marquant son autre fesse de striures. Il abattit sa cravache ainsi une dizaine de fois sur elle. Un signe encore et le sling s'abaissa d'une dizaine de centimètres, pénétrant son corps prenant son intimité.
 
 
 
Elle frémissait et palpitait, haletait et criait. Elle tremblait et pourtant elle brûlait. Le feu qui dévorait son bas-ventre était dans ses reins maintenant et se propageait, en ondes de douleurs, en ondes de couleurs, dans sa moelle épinière, dans toutes ses terminaisons nerveuses, dans sa vulve vibrante, volcanique. A chaque coup, son corps s'arque boutait et son intimité buttait sur le pieu qui la prenait, la retenait, la piégeait. Elle se tendait et se relâchait et l'énorme gode plongé en elle lui arrachait un feulement de surprise. Elle se noyait dans le sifflement de la cravache, dans la douleur qui irradiait, dans l'éblouissement de ses sens, n arrivait plus à trouver de langage articulé, voulait dire "Merci" voulait crier "Encore", ne savait plus que grogner, geindre, étouffer, râler et mordre ses lèvres. Jamais encore, Il ne l avait conduit si loin, si fort et le voyage lui semblait infini !
 
 
 
 
Il cessa d'abattre sa cravache un instant, avant de s'approcher d'elle. Il caressa doucement sa nuque laissa glisser sa main sur son dos, effleurant ces fesses douloureuses, caressant doucement ces cuisses, remontant sur ces seins dont il agaça les bouts un instants. Puis sa main fit un signe discret et le sling commença à descendre. Il la pénétra de quelques centimètres de plus et les sangles se relâchaient encore, elle s'agrippa de toutes ces forces aux chaînes qui la maintenaient pour que le pieu ne l'empale pas, se soulevant à la force de ces poignets, tentant d'échapper à la pénétration. Il revint se placer derrière elle, la cravache siffla de nouveau, s'abattant sur ces fesses ces épaules, son geste s'était fait plus vit, sa main plus lourde, et les stries se multipliaient sur sa peau.
 
 
 
Elle céda sous la morsure de la cravache, s'empalant dans un cri, la tête rejetée en arrière, les yeux clos, le corps secoué de longs frissons. Elle ne bougea plus ... pendant quelques minutes, possédée, laissant son intimité accueillir l'occupant, l apprivoiser, laissant les ondes de douleurs s'atténuer dans ses reins. Puis, ses mains se refermèrent sur les chaînes et, bandant ses muscles endoloris, elle se souleva un peu et entama de lentes ondulations sur le sexe de latex, laissant échapper des miaulements rauques à chaque va et vient, relâchant la tension de ses bras progressivement. Elle sentait le plaisir la submerger. La douleur avait vaincu toute résistance: Elle attendait Son ordre, Sa demande pour se laisser emporter par la vague de plaisir qui la faisait haleter, n en pouvant plus, souhaitant qu Il lui permette une délivrance trop longtemps repoussée
 
 
 
Il continuait à jouer de son désir, sa cravache s'abattant pour rythmer son va et vient sur le mandrin. il la faisait aller et venir, la poussant, la repoussant. Elle criait, sa tête allant et venant, sous les coups de la cravache et les coups de boutoir du gode qui la distendait, l'écartelait. il vint se placer derrière elle et déboutonna son pantalon sortant son membre dur et érigé. De ces mains il l'empala sur le membre de latex avant d'appuyer son sexe sur sa rosette, saisissant ces seins dont il tordit les pointes il s'enfonça dans ces reins, se frayant un passage contre le vit synthétique qu'il sentait à travers la fine cloison de chair en elle. Il entama alors un va et vient brutal en elle cognant sa chair contre la sienne, à grands coups de reins. Il approcha sa bouche de son oreille murmurant.
 
"jouis avec moi maintenant"
 
 
 
A ces mots, elle sentit le plaisir flamber en elle, atteindre le paroxysme. Les chairs incendiées, tout son corps possédé, elle répondit avec ardeur, avec fureur à ses coups de boutoir, se cambrant autant que le gode le lui permettait, donnant des coups de reins, sentant de façon aigu le vit de son Maître glissé dans ses reins, se frotter contre le sexe de latex à travers sa fine paroi de peau. Elle était emportée, transportée et le plaisir la submergea totalement : Elle hulula son orgasme sentant le sexe de son Maître palpiter, gonfler dans ses reins propageant de nouvelles ondes de plaisir dans tout son être. Elle cessa de respirer, un temps qui lui parut une éternité.
 
 
Il vint en elle, jouissant dans un cris, arc bouté contre sa peau, son sexe planté en elle. Son membre gonflé dans ces reins, ces dents plantées dans son épaules, les mains crispés sur ces seins, il vint en elle en longs jets brûlants, sentant ces jambes se dérober sous lui. Il resta un moment ainsi son sexe ramollissant doucement en elle, il sentait ces tremblements, ces vibrations autour de son sexe. Doucement il fit signe au laquais de remonter le sling la libérant de la pénétration. il la prit doucement dans ces bras tandis que les laquais défaisaient ces liens. Il la portât ainsi vers un des nombreux canapés qui décoraient l'endroit. Ils s'installèrent confortablement, leurs bouche l'une contre l'autre dans un long baiser. Il glissa doucement vers son oreille.
 
 
" Je t'aime Sofia, je t'aime ma soumise"
 
 
Dans un murmure voilé, elle lui répondit
 
 
"Je t'aime Dragon, je t'aime mon Guide !"
 
 
Puis ajouta d'une toute petite voix un peu tremblée mais avec un sourire lumineux en se serrant plus fort contre Lui
 
 
 
"Et j'ai grand soif !"
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Samedi 22 septembre 6 22 /09 /Sep 07:30

Participons à la (récente) rentrée scolaire en proposant cette péosie de M. de la Fontaine comme prochaine récitation à apprendre par coeur pour mieux s'en souvenir ...plus tard...

Certaine soeur dans un couvent,
Avait certain amant en ville,
Qu'elle ne voyait pas souvent,
La chose, comme on sait, est assez difficile.
Tous deux eussent voulu qu'elle l'eût été moins,
tous deux à s'entrevoir apportaient tous leurs soins,
Notre soeur en trouva le secret la première,
Nonnettes en ceci manquent peu de talent.
Elle introduisit le galant
Sous le titre de couturière,
Sous le titre et l'habit aussi,
Le tour ayant bien réussi,
Sans causer le moindre scrupule,
Nos amants eurent soin de fermer la cellule,
Et passèrentle jour assez tranquillement
A coudre, mais Dieu sait comment,
La nuit vint, c'était grand dommage,
Quand on a le coeur à l'ouvrage.
Il fallut le quitter, Adieu, ma soeur, bonsoir,
Couturière, au revoir,
Et ma soeur fut au réfectoire
Un peu plus tard, et c'est là le facheux de l'histoire.
L'abesse l'aperçut, et lui dit en courroux,
Pourquoi donc venir la dernière?
Madame, dit la soeur, j'avais la couturière.
Vos guimpes ont donc bien des trous,
Pour la tenir une journée entière,
Quelle besogne avez-vous tant chez vous,
Où jusqu'au soir elle soit nécessaire?
Elle en avait encore, dit-elle, pour veiller,
Au métier qu'elle a fait, on a beau travailler,
On y trouve toujours à faire.

 
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Dimanche 16 septembre 7 16 /09 /Sep 07:30
O femme!
...Pendant que je me tords sur mon axe viril
Comme Saint Laurent  sur son gril :
- O femme! Qui dira la foule involontaire
Des pucelles qu'on fait moisir?
Qui dira les doigts blancs dont l'effort solitaire
Gratte l'écorce du plaisir?
Clitoris sans amour des vierges par devoir,
Muqueuses en rut, coeurs en peine,
C'est pour vous que j'agite et que je fais pleuvoir
Ce qui vous manque et qui me gêne.
...Car j'ai votre idéal, si vous avez le mien!
Venez. Prenez : c'est votre bien...
... J'ai la liqueur et vous le vase...
Vous tendez votre coupe à mes deux échanssons.
Moi généreux et vous avide :
Fête longue et vins chauds! A nos santés versons
Mon trop plein dans votre trop vide !
*
Rythme bien ton ardente caresse
Au gré de mon balancements,
O mon âme... Lentement,
Prolongeons l'instant d'ivresse.
Là... Vite! Plus longtemps !
Je fonds ! Attends,
Oui, je t'adore...
Va ! va ! va !
Encore.
Ha !
Sire de Chambley
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 13 septembre 4 13 /09 /Sep 07:44

Depuis que j'ai goûté à ton foutre, je suis chevillée à tes pieds. La première fois, c'était dans une forêt blanche de bouleaux. En plein ciel, tout fait signes. Ton pôle magnétique plus que tout.
Ma boussole affolée, je t'ai plaqué contre un arbre. En un mouvement, j'ai noué ma langue au carambolage de tes veines, j'ai tutoyé ta quintessence, caressé ton bulbe soyeux. Ma bouche s'est cramponnée à tes racines mûres pleines à craquer. Je veux te faire l’amour comme un sphinx  dans les cendres de l’automne. En plein ciel, tout fait signes. Écoute. Le vol d’une chouette précipite nos chuchotements sur les lichens nacrés. Viens que je t’écosse, tandis que ma nudité offerte bruisse à l'unisson de tes veines. Comme c'était bon de me sentir amarrée à toi.
Je sens encore les écorces répercutant les fragrances de nos corps, éclos dans les sentiers mouillés de nos sueurs. Depuis, ta semence suit la lente procession des équinoxes. Elle forme en moi des rigoles. Elle draine en moi le long déploiement d'un poème. Elle me peuple de génies et de fées. Son existence me donne ma pleine signification. Je voudrais encore qu'en moi tu te déposes. Mon ange. Donne-moi encore de ton pollen. Mets-le au fond de mon Eden, là où nos échos se répondent. Oui. Là, mon ange.
 Mademoiselle K
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Jeudi 6 septembre 4 06 /09 /Sep 07:30
La maison est calme ce soir. La musique est douce, elle me tourne doucement la tête. Peut être les quelques verres participent aussi à transformer ma vision en carrousel. J'erre, de canapé en fauteuil, seul, un peu triste, pourquoi pas aprés tout. Je revendique cette tristesse puisqu'elle celle de l'homme qui connait aussi le bonheur. En bon juge j'ai le droit de ne pas être heureux.

C'est bien l'été, les oiseaux ce sont tus avec le soir qui est venu. La lumiére de la ville éclaire les arbres du jardin, là juste à portée de main à cette fenêtre. L'été, les corps qui sont chauds, la sueur qui colle. Je la trouve, cette sueur, dérangeante et trés érotique à la fois. En la touchant, je parcours un peu l'album de mes souvenirs. Les corps défilent, sans noms, juste un peu de bruit, du plaisir, curieusement, pas le mien. Quelques minutes dans la brise extérieure et les images intérieurs et mon état d'esprit à changé. Triste toujours, mais l'idée qui est mienne maintenant me transforme de victime en chasseur.

Je veux un corps pour me faire frémir, je veux une langue qui me goute et des ongles qui me griffent. Je veux qu'elle dise encore, je veux qu'elle soit vulgaire quand je vais la baiser. Oui c'est bien de cela qu'il s'agit. On ne parle pas de romantisme là, on parle de sexe, de plaisir partagé, de parenthéses de plaisir dans une vie qui n'en améne pas toujours.

Laisse moi quelques minutes, tentation, que je me prépare. La douche m'appelle, besoin d'être parfaitement apte à me montrer. Enlever les quelques poils qui sont encore présents. L'eau coule, je suis trempé, mes cheveux sont perlés de gouttes mélangées au gel qui les tenait.

Pourquoi faut il toujours que ce soit là, à ce moment que la sonnette fonctionne. Pourquoi cette coalition des éléments pour chasser le plaisir et le ramener à la réalité si terre à terre. 21.30 on sonne, c'est surement parce que la vieille n'a plus de beurre ou que mes talents de bricoleurs soient réclamés par je ne sais qui…

Charitable, presque parfait dans l'abnégation, je ceints ma taille d'une serviette et vais ouvrir. Les gouttes sur mon torse, mon diamant dans le nombril font de moi un homme curieusement asexué mais plaisant pour autant.

J'ouvre cette porte sur la vraie vie. Elle est là, elle est jolie comme cela au premier abord. Je ne la connais pas, mais elle m'explique qu'elle loue ce meublé là en face de moi et que venant d'arriver, elle s'ennuie et voulait saluer ces voisins.

Et bien c'est fait, salut alors. Vilain mâle, tu la regardes, tu la détailles, tu en es presque clinique d'analyse. Les résultats de ces analyses sont rapides, elle n'est pas que jolie, elle est splendide, et en plus elle le sait, et sait que tu le sais.

"Oh comme ton appartement à l'air grand par rapport au mien qui est si petit, je peux voir ?"

Voyons donc, ca n'engage à rien. Un café peut être ? Nespresso oblige il sera bon. Les lumiéres du salon incitent au délassement, sur un canapé elle se pose. Son bavardage est doux, simple et léger, comme il se doit. Je sens qu'elle est profonde mais que ce moment n'est pas le bon pour refaire le monde.

Tu me connais, nous en venons rapidement à la séduction, aux rapports hommes femmes. Une conclusion s'impose, nous sommes dans le même état d'esprit. Il faut du plaisir maintenant pour recharger nos batteries vides.

En parlant, toujours, je la regarde faire, elle caresse doucement son ventre, les yeux ouverts, me fixant, cherchant le trouble dans mes yeux ou sous ma serviette. Pour moi, une femme qui se connait se caresse. Une femme qui se caresse, me donne envie d'elle, j'ai envie d'elle.

Alors face à face, à trois mêtres l'un de l'autre nous nous donnons envie. Elle est splendide, elle respire un peu plus fort, s'interrompt parfois au milieu d'une phrase. Je fais le fier mais je suis troublé.

Elle le sait, se léve, vient se planter devant moi, et doucement retire sa culotte, enfin le micro bout de tissu qui recouvre son intimité. Là sous sa jupe, courte, elle est nue, devant moi. Elle recommence à se caresser en me demandant d'une petite voix: "je voudrai que tu me léches, j'aime la douceur d'une langue entre mes cuisses, entre mes fesses. Je suis trempée, et je veux que tu me goutes, que tu me pénétres avec ta langue. Lèche moi bien et je t'appartiendrai……."

Comme une vrille dans mon cerveau, utiliser ma langue, pas pour parler, j'aime tellement cela. J'aim fouiller une femme, gouter à ces sucs. Agacer ses lévres, son clitoris, descendre jusqu'au bout du sillon de ses fesses. Curieusement, les femmes et les hommes aiment, pour la plupart qu'on les léches entre les fesses, et pourtant c'est un tabou. Pas pour moi. J'aime le plaisir, et tant qu'il n'est pas produit à travers la violence ou l'avilissement, alors il est plaisir.

Cette femme doit lire mes pensées, elle se tourne, souléve sa jupe, se penche en avant pour s'appuyer sur la table alors si basse, et m'offre sa croupe, sans pudeur aucune. Ses lévres sont luisantes, douée pour les caresses et surement excitée autant que moi. J'ai, sans doute par omission, oublier de signaler que la serviette qui m'habille est déformée par, comment dire, un sexe préte à l'assaut...

Prenant ces fesses à pleines mains, je les écarte et darde de ma langue chaque millimétre de sa chair. Chance, technique, savoir faire, allons savoir, mais l'effet est au dela de mes espérances, elle commence à gémir, et à s'agiter, donne des coups de cul qui enfonce un peu plus ma langue. Elle s'exprime dans un langage trés clair et en exprimant chacun de ses désirs. En homme galant et prévenant, j'exécute chacune de ses demandes. Ajoutant parfois un peu de plaisir personnel. Tu sais mon gout pour les fesses, tu sais combien je suis sodomite, je t'assure que ce petit cul sera mien avant la fin de la nuit.

L'intérieur de ses cuisses ruisselle, elle a des jambes splendides, que les talons assez haut des ces chaussures d'été mettent encore un peu plus en valeur. Je crois que j'aime autant donner qu'elle semble aimer recevoir. Mes mains se mélent à la féte. Elle est visitée, fouillée, caressée, sa danse s'accélére et je sais qu'elle joui car elle déchire l'ai d'un cri quasi animal. Je ne savais pas que j'étais capable de cela.

A genoux, affaibli face à moi, elle demande une douche. Je lui offre bien volontiers, malgré mon envie folle et visible de m'occuper de mon excitation. Mais son regard et sa promesse de tout à l'heure, mélangés, font que je sais que l'instant s'approche que le retarder va le rendre meilleur.

Cette femme, dont j'ignore tout est la perfection entamant, au son de la musique, merci à la fonction repeat, un strip tease vers la douche digne des plus grands club de Las Vegas. Arriver à exciter un homme sans être vulgaire est un challenge qu'elle reléve sans problème. Même dans les moments où elle criait en me demandant de la lécher plus profond ou de prendre son cul, elle le faisait avec tant de grace qu'elle en restait parfaite. Un secret que seules les femmes savent partager.

Sous la douche elle est seule, elle me dit se préparer. Elle me dit que c'était bon, et que parce que c'était bon, elle va encore jouir et elle va me donner son corps pour que j'en joue. Elle me laisse croire que je suis un bon amant, chose tellement flatteuse pour un homme. Oui je sais, c'est facile, mesdames, c'est un secret de polichinelle mais ca marche, et à tous les coups.

L'eau s'arréte de couler, elle revient, ruisselante est nue. Elle s'arréte, me demande si je la trouve belle, prenant ses seins dans ses mains, cambrant ses reins, elle est divine. Dingue de parler de divin dans un moment pareil. Pourtant son talent atteint des sommets qui ne sont pas humains. Ne reste donc que le divin pour les qualifier.

Assis sur ce putain de tabouret où je joue de la batterie, prés de la fenètre, elle s'approche. Enléve ma serviette, apprécie son effet. Oui je bande mais ne pas le faire serait lui faire affront et surtout est au delà de mon possible.

Alors elle m'enfourche, s'asseois sur moi, plantant mon sexe au plus profond du mien, sans préambule, comme cela, d'un coup. Ses seins pointent, son sexe est de miel. Dois préciser que je suis bien ? Elle commence ses demandes: léche moi les seins, oui comme cela les pointes maintenant, mords moi, mais doucement. Tu aimes ma chatte, elle est trempée pour toi, et si tu veux, j'ai préparé mon cul pour toi.

Ce discours affole mes sens, elle danse doucement sur moi, ses yeux dans les miens. sa main caresse mon sexe quand elle le libére et le sien le reste du temps. Elle prend mes mains et les pose sur ses fesses. Demande silencieuse cette fois ci. Le miroir renvoie l'image de son dos, de sa cambrure, elle est tellement ouverte que ces fesses ne se touchent plus. Alors je tente la douceur pour la caresser. Et cette oppositon entre la violence de ses mots et la douceur de nos gestes fait le nécessaire. Elle tremble et mouille mon sexe. Une femme fontaine, rare et précieuse. Elle a joui encore sur mon sexe. Je suis trempé.

Emmene moi dans ton lit dit elle, sans même s'arrréter un instant de danser sur moi. Je l'y conduis avec peine, me séparer de la chaleur de son sexe est pénible. Mais sa surprise devant le baldaquin et la moustiquaire sont tels que je sais que nous allons encore nous amuser.

Elle s'allonge pousse les draps, se caresse, et me demande de faire des photos d'elle. Je ne sais pas comment elle sais mais je ne sais même pas si je suis capable.

Un tiroir d'un de mes placards est ouvert. Dedans, ceintures et foulards. Une idée vient. Elle à la même. Une grosse ceinture autour des seins; les bras attachés aux montants du lit par des foulards, nue pour tout le reste. Son sexe si bien épilé est trés beau. La lumiére est belle. Je la shoote, elle bouge, elle vit cet instant, me demande de lui détacher une main, j'obeis, je sais que je ne suis pas le patron là. Sa main repart elle hurle et me demande des photos de tous ces cris. L'expression de son visage est plaisir, ses seins vivent sous la ceinture, ses doigts luisent. Je fais de la photo porno chic et ca m'excite. Je m'approche pour un gros plan de son visage. Nu aussi, ca fait longtemps que je ne sais même plus ou est ma serviette. Et là elle ouvre les yeux, doucement, me fixe et me declare de sa voix rauque: "je veux que tu me prennes, je veux que tu me sodomises, je veux que tu exploses dans mon cul parce que je vais jouir comme jamais".

Est ce un cadeau, une envie, un mensonge, je ne sais. Mais en la détachant je sais que je m'en fous, je vais faire ce qu'elle veut car ses idées sont brillantes et mon désir trop fort pour tenter la moindre résistance.
Elle se couche sur le dos, en me regardant, prend ma queue dans sa main et la guide vers l'entrée de ses reins. Elle est trés ouverte et je n'ai aucunement l'impression de la violer ou de la dominer. Elle prend du plaisir et en donne en même temps. Nous sommes faits pour nous entendre. Elle me regarde, se caresse encore, m'offre ses doigts à lécher. Elle m'avoue que sous la douche elle s'est préparée à me recevoir et je sais alors que le nom de parfaite salope lui va comme un gant et la flatte infiniment quand je la qualifie ainsi.

Elle joui encore, je n'ai pas compté mais je sais que je devrai me prendre pour un surhomme. Enfin je la rejoins. Inondant ses fesses de mon plaisir si longtemps retenu.

Elle s'endort là dans mon lit quasi instantanément. Je vais me doucher, et la rejoins. Regardant son corps de reine, je la rejoins au pays des merveilles endormies. Dur de quitter cette si belle réalité. Mais je sais que le matin sera parfait....

Epicure et Marc Dorcel sont les deux seuls mâitres de ma vie ;-)
Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 07:36

Joy reprend à peine son souffle et viens nous raconter... Tout raconter ! !

J'écris cette histoire après avoir passé un moment ce matin extraordinaire !!! D'ailleurs mes mains tremblent encore et je suis mieux assise que debout ! Oufffff .
Il était 6h du matin et je n'avais plus sommeil… Donc comme à mon habitude je suis venu sur le net pour lire mes messages et chatter un moment avec mes amis… Depuis quelques temps aussi je navigue sur les deux sites qu'on m'a gentiment fait découvrir ou je trouve les textes qu'on peut publier et lire aussi… Donc je m'excitais doucement pendant que mon copain dormait paisiblement. Vers 8h30 j'ai quitté le net avec pour excitation intense d'aller retrouver celui qui me faisait tant jouir… Mais il était réveillé et déjà en train de faire sa toilette. Alors je me suis couchée seule et j'ai continué ce que je faisais plus tôt, me masturber !!! C'est alors que mon copain revient doucement à la chambre et en me voyant me dit :
- OH petite salope ! Mais que fais-tu donc seule ?
- Je me fais plaisir comme tu peux voir et tu n'étais pas là donc je prends les moyens pour me satisfaire, tu vois ? Lui dis-je avec un tendre sourire : o)
C'est alors qu'il sortit de ses gongs !!!
- Je ne t'ai pas assez dit qu'il fallait me demander avant de faire ça ?
- Oui je sais mais je ne voulais pas te déranger et comme j'avais si envie de jouir après mes lectures sur le net je me suis dis pourquoi pas ?
Alors j'ai vu dans ses yeux que de lui avoir désobéis, ça ne lui avait pas plus… Il sortit quelques foulards de mon tiroir et entreprit de m'attacher un poignet. 
- NONNNNNNN je ne veux pas que tu fasses cela j'étais si près de jouir…
Vous croyez que monsieur s'est empêché de m'attacher? ohhhhh non… Ppffffff Il a fait pire... Il a réussi à m'attacher les deux mains à la tête du lit malgré ma franche résistance… me bâillonner tout en laissant libre mes yeux pour qu'il puisse y voir la douce haine que j'avais. 
J'étais réellement fâchée contre lui. Mais là je ne pouvais plus rien faire. Il me maîtrisait complètement. Et lui il faisait quoi? Il rigolait mais noir !!! 
- Je crois que tu vas comprendre ce que je voulais de toi ma tite pute d'amour !

Il a recouvert mon corps des couvertures qui traînaient sur le lit pour en remonter juste un peu en découvrant que ma chatte. Et toujours avec ce sourire de guerrier il entreprit de me faire un de ces cunnilingus du tonnerre. Déjà que j'étais sur le moment de jouir juste avant son arrivée je sentis l'orgasme venir. C'est alors qu'il arrêta net. 
J'aurais voulu lui crier que je ne voulais pas qu'il arrête mais je ne pouvais que d'émettre des sons au travers de mon bâillon.
- Je crois ma tite poupée que tu vas comprendre ce que je te demande. Me dit-il…
Il continua avec ses doigts à me faire délirer. Il en mettait partout. Dans ma chatte et dans mon tit cul aussi ouffffffffffffff bon sang, j'en pouvais plus. Alors d'un seul bon il se leva et me dit que je resterai comme ça jusqu'à ce qu'il en décide autrement.
- NNNNNOOOONNNNNNNN !
j'essayais de lui crier que je voulais jouir… mais je ne le pouvais pas en mots clairs.
- Quoi ? Tu as quelque chose a dire, ma chérie? Dit-il d'un ton moqueur.
- Va te faire foutre mon amour pensais-je.
Il sortit de la chambre et me laissa comme ça. Toute seule les mains liées. Comme j'étais épuisée, je me suis endormie. Combien de temps avait-il passé ? Je ne le savais pas mais au milieu de mon sommeil, il est revenu doucement pour continuer ou il avait laissé ma jouissance. Je me suis réveillée au rythme de ses caresses. J'étais semi-consciente et j'adorais ce que ça me faisait. Il murmurait qu'il avait une toute petite surprise pour ma tite chatte. Je lui souriais des yeux. Il prit un coussin qu'il plaça sous mes fesses et écarta bien les jambes qu'il attache au pied du lit. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai commencé à avoir peur de le voir comme ca. Je me demandais ce qu'il voulait bien me faire. C'est alors qu'il prit la chandelle cachée derrière lui et l'alluma. 
- ???????????????????????????????? Mon dieu. Mais il va pas oser, que je me dis !
J'essayais de défaire mes liens mais sans succès. Bon sans j'avais peur !!!
Alors il se pencha et me fit des caresses si douces avec sa langue. Elle allait partout. De mon clito à mon anus, en passant par ma tite chatte extrêmement mouillée. Hummmmmmm que c'était bon. Il savait si bien s'y prendre. Sa langue pénétrait ma chatte et en ressortait pour venir lécher mon clito et redescendre sur mon tit cul. Au moment encore une fois où j'allais jouir, il s'arrêta. 
- Mais c'est pas vrai ! Me dis-je.!
Je le fusillais du regard et des mes gémissements enragés. Il ricanait. Il adorait ça. Il passa un moment à caresser mon corps pour me calmer. Il retira les couvertures et prit la chandelle. 
- Ne me fais pas ça !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je hurlais encore sous le bâillon en me débattant de plus belle.
Il prit la chandelle et doucement repris possession de ma chatte avec sa bouche en faisant couler la cire chaude sur moi.
Le mal que je ressentais me faisait peur. Mais en même temps que la cire coulait sur moi sa bouche était d'une précision délirante. C'était comme lorsqu'on a une crise de sucré et de salé. Comme mordre dans un bon gros morceau de chocolat et de finir avec des croustilles ! Vivre le mal et la douceur en même temps. J'avais mal mais j'étais dans un délire total. Et encore une fois il me laissa juste avant de jouir. Les larmes me vinrent aux yeux. Je le suppliais du regard. Mais rien n'y changea. Il repartit en prenant soins de fermer la porte.
Ca m'a pris un temps fou à me calmer. Je regardais mon corps et je voyais les traces de la cire figée sur moi. Je ne pouvais pas encore croire qu'il avait pu faire ca. Au bout d'un moment, je me suis de nouveau endormie. Encore une fois sans savoir combien de temps j'avais pu rester seule, mon copain revint à la chambre. Il défit les liens qui liaient mes chevilles au pied du lit et remonta mes genoux vers moi. Il remit un deuxième coussin sous mes fesses et sans même crier gare, il s'introduisit dans mon cul. 
- - -AAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Ce son resta dans ma gorge. Il me défonçait avec un sacré plaisir. Il introduisit trois de ces doigts en moi et me masturbait de l'autre. Et là, sans s'arrêter enfin il me fit jouir en éjaculant lui-même dans mon cul bien rempli de sa queue. J'en avais des soubresauts. Mon corps tremblait d'épuisement. Il se calme enfin et doucement entreprit de défaire tous les liens qui me maintenaient en place. Il me remercia de cette matinée excitante par de doux baisers. Il déposait des baisers partout sur mon corps. 
- Je t'aime ma princesse me dit-il, tu es si belle dans la peur et la jouissance mon ange.
- Je t'aime tellement aussi mon amour.

Nous sommes restés allongés longtemps tous les deux enlacés, nos cœurs battant l'un contre l'autre.
Voilà comment c'est passé une de mes plus belles matinées depuis que je le connais. J'espère que bien d'autres comme celle-ci suivront.

Joy

Par EROS - Publié dans : Littérature érotique
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